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L’acronyme du jour fait presque penser à un personnage androïde sorti tout droit de la « Guerre des Etoiles » ! L’un de ses mutants qui désire conquérir le monde, celui de l’enseignement et de la formation, en ce qui nous concerne ! « RZIE », tel est son nom ! Ce n’est pas la plaque d’immatriculation d’un véhicule venant d’une lointaine république de l’Est. Non, sa signification est beaucoup simple que cela : « Responsable Zone Import-Export ». Proposé sous la forme d’un « bachelor », dès septembre, il enrichira le panel d’offres de formation de l’enseignement supérieur décliné dans le groupe scolaire privé auxerrois…

 

AUXERRE : Le faire savoir. En parler. Le dire. Communiquer à outrance autour de soi, des semaines durant, celles qui vont précéder son lancement afin de le faire connaître. Auprès des familles et des élèves, une évidence que n’aurait reniée Monsieur de La PALICE. Mais aussi des acteurs des milieux économiques, à commencer par leurs représentants institutionnels. La création de ce nouveau diplôme de l’enseignement supérieur est plus qu’un énième évènement éducatif. C’est aussi un lien, inexorable, et nécessaire avec le monde de l’entreprise, notamment celui qui exerce des activités à l’international.

Aussi – et ce n’est malheureusement pas coutume mais tous ont promis de faire bouger les lignes à l’avenir -, n’était-il pas surprenant de retrouver des responsables de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et de la Maison de l’Entreprise, lors de ce premier rendez-vous explicatif – il en appellera immanquablement d’autres, à commencer par une prochaine session le 09 avril prochain au même endroit – en ces lieux : l’une des salles de réception du campus BTS du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle.

 

Un diplôme proposé en exclusivité régionale à Auxerre

 

Objectif de François-Xavier WILLIG, chef d’établissement coordinateur ouvert à bon nombre de suggestions : la présentation de ce nouveau bachelor à l’international, proposé en alternance, qui concerne naturellement le milieu entrepreneurial de l’Yonne. Les arguments du responsable de l’entité lassalienne auxerroise sont limpides de clarté : « l’international est dans le cœur de nos projets pédagogiques depuis plus de trente ans. Grâce notamment au développement de notre BTS Commerce international… ».

Jusque-là, les choses sont clairement établies. Mais, François-Xavier WILLIG va aller un peu plus loin encore dans ses explications : « aussi, pour donner toutes leurs chances à nos étudiants et pour répondre aux attentes de tous les acteurs économiques, notamment ceux qui travaillent à l’international, nous avons décidé de créer un bachelor RZIE (responsable import-export) de niveau Bac + 3 dès la rentrée de septembre… ».

 

 

Une nouveauté très intéressante dans le panorama auxerrois et icaunais, de surcroît, qui assurera la complémentarité de la préparation des futurs cadres du commerce international dans l’Yonne. On l’aura compris cette filière sera exclusive dans la région…

Cerise sur le gâteau, comme le spécifiera Céline MARTI, responsable pédagogique de l’enseignement supérieur pratiqué sur le campus de St-Jo : « ce diplôme sera préparé en alternance, animé par des professionnels reconnus du secteur, possédant une vision du terrain et une parfaite connaissance des entreprises ».

 

Une passerelle légitime avec le monde de l’entreprise…

 

Ca y est, le mot magique a été lâché ! « Entreprise » ! C’est là que, dans un premier temps – ce fut le cas mardi soir au cours de cette réunion avec la représentativité institutionnelle – et dans un second temps, le 09 avril, en présence des entrepreneurs eux-mêmes et de leurs réseaux, le projet est dévoilé sous toutes ses latitudes afin de travailler en complémentarité le dossier.

Joannick PECHENOT, consultant et spécialiste de l’orientation et de la formation, ajoute : « avec les acteurs du monde économique et institutionnel, c’est l’occasion enfin d’ouvrir les portes de la coopération afin d’imaginer ensemble l’accueil et l’intégration des étudiants au sein des équipes professionnelles sous contrat d’apprentissage… ».

Développant un cursus se décomposant en grands blocs thématiques – administration des achats et des ventes, management, stratégie de développement à l’export, droit des affaires, art de la négociation commerciale, RSE, analyse et gestion financière, anglais de niveau professionnel, etc.-, le bachelor « RZIE » devrait intégrer la première année une douzaine de candidats, en possession d’un BTS Commerce international. Toutefois, une période de mise à niveau est possible pour les titulaires d’un autre diplôme de niveau Bac + 2.

Un diplôme qui sera complémentaire aux offres pédagogiques déployées par le Pôle formation de la Chambre de Commerce et d’Industrie, comme le confiera son directeur, Jérôme MAYEL, ravi de cette rencontre quasi informelle. Un diplôme qui ne peut que satisfaire la représentante de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne, Florence POULAIN, une structure qui accueille les organismes patronaux que sont le MEDEF et l’UIMM, avec leurs préoccupations premières, la recherche de nouveaux collaborateurs qualifiés (cadres) pour doper les carnets de commande que ce soit dans le secteur industriel ou autre.

Ce diplôme Bac + 3 newlook du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle et ses 500 heures de cours à assurer pourraient peut-être faire des probables ramifications parmi le réseau des 150 établissements lassaliens répartis aux quatre coins de l’Hexagone à terme…A suivre !

 

Thierry BRET

 

 


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Circulez, il n’y a rien à voir ou presque avec l’Administration pénitentiaire. C’est en substance la mésaventure vécue il y a quelques jours dans le cadre d’une visite organisée au centre de détention de Joux-la-Ville, par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et la société de gestion du site icaunais, IDEX, lors de la série de brunchs mensuels, des « Positives Entreprises ». Objet du courroux : une véritable discrimination médiatique, imputable non pas au délit de faciès mais au déni d’ignorance de reconnaître un média numérique dans l’exercice de ses fonctions !

 

HUMEUR : Incompréhensible explication de texte de la part de l’Administration pénitentiaire qui accorde à l’un une autorisation et la refuse à l’autre, sans aucune argumentation !

Dans le cadre d’une visite guidée de la communauté des « Positives Entreprises », le fameux club des chefs d’entreprises plutôt fédérateur de la CCI de l’Yonne, sur site, à savoir le centre de détention de Joux-la-Ville, notre média a été victime d’un fait discriminatoire dans l’exercice de ses fonctions ! De quoi aller en prison, sans passer par la case départ et de risquer la perpétuité ?! Soyons sérieux, ce n’est tout de même pas le cas, sans blague !

Mais, bon, les faits sont là. La représentante du quotidien régional, charmante et sympathique journaliste au demeurant, n’a eu, elle, aucune peine à obtenir l’autorisation officielle, le précieux sésame délivré par l’Administration pénitentiaire, service public du ministère de la Justice, donc dépendant de l’Etat, pour pénétrer sans contrainte dans l’enceinte carcérale, munie de son indispensable appareil photographique afin d’y immortaliser les détenus exerçant leur labeur dans les ateliers dont il faut à tout prix assurer la promotion. Tant auprès du public que des futurs partenaires de la sphère économique, sans qui ce système de réinsertion sociale par le travail ne pourrait fonctionner judicieusement.

En revanche, si votre serviteur était accepté pour se rendre à l’intérieur de l’édifice de Joux-la-Ville, c’était toutefois dépourvu de son instrument de travail – le fameux appareil photo en question - permettant là aussi d’illustrer en images les éléments intéressants de la thématique du jour, le travail en espace carcéral.

 

 

Motif du refus : pas de réponse ni justificatif de surcroît ! Les négociations entamées auprès des responsables de la société de gestion du site, IDEX, n’y changeront rien après quelques minutes de palabres inutiles ; ce sera la visite du centre de détention sans photo mais avec une profonde amertume chevillée au corps !

Visiblement, l’objectivité de l’Administration pénitentiaire n’est pas leur fort. Les explications, non plus ! Quand deux journalistes se présentent à l’entrée d’un centre de détention pour le visiter et relater, avec autorisation, ce qui se vit à l’intérieur, l’équité doit être la même pour tous en matière de prises de vue et d’approches professionnelles. Question de respect, de logique et de réciprocité.

Pratiquer la discrimination médiatique au profit de l’un et au détriment de l’autre est plus que du mauvais goût et nauséabond sur le principe de la liberté d’expression. L’idéal pour créer un vrai sentiment d’injustice. Ce qui est tout de même un comble pour un service de l’Etat qui exerce précisément des activités dans la sphère juridique en valorisant la réinsertion sociale des hommes et le respect bénéfique de leurs droits !

 

Thierry BRET

 

 


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Le plein de distinctions. De celles faites du plus beau des métaux. L’or pour sept d’entre elles. Le bronze pour les deux dernières, moins chanceuses. Sur les neuf candidates engagées dans la sélection départementale du concours des Meilleurs Apprentis de France de la discipline des palefreniers-soigneurs, toutes sont revenues au bercail, le CFA La Brosse, la médaille autour du cou. Un 100 % historique qui pointera de l’index Marc LABARDE, président des Meilleurs ouvriers de France de l’Yonne…

 

VENOY : Un président heureux. Fier et satisfait par une telle razzia. Un carton plein dont on n’est pas prêts d’oublier l’issue. Qu’on en juge : sur les neuf candidates concourant à la sélection départementale de l’épreuve des Meilleurs Apprentis de France, catégorie des palefreniers-soigneurs, aucune n’est sortie bredouille de ce concours icaunais, pourtant relevé au niveau des tests à réaliser. On avait vécu ce challenge il y a quelques jours au centre équestre de Villefargeau. Voilà donc la suite logique avec la remise des diplômes, au sein du centre de formation agricole de l’Auxerrois, dans l’amphithéâtre.

Marc LABARDE, forcément, est aux anges. Dire qu’il n’avait jamais vu cela auparavant serait peut-être mentir au fil des pérégrinations du président du groupement des Meilleurs Ouvriers de France de l’Yonne via tous les concours. Mais, là, visiblement, il jubile et ça se voit devant le résultat final. Comment prolonger le suspense alors que tous les candidats (en l’occurrence des candidates !) ramènent dans leur besace une breloque et un titre de gloire !

 

 

L’Yonne, un vrai plébiscite au niveau des résultats !

 

Ces résultats lui mettent du baume au cœur. C’est certain. Quant à cette discipline, pour l’heure essentiellement féminine de palefrenier-soigneur, elle favorise les prouesses de ces jeunes techniciennes du monde équestre. D’autant que sept des neuf candidates iront défendre leur chance du côté de Lons-le-Saunier ce jeudi 21 mars, lors de la sélection régionale, elle-même qualificative pour le national.

En trois éditions, le CFA agricole de La Brosse, dirigée par Hélène DECULTOT-TREMBAY, a accumulé les titres. Ecrasant parfois toute concurrence. C’est dire de la qualité de l’enseignement qui y est distillé.

« S’engager dans un concours montre un bel état d’esprit, soulignera la responsable du centre de formation de l’Yonne, ce concours qui était évalué en partie au niveau national n’était pas si facile… ».

Toutefois, les lauréats devront s’armer de patience avant de pouvoir recevoir les médailles et diplômes officiels des MAF, une fois que toutes les catégories se seront déroulées et auront rendu leur verdict.

Stupéfait par les résultats, Marc LABARDE devait les analyser lors de son intervention sur la scène de l’amphithéâtre. « Le département de France qui a reçu le plus de médailles dans cette catégorie cette année, c’est l’Yonne. Celui qui a reçu le plus grand nombre de médailles d’or, c’est l’Yonne ! Le département qui a eu le plus de médailles d’argent, c’est toujours l’Yonne ! Alors quand on dit dans notre département que l’on est loin de l’excellence et loin de tout, on prouve le contraire après une telle session aux examens ! Si on recherche la perfection, on peut atteindre l’excellence ! ».

Puis, le maire de Quenne, Francis HEURLEY, prit la parole. « Le rayonnement du CFA et son enseignement agricole sont très importants pour l’Yonne. On souhaiterait aussi que les garçons s’intéressent à cette filière très féminisée… ».

Il céda le micro à son collègue, le conseiller départemental et maire de Venoy Christophe BONNEFOND, qui s’épancha sur l’excellence et ses vertus. « Félicitations aux responsables du CFA La Brosse qui tirent tout le monde vers le haut ! ». S’investir dans la filière et l’apprentissage représente une excellente opportunité pour ces jeunes ayant concouru dans cette épreuve, exprimera-t-il en substance.

Vint le temps de la remise des prix. Un cérémonial organisé devant les familles et les tuteurs des apprenties. Tous devaient se rejoindre sur scène afin de poser pour la photo de famille !

 

 

En savoir plus :

Les résultats

Sélectionnées pour la finale régionale : 

Molie BOLLEA, médaille d'or départementale, en apprentissage chez Mme NIVOT Elodie (Ecurie de l'évasion à Villeneuve-la-Guyard)

Clara BONIN, médaille d'or départementale, en apprentissage à l'écurie Christel BOULARD (Parly)

Suzanne CONSTANT, médaille d'or départementale, en apprentissage à la Ferme Equestre de Pesteau chez Mme Laurence COEVOET

Leïa QUAAK, médaille d'or départementale, en apprentissage à l'Ecurie du Nectar (Rousson) chez Mme Margaux BAIN
Ornella GRILLOT, médaille d'argent départementale, en apprentissage à l'établissement Poneys des 4 saisons (Epineau-les-Voves) chez M. BERTHON

Emma GUYAUX, médaille d'argent départementale, en apprentissage au Cirque équestre de Cocico (Charny) chez M. Charles GOMME

Justine HENRY, médaille d'argent départementale, en apprentissage à l'EARL de Salcy (Sens) chez Mme Mathilde LEMAITRE.

Deux apprenties remportent une médaille de bronze départementale :

Valentine BOURZEIX, en apprentissage à l'Ecurie de la Fontaine (Annéot) chez Mme Séverine SOURD

Justine SULIC, en apprentissage au Centre équestre de Chevillon chez M. VARGOZ.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Serait-ce déjà la réponse du berger à la bergère au sein de l’opposition auxerroise ? A peine portée sur les fonts baptismaux de la création, que l’entité associative « Demain Les Auxerrois » dont le chef de file n’est autre que le représentant de « Territoire de Progrès » l’élu Mathieu DEBAIN, suscite critiques et remous dans le microcosme politique local. D’un commun accord, les élus socialistes et radicaux de gauche d’Auxerre ont décidé de refonder leur groupe d’opposition en l’écartant le susnommé de manière définitive.

 

AUXERRE : La majorité municipale doit en rire de plaisir ce mardi matin en observant les divisions du camp adverse ! D’une part, le groupe d’opposition à sa politique se rétrécit comme peau de chagrin après le retrait de Rémi PROU-MELINE, survenu il y a quelques jours, de manière inattendue mais peut-être bien calculée avec le retour de Jean-Philippe BAILLY dans l’arène oratoire. D’autre part, cette éviction fragilise un peu plus l’opposition dans son rôle actuel et son hypothétique unité en vue de 2026.

Toujours est-il que le lancement de la structure associative « Demain Les Auxerrois » n’a pas fait que des heureux dans le landerneau. Force est de constater que les deux élus socialistes, Mani CAMBEFORT, premier fédéral de l’Yonne, et Sophie FEVRE, ainsi que la représentante du PRG (Parti Radical de Gauche), Isabelle POIFOL-FERREIRA, unis dans le projet « Pour Auxerre », n’ont pas tardé à réagir à la constitution de cette entité, concoctée par un Mathieu DEBAIN entreprenant, qui « prépare une liste de la majorité présidentielle aux prochaines élections municipales dans deux ans ».

 

 

Non à la politique présidentielle applicable à la Ville d’Auxerre !

 

Les trois élus, ayant acté ce fait, ont décidé de réagir par un communiqué de presse. Désireux, de clarifier en toute logique la position de leur groupe.

On peut lire en effet ceci : « Nous préférons, en responsabilité, ne pas être associés au camp présidentiel. La future liste que Mathieu DEBAIN entend constituer soutient l’action du Président de la République et les réformes délétères imposées à toutes les collectivités locales dont la Ville d’Auxerre : par exemple, la perte d’autonomie fiscale, le recul des dotations de l’Etat si on prend en compte l’inflation. L’ensemble des réformes a entamé la capacité d’action de la ville… ».

Qualifiant la démarche du représentant de « Territoire de Progrès » de « personnelle », le trio de signataires reconnaît que « cela a le mérite de la clarté dans la défense de Mathieu DEBAIN du Président de la République et de sa politique ».

Une politique qui ne trouve pas grâce aux yeux de Mani CAMBEFORT, Sophie FEVRE et Isabelle POIFOL-FERREIRA. D’un commun en accord, les trois élus de l’opposition auxerroise ont ainsi refondé leur groupe en excluant Mathieu DEBAIN. Un paradoxe, si ce n’est un premier camouflet pour celui qui précisément prône l’ouverture participative avec son concept « Demain Les Auxerrois » en vue de 2026. C’est sûr, il y a encore du chemin à parcourir pour retrouver l’entente cordiale !

 

Thierry BRET

 


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On la connaît, chez  les spécialistes de botanique, sous le vocable latiniste de « alpinia purpurata ». C’est une gracieuse plante exotique, fleurant bon l’Océanie et les terres au sud de l’Equateur, qui ornemente l’intérieur et l’extérieur des habitations. Dont le rhizome se déguste ! L’a retrouvée dans l’Yonne sous une forme alimentaire apporte déjà du soleil et de la chaleur dans les cœurs. Dans le hameau d’Egriselles, Marie-Sylvianne BLUKER vient d’inaugurer son restaurant à son patronyme. A la sauce réunionnaise et bourguignonne, un bien curieux mélange de saveurs qui devraient pourtant égayer les papilles des épicuriens…

 

VENOY : De l’exotisme au fond de l’assiette ? Pourquoi pas ! D’autant que les offres de restauration proposées dans la localité, chère à Christophe BONNEFOND, ne manquent pas. On y recense la bagatelle de quatre établissements où l’on peut se sustenter sur des registres culinaires divers et variés !

Bref, en accueillant la nouvelle entrepreneuse Marie-Sylvianne BLUKER, la commune se dote d’un nouvel atout dans son jeu gastronomique qui se positionnait déjà dans la diversité et une fourchette de prix (logique dans la restauration !) plutôt éclectique.

Autrefois occupée par une spécialiste de la cuisine marocaine, puis par une autre tenancière qui avait apporté une touche lusitanienne à la cuisine locale, voici la Réunion qui est désormais la bienvenue en ces murs : ceux de l’établissement, appartenant à la bourgade, baptisé dorénavant du patronyme très fleuri et exotique, « Le Gingembre Rouge ». Du nom de la plante exotique qui s’épanouit sous le chaud soleil des tropiques.

 

 

Saveurs locales et exotiques : l’embarras du choix !

 

On y retrouvera des spécialités à déguster sur place ou à emporter qui font frétiller les narines : samoussa, accras, beignets d’aubergine, gâteau au manioc, canard à la vanille, du poulpe, autant de recettes réunionnaises agrémentées de leurs tubercules et légumes locaux que l’on espère épicée mais pas trop pimentée tout de même, sinon gare aux brûlures d’estomac !

Mais, il y aura aussi le pendant de la gastronomie régionale avec son bœuf bourguignon accommodé à la façon de la restauratrice, des œufs en meurette ou l’obligatoire jambon à la Chablisienne !

Côté boissons, « les différentes variantes de rhum arrangées – une cinquantaine de produits préparés sur place - pourrait presque se boire dans des verres à eau » plaisantera à ce propos l’édile Christophe BONNEFOND, ravi de pareille opportunité d’enrichir sa commune d’une activité commerciale supplémentaire, située par la voie cyclable à 2,7 kilomètres d’Auxerre. Pratique et utile à savoir en cas de surabondance de consommation de rhum, non ?!

 

 

De l’amour et de la passion

 

Invitée à prendre la parole, Marie-Sylvianne BLUKER a dû écraser une larme, gagnée par l’émotion, avant de pouvoir s’exprimer. Trop de pression, lors de la séance inaugurale !

« J’ai mis beaucoup de mon cœur et beaucoup d’amour pour créer ce lieu, dira-t-elle en substance, j’espère aussi que ce qu’il y aura dans les verres et les assiettes vous plaira également ! ».

De l’amour, il y en a de manière débordante. Puisque c’est ce sentiment universel qui a permis à la restauratrice de s’installer dans l’Yonne et de vivre son rêve professionnel.

Que du bonheur, en définitive ! L’atmosphère est chaleureuse, colorée, propice au voyage dans la tête et l’esprit. Un univers joyeux où la cuisine est faite maison (elle insiste à maintes reprises, Marie-Sylvianne !) sur ce point qu’il ne reste plus qu’à découvrir, toute la semaine sauf le mardi et le mercredi. Dépaysement garanti !

 

Thierry BRET

 

 

 


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