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Une enquête flash circule depuis quelques jours via les outils numériques de communication auprès des membres de la Confédération des moyennes et petites entreprises (CPME) et de l’Union des métiers de l’industrie hôtelière (UMIH) de l’Yonne. Objectif de ce sondage spot : connaître les effets réels de la crise revendicatrice qui secoue le pays sur le quotidien des entreprises de notre territoire. Ces informations, une fois récoltées, serviront de base de réflexion aux représentants de ces deux syndicats patronaux. Ces derniers transmettront les fruits de leur enquête à leurs instances nationales mais aussi aux services de la préfecture…

AUXERRE : Du concret pour mieux cerner la véracité du contenu informatif du moment. C’est le souhait liminaire du président départemental de la CPME, Olivier TRICON. Pour se faire : le responsable du syndicat patronal des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, en accointance avec l’antenne icaunaise de l’UMIH, a décidé de concevoir sa propre enquête d’opinion. Pour savoir ce que vit sa base.

La consultation se diffuse depuis quelques jours à l’ensemble des adhérents des deux organismes. En toile de fond, il s’agit d’évaluer l’impact réel du mouvement des « Gilets jaunes » sur l’économie territoriale. Et d’en tirer de précieux enseignements.

Connaître les désagréments subis par les entrepreneurs de l’Yonne devenait indispensable au moment où le conflit se durcit parmi les différentes strates de la population. Ainsi, l’étude propose de recueillir les commentaires des entrepreneurs sur la baisse de fréquentation dans leurs entreprises, les conséquences sur leur chiffre d’affaires et les difficultés observées.

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Recenser et comprendre les problèmes des entrepreneurs…

Tâter le pouls de leurs adhérents afin de mieux comprendre leurs problématiques actuelles devenait un impératif pour les responsables de la CPME. Avec son corollaire sur l’économie.

« Il nous faut comptabiliser l’ensemble des méfaits et des pertes économiques qu’ont eu à subir nos adhérents pour avoir un aperçu réel de la situation, explique Olivier TRICON, ces informations constitueront un socle de données importantes que nous adresserons ensuite à nos instances nationales ».

Les éléments informatifs de cette enquête, élaborée à chaud, se destineront aussi aux services de la préfecture de l’Yonne. Histoire de traduire dans les faits, et commentaires à l’appui, ce que pensent réellement les chefs d’entreprises des TPE et PME de l’Yonne des effets sournois de la contestation populaire sur leur outil de travail.

 

 

 

 

 


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Associée à son partenaire WIZBII, plateforme professionnelle spécialiste de l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes, la Banque Verte reconduit le judicieux concept « Premier stage, premier job ». Une nouvelle déclinaison de ce dispositif se déroulera le 11 décembre à Dijon, sous la forme d’un job dating. Lors de sa première édition, l’année dernière, l’initiative a fait largement ses preuves. 83 % des entreprises participantes ont envisagé, voire entamé, depuis un processus de recrutement. Tandis que 71 % des jeunes gens sensibilisés par cette mise en relation directe avec les services RH des entreprises, devaient la trouver fort utile dans leur recherche d’emploi…

DIJON (Côte d’Or) : Initié à l’échelle de l’hexagone, le concept « Premier stage, premier job » se révèle être un réel succès pour ses organisateurs. Traduite par le déroulement de 80 opérations de « job dating », déclinées entre septembre 2017 et juin 2018, l’initiative portée conjointement par le Crédit agricole et WIZBII, a fait ses preuves.

L’animation a su séduire à la fois les jeunes en quête d’un précieux sésame leur permettant d’intégrer la vie active mais aussi les entreprises. Par le biais de leurs responsables des ressources humaines qui n’ont jamais boudé leur plaisir d’assister à ce type de rencontres.

A chaque rendez-vous, ce sont entre 60 et 80 candidats qui se réunissent dans un lieu convivial autour d’un apéritif dînatoire pour échanger avec les dirigeants et cadres d’entreprises. Des moments privilégiés qui permettent aux jeunes d’obtenir des contacts directs avec les recruteurs de la région.

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Briser le cadre traditionnel d’un entretien classique

Ce travail de proximité et de réseau comporte de sérieux avantages pour les interlocuteurs des deux parties. Les codes ordinaires des entretiens professionnels volent en éclat. Réunis dans des lieux insolites (musées, bars, opéras, châteaux, stades de football et même aquarium !), les participants se déconnectent avec volontarisme d’un protocole cérémonial superfétatoire pour présenter leurs arguments en toute convivialité. Le bilan est plutôt surprenant : cela fonctionne parfaitement bien !

La saison dernière, à l’échelon national, 102 manifestations ont ainsi été proposées. Elles ont permis l’accueil de plus de 6 600 candidats, préalablement sélectionnés, et 825 entreprises. Le nombre de postes à pouvoir s’élevait, quant à lui, à 1 800 offres.

Alors que 34 caisses régionales du Crédit agricole ont rejoint l’initiative, celle de Champagne Bourgogne a opté dès 2017 son choix d’être un acteur essentiel de ce concept dynamique.

Trois opérations de job dating ponctuèrent le calendrier 2017/2018, à Auxerre, Dijon et Troyes. 170 candidats y prenaient part. Ils ont eu l’opportunité de pouvoir rencontrer 25 entreprises de la région.

Le 11 décembre, la capitale de Bourgogne Franche-Comté accueillera le premier des rendez-vous proposés cette saison. Une dizaine d’entreprises ont déjà confirmées leur présence. Parmi celles-ci, Super U ou le Crédit agricole. Elles y dévoileront leur stratégie en matière de recrutement, recherchant de futurs collaborateurs.

Des postes de développeurs informatiques, responsables HSE, responsables achats, responsables communication et marketing, attachés commerciaux, mais aussi de commerciaux de terrain, conseillers commerciaux, managers et employés commerciaux ou hôtes de caisse seront à pourvoir.

Les candidats doivent obligatoirement s’enregistrer sur le lien suivant (https://bit.ly/2Pm8x25) pour y prendre part. Il est possible de contacter la plateforme WIZBII (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.) ou le lien téléphonique, 06.69.67.10.87.

 


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Paraphée ce jeudi 29 novembre dans l’hémicycle de la Région, la convention de partenariat engageant l’exécutif régional et le partenaire historique en matière d’énergie porte sur trois axes prioritaires : la transition énergétique, le développement économique et l’emploi ainsi que l’innovation. Via l’apport de solutions intelligentes en vue d’améliorer le bien-vivre dans les territoires. Cela représente les domaines spécifiques de ce nouveau contrat moral. A terme, la Bourgogne Franche-Comté deviendra une référence nationale sur les questions de transition énergétique, notamment dans les territoires ruraux…

DIJON (Côte d’Or) : Effervescence à l’Hôtel de la Région en ce jeudi 29 novembre. Devant une assistance bien garnie d’élus et de représentants des milieux économiques et institutionnels, la présidente de la Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, apposait sa signature sur les documents officiels, une liasse de papiers importants, placés devant elle. A ses côtés, et respectant un rituel identique, le président-directeur-général du groupe EDF, Jean-Bernard LEVY, procédait avec la même dextérité à ce geste capital.

Entérinée peu avant midi, la ratification de cette convention de partenariat scelle dorénavant les deux structures vers des objectifs similaires. Construire parmi plusieurs domaines, nés de la nécessaire transition énergétique, la Bourgogne Franche-Comté de demain.

Devenir une région bas carbone à terme…

On le sait l’un des vœux de la présidente de la Région est de placer son territoire de prédilection au firmament de cette transition écologique et énergétique, indispensable désormais à la sauvegarde de la planète. Pour y arriver, la responsable de l’exécutif régional a tablé sur trois axes stratégiques majeurs, clés de voûte de son mandat.

Sa politique volontariste s’articule autour de ce précepte qui l’anime : propulser la Bourgogne Franche-Comté parmi les références nationales de ces territoires à énergie positive et zéro déchet à horizon 2050.

Il apparaissait logique qu’elle s’allie avec l’incontournable leader de la distribution et production d’énergie de France, à savoir le groupe EDF. C’est donc son président national en personne, Jean-Bernard LEVY, qui est venu depuis Paris, conforter ce choix politique et environnemental.

Un message fort, en faveur de l’énergie renouvelable, source d’emploi et d’innovation technologique, adressé à tous les détracteurs de cette cause !

Dans un premier temps, l’objectif de ce partenariat est d’optimiser la transition énergétique dans les zones rurales. Plusieurs axes de travail ont ainsi été retenus : le développement des énergies renouvelables, notamment le solaire ; la mise en place du SPEE (service public de l’efficacité énergétique) et son application concrète dans les bâtiments ; l’essor de la mobilité énergétique et l’amélioration de l’acceptabilité des projets d’énergie renouvelables électriques au sein des territoires.

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Une succession de pistes exploitables dans les prochains mois…

En second lieu, le volet emploi figure parmi les vecteurs essentiels de ce plan de développement à plusieurs années. Ainsi, l’emploi local sera développé pour répondre aux attentes de la filière énergie. Le renforcement de l’attractivité de la filière industrielle deviendra une évidence.

L’insertion et la conversion professionnelles, à l’instar de la promotion des compétences de la filière énergie gagneront en efficience. Des exemples de projets ont déjà été cités comme la création de l’école de production de Chalon sur Saône à l’initiative d’EDF, avec le soutien de la Région, ou la formation des jeunes pousses aux métiers de la maintenance des parcs solaires, dispensée au lycée de Montbard en Côte d’Or.

Reste le troisième point de cet accord bipartite. Il concerne la promotion et le déploiement de solutions énergétiques intelligentes et alternatives en particulier la structuration d’une filière hydrogène régionale.

Jean-Bernard LEVY a, par ailleurs, confirmé que le groupe EDF apporterait sa contribution et son expertise à l’expérimentation et au déploiement de ces solutions. On pense notamment à l’axe de la mobilité écologique et son corollaire avec la déclinaison ferroviaire via les TER.

Enfin, la mise en exergue de démarches novatrices articulant la gestion de l’eau, la biodiversité et le tourisme durable représente une autre piste que les deux partenaires désirent privilégier à l’avenir.

 

 


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Les élus, sont-ils les meilleurs ? « Il faut booster le revenu des classes moyennes » disait récemment un député-économiste, membre de la commission des finances de l’Assemblée Nationale. On a vu la semaine dernière que ce sont les ménages aux revenus les plus modestes qui avaient le plus été touchés par la réduction du pouvoir d’achat au cours de ces dernières années. Mais, il ne semblait pas nécessaire à notre député-économiste de « rebooster » leurs revenus…

CHRONIQUE : L’Institut des Politiques Publiques (IPP) confirme le caractère pénal des taxes pour les foyers aux faibles revenus. La part des ressources consacrées à la hausse carbone est trois fois supérieure pour les ménages modestes que pour les ménages aisés.

La messe est dite. Ah, pardon, restons laïques : « le gilet jaune est mis !».

Christine LAGARDE, directrice générale du Fonds Monétaire International (F.M.I.) a lancé un cri d’alerte : « Les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe » !

C’est bien le cas lorsqu’on entend notre député-économiste, dire qu’il faut « rebooster » le pouvoir d’achat des classes moyennes. A Versailles non plus, en 1789, on n’avait pas conscience de ce qui se passait.

En octobre 1789, c’était des femmes du peuple et non pas de la classe moyenne qui venaient demander du pain au roi et à la reine. Maintenant, ce sont leurs descendants qui disent qu’ils n’ont plus d’argent pour acheter du carburant de façon à pouvoir circuler et aller au travail librement. Car, ils n’ont pas d’autre moyen de transport. Au lieu de marcher sur Versailles, ils enfilent des gilets jaunes. Que s’est-il passé après 1789 ? Nous le savons ! Que se passera-t-il après 2018 ? Nous ne le savons pas encore.

Notre député-économiste, membre de la commission des finances de l’Assemblée nationale, fait partie de l’élite visée par Christine LAGARDE lorsqu’elle dit que les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe.

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Les élites, mais qu’est-ce que c’est ?

L’élite …là, arrêtons-nous un instant. Qu’est-ce que l’élite ? Par une évolution classique du sens des mots, le mot élite est pris aujourd’hui comme signifiant « les meilleurs ». Que non ! Revenons à l’étymologie. Ce mot vient du latin, « elegere » qui signifie élire. Nous sommes en plein dans le mille : l’élite, au sens originel du mot : ce sont les élus.

Posons-nous alors cette question : sommes-nous sûrs que les élus sont les meilleurs ? Demandons-le aux Gilets jaunes en premier lieu et aux Français en deuxième lieu. La réponse, nous la connaissons. La classe politique ne jouit pas d’une grande considération de la part des Français.

Voyez la dernière élection dans l’Essonne où il s’agissait de remplacer à l’Assemblée nationale un ex-premier ministre, Manuel VALLS, qui est allé chercher au soleil, au-delà des Pyrénées, de nouveaux électeurs. Son ancien adjoint se présentait. Le taux d’abstention s’est élevé à 82 %. Il a recueilli 54 % des voix, c’est-à-dire qu’il a été élu par 9,7 % des électeurs.

On ne peut pas mieux démontrer la désaffection des électeurs, c’est-à-dire des Français pour l’élection d’un député. Ajoutons qu’il a su opérer un virage salvateur : il est passé du Parti socialiste à La République en Marche.

« Paris vaut bien une messe », disait Henry IV. Un siège de député vaut bien une petite désertion. Et, ainsi, notre nouveau député LREM fera bien parti de l’élite !

Pour terminer, je m’adresse directement aux lectrices et aux lecteurs de « Presse Evasion » : « Pensez-vous, chères lectrices, chers lecteurs, que les élus soient les meilleurs ? ». Faites-nous l’honneur de vous manifester et d’envoyer un e-mail à « Presse-évasion » afin de connaître votre réponse.

Emmanuel RACINE


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Proposée par l’Association française des dépendants en rétablissement (AFDER) en partenariat avec le Réseau de santé mentale de l’Yonne (RSMY) et l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI), cette intervention grand public aura pour socle informatif la découverte des multiples dommages occasionnés par le cannabis sur les personnes qui en sont dépendantes. Cette conférence verra la présence sur scène de Sandra MARCELLIN, psychologue au RSMY et Julien CHARTIER, président national de l’AFDER, réunis à l’amphithéâtre de l’IFSI à Auxerre ce mardi 04 décembre à 20 heures pour une séance explicative… 

AUXERRE : La consommation de cannabis connaîtra-elle un jour la voie de la démocratisation dans notre pays ? A l’instar de plusieurs états européens, dont les Pays-Bas et l’Espagne qui ont déjà statué en ce sens, d’aucun pense en France qu’il est grand temps de vulgariser l’usage de ce produit illicite, bien au-delà de son emploi à des seules fins thérapeutiques.

Pourtant, c’est un tout autre signal d’alarme qui sera tiré mardi soir dans le vaste amphithéâtre de l’IFSI, l’Institut de formation en soins infirmiers du centre hospitalier d’Auxerre.

Ce lieu d’enseignement pédagogique pour les futures professionnelles de santé accueillera une conférence publique passionnante, consacrée à cette substance. Ce sera aussi une excellente opportunité de mieux en appréhender les effets insidieux sur le comportement de ses consommateurs.

D’ailleurs, l’envie grandissante de socialisation de cette résine néfaste au psychisme humain inquiète de plus en plus les spécialistes de la question. Par exemple : le directeur de la résidence Mémoires de Bourgogne, un EHPAD qui accueille des personnes âgées sur la commune de Perrigny, Philippe WATTECAMPS.

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Sensibiliser l’opinion publique avec le concours des réseaux influents

Sensibilisé à ce problème, il s’est mobilisé en sa qualité de professionnel du milieu sanitaire et social pour faire partager ses craintes sur la banalisation du cannabis en France.

Au même titre que l’alcool et le tabac, le cannabis est considéré comme une plaie béante dans la société contemporaine. Le responsable de l’établissement de gérontologie n’a pas hésité à prendre l’initiative de porter ce projet de causerie officielle.

En l’espace de quelques semaines, et avec la complicité de partenaires sérieux du sérail sanitaire dont l’Agence régionale de Santé (ARS), le Conseil départemental de l’Yonne et la Caisse primaire de l’Assurance maladie, il a monté de toute pièce ce projet qui a pris échos auprès du président national de l’AFDER, Julien CHARTIER.

Ce dernier effectuera le déplacement depuis l’Ile de France mardi soir pour expliquer ce qu’est la structure associative qu’il préside en présentant son programme d’aides.

Le choix de l’IFSI s’imposait en parfaite logique. Le centre de formation prépare les futures infirmières.

Premiers temps fort de l’intervention, les commentaires de la psychologue Sandra MARCELLIN, du RSMY, rappelleront les interactions positives et négatives de la substance dans ses cadres préventifs et curatifs. Les effets délétères de la résine sur ces utilisateurs y seront expliqués.

Puis, Julien CHARTIER séquencera son propos en deux items : la présentation et le rôle de l’AFDER avant d’aborder dans le détail les programmes d’aides existants pour arriver à décrocher totalement de ce fléau. Il devrait évoquer également les protocoles mis en place par deux cliniques en France qui ont adopté des techniques particulières importées des Etats-Unis.

Ouvert à tout public, l’entrée de cette conférence est gratuite. La capacité d’accueil de l’amphithéâtre étant de deux cents places, il est recommandé de réserver en se manifestant auprès de la référence suivante : 06.61.66.40.33.

 


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