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L’idéal serait de posséder à brève échéance une quarantaine d’automobiles. De tout type et de toutes marques. Ne faisant pas la fine bouche, il n’y a pas réellement de préférence aux yeux des administrateurs de la structure associative. Une entité qui agit dans l’intérêt des demandeurs d’emploi et des personnes en réinsertion dans la vie active. Alors quoi de mieux qu’un appel aux dons et à la solidarité citoyenne avant la période de Noël pour voir ses vœux être exaucés ?

VILLENEUVE-SUR-YONNE : On ne présente plus l’association MOBIL ECO qui œuvre depuis sa création au service des demandeurs d’emploi et des personnes soucieuses de se réinsérer dans le monde du travail.

Sur une large frange de notre territoire, la structure a acquis ses lettres de noblesse depuis ses origines pour remettre au goût du jour en les accompagnants les velléités professionnelles de celles et ceux de ces personnes qui ne veulent plus rester inactives.  

L’un de ces passages obligés se nomme la mobilité. Avec la réappropriation de la conduite automobile qui n’est pas une simple gageure dans un pays tel que la France. D’autant que la réflexion actuelle de son président, René CORNET, passe désormais au plan sectoriel sur une vraie dimension à l’échelle du département. Jusque-là, MOBIL ECO et ses équipes n’interviennent que sur la zone septentrionale de l’Yonne, et sa partie centrale. Mais, ceci est un tout autre débat !

Revenons à cette mobilité dans le cadre de l’emploi qui est devenue le cœur de cible des préoccupations de l’organisme mobilisateur de compétences. Aussi, ce dernier a un besoin exponentiel de véhicules de seconde main pour assurer les rouages de sa fonctionnalité. Comment ? En faisant appel aux dons et à la générosité de chacun !

 

 

 

La vente de véhicules d’occasion instaurée avec succès depuis 2017…

 

L’équation se veut simpliste. MOBIL ECO exprime le désir de posséder une quarantaine de véhicules servant à la fois à sa cellule locative mais aussi à la vente. En 2017, l’association procédait ainsi à la première cession tarifée d’un modèle d’occasion à une jeune femme qui avait été retenue pour la qualité de son projet professionnel.

Une opportunité vécue avec réel bonheur à l’époque qui depuis a fait son bonhomme de chemin auprès des responsables de la structure dont la directrice Patricia FLAVIEN. On l’oublie un peu trop souvent mais la mobilité géographique représente l’un des freins à l’emploi considérable sur notre territoire qui se paupérise davantage chaque jour.

 

 

Cette problématique polymorphe (les impacts concernant l’absence du permis de conduire pour une personne précaire sont très nombreux) représente le cheval de bataille de MOBIL ECO qui entend apporter des solutions concrètes vaille que vaille.

Location de véhicule, cours de conduite dispensés par ses soins, vente d’automobiles ont fait de cet organisme solidaire l’un des acteurs clés dans le paysage de l’Yonne sur ce segment.

Toutefois, pour que la mécanique ne se grippe pas et ne contraigne pas la cellule salvatrice à revoir sa copie, il faut à cette dernière sa dotation constante de véhicules.

 

Collectivités et entreprises peuvent également donner…

 

Des dons qui peuvent émaner de particuliers en délicatesse avec un modèle déjà ancien qui n’aurait plus de cotation à l’argus ! Voire les collectivités et les entreprises (la plupart des grosses sociétés disposent d’un parc auto bien fourni) qui peuvent également se montrer généreuses envers cette initiative faisant preuve de solidarité dans un esprit d’éco-citoyenneté. Eco équivaut à ce titre au mot, économie, il va de soi.

Outre le transport à la demande, la diversification des activités de MOBIL ECO lui est favorable aujourd’hui. Acteur essentiel de la mobilité solidaire auprès des publics fragilisés vivant à la ville comme à la campagne, l’organisme s’intéresse aussi à une frange de la population le plus souvent oubliée de la réalité économique : les personnes atteintes de handicap et les seniors.  

C’est pour cela que l’association a cru bon de s’ancrer dans le maillage territorial en proposant des suggestions fortes comme l’auto-école solidaire ou la vente de véhicules à prix modérés (avec des tarifs qui n’excèdent jamais le seuil de trois mille euros).

Cerise sur le gâteau : la carte grise grâce à une autorisation préfectorale, le plein de carburant, le kit de sécurité et même un bidon d’huile, histoire de remettre le niveau du lubrifiant liquide  sur sa bonne jauge, sont englobés dans ce prix.

En savoir plus :

Contact teléphonique au 03.86.83.03.58.

 

Thierry BRET

 

 


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Une tâche noire figure sur la cartographie sanitaire de notre pays : elle identifie l’Yonne. L’un des plus mauvais départements de France eu égard au plus fort taux d’incidence des cas confirmés. Communiqués par l’Agence régionale de Santé (ARS), les derniers chiffres ne plaident pas pour un optimisme béat. Le seuil d’alerte du retour de la contamination s’élève à 218 contre 98 au niveau de l’Hexagone. Pas de quoi être rassuré d’ici le 15 décembre, date de la seconde étape de sortie de crise…

AUXERRE : En verra-t-on un jour le bout de cette satanée crise sanitaire ? Si le coronavirus semble aujourd’hui un peu moins circulé dans notre pays, les indicateurs de référence demeurent à ce stade encore très élevés. Chaque jour, ce sont plus de dix mille cas de personnes contaminées qui sont ainsi confirmés par nos services de santé.

Dans son rapport épidémiologique daté du 03 décembre, Santé Publique France a pointé du doigt les zones géographiques où le coronavirus agit avec toujours autant de virulence : Auvergne-Rhône-Alpes (et en particulier la Haute-Savoie), Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Bourgogne Franche-Comté. Un signe négatif envoyé à celles et ceux qui luttent avec abnégation contre ce fléau malgré la mise en œuvre de mesures visant à protéger et à rassurer la population.

Au cours de la première vague survenue au printemps dernier, les départements de la Franche-Comté (dont le Doubs et le Jura) et ceux de la Bourgogne du Sud, la Côte d’Or et la Saône-et-Loire, n’avaient pas été épargnés par les effets dévastateurs de l’épidémie. Un lourd tribut aux accents mortifères tant dans les hôpitaux que les EHPAD qui laissera des traces indélébiles.

Or, si les indicateurs actuels placent toujours notre territoire parmi les régions ayant à subir les pires conséquences de la maladie, que dire du département de l’Yonne. Quelque peu préservé au printemps, il occupe désormais une peu flatteuse position de « département ayant le plus mauvais taux d’incidence pour cent mille habitants du pays ». Un taux au résultat médiocre auquel il faut ajouter, dans la logique des choses, le taux de positivité des tests qui s’établit à 19 % contre 11 % au niveau national.

Pour être tout à fait complet au niveau des chiffres, précisons que, sur cette même période, ont été enregistrées dans le département 724 personnes testées positives, 209 personnes hospitalisées, 17 personnes admises au service de réanimation et un décès qui est à déplorer.

 

Des causes multifactorielles surveillées par la préfecture et l’ARS…

 

Une interrogation se pose nécessairement à nos esprits : pourquoi le département de l’Yonne présente-t-il à l’heure actuelle de si mauvais résultats au niveau de ces indicateurs ? Alors que les services de la préfecture ont mis tout en œuvre pour faciliter l’adoption des gestes barrières par la population.

Sans omettre les contrôles réguliers établis par les forces de l’ordre qui incitent à les faire appliquer.

Sans doute, le relâchement de nos concitoyens exaspérés par le retour du deuxième confinement apparaît comme l’une des explications les plus évidentes. Pour autant, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST affirme de son côté que « les causes de cet état de fait sont multifactorielles… ».

 

 

 

En effet, le trop long délai observé par l’ARS et la préfecture pour obtenir les résultats des tests de contamination sous un delta temporel acceptable est l’une des autres raisons de cette dichotomie avec la réalité nationale. L’abaissement de ces délais s’inscrit donc parmi les priorités administratives du moment pour le représentant de l’Etat. D’autant que l’Yonne teste beaucoup de personnes au quotidien, soit un équivalent de 800 individus.

Il semblerait sur ce point que les efforts demandés à la dizaine de laboratoires qui effectuent ces prélèvements soient en phase de concrétisation. La plupart de ces établissements se voient dans l’obligation d’adresser les échantillons pour analyse dans des centres spécifiques et équipés, implantés dans le Loiret, la Côte d’Or, le Jura ou encore le Rhône.

 

L’amélioration des délais pour les résultats des tests : une nécessité…

 

Si la semaine dernière, un délai de 1,7 jour était nécessaire pour récupérer les précieux résultats de ces examens ; celui-ci s’est amélioré de manière encore peu significative pour s’établir à un délai de 1,4 jour.

Rappelons, toutefois, que certaines personnes ayant procédé au test nasal reçoivent leurs analyses médicales au terme de trois à quatre jours d’attente.

Un délai, évidemment jugé bien trop long pour l’exécutif préfectoral et l’ARS qui ne permet pas de casser véritablement la chaîne de contagion imputable au virus.

Un virus qui circule de manière très importante dans certains secteurs du territoire à l’instar de l’Avallonnais, la Puisaye-Forterre, le Chablisien (surtout dans les EHPAD), le Centre Yonne, l’Aillantais et l’Auxerrois.

Seule note positive à ce tableau qui n’a rien d’idyllique avant la date butoir du 15 décembre, terme de la première étape de ce confinement, l’Education nationale ne déplore plus la fermeture de la moindre classe parmi ses établissements.

Preuve supplémentaire qui rappelle que la contagiosité du COVID-19 impacte avant tout les adultes plutôt que les jeunes têtes blondes…

Thierry BRET

 


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En début de semaine, les présidents des Chambres de Métiers et de l'Artisanat étaient réunis en assemblée générale par visioconférence. A cette occasion, il a été fait le point sur le travail mené par le réseau de ces organismes consulaires au service des entreprises artisanales de notre pays, spécialement pendant la crise de la COVID. Explications…

TRIBUNE : Nous n'oublions pas les conséquences sanitaires de la maladie. Notre réseau a d'ailleurs été touché en son sein. Mais, les conséquences économiques peuvent également être d'une grande violence pour de nombreux dirigeants d'entreprise.

Une évidence s'impose : les Chambres de Métiers et de l'Artisanat sont au rendez-vous. Lors des deux confinements, nos équipes ont pris plus de 2,3 millions de contacts avec les artisans.

Nous les avons informés, nous les avons guidés, nous les avons aidés à s'adapter, nous les avons même soutenus moralement quand ils avaient besoin d'une écoute attentive et bienveillante.

Nos deux CFA se mobilisent également pour soutenir les nombreux artisans dont les établissements ont enfin rouvert leurs portes. Les vendredis du mois de décembre, dans les secteurs qui en ont le plus besoin, les emplois du temps ont été aménagés afin que les apprentis soient en entreprise pour prêter main forte en cette période d'intense activité.

 

 

Cela a nécessité, de la part de nos équipes, une réorganisation complexe des emplois du temps afin de répondre en urgence aux besoins des professionnels et pour s'assurer que les apprentis mobilisés ne perdront aucun cours et bénéficieront de l'intégralité de leur programme de formation.

S'il fallait une preuve de la nécessité vitale de disposer d'un maillage de Chambres de Métiers et de l'Artisanat sur l'ensemble des territoires, cette crise en fournit l'absolue démonstration.

Sans l'action concertée entre nos élus, nos équipes et les représentants des services de l'Etat, de la Région et des collectivités locales, les conséquences économiques auraient été décuplées.

Malgré cette mobilisation, un énorme travail nous attend encore pour aider les entreprises à se redresser, à reconquérir des clients et à adapter leur activité. Le numérique est une part de la solution. Mais, nous devrons aller plus loin pour assurer un ancrage durable des entreprises artisanales sur chacun de nos territoires.

 

Emmanuel POYEN

Président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat

De la Région Bourgogne Franche-Comté

 

 

Régis PENNECOT

Président de la Délégation Côte d’Or

 

Manuela MORGADINHO

Présidente de la Délégation Doubs

Michel CHAMOUTON

Président de la Délégation Jura

Sébastien THOMAS

Président de la Délégation Nièvre

 

Frédéric CAVAGNAC

Président de la Délégation Haute-Saône

Jean-Philippe BOYER

Président de la Délégation Saône et Loire

 

Jean-François LEMAITRE

Président de la Délégation Yonne

Christian ORLANDI

Président de la Délégation Territoire de Belfort

 

 


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Plus de quatre mille agents de la fonction publique territoriale bénéficient des services administratifs du Centre de Gestion de l’Yonne. L’organisme vient de procéder ces jours-ci à l’élection de sa nouvelle gouvernance. En plaçant, confortablement dans le fauteuil de président, une figure reconnue du sérail icaunais : Jean-Pierre GERARDIN…

AUXERRE : Depuis plusieurs années, les missions du Centre de Gestion de la fonction publique territoriale se sont considérablement développées. De par la volonté du législateur, de prime abord.

Mais aussi pour répondre aux évolutions constantes des réglementations relatives aux agents publics. Aujourd’hui, ils sont plus de quatre mille fonctionnaires à bénéficier du concours de cet établissement public administratif.

Le CDG 89 fait office d’interlocuteur privilégié des collectivités et établissements publics pour la gestion de leur personnel.

 

 

C’est donc à Jean-Pierre GERARDIN qu’incombera désormais la fonction de président de cet organisme. Elu sans l’ombre d’une anicroche, il succède ainsi à Jean-Claude VERGNOLLES. En ayant reçu l’adoubement des administrateurs qui, unanimes, l’ont plébiscité le 27 novembre dernier à la fonction suprême.

Le nouveau dirigeant de la structure sera assisté de quatre vice-présidents, élus lors de la même séance : Simone MANGEON, Philippe MAILLET et Magloire SIOPATHIS.

Lors de sa première prise de parole où il aura remercié les administrateurs pour leur confiance, Jean-Pierre GERARDIN a également évoqué le rôle incontournable du centre de gestion dans le domaine des ressources humaines.

 


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La PME aux vingt collaborateurs constitue l’un des éléments productifs qui s’intègre à la perfection dans l’écosystème ULTERIA. L’un des concepts entrepreneuriaux les plus novateurs du moment. La structure commercialise depuis la mi-novembre un contenant sans plastique qui s’adapte idéalement aux besoins des rayons du vrac. Une prouesse technique en cohérence avec les valeurs environnementales de cette société...

BAZARNES : Prétendre que les PME de l’Hexagone manquent parfois d’ambitions et d’originalité en matière d’innovation serait mal connaître le principe fonctionnel de l’écosystème ULTERIA. Un concept devenu une référence dans le landerneau, grâce aux diverses composantes qui y sont accueillies !

Le dernier exemple en date provient de l’une de ces entités, apparue en 2014 qui s’est depuis forgée une solide réputation sur une niche bien spécifique, celle du déploiement de rayons et d’épiceries en vrac.

Son nom claque comme le titre prometteur d’une série noire américaine, « BULK & CO » ! Mais, là, s’arrête la comparaison avec la culture d’outre-Atlantique.

Employant une vingtaine de salariés, cette PME qui se positionne aujourd’hui comme un partenaire incontournable dans le vrac alimentaire, obtient enfin les lauriers de la gloire, grâce à cette créativité exacerbée.

Celle qui lui aura permis de concevoir et de faire fabriquer l’un des premiers silos « zéro plastique » destinés à ce marché.

Une innovation en parfaite osmose avec la déontologie qui lui est propre : promouvoir un commerce durable et une consommation responsable en réduisant les emballages.

 

 

 

 

Une innovation made in France qui garantit l’hygiène du vrac…

 

« SILOVB », car tel est son patronyme commercial, a été imaginé sur le site de l’Yonne. Sa fabrication, en revanche, a nécessité le précieux recours d’une entreprise bretonne à Redon, la manufacture « BIO CREATION BOIS ».

De quoi s’agit-il précisément ? Conçue à base de bois et de verre, cette géniale trouvaille permet de distribuer des aliments en vrac grâce à la gravité. Une membrane protège les produits comestibles qui sont uniquement en contact avec le verre et la silicone de cet opercule.

Par ce biais, la conservation des aliments est assurée dans le respect environnemental à l’aide de matériaux nobles et naturels.

En outre, l’aspect valorisation du produit est plutôt appréciable dans les rayonnages des commerces.

Le bois utilisé à sa conception n’est autre que du pin. Il est issu de forêts françaises gérées durablement selon les nomenclatures inhérentes au label certificateur PEFC. L’emploi de ces différents matériaux facilite le recyclage de ce silo en fin de vie.

Disponible en trois variantes (selon la contenance de 4, 6 ou 10 litres), le récipient peut accueillir et stocker un grand nombre de produits alimentaires dont les pâtes, le riz, les lentilles, le muesli, des graines…

Du fait de sa conception en verre, l’entretien du cylindre est grandement facilité tandis que la membrane de sortie se lave en machine.

Parmi les autres spécialités déclinées par les ingénieux acteurs de « BULK & CO », citons la pose du mobilier vrac en passant par la fabrication de meubles et l’approvisionnement en aliments.

Thierry BRET

 


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