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Ca y est : cela bouge enfin du côté d’Aux R Parc !  Les premiers coups de pelle mécanique modifient depuis quelques semaines la physionomie de cet immense espace paysager d’environ cinquante hectares devant accueillir les futurs emplois de l’agglomération auxerroise. On connaît déjà le nom de deux entreprises qui érigent leurs infrastructures sur le site. Le dossier sera suivi désormais par Félix BEPPO, nouveau développeur de l’attractivité économique au sein de l’Agglo.

APPOIGNY : C’était le 12 juin 2019 dans le cadre d’une cérémonie protocolaire suivie par la fine fleur de la sphère institutionnelle et économique départementale.

Deux entreprises apposaient ce jour-là sous un énorme chapiteau par l’intermédiaire de leurs dirigeants leurs signatures sur un document officiel les liant au projet Aux R Parc, la nouvelle zone d’activité du nord de l’Auxerrois. Quinze ans après les tractations originelles de ce dossier et une multitude de fouilles archéologiques qui seront rondement menées, Aux R Parc prend enfin corps et âme.

Sous la forme de différents chantiers de terrassement et de montage des futurs bâtiments qui accueilleront d’ici quelques semaines ses deux premiers occupants : la PME YCARE, spécialiste de l’exploitation de carrières, de mines et de travaux publics, et le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité, ENEDIS.

Disposant de trente-trois lots, Aux R Parc est un concept d’attractivité territoriale porté par la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, en étroit partenariat avec l’agence Yonne Développement.

Initiés en juin 2018, les importants travaux d’aménagement de ce site auront nécessité un investissement de près de vingt millions d’euros au total. L’Etat, la Région et le Département y apportèrent leurs contributions à l’aide d’une enveloppe de deux millions d’euros correspondant à des subventions.

 

 

Rappelons que ce projet doit accueillir des entreprises de différentes tailles et à forte valeur ajoutée. Si possible, en les délocalisant de l’Ile-de-France.

Si l’on connaît désormais l’identité des deux premières structures professionnelles qui s’y implanteront cette année, plusieurs contacts ont d’ores et déjà initiés par les services de l’Agglo et de l’agence Yonne Développement, dont la mission première est le développement économique de notre territoire.  

Un laboratoire de produits cosmétiques a été approché par les services ad hoc qui travaillent à l’essor du site.

En poste depuis le 01er février, Félix BEPPO, directeur du développement de l’économie, l’attractivité et la transition écologique de l’Agglo de l’Auxerrois, intègrera parmi ses missions principales le suivi très attentif de ce dossier porteur de dynamisme et d’emplois.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Le directeur départemental des services de l’Education nationale Vincent AUBERT attend beaucoup de la mise en place opérationnelle de ces fameux tests indolores sur notre territoire. A l’instar de la préfecture de l’Yonne et de l’Agence régionale de Santé qui en dévoilaient les arcanes pratico-pratiques lors d’une conférence de presse…

AUXERRE : Sont-ils plus faciles à appréhender ces fameux tests salivaires au plan psychologique ? Assurément, oui ! De l’avis de toutes celles et ceux qui éprouvent encore des difficultés à devoir subir la présence de ces écouvillons à la longueur interminable dans le fond de leur appendice nasal !

Un désagrément que ne connaîtront donc pas les jeunes scolaires des classes maternelles et élémentaires de l’Hexagone.

Histoire de pure logique, en somme pour ces chères têtes blondes qui n’étaient pas sur le papier les destinataires prioritaires des tests antigéniques habituels, ressemblant davantage à un supplice exotique plutôt qu’à une solution bienveillante à la santé.

Dans l’Yonne, deux établissements sont concernés dans un premier temps par le lancement de ces tests à Auxerre et à Avallon. Ces vérifications permettront d’augmenter la capacité de contrôle de cette frange de la population moins pénalisée par les effets néfastes de la COVID-19.

A l’annonce du démarrage imminent de cette nouvelle campagne de dépistage dans le milieu scolaire, le directeur départemental des services de l’Education nationale Vincent AUBERT s’est dit très satisfait de la mise en route de ce dispositif.

Les quatre cents premiers volontaires ont d’ores et déjà identifié pour tester cette méthodologie plus accessible au plan physiologique et d’une facilité désarmante qui requiert toutefois l’impérieuse autorisation des parents.

Quant aux résultats de ces prélèvements de salive, traités par un laboratoire, ils seront révélés sous un delta temporel extrêmement rapide en vingt-quatre heures.

Second satisfecit pour Vincent AUBERT : il n’y a pas pour l’heure de dégradation à observer au niveau sanitaire dans les établissements scolaires de notre département. Une bonne nouvelle qui vient donc s’additionner à la précédente.

 

Thierry BRET

 


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C’est au cours de l’assemblée générale de l’organisme qui rassemble les Maisons de Bourgogne et du Beaujolais, soit près de soixante-dix entreprises, ce vendredi 26 février que le PDG de la Maison Albert BICHOT a hérité de nouvelles responsabilités. Investi dans le milieu de la viticulture depuis moult années, ce chef d’entreprise a été plébiscité par ses pairs…

BEAUNE (Côte d’Or) : Diplômé de l’Institut supérieur de Commerce, le nouveau président de l’Union des Maisons de Vins de Grande Bourgogne est un personnage connu et apprécié par ses pairs. Ceux-ci l’ont hissé à la présidence de cette vénérable institution régionale lors de son assemblée générale ce vendredi.

Membre du Comité permanent du Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne (BIVB), Albéric BICHOT, dirigeant de la maison viticole éponyme de Beaune, s’est investi également au sein du Conseil de bassin viticole Bourgogne-Beaujolais-Jura-Savoie.

Précisant en filigrane que « la solidité économique de la filière des vins de Bourgogne en ces temps de pandémie se confirmait », Albéric BICHOT a rappelé lors de sa prise de parole que « les grands chantiers de la filière viticole envisagés à l’avenir dans le cadre de son développement ne pouvaient être que la résultante d’un travail d’équipe de tous les instants… ». Voir l’article à venir qui sera consacré à ce thème.

L’Union des Maisons de Vins de Grande Bourgogne (UMVGB) réalise 60 % de la commercialisation des vins de Bourgogne.

L’entité est également membre de la Fédération des négociants éleveurs de Grande Bourgogne. Cette structure accueille une centaine de maisons de Bourgogne, Beaujolais, Jura, Savoie et Bugey. Elle y totalise un chiffre d’affaires qui excède le milliard d’euros (1,6 milliard précisément) et emploie environ cinq mille collaborateurs.

 

Thierry BRET

 


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La crise de la COVID-19 a débuté en France il y a presque un an. Des vies ont été profondément bouleversées. Les restaurants et les bars, notamment, ont été fermés pour préserver la santé d’autrui. Ces fermetures n’ont pas été sans conséquence. Et ce, pour les étudiants. Perte de jobs, perte de logement, décrochage scolaire : comment parviennent-ils encore à subvenir à leurs besoins ?

TRIBUNE: D’après l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques), 21,8 % des jeunes français âgés de 18 à 25 ans se sont inscrits au chômage au troisième trimestre 2020.

Au total, sur un an, le taux de chômage a progressé davantage pour les jeunes (+ 2,6 points) que pour les autres classes d’âge. Ces chiffres se lient avec la crise sanitaire actuelle. Le chômage chez les jeunes a donc un impact important et ce d’autant plus lorsqu’ils sont étudiants.

Ces derniers doivent alors jongler entre les cours des universités et leurs besoins physiologiques si nous suivons la pyramide du psychologue Abraham MASLOW. Avec la perte d’un job étudiant, les cinq besoins de cette pyramide sont remis en cause. Leur environnement devient rapidement anxiogène. 

Depuis le #étudiantsfantomes, beaucoup se sont mobilisés. Un groupe de travailleurs du numérique a décidé de créer un site Internet : Etudiantsfantomes.fr ainsi qu’une page sur les réseaux sociaux tel que Twitter et Instagram afin que les étudiants puissent témoigner anonymement ou non pour partager leurs sentiments.

Ils se confient par ailleurs : « Globalement, ce qui revient majoritairement, ce sont des incertitudes et de l'anxiété face à celles-ci. On est tous dans cette situation-là plus ou moins, mais pour les étudiants c'est encore plus lourd à supporter parce qu'il y a une pression concernant la réussite scolaire. Et ça s'ajoute à la précarité financière de certains et à l'absence de contacts humains qui sont vraiment primordiaux pour les jeunes de 20 ans aujourd'hui. »

« Sans job étudiant, je ne sais même pas si je pourrais payer le loyer du mois de mars sincèrement. » https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/ted/

Autre témoignage recueilli un peu plus loin :

« Je galère à payer mon loyer et toutes les factures qui vont avec. Je maigris car je ne mange quasiment rien et ça a grandement affecté les études l’année dernière. Je  devais trouver un travail pour réussir à payer mon loyer : je donnais des cours particuliers. Cela m’a permis d’arriver limite à la somme requise par mois avec les APL mais maintenant je n’ai plus rien ». https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/anonyme-25/

 

 

 

Une mobilisation nécessaire des milieux associatifs et syndicaux…

 

Les associations et les syndicats se mobilisent pour aider ces jeunes en détresse. Des distributions alimentaires sont organisées pour leur redonner un peu d’espoir.

Par ailleurs, quatorze syndicats appellent à une journée de mobilisation le 16 mars. Dans un communiqué, ils font le point sur la situation avant de revendiquer onze idées qui selon eux doivent être mises en place.

Ils déclarent : « De plus en plus d’étudiant·e·s sont obligé·e·s de se tourner vers des organismes de distribution alimentaire toujours plus surchargés ou renvoyé·e·s à une solidarité familiale ». Ils y ajoutent : « Les jeunes sont les premier·ère·s à subir les effets de la crise économique sur l’emploi. »

D’autres associations agissent pour aider les étudiants. Ô Cœur de la Rue distribue de la nourriture aux sans-abris.

Voyant que les étudiants vivaient une situation de plus en plus précaire, ils ont décidé d’avoir une seconde cible.

Anissa MEDDEB, une des deux fondatrices de l’association, se livre : « 70 % de nos bénévoles sont justement des étudiants car nous avons actuellement un partenariat avec l’EM de Strasbourg. En échangeant avec eux, ils nous ont confié qu’ils ne pouvaient pas manger à leur faim. Certains d’entre eux venaient marauder le soir en ayant avalé qu’un seul repas de la journée par difficulté financière. »

Aujourd’hui, la situation est très précaire pour certains d’entre eux. Ils essayent de survivre tant bien que mal en allant à des distributions alimentaires. Ou, en tentant de retrouver du travail. Pas si simple, en vérité…

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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Le chiffre vingt accapare tous les esprits des professionnels du bâtiment. C’est la référence qui correspond en pourcentage à la baisse des permis de construire observée sur notre territoire depuis le début de la crise sanitaire. Une source d’inquiétude pour les artisans de la filière. Une autre tendance ne prête pas au sourire : l’envolée des prix des matériaux qui avoisine 30 % dans le même laps de temps. Trop excessif ?

DIJON (Côte d’Or) : « Si cela continue ainsi, on va tout droit vers la rupture des approvisionnements en matériaux et fournitures sur les chantiers d’ici l’été, constate un brin laconique Bernard LABOREY, le président de la Fédération régionale du Bâtiment en Bourgogne Franche-Comté.

Faisant un bref aparté lors de la conférence de presse des organisations professionnelles de la filière BTP tenue ce vendredi 26 février dans la capitale des ducs de Bourgogne, le porte-étendard du puissant organisme institutionnel ne s’est pas fait prier pour faire part de ses interrogations à propos de la poussée inflationniste des prix. Ceux qui s’appliquent aux matériaux de chantier. Avec en filigrane, la problématique récurrente des délais de livraison de plus en plus extensibles.

Aux côtés de son vice-président Pierre GENZI, l’homme fort de la FFB BFC ne comprend pas les origines de cette hausse exponentielle des prix sur ces matériaux depuis plusieurs mois.

Ces équipements sont nécessaires au bon avancement des chantiers qui enregistrent des attentes considérables de plus en plus longues en termes d’approvisionnement des marchandises.

« Les prix des marchés sont bas. Mais, a contrario, les fournitures et le matériel connaissent des poussées de fièvre depuis trois mois se plaint ce dernier

Souhaitant une révision de la politique tarifaire qui est appliquée à l’heure actuelle, voire une meilleure maîtrise de celle-ci de la part des distributeurs et des grossistes, Bernard LABOREY craint que les chantiers ne soient bloqués de manière brutale et inéluctable en juin si les matériaux ne sont pas acheminés dans les temps.

« Si la situation ne s’améliore pas, je ne sais pas ce que l’on pourra faire pour y remédier prévient-il fataliste.

 

 

16 000 demandeurs d’emploi répertoriés dans le bâtiment et peu de candidats lors des recrutements…

 

Quant aux permis de construire, enregistrés sur notre zone géographique territoriale, ils ne cessent de chuter depuis des semaines. Moins 20 % au plan quantitatif avec des délais de près de huit mois d’attente pour obtenir le précieux sésame !

Dubitatif quant aux effets réels du plan de relance, Bernard LABOREY conserve néanmoins espoir sur le second semestre qui devrait être plus favorable à l’activité. Toutefois, le sempiternel problème de main d’œuvre semble l’affecté.

« Lorsque vous sollicitez les services de Pôle Emploi avec lesquels nous avons contractualisé une convention de partenariat plutôt fonctionnelle, on vous annonce que 16 000 personnes sont répertoriées dans les registres en quête d’un retour à la vie active dans la filière que nous représentons.

Mais, lorsque les entreprises du bâtiment sont en mesure de recruter et font appel à ces mêmes personnes, il n’y a pas moyen d’accueillir dix demandeurs d’emploi pour un entretien d’embauche ! ».

Optimiste malgré tout, le président de la fédération régionale du bâtiment ne baisse pas les bras sur le sujet et déclare en substance qu’il essaiera avec le partenaire légitime de l’emploi en France de trouver d’autres astuces afin de sensibiliser les inactifs à choisir les métiers du bâtiment pour relancer leur carrière.

 

Thierry BRET

 


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