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Il relit ses notes, rédigées de manière manuscrite dans un petit calepin à spirales. De l’encre noire pour une écriture déliée. Un flot d’idées, de propositions à mettre en exergue dès la victoire acquise. Si succès, il y a, cela va de soi, au soir du 19 juin ! Auparavant, il faudra passer le cap de ce premier tour dominical. Complexe, pas facile à aborder mais la confiance est au rendez-vous. La NUPES a la cote ! Les sondages la placent en tête, de peu certes, mais devant la majorité présidentielle, le RN et la droite républicaine. Le jeu est ouvert, y compris dans l’Yonne : et si Philippe VEYSSIERE créait la sensation ?

 

CHABLIS : Dans ce fief incontournable du noble nectar qu’est le fruit de la vigne, on aurait pu s’attendre à une autre boisson, venant de la part d’un candidat aux législatives ! Les politiques sont d’ordinaire plus habitués, en effet, à vanter les productions viticoles du terroir que de se satisfaire pour étancher leur soif d’un simple et basique « diabolo menthe » !

Une réminiscence involontaire à l’œuvre cinématographique de la réalisatrice Diane KURYS et de son opus à succès, dévoilé en salle en 1977, qui fut sublimé par la bande-son éponyme d’Yves SIMON ? D’ailleurs, il y a un petit côté vestimentaire qui rappelle l’interprète de la chanson « Au pays des merveilles de Juliet » !

A 63 ans, Philippe VEYSSIERE candidate à la députation. En son âme et conscience, voué à La France Insoumise, parti incarné par Jean-Luc MELENCHON. Le retrouver attablé à la terrasse d’un estaminet de la capitale viticole de l’Yonne n’a justement rien de surprenant en soi. Logique, Chablis se situe dans la seconde circonscription de l’Yonne. Celle où vont se disputer les places qualificatives pour le second tour de cette législative, âprement disputée.

 

« L’Yonne en commun » : une première expérience de partage de valeurs…

 

Le député sortant se nomme André VILLIERS. Un poids lourd de la politique départementale que l’on ne présente plus et qui s’est rangé derrière l’étiquette présidentielle, « Ensemble ». L’ancien chef de file de l’UDI arbore à titre personnel les couleurs du nouveau parti créé par l’ex-Premier ministre Edouard PHILIPPE, « Horizons ». Une bifurcation vers la majorité présidentielle qui, si elle a fait quelque peu grincer les dents chez certains aficionados de la droite traditionnelle du sérail, n’en procure que du plaisir pour ces Républicains et centristes en goguette en grand besoin d’émancipation ! D’autant que la défaite cuisante de leur représentante en avril les a conforté à s’obstiner dans leurs choix.

Pour le défenseur de l’urgence sociale, cela ne présente aucun intérêt. Philippe VEYSSIERE regarde simplement droit devant lui. Chantre de la démocratie participative et de la protection environnementale. Il avait apprécié la première expérience du partage des valeurs idéologiques lors des cantonales, sur la liste « L’Yonne en commun ». Un socle qui s’est avéré constructif entre les acteurs d’Europe Ecologie Les Verts et ceux de La France Insoumise (LFI), jetant déjà les premiers ponts d’une possible alliance. Socialistes et communistes y figuraient aussi.

 

 

Climat et social : il y a urgence à régler les problèmes…

 

Avec la NUPES, c’est encore mieux ! Puisque la convergence d’éléments a même dépassé les clivages, en renforçant ce cercle ouvert aux partis historiques de la gauche, le Parti Communiste – il s’est refait une petite santé d’estime lors de la Présidentielle – et surtout, le Parti Socialiste, ou du moins ce qu’il en reste car au bord du gouffre après les 1,7 % obtenus par son égérie, Anne HIDALGO.

Il aura fallu cet accord de la gauche – trop tardif pour certains – pour que les déçus de la présidentielle se prennent à rêver d’une revanche. Hypothétique ?

« On pense très sérieusement que l’on peut être au second tour au soir du 12 juin, souligne le maire d’Asquins, la NUPES possède des arguments à faire valoir auprès des électeurs. Notamment autour de deux axes, parfaitement complémentaires : l’urgence sociale et l’urgence climatique ».

Et de disserter ensuite sur le premier des candidats qui eut le courage (et l’originalité) de poser les jalons de l’écologie en France : le candidat à la présidentielle de 1974, René DUMONT. Une figure incorrigible de la protection de l’environnement dont il nous reste encore en mémoire son célèbre pull-over rouge qui le singularisait du très conservateur et endimanché Valéry GISCARD d’ESTAING à l’époque. Un président, qui une fois installé à l’Elysée, mit beaucoup de démocratisation dans son vin !

 

 

Une stratégie politique orientée vers l’humain plutôt que les technologies…

 

Le temps d’avaler une gorgée de son breuvage « vert » qui colore son verre, et le candidat de la NUPES enchaîne dans ses explicatifs sur le rôle qu’il serait amené à jouer dans le paysage territorial en cas d’élection. Les mots sortent sans difficulté : Philippe VEYSSIERE parle de travail, de participation, de présence, de territoire. « Il faut faire remonter les désirs et les besoins dans l’hémicycle, affirme-t-il, je ne serai jamais un élu hors sol ».

Son expérience d’édile local lui sert à mettre à profit sa dynamique. « Il est impératif de conserver les services publics, de les maintenir et de les renforcer ! ».

La préservation de l’emploi représente une évidence, la justice sociale, aussi. On sent poindre un côté « Gilet jaune » dans le personnage. « Je connais très bien cette France des ronds-points ».  

Le terme « attractivité » est lâché. « Un bon équilibre est nécessaire entre le tout technologique et l’humain, précise-t-il, cette attractivité peut se concentrer sur les écoles et le périscolaire, les services à décliner qualitativement, le transport, l’environnement, la médecine à proximité… ».

Le pouvoir d’achat fleurit dans sa bouche. Minima sociaux, SMIC à 1 500 euros, revalorisation des retraites. L’humain, toujours et encore dans les propos du candidat. « Contribuons au bien commun ! ».

 

 

« La cohabitation ne peut être que bénéfique, alors allons-y ! »…

 

Alors, prêt pour vivre la cohabitation en cas de victoire de la NUPES, Philippe VEYSSIERE ?

« Nous devons être un contre-pouvoir à Emmanuel MACRON ; la cohabitation ne peut être que bénéfique pour la France, alors allons-y ! ».

Mais, avant cela, il faudra convaincre les abstentionnistes, véritables arbitres de cette échéance électorale qui va délivrer son épilogue d’ici peu. A l’aide de rencontres directes sur les marchés, du boîtage, voire du porte à porte, une « méthode de VRP » qui semble aboutir dans la plupart des cas.

Pronostique-t-il un résultat cet ancien maître d’œuvre dans le bâtiment, instrumentiste à ses heures perdues dans la fanfare du village et qui fut jadis éducateur sportif ?

« Honnêtement, le jeu est ouvert sur l’ensemble de toutes les circonscriptions de l’Yonne, explique-t-il, mais le plus grand des adversaires reste l’abstention… ».

A moins que les nouvelles déclarations fracassantes du futur « Premier ministrable » Jean-Luc MELENCHON sur la « police qui tue », à propos d’un refus d’obtempérer, ne viennent quelque peu freiner les velléités expressives des électeurs de cette nouvelle union populaire une fois dans l’isoloir ?

 

Thierry BRET

 


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L’artiste n’aura pu accrocher ses œuvres que le temps d’une soirée éphémère. Aux murs de la splendide salle de réception, sise à l’Abbaye de REIGNY, haut lieu du patrimoine cistercien de notre territoire. Une présentation unique dont ont pu largement profiter les participants de la Commission départementale de Présence Postale Territoriale de l’Yonne (CDPPT) lors de leurs retrouvailles. Dommage, trois fois dommage pour les amateurs de l’art pictural que l’exposition n’ait pu perdurer davantage parmi ces pierres séculaires…

 

VERMENTON : Le carton d’invitation promettait une surprise, sous la forme d’une animation, sans en préciser vraiment les contours. Déléguée territoriale de l’Yonne pour le groupe La Poste, Christine MORANGE qui avait en charge la logistique de cet évènement, une manifestation ouverte aux partenaires de l’honorable institution, n’avait soufflé mot sur le programme.

Le cadre, déjà, ne pouvait laisser indifférents les représentants des collectivités de l’Yonne qui convergeaient vers le point de rassemblement : l’Abbaye de REIGNY. Un petit écrin paradisiaque pour la vue et l’odorat – les magnifiques espaces fleuris aux fragrances envoûtantes -, œuvre patrimoniale et spirituelle qu’ont construit pas à pas et à force d’abnégation et de volonté, Béatrice et Louis-Marie MAUVAIS. Un couple de « gentlemen farmer » qui n’a jamais baissé les bras face à l’adversité pour porter haut les cœurs ce projet tel que nous le connaissons désormais.

 

Un espace amplement mis en valeur…

 

Le décor, ensuite. Une scène, jouxtant l’un des murs de l’édifice et arrosée copieusement de la forte lumière de ses projecteurs, histoire de créer l’ambiance. Se succèderont dessus différentes personnalités du Groupe La Poste de notre contrée. Venus rappeler le poids de l’institution postale dans son périmètre territorial, fait d’implications et d’investissements. Surtout auprès des collectivités.

D’Hélène MERLE LABROUSSE, directrice des ressources et appui aux transformations numériques à Gilles DEMERSSEMAN, l’élu régional, bien connu dans le landerneau, qui a pris les rênes de la présidence de la CDPPT, il y a quelques mois à peine. De Jacques PERRIER, délégué régional de la « grande maison postale » en Bourgogne Franche-Comté venu spécialement de Dijon à la représentante de la préfecture, Dominique YANI. Nous y reviendrons ultérieurement, par ailleurs.

Les murs de la construction monacale, enfin pour conclure. Ils attirent, irrésistiblement, les regards. Logique, des toiles y sont suspendues à des cimaises à hauteur d’yeux. Colorées, profondes, contemplatives. Ce sont les œuvres de l’artiste Alice BIAIS-BELARD. Une esthète en la matière : celle de la représentation abstraite dans toute sa magnificence. Son univers lui permet de s’exprimer dans un espace de liberté, amplement maîtrisé, poussant les pensées vers l’infini.

 

 

La spontanéité offerte par le travail de l’acrylique…

 

Le support choisi par la peintre n’est autre que de l’acrylique. Elle lui offre de la spontanéité dans l’expression de sa créativité.

« Le fond de mes toiles, précise-t-elle, est toujours riche en matières : partitions de musique, sable, poudre de marbre, voire même du tissu… ».

L’effet est saisissant. Le résultat est noble. En parfaite harmonie avec le lieu, ce vestige cistercien restauré au cordeau par la volonté sans faille du couple MAUVAIS. Un lieu dont il faut découvrir impérativement le moindre recoin. De façon méditative…

L’artiste fréquente le sérail de l’art pictural en sa qualité d’actrice investie à l’imaginaire bouillonnant depuis plus de trente-cinq ans. Un parcours jalonné de succès pour cette diplômée de Sciences Po. Excusez du peu mais Alice BIAIS-BELARD a accroché ses œuvres dans de multiples expositions et galeries en France (Honfleur, Chatou, Paris, Vézelay…) mais aussi à l’étranger (Canada, Italie…).

Ses toiles sont recherchées par des collectionneurs privés. Qu’ils s’agissent de ressortissants américains, japonais, italiens ou suisses. A quand les riches mécènes du Moyen-Orient ?

Jusqu’à tard dans la soirée, les convives du groupe La Poste se seront donc délectés de cette immersion impromptue dans les tableaux de cette artiste, qui expose régulièrement dans l’Yonne (Avallon, Vézelay…), et qui fait sienne la célèbre phrase du maître du cubisme, Pablo PICASSO : « un tableau ne vit que par celui qui le regarde ».     

Au vu du nombre de regards jetés consciencieusement sur les toiles, le doute n’est plus permis : les œuvres de cette artiste, cotée chez Drouot, sont plus que jamais vivantes !

 

Thierry BRET

 

 


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Etre fan de tracteurs, quelle drôle d’idée ?! Serait-ce à l’apanage d’anciens professionnels de la vie aux champs en manque de travaux agricoles ? Ou des nostalgiques de nos vertes campagnes qui n’avaient pas encore subi jadis les affres du remembrement, ayant détruit le biotope ? Que nenni ! Les membres de ce vénérable club hexagonal sont avant tout des passionnés de belles mécaniques qui fonctionnent à la perfection. Cent cinquante d’entre eux ont tenu leur assemblée générale il y a peu sur notre territoire…

 

FESTIGNY : Il y a incontestablement « tracteur » et « tracteur » dans la grande famille de la machine agricole. Confondre les genres serait d’ailleurs très mal approprié pour les béotiens que nous sommes. Tiens, prenons pour référence le saint des saints de l’outil agricole qui émerveille toujours les gosses dès leur plus jeune âge lorsqu’ils découvrent la campagne. Le fameux modèle américain FERGUSON. D’ailleurs, on appelle le plus souvent la marque du fabricant de l'état de Géorgie, associée à MASSEY, par son logo caractéristique, les trois triangles rouges, quasi superposés qui recréent ensemble une autre de ces figures géométriques.

Dans notre beau pays, les « adorateurs » de ces modèles hors pair – la conception des premiers tracteurs remonte à…1847 – vivent pleinement leur plaisir de collectionneur invétéré au sein d’une association officielle, le Club FERGUSON France.

 

 

Des modèles anciens et une pièce rare à admirer sans modération…

 

Comme toute bonne structure associative, digne de ce nom qui se respecte, elle organise annuellement un rendez-vous se déclinant sous la forme d’une assemblée générale. Itinérante, celle-ci peut être accueillie d’une année à l’autre dans l’un des nombreux départements qui composent l’Hexagone. Cocorico : 2022 aura été synonyme de réception de cette belle assistance – plus de 150 représentants – dans l’Yonne. Précisément au gîte de la « Ferme du Bois la Dame » au nom fleurant bon l’époque médiévale, sur la commune de FESTIGNY.

A la manœuvre, quatre adhérents de l’Yonne dont Jean-Baptiste TREHOREL ont pris soin de peaufiner avec minutie ce rendez-vous. D’ailleurs, en guise de cadeau de bienvenue, les congressistes ont eu l’immense bonheur de pouvoir se délecter de cinq belles pièces anciennes, des tracteurs toujours vaillants, qui étaient exposés dans le jardin du gîte.

Des modèles historiques dont le très rare FERGUSON-BROWN qui a été produit initialement en 1936 ! Un spécimen qui fut à l’époque le premier tracteur au monde à être proposé sur le marché avec un attelage trois points et un procédé de relevage hydraulique. L’ancêtre, en quelque sorte, de tous les tracteurs agricoles actuels…

Entre découvertes touristiques – la reconstitution d’un ouvrage d’art moyenâgeux à la renommée intercontinentale à GUEDELON – et vinicoles, les Caves de BAILLY-LAPIERRE avec de quoi titiller agréablement l’odorat et les papilles dans les verres, les participants à ce rassemblement ludique prirent le temps aussi de réfléchir au devenir de leur entité.

 

 

Des temps forts durant la séance plénière de trois heures…

 

Trois heures durant, en séance plénière, ce furent annonces et discussions intenses consacrées à l’orientation stratégique du club. Il y eu aussi son lot de temps forts. Par exemple, lors de la remise d’un cadeau au président-fondateur de l’association, Jean SOULIER, par l’actuel responsable, Jean-Louis MACHET.

Vint ensuite le don effectué par la société BASSET, installée dans l’Aube limitrophe. Un chèque qui a été offert par le concessionnaire de MASSEY-FERGUSON. Enfin, le député de l’Yonne, André VILLIERS, agriculteur de profession, intervint avec sa verve coutumière pour évoquer ses souvenirs personnels autour de ces engins qui le faisaient rêver enfant.

En mars dernier, les représentants icaunais du Club FERGUSON France avaient eu l’immense joie de s’entretenir quelques instants avant son récital à AUXERREXPO avec le chanteur Hugues AUFRAY, lui-même amoureux et collectionneur de tracteurs, et parrain emblématique de la fameuse association.

De bons souvenirs qu’espèrent revivre un jour les membres de cette structure associative sympathique.

 

 

En savoir plus :

Le Club FERGUSON France compte quatre représentants dans l’Yonne :

Jean-Baptiste TREHOREL, d’Épineau-les-Voves, Patrice MERCIER, d’Asquins, Jacques MONTENOT, de Grimault, Jany GANNEAU, de Theil-sur-Vanne.

Parmi les modèles historiques à admirer sur place, on aura remarqué le Ferguson-Brown, sorti en 1936 (17 chevaux), le Ford-Ferguson, fabriqué en 1942 (18 chevaux) et le Ferguson TEA-20, commercialisé dès 1948 (24 chevaux).

Le secrétaire du club Jean-Paul ESTIVIE aura été l’une des chevilles ouvrières de ce rendez-vous, nécessitant collecte d’informations et de renseignements précieux.

 

Thierry BRET

 


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Fort des 51,5 % de voix obtenues par Marine LE PEN au second tour des présidentielles dans l’Yonne, le Rassemblement National espère bien transformer l’essai et remporter la bataille des législatives en s’octroyant les trois circonscriptions en lice. Appelant pour cela à la mobilisation de son électorat. 

 

AUXERRE Candidat RN dans la troisième circonscription, Julien ODOUL est catégorique : « nous avons une chance historique de l’emporter… ». En 2017, il lui avait manqué un peu plus de 4 000 voix pour triompher de sa rivale, Michèle CROUZET, alors étiquetée LREM. Cinq ans plus tard, s’ils se retrouvent de nouveau face à face, le contexte a changé souligne le porte-parole du Rassemblement National : « en 2017, il y avait un électorat qui avait fait « pschitt », ne voulant plus entendre parler de politique…Aujourd’hui, l’objectif est clair, c’est d’empêcher Emmanuel MACRON d’obtenir les pleins pouvoirs et faire qu’un grand nombre de députés RN puisse s’opposer à la poursuite de la politique funeste et de la casse sociale que l’on connaît, particulièrement en milieu rural… ». Encore faut-il pour cela convaincre les pêcheurs du dimanche de se rendre aux urnes les 12 et 19 juin prochains : « la victoire est à portée de bulletins de vote à condition qu’ils se remobilisent. S’ils revotent, ils gagnent, c’est mathématique ! ».

 

 

« André VILLIERS, un candidat droit dans ses bottes qui ne me fait pas peur… »

 

Elue l’an dernier au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté et conseillère municipale d’opposition à Villeneuve-sur-Yonne, Audrey LOPEZ défendra les couleurs du RN dans la seconde circonscription : la plus grande en surface du département, avec un territoire qui s’étend du Migennois au Morvan en passant par le Tonnerrois et le Chablisien. Installée dans l’Yonne depuis 2019, cette ancienne fonctionnaire de police de 45 ans, aujourd’hui reconvertie dans l’architecture d’intérieur, mise sur une forte implantation de son parti dans cette circonscription, pour compenser son déficit de notoriété face à un adversaire, André VILLIERS solidement implanté dans le paysage depuis longtemps. Trop longtemps selon la candidate : « il est bien implanté mais il ne me fait pas peur… On n’a pas les mêmes idées ni les mêmes points à défendre. Je me soucie plus des Icaunais, lui se soucie plus de conserver sa place… ». 

 

 

Une première expérience aux législatives pour le candidat de la première circonscription…

 

Fidèle à cette Puisaye qui l’a vu naître il y a 73 ans, Daniel GRENON concourra pour la première fois de sa vie politique aux législatives en étant tête d’affiche du Rassemblement National dans la première circonscription de l’Yonne. Venu à la politique sur le tard, mais revendiquant une appartenance de toujours au Front National, cet ancien commerçant aujourd’hui retraité, se veut avant tout « homme de terrain », après avoir longtemps œuvré dans le milieu sportif icaunais et particulièrement le tir à l’arc, où il contribua notamment à la création de la « Sentinelle de Brienon », portant les couleurs du club jusque sur la scène européenne. Présent sur la liste ODOUL aux régionales 2021 et candidat sur le canton de Cœur de Puisaye aux départementales de la même année, celui qui se présente comme un « retraité libre et volontaire, allant toujours au bout des choses… », espère bien, en dépit d’une expérience limitée en politique, l’emporter contre son rival le plus direct, Guillaume LARRIVÉ pour qui, précise-t-il haut et fort, « je n’ai jamais voté ! ». Affichant sans complexes ce qui à ses yeux le différencie de son jeune adversaire : « il a de l’instruction plein la tête, moi j’en ai dans la tête et au bout des doigts… ». Toujours prompt à décocher des flèches semble-t-il… !

 

 

Propos entendus :

Avec le sens de la formule qui le caractérise et un goût prononcé pour la provocation, Julien ODOUL y est allé de ses petites phrases lors de ce point presse, sortant pour l’occasion « l’artillerie lourde ». La puissance de feu des « Tontons flingueurs » à lui tout seul !


La nomination d’Elisabeth BORNE à Matignon ?
« Un choix qui augure de lendemains extrêmement difficiles, avec un bilan assez sanguinolent au gouvernement. Elle n'arrive pas avec une page blanche, une personne qui est un bloc de technocratie… Le logiciel on le connaît, Madame BORNE, on la connaît, ce sera la continuité en pire… ».


André VILLIERS, député sortant de la deuxième circonscription ?
« Aujourd’hui, je pense que ce que les électeurs ne supportent plus, c’est la tromperie, la duperie. Monsieur VILLIERS est un professionnel de la trahison, il est tout ce qui éloigne de la politique… ».

 


L’avenir de la droite et du parti Les Républicains ?
« La réalité, c’est que la droite n’existe plus, c’est un concept dépassé qui appartient à l’histoire… Elle est aujourd’hui divisée, avec une partie de la droite bourgeoise rangée sous la bannière « macroniste » et quelques résidus chez LR, attendant de voir s’ils vont rentrer au gouvernement… ».

 

Éric ZEMMOUR et son parti « Reconquête » ?
« A quoi ça sert de voter « Reconquête » au premier tour pour faire 2 à 3 %, si ce n’est pour se faire plaisir… ».

 

Michèle CROUZET, candidate sortante dans la troisième circonscription ?
« Son bilan est affligeant, même insultant pour les électeurs… Elle s’est désintéressée complètement du département, absente sur le terrain, personne ne l’a vue, personne ne la connaît… ».

 

Dominique BERNERD

 

 


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Au plan financier, le nouvel outil est important. Et par ricochet, très intéressant, aussi ! Le dispositif, auquel vient de souscrire la Banque des Territoires, filiale de la Caisse des Dépôts, permet aux opérateurs de logements sociaux tels que DOMANYS – il en l’émetteur - de bénéficier du coup de pouce supplémentaire facilitant l’accompagnement de leur programme de construction et de réhabilitation. Moyennant un subside de 3 millions d’euros de titres participatifs à la clé, pas mal du tout !

 

AVALLON : Voilà un jackpot financier qui augure de louables opérations à venir pour le bailleur social de l’Yonne, DOMANYS. Il est le fruit d’un judicieux partenariat, contractualisé il y a peu dans le sud de notre département entre la Banque des Territoires, dans sa version régionale, et le principal bailleur icaunais qui possède à son actif un patrimoine immobilier de plus de 8 850 logements, répartis sur 180 communes.

Un jeu d’écritures comptables et d’investissements qui va surtout booster DOMANYS dans la réalisation de son programme ambitieux se rapportant à son parc locatif. En effet, en décidant de souscrire aux trois millions d’euros de titres participatifs émis par le vénérable organisme, la filiale régionale de la Caisse des Dépôts optimise son soutien au secteur du logement social dans l’Yonne. De la pure logique, en somme, puisque cette mise en œuvre opérationnelle résulte du plan de relance hexagonal que porte la Caisse des Dépôts. Un plan conséquent qui s’articule autour d’une colossale enveloppe de 11 milliards d’euros d’investissements en faveur de l’habitat.

Loin de ces sommes astronomiques – mais ô combien nécessaires pour combattre l’insalubrité dans le logement -, l’Yonne, à travers son principal bailleur, va donc profiter de cette manne financière qui ne tombe pas du ciel. Ces trois millions d’euros supplémentaires vont être injectés dans le plan de réhabilitation du parc actuel – il représente 43 % du parc social de l’Yonne – afin de garantir et de maintenir son attractivité.

 

 

Une opération financière déjà actée avec d’autres membres de la SAC IDELIANS…

 

Dans le concret, ces titres participatifs se convertiront en de nouvelles constructions dans des communes s’inscrivant dans une géographie des politiques publiques. A l’instar de « Petites Villes de Demain » ou « Action Cœur de Ville ».

Ainsi, sur une période ayant débuté en 2019 et courant jusqu’en 2028, DOMANYS a prévu de débloquer 170 millions d’euros dans le cadre de son plan d’investissement favorisant ainsi la construction de 513 logements neufs – un montant global de 62 millions d’euros – et le maintien de l’existant, soit le reliquat de 108 millions d’euros, en le réhabilitant et en le dotant de nouveaux composants. Des démolitions, pures et simples, sont également programmées.

 

 

Ce procédé financier faisant appel à des titres participatifs, où intervient la Banque des Territoires, a déjà permis à l’institution régionale d’agir avec efficience auprès de certains des partenaires de DOMANYS, en particulier ORVITIS et Grand Dole Habitat, respectivement pour 4 millions d’euros et 2,3 millions d’euros, dans le cadre de la SAC IDELIANS dont DOMANYS est une des composantes.

 

 

Mobiliser des fonds propres pour booster le plan de développement…

 

L’adoption et l’expansion de ce nouvel outil, propice au financement, est donc perçu comme capital pour les différents acteurs de l’immobilier régional. Notamment dans l’intervalle temporel de ces cinq prochaines années, avec la mobilisation de fonds propres qui va être croissante pour aider DOMANYS dans la réalisation de son plan de développement

Ne lésinant pas à avaler les kilomètres au compteur de son véhicule, Mathieu AUFAUVRE, directeur de la Banque des Territoires dans notre contrée, avait fait le déplacement depuis la capitale des Ducs de Bourgogne pour se rendre dans la sous-préfecture méridionale de l’Yonne afin d’y parapher ladite souscription de titres participatifs, en présence de Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental et président de DOMANYS, et de Karine LASCOLS, directrice de DOMANYS.

Un Mathieu AUFAUVRE qui ne manqua pas de souligner que « le soutien de la Banque des Territoires à DOMANYS concrétise une mobilisation massive en faveur des logements sociaux dans l’Yonne, tout en renforçant le partenariat historique établi entre les deux structures… ».

Bref, une manière concrète de joindre l’utile à l’utile ! Pour le plus grand bonheur des locataires du bailleur social.

 

Thierry BRET

 


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