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Affluence record pour les membres de la communauté des Positives Entreprises, chère à la chambre consulaire départementale. Ce sont en effet plus de soixante-dix entrepreneurs et encadrants qui ont profité de ce trente-et-unième brunch pour satisfaire leur curiosité autour d’une ressource énergétique dont on nous parle quasiment à longueur de journée en Bourgogne Franche-Comté et dans l’Auxerrois, l’hydrogène !

 

AUXERRE : Voilà une trente-et-unième édition des fameux « brunchs » de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne qui ne manque pas d’air ! Une découverte de la station de production et de distribution d’hydrogène, implantée au nord-est d’Auxerre, non loin de la Pépinière d’entreprises.

La première de ces réalisations en France qui est opérationnelle depuis l’automne 2021. Une présence symbolique qui traduit l’engagement des territoires de la Bourgogne Franche-Comté à développer coûte que coûte cette ressource énergétique ayant des applications tant dans la mobilité – c’est le cas dans l’Auxerrois avec l’alimentation des transports collectifs dont cinq bus du réseau LEO – que sur le parc immobilier collectif, voire entrepreneurial.

 

Une fabrication d’hydrogène assurée par de l’électricité propre…

 

Exploité par HYNAMICS, l’une des nombreuses filiales du groupe EDF, le site auxerrois baptisé astucieusement « AuxHyGen » a été inauguré le 13 octobre 2021 en grande pompe. On se souvient de cet évènement qui fut largement relayé dans les colonnes des médias de France et de Navarre. Auxerre devenait ce jour-là le point de convergence hexagonal de l’intérêt porté à la ressource énergétique, symbolisant l’avenir.

Sur le site, il se produit de l’hydrogène vert par le procédé de l’électrolyse. Un processus de fabrication qualifié de « propre » qui ne rejette que de l’eau et de l’oxygène, et surtout n’émet aucune nuisance sonore. Ce qui aurait pu inquiéter légitimement les riverains. D’autant que cet hydrogène bénéficie d’une électricité 100 % énergie renouvelable obtenue à partir de parcs éoliens, de panneaux photovoltaïques, voire des barrages installés dans le Morvan.

 

 

D’une puissance d’un Mégawatt, l’électrolyseur assure la production de 400 kg d’hydrogène journalier. Une quantité suffisante pour alimenter en les rechargeant les cinq bus du réseau urbain LEO qui sont exploités par TRANSDEV.

Auxerre n’est d’ailleurs plus la seule ville de la contrée régionale à profiter de ce site novateur. Belfort, un territoire déjà très avancé dans l’exploitation de l’hydrogène depuis de nombreuses années, inaugure cette semaine sa propre station de production et de distribution, à l’identique de celle de la capitale de l’Yonne.

Les perspectives en termes d’emplois ne sont pas négligeables autour de cette ressource novatrice dans ses usages du quotidien : on évoque la possibilité de 150 000 emplois créés dans la filière à horizon 2050.

 

 

L’équivalent budgétaire du centre de formation de l’AJA pour ériger la station !

 

Responsable du développement territorial H2 Grand Est et Bourgogne Franche-Comté HYNAMICS, Philippe FOLLET assurait la visite de l’endroit qui n’est in fine guère photogénique.

Toutefois, les informations qu’il devait délivrées, notamment sur les coûts de conception d’une telle station – dix millions d’euros, soit l’équivalent du centre de formation de l’AJ Auxerre plaisanta l’un des visiteurs ! – titillèrent les esprits.

Idem lorsque l’orateur annonça le prix d’acquisition d’un bus à hydrogène (de l’ordre de 600 000 euros environ) comparé à celui d’un bus propulsé de manière thermique à partir du diesel, soit 200 000 euros.

Malgré les aides européennes et nationales qui viennent soutenir ces projets de transition écologique, pourtant ô combien nécessaire pour la sauvegarde de la planète et de ses écosystèmes, il en coûtera 30 % plus cher pour circuler collectivement à l’avenir qu’avec les motorisations précédentes utilisant l’énergie fossile. Mais, la préservation de notre environnement et de notre santé ne le mériterait-il pas ?

 

Thierry BRET

 

 


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Dans les cours d’école, il y a le fameux jeu, « pierre, feuille, ciseaux » qui égayent au quotidien les séances récréatives de nos chères têtes blondes en classes de primaire. La version adulte – quoi que beaucoup moins ludique en vérité ! – va voir le jour dès le premier janvier 2023. « Pierres, pôle et compagnie » puisque telle est son appellation s’adressera surtout à celles et ceux qui espèrent se réinsérer dans la vie active à l’aide d’un emploi…

 

TONNERRE: C’est le nom de baptême d’une nouvelle structure, au demeurant associative, qui sera bientôt implantée sur le territoire du Tonnerrois dès le début de l’année prochaine. Une entité à vocation sociale. Une de plus, me direz-vous, dans le paysage de l’Yonne ? Que nenni !

Du fait de sa déontologie, « Pierres, pôle et compagnie » rejoindra un réseau émergent dans l’Hexagone qui demeure encore un peu méconnu du grand public, une « régie de territoire », où se dégagent trois axes essentiels à concrétiser sur le terrain : le volet social, celui de la citoyenneté, sans omettre celui de l’aspect économique.

Sa future directrice vient d’être embauchée. Elle est prête à endosser dès le mois de janvier la vêture de responsable de cette unité collective qui a pour objectif d’accompagner des personnes sans emploi à se réinsérer dans la vie quotidienne. Présente lors du « Petit déjeuner des employeurs », un rendez-vous trimestriel organisé au siège de la Mission Locale rurale du Tonnerrois et de l’Avallonnais, Stéphanie MATHIEU en a expliqué les grandes lignes, insistant avec moult détails sur l’approche évolutive et fonctionnelle qui se rapporte aux trois prochaines années d’existence de cet outil.

 

Un triple collège compose la toute jeune structure associative…

 

La terminologie du dispositif est simple. Le mot « pierre » au pluriel évoque la construction. « Pôle » fait inévitablement penser au service de l’Etat, « Pôle Emploi ». Quant au terme « compagnie », c’est sans doute la notion d’accompagnement qui est mise en exergue avec son utilisation.

Cela fait bientôt douze mois que se trame par la réflexion ce futur organisme devant agir sur l’ensemble du Tonnerrois. Même si le lieu d’accueil, dans un premier temps, du siège social sera le « Sémaphore », l’un des points de convergence névralgique de l’emploi et de la formation à Tonnerre. Apparue au mois d’octobre, la toute jeune association commence à prendre ses marques petit à petit dans le sérail.

 

 

Elle est composée de trois collèges : le premier est celui des élus avec les soutiens du Conseil départemental, de la Ville de Tonnerre et de la Communauté de communes du Tonnerrois-en-Bourgogne. Seconde strate : le collège des partenaires où l’on retrouve les acteurs de l’emploi qui agissent dans cette partie orientale de l’Yonne avec entre autres, Pôle Emploi, le Centre de développement économique du Tonnerrois, la Mission Locale ou encore l’entreprise GEOCHANVRE, chère à Frédéric ROURE. Reste le dernier collège qui s’articule sur les habitants du cru, au nombre de neuf.

 

27 ETP dans l’intervalle des deux prochaines années…

 

Le fil d’Ariane de « Pierres, Pôle et Compagnie » repose sur l’amélioration du cadre de vie du Tonnerrois par le biais d’une structure d’insertion.

« On va créer un modèle d’entreprise d’insertion, explique Stéphanie MATHIEU, avant de développer par la suite des chantiers d’insertion… ».

Chantiers qui s’appuieraient sur la déclinaison de prestations appropriées dans les domaines des espaces verts, les travaux viticoles, la collecte et la gestion des encombrants via l’ouverture d’une recyclerie, dans l’industrie et pourquoi pas, du côté des tâches administratives.

Pour se faire et dans le but de former les publics qui fréquenteront la structure, l’association sollicitera du personnel encadrant, embauché dans chacune de ces catégories de prestations.

Mais, dans un premier temps, afin d’être paré à prendre son envol dès le mois de janvier, l’organe procèdera à des recrutements avec le besoin pressant d’un secrétaire comptable, d’un coordonnateur insertion ressources humaines d’un encadrant viticulture technique et pédagogique et un encadrant espace vert.

Les premiers opérateurs devant assurer les prestations, au nombre de cinq, complèteront les effectifs dès le début de l’année. Six autres collaborateurs devant les rejoindre d’ici mars.

D’ici deux ans, Stéphanie MATHIEU espère avoir à son effectif 27 ETP pour remplir ses missions : celle de réinsérer les personnes en quête d’emploi sur le territoire, celle de proposer des prestations de services auprès des entreprises et collectivités du Tonnerrois, celle, enfin, de travailler à la création de projets répondant aux besoins sociaux des habitants du bassin géographique.

« Pierres, Pôle et Compagnie » devrait vite se faire une réputation dans son environnement…

 

En savoir plus :

 

Renseignements auprès de Stéphanie MATHIEU, directrice

Portable : 07.65.16.90.22.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

Thierry BRET

 

 

 


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Sur le pont depuis le 04 juillet, date de sa nomination officielle au sein du gouvernement, la Secrétaire d’Etat en charge de la Ruralité auprès du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires effectuait, avec ce déplacement en terre icaunaise, son vingtième voyage en province. Des immersions qui s’avèrent studieuses et enrichissantes au contact des élus locaux, qui lui permettent de prendre le pouls de cet Hexagone possédant de solides atouts dans la ruralité…

 

AUXERRE : Etre au plus près du terrain. Quoi de plus naturel, en somme, pour un membre du gouvernement ayant à sa charge le toujours très complexe dossier de la ruralité !

Une ruralité parfois mise à mal par la lourdeur administrative de l’Etat, ce qui engendre de l’inquiétude et de l’incompréhension pour les élus de la territorialité. Une ruralité qui se sent parfois éloignée, voire oubliée de la capitale de l’Hexagone et de ses multiples strates « urbaines », faisant fi d’excès de proximité.

Voilà un mot qui, en revanche, sied très bien à l’esprit d’initiative de celle qui a pris ses fonctions le 04 juillet dernier – tiens, tiens, c’est un signe qui ne trompe pas, le jour de l’Indépendance américaine ! – et qui aura exercé durant huit ans le mandat de maire d’une localité de Haute-Garonne de moyenne envergure démographique, Saint-Orens-en-Gameville, située à neuf kilomètres à vol d’oiseau de la « Ville Rose », chère au regretté Claude NOUGARO, Toulouse.

En multipliant les visites depuis un quadrimestre aux quatre coins de notre pays, Dominique FAURE, missionnée par la Première Ministre Elisabeth BORNE, a jusqu’au terme de l’année 2022 pour évaluer l’efficience de l’agenda rural, un concept qui avait été voté en septembre 2019 et qui comprend au bas mot 181 mesures.

Cet agenda avait nécessité l’injection par l’Etat d’une enveloppe de trois milliards d’euros dans ses rouages pour en assurer le bon fonctionnement.

La présence de la ministre dans l’Yonne, comme dans la vingtaine d’autres départements avant ce séjour sur le sol de la Bourgogne septentrionale, servait en fait d’étalonnage afin de vérifier la bonne efficacité de ce dispositif porté dans le cadre de la politique publique, qui plus est, pour être capable de l’améliorer, voire de la modifier à horizon du premier trimestre 2023.

 

 

Le « ZAN » source d’inquiétude chez les élus de la ruralité…

 

Invitée par la vice-présidente nationale de l’Association des Maires Ruraux de France, Dominique CHAPPUIT à venir conclure les travaux de l’assemblée générale annuelle de la section départementale de l’Yonne, la Secrétaire d’Etat a eu le plaisir de rencontrer et de discuter avec les élus locaux après la manifestation. Soulignant qu’elle avait constaté « à quel point Dominique CHAPPUIT était une élue engagée pour défendre les valeurs de la ruralité et qu’elle était capable d’apporter des solutions concrètes aux choses qui dysfonctionnaient… ».

« J’adore travailler avec elle !, devait lâcher à brûle-pourpoint la représentante du gouvernement – on aura vu une certaine complicité sur la scène du « 89 » entre ces deux personnalités lors de la prise de parole de la ministre avant qu’elle ne réponde à quelques questions de la salle, dont celles du vice-président du Département et élu de l’Auxerrois, Christophe BONNEFOND qui ne manqua pas de l’interpeller sur le sacro-saint « ZAN » (Zéro Artificialisation Nette) qui préoccupe plus d’un maire dans les chaumières -.

Un item qui permit à la ministre de réagir à chaud au micro : « et là ce que je vois déjà fonctionner sur ce sujet du « zéro artificialisation nette » à horizon 2050, c’est le travail qui est fait aujourd'hui entre les maires et les intercommunalités, et qui est piloté par la Région. Il est extrêmement intéressant, avec des itérations incluant les services de l'Etat en région. Je pense qu'on va arriver à quelque chose qui n'effraie plus les élus et qui va permettre aux maires ruraux de se développer quand ils le souhaitent, quand il n'y a pas de logements vacants, quand il y a des petits commerces, quand, enfin, il y a de la vie… ».

Toutefois, la pédagogie reste un élément de rigueur auprès des élus qui émettent encore des doutes quant à la pertinence de ce dispositif.

« Cela me tracasse, explique l’ancienne députée de la dixième circonscription de Haute-Garonne – un mandat qu’elle n’aura exercé en fait que sur une durée écourtée à un mois et treize jours car appelée très vite dans le gouvernement d’Elisabeth BORNE -, car, depuis maintenant deux à trois mois, je vois à quel point les élus territoriaux sont tristes et intimement convaincus qu’ils ne pourront se développer dans leur commune. Je ne cesse de leur dire lors de nos rencontres que ce n’est pas le cas. L’objectif du ZAN est à 2050 ! Il est divisé par deux. L'artificialisation des sols telle qu'on l'a opérée ces dix dernières années, eh bien, c'est encore de l'artificialisation supplémentaire. Moi, je milite pour que ça soit au service de nos maires et de nos villages ruraux qui ont créées les conditions d'un développement harmonieux… ».

 

 

L’Etat n’a nullement l’intention de supprimer les communes…

 

Une intervention de la ministre sous la forme d’une thérapie de groupe, face aux élus de la ruralité icaunaise ?

« J'espère, j'espère, j'espère – elle répètera le mot par trois fois ! - leur avoir donné confiance parce que c'est aussi ce lien de confiance qu'il faut que nous rétablissions. Je ne vois aucun problème à les rassurer, à tisser ce lien de confiance. La commune est au cœur de notre République, et il en existe 37 000 en France. Et ce n'est pas parce que de-ci, de-là, il y a des communes nouvelles, où 240 habitants ont envie de fusionner, qu'il y a une volonté quelconque de la part de quiconque de supprimer la commune ! L’Etat est fier de ses maires, on sait à quel point ils sont généreux, à quel point ils donnent de leur temps, et comment ils absorbent de l'insatisfaction de nos concitoyens. Parfois, il y a même de la violence. C'est très, très dur. Les voir inquiets par rapport à l'existence même de la commune, ça me fait beaucoup de peine… ».

Pour autant, Dominique FAURE reste intimement convaincue que « l'intercommunalité possède du sens ». L’un des termes favoris qu’elle ne manquera pas de marteler durant son intervention sera le mot « réconciliation ». A commencer par celle qu’elle essaie de mettre en place depuis sa prise de fonction entre la commune et l’intercommunalité.

« C’est vrai que cela est parfois compliqué, souligne-t-elle, quand nos élus ne s'entendent pas, quand le président de l'intercommunalité, qui parfois est aussi le maire de la commune centre conduit des politiques publiques au service de la commune centre en oubliant quelque peu les dix, vingt, cinquante, parfois soixante-dix communes qu'il possède au sein de son intercommunalité. Alors, c’est sûr : des tensions s'opèrent… ».

Mais, devait-elle ajouter, « cela relève plus du mode opératoire imposé par le président-maire de l’intercommunalité qui n'est pas assez à l'écoute des maires de son EPCI. Ce sont davantage des problématiques de clivage ou de tensions entre élus que le simple fait du dispositif existant entre une municipalité et son intercommunalité… ».

 

 

L’économie sociale et solidaire, c’est génial !

 

L’après-midi studieux de la Secrétaire d’Etat au contact des élus de l’Yonne mais aussi des citoyens et des milieux associatifs se poursuivit à Gurgy, d’une part, puis à Rosoy, d’autre part, sous le triple volet du culturel, du scolaire et de l’économie sociale et solidaire (ESS). Un patchwork éclectique qui complétait sa mission.

« L'économie sociale et solidaire, c'est juste génial, affirma-t-elle avec un large sourire, c'est une façon de faire de l'économie avec une redistribution auprès des salariés. Dans mes activités précédentes, et avec une collègue, on avait énormément développé le système. Dès qu'on a un porteur de projet, il faut savoir l'accompagner parce que derrière, c'est extrêmement vertueux à plein d'égards, il embarque la transition écologique mieux que personne…. ».

Quant à l’éducation, Dominique FAURE a pu se régaler à loisir en discutant avec les tout-petits – ce sera le cas à l’école maternelle de Gurgy où sous les regards amusés de Jean-Luc LIVERNEAUX, le maire, Crescent MARAULT, président-maire de l’Auxerrois, Daniel GRENON, député de la circonscription et les représentants du Conseil départemental, Arminda GUIBLAIN et Magloire SIOPATHIS sans omettre les hautes fonctionnaires de la préfecture Marion AOUSTIN-ROTH et Naïma RAMALINGOM -, lors de sa visite au sein de ce complexe scolaire.

Restait le volet culturel. « J’en fais !, précisa-t-elle, au sein de ma mission, j’en fais le lien entre les territoires ruraux et les territoires urbains, parce qu'on a de belles scènes nationales. Je rencontre lors de réunions régulières ma collègue Rima qui est ministre de la Culture – ndlr : Rima ABDUL-MALAK - et qui m'a dit que dans tous les contrats, il y avait des scènes nationales qui bénéficiaient des fonds de l'Etat qui en est l’un des grands accompagnateurs. Il est souvent stipulé que cette scène nationale doit diffuser ses expositions, ses concerts dans les territoires ruraux. Je vais veiller à ce qu’il y ait de belles salles rurales qui puissent accueillir et diffuser plus largement la chose culturelle à l’avenir… ».

Mission accomplie, madame la Ministre ! Les élus ruraux de l’Yonne semblent satisfaits de votre visite et savent désormais que les mots « réconciliation » et « proximité » figurent à votre vocabulaire…Ce qui peut toujours servir après coup !

 

Thierry BRET

 


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Voilà une concentration de jeunes sportifs qui a su marqué doublement les esprits à Saint-Georges-sur-Baulche ! D’une part, au plan de la solidarité, ce rendez-vous concocté par le club de la localité en périphérie d’Auxerre aura permis de récolter quelques fonds attribués au bénéfice de la Ligue contre cancer. D’autre part, les participants ont pu approfondir à loisir leur technique lors des exercices sur la piste…

 

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Etrange mascotte que celle qui pose sur le document photographique faisant office d’illustration ! Une magnifique représentation du plus célèbre des extra-terrestres, imaginé par le cerveau fertile de Steven SPIELBERG, « E.T », qui s’affiche avec des sportifs beaucoup plus terre à terre, les jeunes pratiquants de BMX, l’une des disciplines cyclistes enseignées dans le Club Avenir de la commune.

Tout sourire, les jeunes pousses sont immortalisées aux côtés de Jean-Renaud DUCOS DE LAHITTE, éducateur sportif et intervenant d’un stage sportif un peu particulier qui aura allié solidarité à travers sa structure associative « PINK PANTHER » - la « Panthère Rose », décidément les personnages au succès cinématographique éprouvé étaient bien représentés sur site ! -, et amélioration de la performance physique.

Un éducateur au palmarès éloquent : qu’on en juge, avec un double titre de champion du monde, quintuple médaillé planétaire et continental. Si l’objectif initial de ce stage se voulait être un perfectionnement pour les pilotes plus chevronnés, voire une déclinaison d’astuces pertinentes afin de faire progresser les néophytes, il y avait aussi en parallèle cette collecte de fonds permettant de ramener quelques précieux subsides à destiner ensuite à la Ligue contre le Cancer.

L’ensemble des participants ont pleinement apprécié cette animation où des exercices à réaliser tout au long de la saison furent expliqués.

Pour mémoire, rappelons que le club de BMW – il a été créé en 2010 – accueille à date une cinquantaine d’adhérents. Lors de ce stage, ce sont des adeptes de la discipline, âgés de 4 à 17 ans, qui ont suivi les recommandations de leur éducateur. Un beau moment de promotion autour d’un sport, toujours spectaculaire à regarder…

Thierry BRET

 

 


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Il ne reste plus que quarante-huit heures chrono, c’est-à-dire le 16 novembre à minuit, pour donner sa voix au projet 100 % novateur élaboré par la start-up auxerroise. Participant à un concours continental sous l’égide de l’ADEME, ECOLLANT souhaite obtenir le maximum de soutiens de la part des internautes avant de disputer une finale très importante ce jeudi à Lille…

 

AUXERRE : Mobilisez-vous, Mesdames, Messieurs ! L’horloge tourne et il ne reste plus que quarante-huit heures pour exaucer les vœux des dirigeants de la jeune start-up icaunaise, engagée dans un nouveau challenge qui est incarné par ce concours de l’ADEME. Une épreuve qui se dispute à l’échelle européenne.

Pour se faire, il suffit de voter pour le projet porté par la structure entrepreneuriale, soutenue par la Région Bourgogne Franche-Comté et d’autres partenaires, afin qu’ECOLLANT puisse se distinguer de manière plus qu’honorable lors de ces Trophées de la Mode circulaire. Voire l’emporter !

Une candidature de l’entreprise d’Auxerre à l’obtention de ce prix qui ne dénote nullement sur la liste des prétendants, puisque ce concours de l’ADEME met en exergue les solutions durables de transition écologique qui sont appliquées au service de la mode et de l’industrie textile, des créneaux sur lesquels surfe depuis son lancement la TPE.

 

 

Des collections de maillots de bain à partir de produits recyclés dès 2023…

 

Rappelons-le, celle-ci s’est donnée pour objectif de collecter les collants usagés afin de les recycler en nouvelles paires de collants. Un processus s’effectuant en boucle circulaire selon les préceptes de la transition écologique, précisément.

Par ailleurs, 2023 devrait être un grand cru pour cette entreprise que suivent de très près bon nombre de médias du fait de son originalité. Elle développe des collections de maillots de bain et d’autres types de produits à partir de matières recyclées, à l’estampille du fameux « made in Yonne ».

Un label qui a été de surcroît encouragé la semaine dernière par le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD lors de sa prise de parole au cours de la présentation officielle du concept « Terre de Jeux ».

 

 

En savoir plus :

 

Pour voter pour ECOLLANT, c’est simple, rendez-vous sur : http://ow.ly/KsFG50Lwo9c

Il suffit de renseigner votre adresse mail en haut de page, sélectionnez ÉCOLLANT et cliquez sur la mention « je vote » en bas de page et le tour est joué !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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