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C’est une valeur montante de la politique : Nathan DOS SANTOS-RISCADO, jeune « Marcheur » à l’appétit aiguisé !
mai 31, 2021« Je suis un « marcheur » de la première heure ! Au début, nous n’étions qu’une petite dizaine dans l’Yonne… ». Avec son baccalauréat Sciences Économiques et Sociales obtenu au lycée de Joigny en poche, ce jeune homme, âgé de 21 ans, jongle entre sa vie d’étudiant en Sciences Politiques à Lille et sa toute jeune expérience aux côtés des « Jeunes avec MACRON » et des ténors pilotés par Denis THURIOT aux régionales…
JOIGNY : Engagé depuis 2016 pour soutenir la candidature à la présidentielle d’Emmanuel MACRON, Nathan DOS SANTOS a assisté depuis cette échéance nationale avec grand intérêt aux joutes offertes par les législatives et par la campagne des européennes.
« Je ne pensais pas du tout que j’allais être mordu par la chose politique aussi longtemps ! C’était un soir à la suite du discours du président à la Mutualité je crois où Emmanuel MACRON a évoqué « notre projet ». Par la suite, j’ai adhéré sur le site « En marche » car il y avait un comité à Joigny. Le virus m’a pris, j’ai donc voulu assister à une réunion... ».
Militant au sein du mouvement « Les Jeunes avec Macron » (JAM), Nathan a été nommé référent départemental en 2018 puis coordinateur régional en 2020. Ce rôle a été davantage axé sur le management et la coordination entre les autres référents d’autres départements. Nathan, lui, s’est centralisé sur sa région de prédilection, la Bourgogne-Franche-Comté.
Les JAM représentent les jeunes citoyens du territoire français. Aujourd’hui, ils sont 27 500 adhérents répartis dans toute la France.
Des gammes réalisées dans les hautes sphères de la République…
Avec plusieurs stages à son actif, Nathan possède ce profil d’étudiant engagé au service des autres citoyens. Stagiaire à l’état-major des Armées en 2015 durant un mois, puis à l’Assemblée nationale au sein du cabinet de la présidente de la Commission de la Défense nationale et des forces armées de mai 2020 à juillet 2020, le jeune étudiant décide alors de franchir le pas : et de rouler finalement pour Emmanuel MACRON.
« Je pense véritablement que c’est quelqu’un qui peut porter des idées progressistes… ». De plus, il aime l’aspect juvénile de ce candidat et sa volonté d’être « au-dessus du clivage gauche-droite ».
Selon lui, les jeunes devraient davantage s’immerger en politique. « Je m’engage pour que la jeunesse prenne enfin son destin en main ! ».
Il est peut-être parfois difficile de prendre des initiatives dans un monde où peu de gens reconnaissent la crédibilité de la future génération. A 16 ans, alors qu’il était encore qu’au lycée, le garçon assume pourtant ses responsabilités.
Le meeting de Bercy 2017 : des souvenirs incroyables…
« Les gens faisaient les gros yeux quand je disais que j’allais tracter. Ils me disaient : « tu es un peu fou ! », « pourquoi fais-tu ça ? » ou encore « seras-tu payé pour le faire ? ». Cela montre aussi que la jeunesse n’est pas trop politisée en France... ».
S’être engagé dans la politique est pour Nathan la plus belle expérience qu’il ait pu vivre jusqu’alors.
D’une part, cela lui a permis de construire ses idées, de se faire une opinion réelle de tout qui l’entoure mais aussi de le faire grandir.
Lors de la campagne pour Emmanuel MACRON, Nathan faisait partie des « helpers » qui ont été associés aux « petites souris » de la présidentielle. Les « helpers » forment une petite équipe qui a pour rôle de participer à la logistique des meetings.
« L’un des plus beaux que j’ai vécu est celui de Bercy en 2017. C’était juste avant le premier tour de la présidentielle. Il y avait environ 20 000 personnes dans la salle. A la fin, je suis monté sur scène. Cela reste un souvenir incroyable pour moi… ».
La politique, en elle-même, possède un aspect noble, selon lui. Mais, celui-ci n’est pas assez mis en avant, d’où son engagement pour la représenter.
« Je pense véritablement que si les jeunes ont des idées à porter, il faut s'engager en politique, quel ce soit le candidat… ».
Promis à un bel avenir politique ?
Aujourd’hui, Nathan DOS SANTOS RISCADO se présente aux côtés du maire de Nevers, Denis THURIOT, tête de liste aux régionales jouant la carte de la majorité présidentielle.
Il a choisi de rallier cette liste car pour lui, c’est la personne (Denis THURIOT) qui rassemble le plus, à la tête d’une équipe de femmes et d’hommes possédant, d’après lui, des « valeurs de compétences investies dans leur territoire…C’est une véritable alliance… ».
Tout ce que cette équipe nous renvoie, c’est ce que soutient le jeune Nathan. Promis à un bel avenir en politique ?
Jordane DESCHAMPS
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La France aurait-elle atteint un point de non-retour en matière de sécurité et de liberté profanée ? C’est ce que pense sans ambiguïté le leader du Rassemblement National qui, profitant de la présentation de ses partenaires icaunais engagés à ses côtés pour les échéances régionales, a pointé du doigt l’état de non-droit actuel. Bénéficiant du soutien inconditionnel des militants de l’Avenir Français, transfuges de Debout La France, le membre du bureau national de la formation bleu marine a placé sur le curseur des priorités les arguments sécuritaires en pôle-position…
AUXERRE : La France est-elle en état de déliquescence absolue en matière de sécurité ? Sans fioritures, la réponse formulée par le très médiatique porte-parole du Rassemblement National est plus que positive ! D’ailleurs, l’essentiel de ses propos, tenus lors de la présentation de ses colistiers icaunais lors d’une récente conférence de presse, ne laisse nullement la place aux doutes. L’Hexagone traverse une situation de crise aigüe et qui risque de perdurer longtemps si des mesures drastiques ne sont pas appliquées avec force et immédiateté.
Déplorant la perte de deux fonctionnaires dans l’exercice de leurs métiers, Julien ODOUL a eu une pensée et un temps de recueillement en mémoire du gardien de la paix Eric MASSON, abattu froidement dans une rue en Avignon.
Une tragique interpellation d’un dealer qui a viré au drame, provoquant l’ire du porte-étendard du RN en Bourgogne Franche-Comté : « La France doit mener un combat impitoyable contre ces trafiquants… ». Une véritable déclaration de guerre pour le conseiller municipal d’opposition de Sens qui s’insurge contre les perpétuelles incantations d’un gouvernement, laxiste à ses yeux parce que ne prenant pas les bonnes mesures coercitives.
Deux leitmotivs prioritaires : la sécurité et la protection des citoyens…
Au-delà de ces mots introductifs sans ambages, on l’aura compris : la tête de liste du Rassemblement National qui brigue un nouveau mandat d’élu à la Région tout en convoitant le fauteuil suprême de président de l’institution, place la sécurité et la protection de ses concitoyens parmi ses leitmotivs prioritaires.
Un choix stratégique dont il ne dérogera pas jusqu’au terme de son intervention puisque pour lui, « aucun organisme ne peut se dédouaner de cette mission ». Balayant d’un revers de la main ses nombreux détracteurs qui préfèrent être obnubilés sur d’autres thèmes de campagne que sont la santé ou l’éducation. Toutefois, le volet de la sécurité n’entre pas dans le domaine de compétence de l’organe régional. Il n’est de ce fait l’apanage que de l’Etat et de lui seul.
Qu’à cela ne tienne en vérité pour le communicant Julien ODOUL qui égrène ensuite une panoplie de mesures visant à renforcer la sécurité dans le territoire. Depuis le recrutement de compétences armées devant officier dans les gares routières et ferroviaires, y compris dans les moyens de transport, mais aussi d’agents assermentés qui viendraient grossir les rangs des effectifs de la police municipale.
Certes, elle n’est pas la panacée absolue mais la vidéo-protection gagnerait également les entreprises, soumises à de nombreux cambriolages depuis plusieurs mois. Les « bandes des pays de l’Est », visées par l’orateur du jour, n’auront plus qu’à pointer à Pôle Emploi !
Mais, au-delà de ces dispositifs anti-empêcheurs de tourner en rond, le chef de file de la formation bleu marine n’en oublie pas les victimes de ces actes d’incivisme et de non-respect d’autrui.
Ainsi, une enveloppe de 5 millions d’euros serait attribuée aux personnes ayant subi des violences conjugales et autres méfaits du même acabit qui paraissent à la une des pages faits divers des médias.
Des flèches acerbes adressées à ses adversaires…
Soucieux d’apporter du concret et du réalisme dans les réponses que souhaitent entendre son électorat, Julien ODOUL, s’il est aux commandes de la région, coupera les vivres à celles des structures et autres organisations associatives qui alimentent la délinquance. Un vivons ensemble à reconstruire qui passerait immanquablement par le haro sur le gaspillage public dont il dénonce avec véhémence la pratique quotidienne depuis des lustres.
Voulant un moratoire sur la politique des villes et les cinq quartiers réputés les plus dangereux de ces mêmes agglomérations qui paradoxalement sont les plus riches du territoire, le candidat trentenaire veut mettre le paquet en termes de subventions pour aider les secteurs ruraux.
Dans le viseur, on s’en doutait : le département de l’Yonne, qui à l’instar de la Nièvre ou de la Haute-Saône, demeure l’un des parents pauvres côtés retombées financières avantageuses.
Se fendant d’une formule toute faite (« Rien n’est possible sans la sécurité que ce soit l’économie, le développement des transports et la protection environnementale…), le trublion de l’hémicycle régional fustige les « magouilles de tout poil » qui se vivent chez ses adversaires durant cette campagne, précisant, quant à lui, avancer sans masque.
Maniant le verbe et la gestuelle à son habitude, l’élu de l’Yonne n’épargne personne dans cette succession de reproches et de petites piques acérées qu’il adresse à ses opposants.
La première de ces cibles n’est autre que la présidente de l’exécutif. Une Marie-Guite DUFAY qui « aurait pu avoir d’autres ambitions compte tenu de son cursus que de ne faire barrage qu’au RN ». « C’est la candidate du passé et du passif, inodore et incolore… ».
Traité de « Tartuffe », le patron des Républicains Gilles PLATRET se voit qualifier de spécialiste des « tambouilles politiques » avec à la clé le débauchage d’anciens frontistes convertis entre-temps à la cause de Debout La France. Sans omettre des écologistes issus d’un « nébuleux mouvement » dont le « gourou » n’est autre qu’Antoine WAECHTER !
Bref : pour Julien ODOUL, cette cuisine politicienne a le goût au palais d’un « mauvais bœuf bourguignon indigeste ! ».
Quant au troisième personnage marquant de ces régionales, le maire de Nevers Didier THURIOT, à l’estampille de la République en Marche, il ne serait « qu’un adepte du recyclage de grumeaux comprenant un assemblage hétéroclite qui est la marque de fabrique de LREM, avec tout et le contraire de tout ! ». La messe des critiques est dite !
Désireux réduire la fracture sociale et économique observée entre les grandes villes du territoire et les zones rurales, Julien ODOUL a trouvé avec les représentants de l’Avenir Français des alliés de circonstance. Unis pour la même idéologie, en tentant de remporter le gain de la victoire.
« Nous possédons les mêmes valeurs, a rappelé le responsable politique RN, la commission d’investiture nationale a validé cette liste, la plus représentative de nos convictions… ».
A noter parmi celle-ci, les patronymes de Pascal BLAISE, ancien responsable de Debout La France dans l’Yonne et aujourd’hui membre fondateur de l’Avenir Français qui occupe la troisième position ou encore Annick VILBOIS, de la même mouvance politique à la quatorzième place ; mais également Audrey LOPEZ, conseillère municipale de Villeneuve-sur-Yonne, Xavier ROSALIE, premier adjoint de la commune de Piffonds ou encore Alexandre BROCHIER, ancienne figure du mouvement des « Gilets Jaunes ».
Avec ce groupe, Julien ODOUL entend bien jouer un rôle plus que de favori au soir du 27 juin, adoubé par Marine LE PEN qui est venue lui apporter son soutien lors d’un déplacement ce mardi à Chalon-sur-Saône. Dans le fief de Gilles PLATRET, comme c’est étrange !
Liste des candidats :
Julien ODOUL, président du groupe RN à la Région BFC,
Audrey LOPEZ, conseillère municipale à Villeneuve-sur-Yonne,
Pascal BLAISE, Avenir Français, membre fondateur,
Anissa BEERRAHO,
Alexandre BROCHIER,
Patricia GRASSET,
Romain LUBOUE, conseiller municipal de Pont-sur-Yonne,
Elodie REBILLON,
Daniel GRENON,
Vanessa HERNANDEZ,
Léandre CROENNE,
Karine CHICANNE,
Xavier ROSALIE, premier adjoint à Piffonds,
Annick VILBOIS, Avenir Français.
Thierry BRET
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Patrick GENDRAUD en leader charismatique d’une majorité départementale qui se prend à rêver d’un carton plein ?
mai 22, 2021Et si la majorité départementale actuelle réalisait son meilleur score au soir du 27 juin ? Ce serait certes du jamais vu, dans le landerneau icaunais. Même si le territoire est solidement ancré à droite et au centre droit depuis des lustres. Toutefois avec le bénéfice de 36 élus qui l’ont soutenu durant la mandature qui s’achève sur les 42 composants l’exécutif départemental, Patrick GENDRAUD dispose d’un confortable matelas de sécurité, pouvant l’emmener vers sa réélection au sommet du perchoir. Mais, cela ne reste que de la pure théorie !
AUXERRE : L’adage le précise à sa juste valeur : « il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ! ». Pourtant à bien y regarder de près même en soupesant le tout, l’effet naturel de la prime au sortant pourrait avoir, s’il était encore appliqué en ces temps troublés du « dégagisme », bien des conséquences heureuses pour l’actuelle majorité départementale.
Celle composée de représentants de la droite, du centre droit et des indépendants –mais avec une inclinaison préférentielle dans la balance tout de même ! – qui sont rassemblés sous la bannière de « Unis pour l’Yonne », au service de la candidature sur la plus haute marche du podium électif de Patrick GENDRAUD.
Il y a quelques jours, c’était donc branle-bas de combat à Migennes, fief de l’un des leurs, le conseiller sortant et édile de la ville François BOUCHER, pour accueillir cette équipe renouvelée à 30 % à la conquête du Graal suprême : celui de l’exécutif départemental.
D’entrée de jeu, et au-delà des sourires qui s’affichaient de circonstance sur les visages radieux des binômes en séance photo officielle, ceux qui partent en ordre de marche pour tenter de se qualifier au second tour de ces échéances départementales (20 et 27 juin), un mot d’ordre était lâché par l’ancien maire de Chablis, lors de son explication de texte face aux journalistes, « unité » !
Alors, fi des querelles de quartier qui peuvent parfois exister y compris entre élus du même bord ou des ego surdimensionnés qu’il est nécessaire de contenir dans sa poche, rien ne doit transpirer désormais dans cette volonté unioniste devant impérativement placée sur orbite céleste le vaisseau amiral de l’Yonne : celui que pilote la majorité départementale.
Trois cantons sans soutien de la majorité départementale…
Au plan comptable, l’équation se révèle très simple même pour un mathématicien en herbe. Quatre-vingt binômes soit 160 candidats vont se disputer les 42 sièges à pourvoir permettant d’assurer la gouvernance de cet hémicycle dont les prérogatives ont été rognées avec la loi Notre et qui aura bien du mal à pencher autrement qu’à droite et au centre droit in fine.
70 % des conseillers sortants issus de la majorité actuelle repartent à l’assaut d’un nouveau mandat. Quand on sait que nos concitoyens sont réfractaires au changement et à ses impacts parfois imprévisibles, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour envisager la suite.
Serein, peu avare en détails, prenant le temps de l’analyse et de l’explicatif, Patrick GENDRAUD évoque donc les caractéristiques essentielles de cette liste qui lui est foncièrement acquise.
Ici, pas de logique partisane et politicienne entre représentants des Républicains et l’UDI qui la constituent, ces candidats sont « des élus de terrain, de proximité, qui travaillent pour servir les intérêts de leur territoire et de leurs habitants avant toute autre chose… ».
Une curiosité fait tilt toutefois dans les esprits avisés des représentants de la presse : le soutien de la majorité départementale aux candidats de 18 cantons sur 21. Cas d’école intéressant : le ticket Pascal HENRIAT et Delphine BILLON (Auxerre 4) n’est en fait soutenu que par le président en exercice de la vénérable assemblée mais pas par le collectif majoritaire ! En outre, deux autres cantons ne reçoivent pas la bénédiction de la majorité, ceux de Joigny et de Vincelles.
Le credo de la liste est le suivant : un bilan, des ambitions. L’exécutif considère qu’au terme de la mandature écoulée, il n’a pas à rougir de ce qui a été entrepris, bien au contraire !
Dans les faits, la dette s’est réduit considérablement ce qui a permis de dégager un excédent de cinquante millions d’euros. D’où la sérénité dans l’appréciation de ces données de la part de l’élu de l’Yonne.
« Les investissements étaient au rendez-vous durant le mandat effectué : cent millions d’euros accordés à la réfection des réseaux routiers, 66 millions dédiés au SDIS (Service départemental d’incendie et de secours), 210 millions priorisés vers le dossier de l’éducation ou encore 44 millions d’euros pour soutenir les milieux associatifs et les communes… ».
Le numérique, la mère des batailles pour rendre attractif le territoire…
Mais, invariablement, le cheval de bataille, la mère de tous les combats que mène Patrick GENDRAUD depuis sa prise de fonction tout en haut de l’échelle institutionnelle, c’est la lutte contre la fracture numérique.
Celle qui prive encore, du fait de zones blanches et de lenteurs techniques habituelles, des secteurs de notre territoire des bienfaits de la digitalisation.
« En 2023, l’Yonne sera raccordé à la fibre optique. Son déploiement est fondamental pour l’attractivité de notre territoire qui en a besoin dans l’approche sanitaire et médicale, le télétravail avec l’essor des visioconférences. Grâce à une DSP (délégation de service public) accordée fin 2019 à une société privée, le département a gagné sept ans dans l’accession à la fibre optique. Ce n’est pas rien ! Puisque j’évoque le volet santé, nous souhaitons installer des médecins dans l’Yonne en mettant en place dès le mois prochain une expérimentation à l’identique de celle vécue en Saône-et-Loire où le salariat est la primauté pour se densifier en praticiens.
Du côté de la voirie, nous allons renforcer nos compétences régaliennes en prévoyant un budget de 130 millions d’euros sur six ans qui sera engagé après le scrutin ».
Non soucieux du temps qui file, Patrick GENDRAUD aborda ensuite sa vision personnelle qu’il a de l’environnement. Via la nécessaire valorisation des produits du terroir et des circuits courts, devant permettre de sustenter les 14 000 collégiens qui désirent manger autre chose, c’est-à-dire du frais, du local et du goûteux !
Le président s’épanchera aussi sur le maintien des services à la population avec ce fameux moyen mobile, auréolé d’un label France Service, un bus qui offre des fonctions de guichet unique dans les secteurs les plus reculés. « Nous allons développer le principe du « aller vers », résume-t-il.
Le volet du RSA lui tient également à cœur. Même s’il déplore que l’aide de l’Etat (28 millions d’euros annuels sur les soixante requis) demeure insuffisante. L’Yonne est le premier département rural de l’Hexagone à porter, avec le concours de Pôle Emploi, le SPI, soit le Service public de l’insertion par l’emploi afin de favoriser le retour des personnes inactives sur le marché du travail.
Les collèges, du domaine d’appétence de l’institution, sont également concernés par la baisse des dépenses de la consommation énergétique. Une maîtrise supplémentaire de 12 % fait figure de priorité dans le cadre d’un nouveau mandat.
Enfin, Patrick GENDRAUD ne pouvait conclure ce tour d’horizon exhaustif des grands dossiers devant constituer le programme de « Unis pour l’Yonne » sans évoquer le tourisme et ses enjeux, surtout après la crise.
La politique d’aménagement de véloroutes mais aussi un réel travail de partenariat conduit avec les EPCI confortera la vision globale que le candidat à la présidence du Conseil départemental à la date du 01er juillet prochain souhaite imprimer à ce territoire, cher à ses yeux, puissant dans son cœur.
Thierry BRET
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Jusqu’au 24 mai à Saint-Aubin Châteauneuf : bienvenu dans les Ateliers d’Artistes qui réchauffent le cœur…
mai 22, 2021La créativité traduite dans ses multiples expressions artisanales se dévoile comme un livre ouvert jusqu’au 24 mai dans cette bourgade de l’Yonne. Quatorze esthètes de l’art présenté sous sa meilleure carapace invitent les visiteurs à s’immerger dans leur univers fait de rêveries et de lyrisme. Une manière très agréable de renouer enfin avec les plaisirs contemplatifs de l’actualité culturelle…
SAINT-AUBIN CHATEAUNEUF : Répartis dans une demi-douzaine d’ateliers, ce sont quatorze chantres de la pratique artisanale poussée jusqu’à son paroxysme artistique qui accueilleront tout au long de ce week-end de Pentecôte des visiteurs curieux de se délecter de pièces uniques et d’œuvres d’art savamment travaillées.
Qui s’en plaindrait après la période d’immobilisme intellectuel qui nous a privés d’une multitude de contacts enrichissants aux côtés de ces créateurs et de la vision de leurs œuvres.
Connu et apprécié pour son judicieux parcours, « Le Chemin des Arts », sur lequel les badauds se doivent de cheminer durant ses trois kilomètres de balade pour en apprécier toute sa quintessence, le village de l’Aillantais se veut être le repère idéal de ces artistes contemporains qui ont ponctué le lieu de leurs œuvres parfois monumentales nées de leur imaginaire.
Pour cette opération, quatorze d’entre eux (sculpteur, photographes, peintre, designer, céramiste, plasticienne, spécialiste de l’expression artistique sur papier végétal…) nimberont de leur lumière ce week-end placé sous le sceau de la découverte et de l’admiration. Entre deux nuages et un salvateur rayon de soleil, personne ne boudera son plaisir d’être présent à pareille fête pour le regard !
En savoir plus :
Les artistes à découvrir :
Chemin du Fort – Atelier UGO :
Ugo GUTTADORO et Yvon TONNERRE, sculptures
4 Ruelle Falcucci :
Philippe CIBILLE et Anne Nguyen Dao, photographies
4, grande rue – Atelier YILDIRIM :
Ismail YILDIRIM, peinture et sculpture ; Sandrine BEAUDUN, artiste papier végétal et Olivia BARDINA, photographe
Au 26 de la rue chaude :
Laureline Lê, artiste plasticienne et Hugo DUINA, designer
14, rue Vendôme :
Patrice LAGRANGE et Christine BERTHONNET, peinture
9 de la rue Vendôme – Atelier Gaudebert :
Alain GAUDEBERT et Virgile LOYER, céramistes, et Marie MARCELL plasticienne. Ainsi que l’atelier du 19B et le musée Jean-Larcena.
Thierry BRET et Maryline GANDON
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Le recyclage des matières plastiques est sa spécialité : RECYTHERM reçoit 281 124 euros d’aides de l’Etat
mai 21, 2021Comprendre les enjeux et perspectives d’une belle PME positionnée dans le traitement des matières plastiques, tel était le sens de la visite préfectorale concoctée ce 18 mai au sein de la société RECYTHERM. Henri PREVOST, préfet de l’Yonne, a pris soin de questionner ses hôtes sur toutes les subtilités techniques qui ont amené la structure icaunaise à être bénéficiaire des subsides accordés dans le cadre du plan France Relance…
BRIENON-SUR-ARMANCON : Contexte sociétal oblige, le représentant de l’Etat a fait du soutien économique l’une de ses priorités régaliennes, multipliant les visites sur des sites industriels qui lui étaient jusqu’alors inconnus. Une immersion passionnante dont il ne se lasse pas, de semaine en semaine, annonciatrice de nouvelles positives pour les entrepreneurs qui ont le privilège de l’accueillir.
En effet, quand Henri PREVOST se déplace au sein de ces unités de production, c’est dans la plupart des cas, du moins depuis plusieurs mois, pour évoquer le soutien du gouvernement qui s’est pleinement mobilisé en apportant une réponse immédiate et forte avec la mise en œuvre du plan de relance. Un plan synonyme de distribution d’enveloppes financières.
Donner une seconde vie au plastique recyclé…
En se rendant au sein de la société RECYTHERM, spécialiste du recyclage de matières plastiques par broyage, le haut fonctionnaire n’a pas dérogé à la règle. Non seulement, il a remis aux dirigeants de l’entité le fameux trophée de plexiglas symbolisant le dispositif France Relance. Mais, en outre, il s’est félicité que l’entreprise icaunaise ait pu bénéficier d’une coquette somme de 281 124 euros, des fonds destinés au développement des actions de recyclage de ces matières plastiques envahissantes.
Analysé, qualifié dans le laboratoire du site, le plastique sera transporté après sa collecte et son traitement par broyage vers l’unité d’extrusion où il deviendra une nouvelle matière première sous forme de feuilles et de plaques destinés à la production de pièces thermoformées.
Lors de sa visite, Henri PREVOST a par ailleurs rappelé que « dans le cadre de ce plan de relance exceptionnel, le soutien à l’investissement et à la modernisation dans l’Yonne concernait huit entreprises industrielles ayant bénéficié de près de quatre millions d’euros d’aides leur permettant de réaliser 15 millions d’euros d’investissement ».
Parmi ces huit structures se trouve RECYTHERM qui pourra ainsi poursuivre ses projets de développement.
Thierry BRET
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