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Prévues les 13 et 14 mars, les journées « portes ouvertes » du compagnonnage se vivaient déjà comme un moment de rencontre intense entre les familles, les jeunes, les métiers et les responsables de la vénérable institution séculaire. Or, le coronavirus a balayé les espérances les plus optimistes du prévôt de la maison des Compagnons d’Auxerre. La mort dans l’âme, Dimitri ANDRIOT a dû procéder à leur annulation en dernière minute. Refusant au passage l’accès à quelques familles et jeunes gens désireux d’en connaître davantage sur les métiers de l’artisanat qui sont enseignés par ce système d’apprentissage noble et performant…
AUXERRE: Cela aurait dû être une grande fête. Et un moment propice pour faire toute la lumière sur les us et coutumes séculaires qui sont véhiculés par cette belle école de la vie et de la formation professionnelle. Le symbole flamboyant du compagnonnage et de son fameux Tour de France ! Oui mais voilà, le hasard en a voulu autrement. Ou plutôt la malchance.
Il aura fallu ce maudit coronavirus et sa circulation tous azimuts sur notre territoire pour que tous les plans tirés au cordeau par le prévôt de la célèbre maison auxerroise soit à jeter par terre !
Programmées de longue date, les traditionnelles « portes ouvertes » de ce centre de formation aux vertus si caractéristiques n’y auront pas échappé. Annulation sine die. Alors que tout était paré pour accueillir le public, c’est-à-dire des familles et ces jeunes gens désireux d’en connaître davantage sur les réelles opportunités offertes par cet enseignement de belle qualité déontologique.
Même la direction régionale de la vénérable institution avait encore pensé maintenir l’évènement vingt-quatre heures auparavant. Mais, à l’instar des très nombreuses manifestations pédagogiques, culturelles et sportives qui ont rejoint le lot de la catégorie des pertes et profit en l’espace de quelques heures, les Compagnons du Devoir n’ont pu aller jusqu’au bout de leurs désirs.
Ceux de charmer et d’enthousiasmer celles et ceux qui rêvent d’une autre forme d’apprentissage. Celles et ceux qui veulent sublimer le travail manuel à son expression la plus aboutie pour en faire un « chef d’œuvre » : celui de leur quête professionnelle…
Pour l’heure, et devant ravaler une déception légitime qui est tout à fait naturelle, Dimitri ANDRIOT a adopté la mise en place de cours de substitution par le biais de la technologie (e-learning) pour occuper ses troupes.
Une manière de répondre positivement par le sens de l’adaptabilité à cette situation inhabituelle qui ne doit pas remettre en cause la qualité de l’enseignement prodiguée en ces lieux. Une initiative louable avant le juste retour des choses…bientôt ?
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Les stratégies prises par les staffs décisionnels des constructeurs automobiles sont uniformes et se dévoilent les unes après les autres. Après RENAULT et PSA, c’est au tour du japonais TOYOTA de fermer boutique et de suspendre la production de ses véhicules dans ses usines européennes en raison de la pandémie galopante de coronavirus.
PARIS : L’impact économique et social sera indéniable pour le fabricant automobile nippon. Mais, au vu des perspectives de ventes à court terme et des difficultés logistiques à maintenir en état les chaînes d’approvisionnement, il n’existait pas d’autre alternative pour le constructeur que d’arrêter temporairement ses activités. D’autant que la sécurité et la santé des employés guident avant toute chose les choix de l’entreprise.
Voulant faire preuve de réactivité face à la propagation du coronavirus sur le Vieux Continent, TOYOTA a donc organisé jusqu’à nouvel ordre la suspension progressive de ses activités, notamment sur ses sites de production en Europe.
L’arrêt des usines du groupe asiatique est entré en vigueur le 18 mars pour une durée indéterminée. Cela concerne l’unité de production implantée dans la région de Valenciennes (Onnaing). Mais aussi les ateliers de fabrication de Grande-Bretagne, de Pologne, de République Tchèque et de Turquie.
Cependant, les activités indispensables telles que la distribution de pièces pour l’entretien et la réparation des véhicules (ceux de la sécurité publique) sont maintenues.
En parallèle, la direction du groupe assure toujours des activités sur les projets portant sur le lancement de nouveaux modèles. En marge du redémarrage.
Depuis l’archipel, d’autres informations ont par ailleurs précisé que « le maintien des opérations dans le réseau de réparateurs et de distributeurs (ventes véhicules neufs et activité après-vente) sera évalué en fonction de la situation de chaque pays, voire de chaque région ».
Précisons que dans les pays où des mesures de confinement ont été adoptées par le gouvernement (ce qui est notre cas dans l’Hexagone), les show-rooms des concessionnaires ont été totalement ou partiellement fermés.
Toutefois, la continuité de service des concessionnaires demeure possible par voie électronique ou téléphonique selon les cas.
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La Région Bourgogne Franche-Comté soutient TPE et indépendants en difficulté grâce au fonds de solidarité…
mars 18, 2020La présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, a confirmé la participation immédiate de la collectivité à hauteur de dix millions d’euros à renouveler si nécessaire en cas de prolongation de la crise sanitaire à un fonds de solidarité. La décision fait suite à la visio-conférence que la responsable de l’exécutif régional a eu ce mardi 17 mars avec les autres présidents de région, rassemblés à l’invitation du Premier ministre Edouard PHILIPPE…
DIJON : L’engagement sera soumis au vote des élus. Selon des modalités qui restent encore à définir eu égard à l’évolution du contexte sanitaire.
Mais, une chose est d’ores et déjà sûre : l’institution régionale apportera bel et bien sa pierre à l’édifice constitutif de ce fonds de solidarité national pour soutenir les TPE et les entreprises individuelles en proie à de sérieuses difficultés.
Dès la fin de ce mois de mars, un versement de mille cinq cents euros sera adressé à plus de vingt mille entrepreneurs du territoire qui sont fragilisés par la baisse de leur activité, imputable à la propagation du coronavirus sur l’Hexagone.
Pilotées par les directions départementales des finances publiques, ces subsides concerneront les entreprises qui réalisent moins d’un million d’euros de chiffre d’affaires et qui emploient moins de dix collaborateurs.
Une condition, toutefois, pour y prétendre : seront éligibles uniquement les sociétés qui ont vu leur activité stoppée ou leur chiffre d’affaires réduit de 70 % sur la période de ce mois de mars, par rapport à mars 2019.
Ce fonds de solidarité, évoqué par le président de la République Emmanuel MACRON lors de son intervention audiovisuelle le 16 mars, doit permettre de préserver le tissu économique dans les régions. Composé en Bourgogne Franche-Comté à 80 % de toutes petites entreprises (TPE).
Au niveau national, ce fonds de solidarité sera doté d’un milliard d’euros. Il concerne aussi les microentreprises et les entrepreneurs indépendants.
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Préventives et curatives : les huiles essentielles, de précieuses alliées pour contenir les effets de l’hiver…
mars 18, 2020Si la France vit dans un état de confinement quasi général depuis quarante-huit heures afin de lutter de manière radicale contre la propagation du coronavirus, il n’empêche que d’autres pathologies circulent encore dans le pays, à l’image de la grippe. Or, de nombreuses études scientifiques ont démontré la puissance des huiles essentielles en guise de prévention mais également en curatif qui peuvent nous aider à vivre au mieux cette période épidémique…
TRIBUNE: Quelques conseils à pratiquer en guise de préventif. L’huile essentielle de ravintsara : elle est l’indispensable alliée pour combattre les effets néfastes de l’hiver, à avoir toujours avec soi !
Dès les premiers symptômes, on en prend deux gouttes sur un support, à raison de deux à trois fois par jour. Immunostimulante, cette huile améliore le système immunitaire de l’organisme et lui permet de lutter contre les virus, parasites et bactéries. A employer aussi bien en préventif et curatif pour toutes les infections de l’hiver : pharyngite, sinusite, bronchite, rhinite, rhume, otite, angine, maux de gorge, toux, grippe, gastro-entérite… On peut la prendre sous forme cutanée dès l’âge de trois ans et par voie orale à partir de sept ans.
N’oublions pas l’huile essentielle de muscade d’Afrique : elle est fortement immunostimulante. On l’utilisera pour toutes infections virales et bactériennes, en particulier celles des voies respiratoires, ainsi que la grippe. Là aussi, elle peut être utilisée en cutanée dès trois ans et par voie orale à partir de sept ans ; il est nécessaire de la combiner avec l’huile essentielle de Goyave également immunostimulante.
Ces deux produits pourront s’utiliser en synergie : une goutte de chaque sur un support trois fois par jour en prévention et en curatif de dix à douze jours, tout en effectuant une pause de deux jours, avant de reprendre la cure.
Fabriquer son gel hydro-alcoolique soi-même…
Jamais, autant de messages n’ont été diffusés vers le commun des mortels pour qu’il réapprenne à se laver les mains de manière régulière. Elles sont le vecteur idéal pour véhiculer les virus autour de soi.
Donc, à défaut de gel hydro-alcoolique, vous pouvez toujours fabriquer le vôtre ! Voici une recette pour contourner le délicat problème de réassort actuel.
Prendre un flacon pulvérisateur de 30 ml. Puis, y ajouter dix gouttes d’huile essentielle de « Tea Tree » ou arbre à thé, dix gouttes d’huile essentielle de lavande fine, dix gouttes d’huile essentielle de ravintsara, 9 grammes d’alcool à 60° ou de vodka à défaut, 2 ml d’huile végétale d’olive, un gramme de glycérine et l’on complète le flacon avec du gel d’aloé vera.
Dès les premiers symptômes, on peut aussi utiliser l’huile essentielle de laurier noble. Cette dernière aurait, selon les études, une activité sur les coronavirus, en règle générale.
Ce produit est à consommer par voie cutanée : idéalement sur les poignets et la plante des pieds. On peut ainsi appliquer cinq gouttes de laurier noble sur la voûte plantaire de chaque pied, de deux à trois fois par jour jusqu'à la disparition des symptômes. L’aromatologue Pierre FRANCHOMME la préconise également en suppositoire.
Quant à l’huile essentielle d’eucalyptus globulus, elle est à associer au laurier noble par diffusion. Soit dans un diffuseur à quantité égale, avec cinq gouttes de chaque à diffuser durant cinq minutes, de cinq à six fois par jour. Soit en fabricant un stick à inhaler avec trois gouttes de chaque et à respirer six fois par jour
Pour en savoir plus sur les virus et les huiles essentielles, je vous conseille cette vidéo de Pierre Franchomme : https://www.youtube.com/watch?v=Ujx2NMqVcnc&t=1829s&fbclid=IwAR0N45t_Pvzkw7Ik38QFDJfHm9O51i8vLPLvvxKcID_mByb875sMvzoaMbMi
Rappel : comment utiliser ces huiles essentielles…
Le plus facile : par voie orale sur un support (sucre, morceau de pain, miel) en y plaçant deux gouttes au total d’huiles essentielles de trois à quatre fois par jour. Ces dernières sont très puissantes : il est donc conseillé de respecter cette posologie.
On peut également en faire profiter l’entourage s’il n’y a pas de contre-indications et les diffuser. Par exemple, en mélangeant des huiles essentielles de sapin baumier, de citron et d’eucalyptus globulus pour assainir l’atmosphère.
Toutefois, on ne diffuse que pendant dix à vingt minutes deux à trois par jour. Ne pas le faire en présence de jeunes enfants (moins de 3 ans) ou de personnes asthmatiques.
Précaution : certaines huiles essentielles sont contre-indiqués pour les femmes enceintes et allaitantes, ou encore les personnes épileptiques et asthmatiques.
Ne pas hésiter à demander conseil à un spécialiste avant l’utilisation en cas de doute. Les conseils apportés dans cet article ne se substituent nullement à un diagnostic médical, ni à un traitement allopathique…
Maryline GANDON
AROMA & Cie
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Treize cas ont été recensés dans l’Yonne : la ruralité de notre territoire, précieux atout pour nous préserver du virus ?
mars 17, 2020Etrange conférence de presse que celle-ci. Hormis l’ambiance presque ouatée qui règne dans le bâtiment préfectoral, chacun des acteurs, peu nombreux en ce jour de confinement du pays, veille à respecter la distance idéale de sécurisation. En prenant moult précautions dans l’une des salles de la préfecture de l’Yonne. Pourtant, le directeur de cabinet du préfet Tristan RIQUELME apporte de précieuses indications sur le degré de virulence de la pathologie sur notre territoire. Avec seulement treize cas déclarés à ce jour et aucun décès à déplorer, l’Yonne se situe à un très faible niveau de propagation. Les nouvelles mesures de restriction inhérentes à la mobilité arrivent donc à point nommé pour endiguer le fléau…
AUXERRE: Le sous-préfet Tristan RIQUELME a promis d’effectuer de manière régulière des points presse pour faire toute la lumière sur la circulation du coronavirus dans l’Yonne.
Apportant ainsi davantage d’eau au moulin informatif comme le souhaitait la presse départementale. Celle-ci est désappointée de ne pas avoir plus de précisions statistiques locales de la part de l’Agence régionale de santé (ARS).
Certes, l’organisme de surveillance sanitaire envoie chaque jour un communiqué de presse qui permet de suivre le parcours évolutif de la maladie sur notre contrée. Un état des lieux qui tombe en fin d’après-midi. Sans pour autant que ne soient trop affinés les chiffres de notre département.
Aussi, dans cette volonté de transparence et de communication qui est sienne, la préfecture de l’Yonne a décidé de compléter ces informations régionales.
Première observation, alors que le virus progresse de manière exponentielle dans le Grand-Est, l’ouest et le nord de la Bourgogne Franche-Comté sont encore très préservés et finalement peu affectés par le virus.
A l’identique de la Nièvre, l’Yonne enregistre une courbe de progression très faible de la pathologie, comparativement à ses voisins de l’Est. Seulement treize cas y ont été dénombrés. Sachant que la majorité des personnes contaminées demeurent à domicile. Au plan géographique, ces malades se répartissent équitablement entre Auxerre et Sens.
Interrogé sur sa perception personnelle de cet épineux dossier, Tristan RIQUELME constate que le nombre de nouveaux cas augmente pourtant tous les jours.
« Toutefois, ajoute-t-il, nous sommes au bon moment pour que le coronavirus ne se répande plus sur notre territoire. Si les mesures de confinement mises en place depuis douze heures ce mardi sont respectées, on pourra alors maîtriser la propagation du virus, voire enrayer le phénomène… ».
La dimension rurale de l’Yonne devient un atout…
Pourquoi le département de l’Yonne ne connaît-il pas autant de cas de contaminations que les autres territoires de la région, à l’instar de la Côte d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs ?
Tristan RIQUELME dispose de solides arguments qui prennent leurs origines sur la typologie même de notre zone géographique, à forte vocation rurale, pour étayer sa réponse.
« Peu de rassemblements d’envergure nationale sont accueillis dans l’Yonne, explique le directeur de cabinet du préfet Henri PREVOST, en outre, nous sommes traversés par une autoroute du nord au sud mais nous ne possédons pas, en revanche, de nœuds de communication très importants… ».
D’ailleurs, pour s’en convaincre, ce sont bel et bien les centres urbains du nord de l’Yonne qui sont aujourd’hui les plus concernés par l’expansion de ce virus. Logique : ils sont plus proches de la région francilienne, foyer virulent de la pandémie.
En résumé, la ruralité de notre département est devenue un atout indéniable contre la diffusion de l’envahisseur microscopique.
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