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C’est le sésame des touristes cet été : le Pass Découverte BFC, plus personne à la Région ne peut s’en passer !
juillet 17, 2020L’essayer, c’est l’adopter, précise le vieil adage ! Alors, suivez les conseils de la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY et de son vice-président en charge du tourisme Patrick AYACHE, fervents défenseurs de notre patrimoine ! Faites comme eux et munissez-vous cet été de ce passeport unique en France. A moindre coût, il offre l’opportunité de découvrir plus de 90 sites d’exception…
CHATEAUNEUF (Côte d’Or) : Même s’il représente une judicieuse alternative à la crise sans précédent que connaissent les professionnels du tourisme et des loisirs, le concept « Pass découverte » ne date pas d’hier. Sa gestation remonte déjà à deux ans. Elle est le fruit d’une symbiose parfaite entre le Comité régional du Tourisme de Bourgogne Franche-Comté et de la Région.
Un organe institutionnel qui n’a de cesse de promouvoir via son Schéma de développement du tourisme et des loisirs les valeurs patrimoniales de son territoire d’influence. Et pour cause : le tourisme représente l’un des vecteurs essentiels de l’activité économique de cette zone géographique du Centre-Est de l’Hexagone.
Vis-à-vis de la clientèle étrangère qui, chacun le sait, fera cruellement défaut en cette période estivale à la suite de l’épidémie virulente de coronavirus. Mais aussi, de ces visiteurs Français qui daignent retrouver le temps des vacances ou d’un court séjour les charmes bucoliques et champêtres de ce terroir qui a donné naissance à de si grands nectars et qui accueille de si beaux édifices. A l’instar de ce vestige architectural de Châteauneuf, sublime construction moyenâgeuse propriété de la vénérable institution régionale.
Des prix modiques pour des découvertes exceptionnelles…
Parler de tourisme et de ses offres promotionnelles en ces murs ne présentait donc aucun signe d’incongruité sur le papier. Bien au contraire ! D’autant que ledit castel intègre la liste bien fournie des quatre-vingt-dix sites prestataires retenus faisant office de relais idéal à ce « Pass découverte » que chacun se doit de posséder.
Evoquons son coût, de prime abord. Il est très modique au vue de la qualité de la prestation. Proposé auprès des offices du tourisme que comptent les huit départements de notre vaste contrée, la grille tarifaire oscille entre 30, 45 et 80 euros pour les adultes, sur la base respective d’une durée d’utilisation de trois, sept et 365 jours. Pour les enfants, le prix est à diviser par deux !
Une paille lorsque l’on connaît la suite. Une fois acquis, ce passeport vers la découverte et l’immersion au cœur de l’Histoire entraîne son possesseur à visiter gratuitement une noria de musées, châteaux, centres culturels, édifices religieux et autres sites pittoresques. Pas uniquement dans son département de prédilection mais bel et bien sur l’ensemble des huit zones qui constituent la Bourgogne Franche-Comté !
On l’aura compris : ce concept insolite pousse le principe opérationnel dans ses ultimes retranchements : il est le seul et unique sous ce format à exister à ce jour en France !
Un outil de sensibilisation destiné aux habitants de notre territoire
L’idée originelle de ce projet est surtout la captation de nouveaux touristes qui parfois méconnaissent injustement le patrimoine même le plus proche de leur domicile : c’est-à-dire la population locale.
Il s’agit donc de séduire et d’interpeller les Bourguignons Francs-Comtois en priorité pour qu’elles ou ils mettent les bouchées doubles cette saison en se prenant de passion pour les richesses dites de proximité.
Derrière l’initiative apparaît ce désir de joindre l’utile à l’agréable. L’utile étant la relance économique d’une filière particulièrement affectée par cette période de marasme. L’agréable, on le sait ne se cantonne pas à la simple découverte d’un lieu empli de souvenirs. Nécessairement, les visiteurs ne manqueront pas de consommer et de se sustenter localement.
2 000 spécimens offerts par la Région…
En outre, le lancement de ce « Pass Découverte » s’accompagne d’un jeu afin de gagner par le biais du hasard et d’un tirage au sort préalable l’un de deux mille exemplaires. Il suffit de se connecter sur la référence suivante : jeu.bourgognefranchecomte.fr et de remplir le formulaire en ligne.
250 passeports sont à gagner chaque semaine : le sort désigne chaque jour à 10 heures un nouvel élu ! Ce jeu de l’été arrivera à terme le 26 août prochain.
Précisons, pour conclure, que le Pass est proposé gracieusement aux professionnels du tourisme de la région dans sa formulation annuelle.
En savoir plus :
Dans l’Yonne, parmi les prestataires associés à ce concept, citons
Le château d’Ancy-le-Franc, le Musée de la Vigne et du Bouchon, le GAEC du Champ Beaublé, le Centre régional d’Art contemporain au Château de Tremblay, le Jardin de La Borde, le Centre d’Art La Métairie Bruyère, le Musée de l’Aventure du Son, l’Office du tourisme du Sénonais et le Château de Ratilly.
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La CPME se retrouve autour d’agapes conviviales : un agréable moment pour faire tomber les masques !
juillet 17, 2020Une vingtaine de membres de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME) devaient répondre par l’affirmative à l’invitation de retrouvailles culinaires placées sous le signe de la détente et de la convivialité. Ce fut une excellente aubaine de vivre ensemble une animation en présentiel après de longues semaines de disette inhérentes à la COVID-19…
AUXERRE: Bas les masques pour les adhérentes et adhérents de la CPME de l’Yonne ! L’occasion leur a été donnée de poser à visage découvert ce vendredi 17 juillet lors d’une séance photographique, improvisée en extérieur.
Ils purent ainsi afficher de larges sourires de contentement avant de s’asseoir quelques instants plus tard autour d’une table du restaurant, « La Farandole Gourmande ».
Depuis la mi-mars, les affiliés au syndicat patronal de l’Yonne qui défend les intérêts et les droits des chefs d’entreprise (TPE/PME), n’avaient eu guère d’occasions de se revoir de manière physique. Si ce n’est par écran interposé lors de quelques rendez-vous en visioconférences. Notamment lors de la récente assemblée générale, assurée en juin.
Aussi, l’idée de participer à un « CPME Bistrot » fut accueillie avec enthousiasme par celles et ceux des entrepreneurs qui avaient un peu de temps à consacrer à ces agapes sympathiques prévues au cœur de l’été.
L’atmosphère était plutôt détendue malgré le contexte délicat dans lequel sont plongés les décideurs économiques.
Casque de motard à la main, le président de la CPME de l’Yonne Olivier TRICON n’avait pas de messages spécifiques à délivrer à ses camarades. Même si en aparté, il aura fait part de certaines inquiétudes sur l’avenir du tissu économique départemental…
Chacun des convives en aura profité en revanche pour saluer et féliciter la déléguée générale de la confédération, Emmanuelle MIREDIN, qui dans cet intervalle occupe désormais le poste d’adjointe à la Ville d’Auxerre et à l’Agglomération de l’Auxerrois en charge du développement du numérique et de la communication.
De quoi conclure ce repas de retrouvailles avec quelques bulles effervescentes au fond des verres ?
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La mobilité électrique se priorise chez FORD : le constructeur décline déjà 14 véhicules électrifiés en 2020
juillet 16, 2020L’enseigne américaine a salué les initiatives de relance voulues par le gouvernement en faveur de la filière automobile. Grand bien lui en a pris ! L’effet rebond a été immédiat au lendemain de la sortie de crise chez les concessionnaires. Ce plan de relance s’arc-boute sur l’adoption des véhicules propres auprès des consommateurs. Un critère qui est loin de déplaire à la marque…
AUXERRE: La mobilité électrique et ses innombrables enjeux intègrent parfaitement la stratégie du constructeur d’Outre-Atlantique. Non seulement, ses dirigeants par la voix du président de la filiale France, Louis-Carl VIGNON, ont félicité le gouvernement à l’annonce de nouvelles initiatives favorables aux véhicules anti-carbone.
Mais, de plus, cette information offre de réelles perspectives de développement en matière de ventes pour le concepteur automobile car la majeure partie de sa gamme peut bénéficier de ces aides à l’achat.
Il est vrai que le fabricant propose désormais quatorze de ses modèles en version hybride. Ainsi, les nouvelles variantes des Fiesta, Focus, Puma et Kuga, déjà disponibles en concessions, sont éligibles à l’ensemble des aides gouvernementales.
Récemment, Olivier LANSIAUX, directeur Ford au sein du groupe AMPLITUDE, analysait les aspects positifs de ces mesures qui ont permis au concessionnaire de renouer de solides relations commerciales avec sa clientèle de particuliers, absente depuis plusieurs semaines en raison du confinement.
D’ailleurs, l’entité commerciale a confirmé par la voix de son représentant son intérêt et sa présence à l’organisation du futur colloque autour de la mobilité électrique prévu le 10 septembre à Auxerre, un évènementiel concocté par l’UIMM et le MEDEF de l’Yonne.
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Ekaterina DENISSOVA-BRUGGEMAN en récital au piano : voyage onirique dans l’insouciance et la légèreté…
juillet 16, 2020La musicienne sénonaise aux origines russes donnera un concert privé en ce mois de juillet. Un rituel dont elle apprécie les vertus intimistes au contact des mélomanes avertis où l’artiste livrera toutes les facettes de son immense talent…
SENS : Crise sanitaire oblige, le nombre de places de ce concert privé prévu au soir du 23 ou du 24 juillet sera encore plus restreint que d’ordinaire ! Autant dire que les inscriptions ouvertes depuis peu par simple contact téléphonique ou par envoi d’e-mail ne doivent pas attendre pour celles et ceux qui apprécient les œuvres classiques interprétées avec la mélancolie d’un piano.
On ne présente plus l’instrumentiste de l’Yonne, musicologue et pianiste émérites. La virtuose placera ces retrouvailles avec le public sous le signe de l’insouciance, de la légèreté et de la nature.
L’artiste aime voyager dans l’univers onirique de Claude DEBUSSY, Camille SAINT-SAENS ou de Gabriel FAURE en revisitant leurs pièces. Offrant ainsi l’opportunité aux néophytes de la musique classique de découvrir des œuvres intemporelles. Un parcours initiatique où l’on ne boudera pas son plaisir…
En savoir plus :
Concert d’Ekaterina DENISSOVA-BRUGGEMAN
Réservation au 06.24.38.64.51.
Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Ouverte des portes à 20 heures, concert à 20h30.
Tarif : participation libre.
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Peu usité en France il reste pourtant un placement tranquille à envisager : le viager mutualisé se découvre…
juillet 14, 2020Le viager mutualisé représente une réelle opportunité pour certains seniors. Ils font face à un contexte économique et social qui se dégrade de plus en plus. La baisse des retraites et les coûts du maintien à domicile, associés à l’augmentation de la durée de vie, voire additionnés à une inflation à la hausse dans les mois à venir explique cette situation délicate. Situation qui périclite pour celles et ceux qui possèdent des cheveux blancs !
TRIBUNE: A partir de ces constats, et surtout sur le fait que 74 % des retraités français sont propriétaires de leur résidence, Eric GUILLAUME, expert immobilier, crée le concept de viager mutualisé en 2019. Ce système de vente permet de céder un bien immobilier sur le long terme.
Il s’agit de transformer le bien en une rente annuelle et viagère tout en pouvant, en général, continuer à habiter son logement sans avoir d’obligation de déménagement. La vente se fait en deux étapes distinctes : après avoir effectué une estimation du bien combiné à un calcul basé sur l’âge et l’état de santé du ou des vendeurs.
Ce calcul permet d’estimer la durée du paiement des rentes mensuelles, trimestrielles ou annuelles. Lors de la signature, une première somme (le bouquet) est versée par les acheteurs (crédirentiers) aux vendeurs (débirentiers). Le reste de l’estimation est alors versé par rentes aux vendeurs.
A titre d’exemple, à Paris, il devient très difficile d’investir. D’une part, parce que le prix de l’immobilier augmente toujours. D’autre part, parce que le montant des apports personnels est de plus en plus important.
Le viager est donc un moyen de pouvoir investir sans avoir besoin d’être en possession d’une somme trop élevée. En outre, il perd de sa valeur depuis quelques années en France. Mais, une nouvelle forme de viager est apparue. Elle offre un moyen de lutter contre la baisse de son intérêt en offrant la certitude de toucher l’intégralité de la valeur du bien. Il s’agit du viager mutualisé. Un procédé proche du viager de gré à gré à la différence que les investisseurs sont désormais des institutionnels de renom.
Un système lié à la longévité du vendeur…
Acheteurs et vendeurs ne se connaissent pas physiquement. Ce nouveau système ressemble plus à une solution technique entérinée par des experts qu’à un pari sur la mort, signé dans un viager classique. Sur ce nouveau marché constitué par le viager mutualisé, nous avons trois acteurs : le vendeur qui souhaite habiter sa résidence tout en augmentant ses revenus, l’acquéreur et une personne morale (compagnie d’assurances, caisses de retraite, Caisse des Dépôts, SCI…).
L’acquéreur souhaite diversifier la gestion de ses actifs. Les épargnants sont intéressés par l’acquisition de parts vendues par les sociétés qui achètent de l’immobilier sous la forme de viager mutualisé. Ce type de placement correspond à une recherche de rentabilité sous forme de plus-value à long terme.
Le risque de longévité du vendeur est mutualisé et neutralisé par la multiplication des acquisitions. L’effet volume lisse la performance dans la durée pour les acquéreurs. Nous avons tous en mémoire celle qui fut la doyenne de l’Humanité : Jeanne CALMENT. Elle vendit sa propriété en viager, à l’âge de 90 ans, à un notaire qui pensait faire une bonne affaire ! Le problème pour l’acquéreur, c’est qu’elle décéda à l’âge de 122 ans et que le fils du notaire, dû régler la rente pendant de nombreuses années après le décès de son père…
Dans le cadre d’une vente en viager classique, on se réfère à un tableau des âges afin de déterminer le montant de la rente à verser. Le capital à verser, appelé bouquet, n’est pas obligatoire. Pour la vente en viager mutualisé, on définit un prix de vente qui correspond au prix du marché. Ensuite, on répartit le prix entre versement d’un capital de départ et le montant de la rente. C’est le principe « gagnant-gagnant ». Le vendeur récupérera le prix de vente estimé. Dans un viager mutualisé, le bien est démembré : l’acquéreur est nu-propriétaire. Il paie les gros travaux et les taxes foncières, tandis que le vendeur est usufruitier.
Il existe une autre variante des ventes en viager : c’est la vente à terme. Cette forme de vente immobilière offre à l’acquéreur le moyen de payer le bien au vendeur de façon progressive et limitée dans le temps. Le viager classique fait peu d’émules. Retenons que si le vendeur décède dans les vingt jours qui suivent la signature, la vente est annulée.
Les principes de la vente à terme…
Contrairement à ce que l’on pourrait croire quand on lit le terme « vente à terme », l’acquéreur devient le propriétaire du bien le jour de la vente. Dans ce cas présent, c’est le paiement qui est à terme. C’est-à-dire que la durée de paiement du bien est déterminée et finie. Il s’agit donc bien d’une vente à effet immédiat. Le changement de propriétaire est effectif chez le notaire. Les impôts et les charges du propriétaire sont bien transférés à l’acheteur. Bien entendu, si l’acheteur n’honorait pas le contrat de vente à terme, alors le vendeur engagerait une procédure judiciaire de résolution de la vente pour annuler la transaction.
En fait, la vente à terme est à considérer comme un crédit vendeur. Ce dernier permet à l’acheteur d’acquérir à crédit son bien immobilier, en lui payant directement les mensualités plutôt qu’à une banque. L’acheteur fait donc l’économie de frais de dossier et des intérêts bancaires pour investir dans l’immobilier.
La vente à terme en viager
La vente à terme pour le viager offre une solution adéquate pour les vendeurs trop jeunes. En effet, en raison de leur jeunesse (âge inférieur à 70 ans), leur espérance de vie est beaucoup trop importante pour en tirer une rente correcte. De plus, l’hypothèse de vie statistique (vingt-quatre années pour un homme de 59 ans ou vingt-quatre années pour une femme de 65 ans) décourage les acheteurs d’investir dans des viagers avec des vendeurs trop jeunes. Personne ne peut se projeter sur une durée d’investissement supérieure à 25 ans.
Un viager sans aléa ?
La vente à terme en viager permet donc de limiter le paiement sur une période bien définie à l’avance (10, 12 ou 15 ans par exemple). Celle-ci ne dépend plus de l’âge du vendeur, ce qui permet à l’acheteur de payer son acquisition de manière planifiée et sûre. Le risque d’un paiement excessif du viager à cause d’une longévité exceptionnelle du vendeur est ainsi supprimé.
Toutefois, une incertitude demeure : celle de la date de la libération du bien par le vendeur. Ce dernier peut quitter le logement avant le terme des paiements, mais aussi bien après. En effet, l’échéancier de paiements est fixé au départ mais la date de jouissance du bien par l’acquéreur n’est pas connue. Dans le viager à terme, le vendeur bénéficie de son droit d’usage et d’habitation à vie. S’il libère le logement avant le terme du paiement alors la mensualité doit être valorisée à la hausse.
Les paiements de la vente à terme
Contrairement à un viager occupé, pour lequel le paiement de la rente s’éteint au décès du vendeur, le viager à terme requiert un paiement certain des arrérages. Autrement dit, si le vendeur décède avant la fin de la période de paiement, l’acheteur doit continuer de payer les mensualités aux héritiers.
Il ne peut donc pas avoir de plus-value avec un décès rapide du vendeur. Ce qui a l’avantage de libérer certains acheteurs de quelques problèmes de conscience sur l’achat en viager.
Pour le vendeur, l’intérêt de la vente à terme réside aussi dans le fait que les mensualités de paiement ne sont pas imposables. Contrairement à une rente viagère, l’administration ne compte pas ces paiements comme des revenus fonciers.
Enfin, pour la vente à terme, il est requis une valorisation annuelle des mensualités sur un indice défini au départ du contrat. Généralement, l’indice de la construction est préconisé dans la vente à terme. Mais les parties sont libres d’en choisir un autre. La vente à terme permet à un acquéreur de suivre une stratégie d’investissement immobilier de façon progressive sans recourir au système bancaire. Au final, la vente à terme en viager est un placement tranquille pour se constituer un patrimoine pour sa retraite ou pour le transmettre à ses enfants.
En conclusion, face à un marché du viager peu attractif (1 % des transactions immobilières), à un nombre de retraités croissants (estimé à 20 millions en 2030) et à des besoins d’épargne en augmentation, il devient important de proposer des alternatives attractives pour des vendeurs, des acheteurs et des épargnants. Le viager mutualisé permet aussi de simplifier les dispositions successorales. Si vous vous sentez concernés par la vente à terme ou le viager mutualisé, il est impératif de consulter votre notaire qui vous conseillera au mieux de vos intérêts.
« Je me suis marié en viager. Comme ça si l'un de nous deux meurt, le cœur de celui qui part appartiendra à celui qui reste ! ». Patrick SEBASTIEN.
Jean-Paul ALLOU
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