Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
« Tout ça pour ça ! » : le Rassemblement National critique le projet de réaménagement ferroviaire, pas à la hauteur…
septembre 19, 2022Ils n’ont pas effectué le déplacement à vide, les élus du Rassemblement National de notre contrée ! Pas moins de deux députés – logique au vue de la configuration politique de l’Yonne depuis les dernières législatives ! – et de plusieurs élus régionaux devaient assister à Auxerre à la présentation du projet de réaménagement de l’offre ferroviaire entre Paris et Laroche-Migennes. Un schéma déroulé par l’élu régional en charge du dossier, Michel NEUGNOT. Convaincus les élus du RN ? Que nenni ! Pour eux, c’est « injuste, inefficace et insuffisant » !
AUXERRE : « Confusion… ». Réagissant à chaud avec cette formule lapidaire au sortir de la rencontre programmée à la Pyramide du Département de l’Yonne, échange explicatif entre les élus du territoire icaunais et le vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, Michel NEUGNOT, Julien ODOUL n’a pas été tendre avec son homologue. Dénonçant au passage « le manque de dialogue et de concertation en amont » de la part de l’institution, le président du groupe Rassemblement National en Bourgogne Franche-Comté et député de la troisième circonscription de l’Yonne a démonté point par point tous les éléments qui furent présentés durant plus de deux heures par l’élu socialiste, en charge des transports et des mobilités, face aux élus locaux.
Contestant le « flou artistique » autour de cet échange à vocation informative et le « déficit de communication » se rapportant à l’absence de cartons d’invitation dont n’auraient pas reçus certains élus, le parlementaire de l’Yonne a qualifié « d’injuste, d’inefficace et d’insuffisant » ledit projet qui vise à réaménager l’offre ferroviaire de la zone la plus septentrionale de la Bourgogne. Un projet qui devrait faire détester le train aux Icaunais du nord car il n’y a aucune prise en compte des réalités géographiques et démographiques. « On est sur un bassin de vie qui est sous-dimensionné en termes de services publics au niveau des transports, précise l’élu de Sens, et l’on voit bien qu’il n’y a aucune volonté de la Région pour améliorer ces flux et améliorer l’attractivité… ».
La « méconnaissance du territoire » pointée de l’index par le RN…
Puis, insistant sur la même veine, Julien ODOUL, face aux micros tendus par les journalistes venus recueillir ses premières impressions, s’insurgea contre « le mépris », la « méconnaissance » et « l’abandon » de ce territoire par l’institution régionale.
« Il y a vraiment une réelle méconnaissance de notre territoire, renchérit le porte-parole du RN, car quand on vit à Sens, on se tourne naturellement vers la capitale parisienne en termes d’attractivité plutôt qu’Auxerre et son bassin, sans dénigrer pour autant les liens et les connexions qui existent avec l’Auxerrois… ».
Se défendant de décliner des propositions dogmatiques, le député du Rassemblement National avança un certain nombre de contre-arguments lui paraissant plus en phase avec les attentes des Icaunais.
Parmi ceux-ci, il énuméra, en contrepied des annonces de Michel NEUGNOT, quelques-unes de ces propositions dont « la hausse du nombre de trains et leur adaptation au niveau de leur taille en heure de pointe et selon les périodes de fréquentation (notamment les week-ends et les pics occasionnés par les épisodes de vacances) ou encore le refus de toute rupture de charge à partir de Montereau en Seine-et-Marne ».
Sur ce point, le parlementaire bleu marine est formel : « si nous appliquions cette rupture de charge, cela aurait comme conséquence de complexifier et de rallonger le trajet pour les Icaunais et multiplier ainsi le risque de retards ».
Autre suggestion qui émane du RN : « la création d’ateliers techniques dans l’Yonne plutôt qu’à Villeneuve-Saint-Georges, en Essonne, afin de faciliter l’entretien des TER sur notre territoire ».
Une équité au niveau des tarifs entre les passagers de l’Yonne et de Seine-et-Marne…
Mais, l’un des aspects que Julien ODOUL pointe du doigt avec véhémence concerne la mise en exergue de pénalités en cas de retards abusifs imputables à la SNCF.
« Justement, devait-il souligner, la généralisation d’une garantie abonnée ouvrant droit à remboursement de l’abonnement au-delà d’un certain nombre de retards ou d’annulations dans le mois est à mettre en place. Enfin, la fin du mur tarifaire qui pénalise les habitants du nord de l’Yonne serait la bienvenue. Il n’est pas normal que les Icaunais paient un abonnement mensuel TER et Pass Navigo 347 euros par mois alors que les habitants de Montereau doivent simplement s’acquitter de 75 euros avec le Pass Navigo mensuel…».
On le sait plus de six mille Icaunais empruntent au quotidien les transports ferroviaires pour se rendre dans la capitale ou en Ile-de-France.
« Ces voyageurs attendent autre chose qu’un simple changement de train lors d’une rupture de charge à Montereau pour solutionner leurs problématiques récurrent de transport, conclut le parlementaire de l’Yonne, les deux seules vraies annonces de la Région se rapportent à quelques allers-retours de plus mais avec davantage de changements obligatoires à Montereau. Malgré la présence de matériel neuf, c’est insuffisant en charge avec les Regiolis. On se retrouve avec des trains de 310 places pour remplacer les Corails de 520 places. S’il a fallu trois années de discussions avec Valérie PECRESSE juste pour en arriver là, ce n’est absolument pas au niveau des attentes et des enjeux ! ».
Des élus du Rassemblement National pas convaincus par ce schéma régional qui les laissent visiblement sur leur faim…
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
La Puisaye « outragée », Daniel GRENON « libéré » : le député RN adresse une banderille écrite à « Libération » !
août 25, 2022Décidément, l’article rédigé par nos confrères de « Libération » (« Sur les routes du Rassemblement National ») publié dans leurs colonnes au cœur de l’été ne cesse de faire des vagues dans le landerneau de l’Yonne. Après la conseillère départementale Irène EULRIET qui s’en est émue via les réseaux sociaux, c’est au tour du principal intéressé, le député bleu marine de la première circonscription, de réagir aux écrits du média national qualifié de partisan et d’objectivement contestable…
AUXERRE : Serait-ce un brûlot qui a mis le feu aux poudres, ce fameux article évoquant le choix des électeurs lors des récentes législatives qui a vu le Rassemblement National rafler la mise sur deux des trois circonscriptions dans l’Yonne ? En tout cas, depuis sa publication dans les colonnes du quotidien « Libération », les internautes du cru ne cessent de réagir en multipliant les commentaires et en fustigeant les écrits de nos confrères parisiens.
Des réactions très courroucées qui sont bien naturellement revenues aux oreilles de l’un des acteurs de ce scrutin, le principal intéressé en personne Daniel GRENON qui devait l’emporter sur tous les pronostics inimaginables au soir du 19 juin !
Furieux contre les journalistes de « Libé » et leur travail d’investigation, le parlementaire de l’Yonne a adressé un courrier plutôt virulent au directeur de la rédaction du média national le 17 août.
Une missive façon « règlement de compte à OK Coral » que l’élu a décidé de rendre publique, plus d’une semaine après son envoi, demeurée lettre morte côté réponse.
Les Poyaudins ? Ni alcooliques, ni consanguins, ni xénophobes…
Se disant « indigné » par ce reportage à charge et au mépris des habitants de la circonscription, l’ancien commerçant de Toucy qui réside à Charny-Orée-de-Puisaye depuis un quart de siècle, précise dans sa lettre qu’il n’a jamais constaté aucune des tares avancées par le journal national.
« Je puis affirmer avec légitimé, ajoute de manière épistolaire le représentant du RN que nous ne sommes pas des alcooliques, nous ne sommes pas des zoophiles, nous ne sommes pas des racistes ou des xénophobes, nous ne sommes pas des déséquilibrés affabulateurs, nous ne sommes pas des consanguins, etc. ».
N’en jetez plus, la cour est pleine ! Plus loin, le politique rédige ces mots : « Si ce territoire était aussi infréquentable et lugubre, que feraient parmi nous les nombreux « parisiens » avec leurs résidences secondaires ? » s’interroge-t-il. A croire que tous les habitants de la ruralité seraient des sous-citoyens ?
En guise de conclusion, Daniel GRENON termine son propos en invitant le quotidien de la PQN à « traiter les problématiques de fond de la ruralité plutôt que de stigmatiser ses habitants ».
Décochant au passage une ultime flèche et ironique sur le positionnement du média qui serait « grassement subventionné par les Français via leurs contributions fiscales » !
Enfin, un brin pédagogue, l’élu de la première circonscription livre ses conseils personnels à la direction de « Libération », pour que ses journalistes pratiquent un « vrai travail » en découvrant la réalité de l’Yonne, avec ses paysages, son patrimoine, sa gastronomie et la chaleur de ses habitants.
Il n’est pas sûr qu’ils daignent revenir de sitôt en Puisaye Forterre, non ?!
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Voici le temps du joli mois de mai ! Celui qui sourit, entre autres, au nouvel homme fort de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté. Le digne successeur du presque « éternel », Bruno DUCHESNE, aujourd’hui parti vers des aventures, synonymes de retraite de l’activité bancaire, après neuf années de présence dijonnaise. Installé dans la chaire directionnelle de l’établissement mutualiste régional depuis le 03 mai 2021, Jean-Paul JULIA a donné sa toute première conférence de presse, le vendredi 13 mai. Pas de quoi rendre superstitieux ce natif du 05 mai !
QUETIGNY (Côte d’Or) : Profondément humaniste, le successeur de Bruno DUCHESNE, à la tête de l’un des réseaux bancaires incontournables de notre territoire régional ? A n’en pas douter, outre mesure ! Et ce, dès les premières paroles que ce tout jeune quinquagénaire à la tête bien remplie – il est diplômé de l’IRA et de l’ENA - et au look de sportif dynamique aient prononcé.
L’occasion lui en a été donnée lors d’une conférence de presse, accueillie dans le saint des saints de ce temple de l’investissement, de l’épargne et de la finance que représente le siège social de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté (et des Pays de l’Ain – il ne faut jamais l’omettre ! -), situé à la périphérie est de la capitale des ducs de Bourgogne.
Un exercice finement ciselé au plan organisationnel par le service communication qui sait très bien faire les choses. Dans les règles de l’art, avec dossier de presse, communiqués abondamment garnis d’informations et slides à profusion, afin que les béotiens épistolaires de l’art monétaire ne se perdent pas en route dans des dédales intellectuels qu’ils ne maîtriseraient pas !
Côté chiffres, il n’y a pas photo !
De sages précautions, il est vrai, pour mieux cerner et appréhender la stratégie au cordeau de cette entreprise bancaire, poids lourd agissant au cœur de notre environnement économique. Et, excusez du peu, mais il est des chiffres qui sont déjà révélateurs de la puissance et du rôle immuables d’une entreprise dans sa zone d’influence : son PNB (Produit net bancaire) et son résultat net.
Dans le cas présent, il n’y a pas photo ! La Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté présente des données affriolantes dont beaucoup d’entrepreneurs, voire de collectivités, aimeraient pouvoir se vanter au quotidien au détour d’une conversation, gougère et Kir royal à la main !
Ici, le PNB s’élève à 395 millions d’euros pour un résultat net de 86 millions d’euros. Cela parle pour les esthètes des comptes rondement menés. En sus, il faut savoir que cet argent est réinvesti sur le territoire ; celui où, via ces neuf départements, la banque mutualiste agit au service de la proximité, pour le bien des citoyens, collectivités et entreprises.
La cible à privilégier : l’humain et la satisfaction de la clientèle…
Mais, au-delà des chiffres, Jean-Paul JULIA s’intéresse à une toute autre priorité. L’humain, nous y revoilà ! A la limite d’un fil d’Ariane où se mêleraient en étroite complémentarité le perfectionnisme des offres et services à proposer au quotidien à la clientèle selon leur envie de praticité, et un sens aigu du relationnel, visant à satisfaire celles et ceux de ces clients (particuliers, collectivités, décideurs économiques) qui fréquentent les vitrines commerciales de la grande maison. Dont certains, par ailleurs, sont parfois sociétaires, selon les usages propres au mutualisme.
L’humain, ce facteur relationnel ô combien stratégique pour une entreprise de services. N’avait-il pas adressé à l’ensemble de ses collaborateurs (1 835 personnes) dès sa prise de fonction ces quelques lignes qui en disaient long sur sa capacité à placer la clientèle au cœur de tout l’édifice : « Nous allons continuer d’assurer l’accompagnement de nos clients et le développement de notre territoire dans le respect de nos valeurs mutualistes, auxquelles je suis particulièrement attaché… ».
Côté chiffre et objectif, cela se traduit de la manière suivante : l’adoption d’un plan stratégique validé par le conseil d’administration où la RSE, la formation des collaborateurs et le développement de l’excellence dans sa manière d’être, tant en interne qu’à l’externe dans la relation à l’autre avec la clientèle, se muera en une nette progression du nombre de sociétaires et clients à horizon 2024. Soit, dans le concret arithmétique, dépasser la barre des 720 000 clients en Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain !
Un dirigeant désireux de voir son établissement proche du terrain…
La veille de cet exercice oratoire où Jean-Paul JULIA s’est avéré très pédagogue avec ses auditeurs pour décortiquer au mieux toutes les aspérités de la conjoncture économique ambiante se tenait l’assemblée générale annuelle de l’établissement à Vesoul. Il a eu, à maintes reprises, l’opportunité de prendre le pouls de ces sociétaires pour certains fidèles d’entre les fidèles depuis quatre décennies devant lesquels il a réaffirmé la présence à leurs côtés de la banque.
« C’est dans notre culture, expliqua-t-il, de toujours essayer de comprendre, de proposer davantage de tolérance pour répondre à toutes les attentes… ». Un message sans aucune ambiguïté, adressé aussi bien à la clientèle de particuliers que celle de l’entrepreneuriat et des collectivités.
Ce cercle vertueux de l’humanisme à tout crin se décline aussi avec la présence importante des agences commerciales. Un maillage territorial que la Banque Populaire BPBFC met en exergue dans sa balance relationnelle avec ses prospects et ses clients, disposant en effet à date de 180 points de vente.
« Certes, ajoute Jean-Paul JULIA, quelques-unes de ces agences vont être fermées à terme pour d’évidentes raisons démographiques. Mais, d’autres vont se créer. Notre stratégie, toutefois, est de ne pas fermer d’agences sur notre territoire… ».
Le terme de cette conférence de presse arrive à grands pas. A l’aise, avec le verbe comme avec la maîtrise de ses arguments, Jean-Paul JULIA clôt l’exercice en laissant in fine une très bonne impression.
Celle d’un acteur économique de haute volée (il a exercé ses talents au FMI, à la Banque Mondiale, au CIRI ou au ministère des Finances ainsi qu’à la BRED où il gérait le portefeuille Grands Comptes) qui tombe à pic, grâce à sa nomination en Bourgogne Franche-Comté (et les Pays de l’Ain !), pour tirer à sa manière ce territoire vers le haut ! Personne ne s’en plaindra…
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L’engagement d’un homme libre : Guillaume LARRIVE brigue un troisième mandat au nom de l’expérience
mai 14, 2022Il y a des termes qui ne trompent pas dans le discours des politiques. « Equipe », « déterminisme », « collectif », « compétences », « au service », « territoire », « confiance ». Autant de mots distillés dans les propos avec parcimonie, certes, mais au final qui se révèlent avoir de l’impact pour celles et ceux qui les entendent. Soit les électeurs qui auront à choisir les 12 et 19 juin les membres de la nouvelle Assemblée Nationale. Ces mots, le député sortant de la première circonscription de l’Yonne les a savamment choisis et se promet de les expliquer durant sa campagne de communication…
LAINSECQ: « Il est libre, Max », entonnait le regretté Hervé CHRISTIANI sur toutes les ondes radiophoniques de France et de Navarre au printemps 1981. Une simple ritournelle à la musicalité harmonieuse qui allait lui permettre de décrocher les étoiles du succès, à l’heure où la France allait basculer dans le mitterrandisme. Etrange paradoxe !
Libre. Qui a le pouvoir de décider, d’agir, par soi-même. La définition, la plus élémentaire. Mais, « libre », au sens philosophique stricto sensu, correspond à la formule suivante : « c’est agir relativement à une loi que l’on s’est donné à soi-même à partir de l’usage de la raison, de façon impérative et non selon les lois de la nature et de sa sensibilité… ». Bref, la parfaite autonomie de sa volonté. Donc, de ses actes !
Libre, c’est en substance le credo, clé de voûte à l’ensemble de l’édifice, régulièrement martelé lors de sa conférence de presse, par Guillaume LARRIVE. Non pas avec un « s » en guise de terminaison comme l’aura proclamé en son temps en créant son propre mouvement la candidate désabusée des Républicains, Valérie PECRESSE, au soir du premier tour des présidentielles. Mais, « libre », sans autres fioritures épistolaires et tellement simple à comprendre.
Un candidat qui se veut « engagé pour l’Yonne »…
C’est donc sous ce vocable que le député sortant de la première circonscription de l’Yonne, toujours LR et soutenu plus que jamais par l’UDI et le centre droit, se présentera aux suffrages des électeurs les 12 et 19 juin prochains. Un Guillaume LARRIVE plus incisif que jamais dans les réponses faites aux interrogations médiatiques vis-à-vis de cette nouvelle joute électorale qui s’amorce.
D’ailleurs, le mot faisant référence à sa liberté d’esprit (et de ton lors de ce rendez-vous devant lancer officiellement sa campagne) n’est pas le seul à avoir été répété à maintes occasions durant cet entretien. Son corollaire linguistique est l’engagement.
« Engagé pour l’Yonne » figure même en slogan incitatif en haut à gauche de l’affiche dont les équipes de collage placardent allègrement le document depuis plusieurs semaines aux quatre coins de ce secteur géographique si étendu, regroupant 111 localités depuis l’Auxerrois à la Puisaye-Forterre, au Coulangeois à l’Aillantais.
Le choix de Lainsecq n’était pas anodin : c’est le cœur de la Puisaye…
C’est au cœur de la Puisaye chez l’une de ses ferventes supportrices, l’élue Nadia CHOUBARD, que le parlementaire a décidé de dévoiler sa stratégie de campagne. Celle-ci, devant courir sur les cinq semaines à venir. Elle comprendra vingt-six réunions publiques accueillies dans certaines communes de la circonscription. L’opportunité fut donnée au quadragénaire – Guillaume LARRIVE est âgé aujourd’hui de 45 ans -, d’expliquer avec moult détails la gouvernance de son équipe de campagne.
D’une part, galanterie oblige envers la gent féminine, Dominique VERIEN fut la première à être présentée par l’orateur. La sénatrice, présidente de l’UDI 89, tout sourire, était visiblement très satisfaite de se retrouver là, d’autant qu’elle intervient en qualité de présidente du Comité de soutien à la réélection du député sortant.
D’autre part, on ne fut pas surpris de découvrir dans le poste de suppléant, le 3ème vice-président du Conseil départemental et maire de Venoy, Christophe BONNEFOND. Un ami de longue date et fidèle parmi les fidèles de Guillaume LARRIVE.
La sénatrice et le « développeur du territoire » : compétences et confiance…
Evoquant ensuite son désir de poursuivre la défense des intérêts de ses administrés, Guillaume LARRIVE s’est dit « utile de continuer sa mission à l’Assemblée Nationale du fait de son expérience – vingt-cinq au service de l’Etat - et de son énergie ».
A son actif, l’élu de l’Yonne a aussi publié trois ouvrages, écrivant ce qu’il pensait du microcosme politique et sans craindre le débat d’idées où il aime se confronter. Puis, l’air grave, il réaffirme son engagement à la chose publique, donnant du poing sur la table. Ce qui fera sourire Dominique VERIEN, après un léger sursaut ! Eh oui, ça bouillonne dans le cerveau du candidat LARRIVE qui de l’énergie à revendre !
Impatient d’en découdre sur le terrain, il devait souligner son profond attachement à une candidature d’équipe : « j’y crois profondément et c’est vital pour l’’Yonne ». Insistant sur la présence de Dominique VERIEN, la sénatrice réélue qui a accepté de prendre la présidence de son comité de soutien et sur l’implication de Christophe BONNEFOND, qualifié de « développeur » du territoire du fait de ses diverses responsabilités institutionnelles. Un suppléant qui possède tous les atouts de la compétence et de la confiance, aux yeux de Guillaume LARRIVE, qui en a donc fait son partenaire (au-delà de la sacro-sainte parité qui n’est pas une obligation !) pour mener à bien cette nouvelle bataille où en cas de victoire le président des Républicains de l’Yonne pourrait réaliser la passe de trois. Ce qui est plutôt rare dans l’Yonne pour le même député !
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Elise LUCET et « Envoyé Spécial » investissent la place : coup de projecteur sur le rebond économique de Tonnerre
avril 28, 2022A vos lucarnes cathodiques ce jeudi soir à partir de 21 heures sur l’une des chaînes de France Télévisions, France 2. Objectif : y regarder le magazine d’investigations animé par la journaliste Elise LUCET, « Envoyé Spécial ». C’est dans l’une des villes les plus orientales de l’Yonne, meurtrie d’avoir perdu sa superbe industrielle que le média national a choisi de poser ses jalons. Surtout que le rebond économique est dans l’air…
TONNERRE : On arrête de dîner ou de faire la vaisselle, de s’occuper de ses animaux domestiques, sa progéniture ou de préparer son pitch pour la réunion de demain. Et on se plante sans faute devant l’écran de la télévision du salon ou sur celui de l’ordinateur à partir de 21 heures ce jeudi soir !
Ne pas en perdre une miette, en vérité ! Car, l’évènement est assez rarissime pour que l’on s’y intéresse de près. La fameuse émission « Envoyé Spécial » qui pratique le journalisme d’investigation avec ses lettres de noblesse consacrera l’un de ses reportages à la situation économique de…Tonnerre.
Eh oui, vous avez bien lu ! Alors, oublions tous les préjugés inhérents à cette agglomération qui possède du potentiel et dont le tissu industriel a fondu comme neige au soleil après l’effondrement de l’usine de magnétoscopes THOMSON en 2004.
Présente ce lundi 27 avril au plus près du terrain, Elise LUCET a pris soin de s’immerger auprès de celles et de ceux qui entreprennent et veulent porter haut et clair des projets pérennes. Une visite chez CREASUP, au magasin TISSLAINE, avant de profiter d’un radieux soleil au bord de la fosse Dionne.
Histoire de s’apercevoir que la ville qui donna naissance au chevalier d’Eon a décidé de reprendre sa destinée en main en étant dépositaire de réelles ambitions pour l’avenir.
Une histoire qui va être narrée par la journaliste et qui ne se résume plus au chômage, à la précarité, et aux petits commerces en apnée entre deux eaux.
En savoir plus :
Magazine « Envoyé Spécial »
A voir sur France 2 ce jeudi 28 avril à 21h10.
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99