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Dominique COJAN/Jean-Eric FRAY : après l’écriture, ils parlent !
décembre 15, 2019Un cycle d’échanges avec le public débute pour les auteurs de l’ouvrage, « Yvonne ne veut pas partir ». L’opus publié à la rentrée est devenu une référence en matière de relations intergénérationnelles. Dominique COJAN et son complice de l’expression scripturale, Jean-Eric FRAY, ont l’opportunité désormais de présenter le fruit de leur travail besogneux, la collecte de témoignages utiles et précieux recueillis auprès de personnes âgées prolixes dans leurs commentaires. Les clubs services et le monde associatif intègrent leurs priorités…
AUXERRE : Une heure durant, les deux compères à la plume mémorielle aiguisée parlent. Leur intervention est parfaitement rodée pour faire toute la lumière sur ce projet qui les a conduits à constituer une banque d’anecdotes joyeuses et euphorisantes pour que vivent à jamais les souvenirs de nos anciens.
Paru à la mi-septembre, l’ouvrage connaît depuis un succès retentissant dans le paysage régional. Soutenu par le Conseil départemental de l’Yonne qui en a assuré la promotion lors du Salon annuel des seniors en octobre.
C’est cela qui a encouragé les deux auteurs à aller plus loin : en proposant un cycle de conférences débat auprès des acteurs associatifs et institutionnels impactés par le grand âge. Là-aussi, la démarche explicative fonctionne.
Preuve que le sujet n’est nullement rébarbatif à qui veut réellement l’entendre. D’autant que ce livre représente un vibrant plaidoyer à la joie de vivre et à l’optimisme même quand les cheveux blancs fleurissent sur le crâne. Idées noires s’abstenir !
L’un des clubs service de la place, le Rotary, accueillera les conférenciers le 14 janvier prochain à son siège social au détour de l’une de ses réunions hebdomadaires. Un plateau de premier choix pour Dominique COJAN et Jean-Eric FRAY qui désirent privilégier, entre autres, les contacts avec les clubs services (Lions, Rotary, Kiwanis, Table Ronde, 41…).
Ceux-ci sont souvent positionnés dans le cadre de leurs actions solidaires et altruistes en faveur des personnes âgées.
Les écrivains poursuivent en parallèle le travail direct avec le public, décliné sous la forme d’ateliers. Avec toujours un trop-plein d’idées dans la tête !
2020 ne devrait pas leur laisser beaucoup de répit : n’était-ce pas là le but recherché pour que puisse vivre toujours la mémoire positive des seniors ?
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Soutien de Guy FEREZ, le Nouveau Centre réussit son mercato d’hiver avec l’adhésion de Virginie DELORME…
décembre 14, 2019Nouvelle surprise, et de taille, dans le microcosme politique de l’Auxerrois. On la doit à la formation de centre droit, incarnée par Jean-Philippe BAILLY, président départemental du mouvement inféodé à la cause d’Hervé MORIN. L’adjoint à la Ville en charge du développement numérique et du commerce vient de réaliser une très « belle prise » en ajoutant à son escarcelle, favorable à la liste d’ouverture prônée par l’édile d’Auxerre, la conseillère municipale d’opposition (ex-UMP), Virginie DELORME. Devenue entre-temps, Mme GARERES après avoir convolé en justes noces…Un nouveau coup de boutoir porté à la droite traditionnelle ?
AUXERRE : S’il avait voulu secouer le cocotier de la sphère politique auxerroise pour en faire tomber des fruits goûteux prêts à intégrer sa besace centriste, Jean-Philippe BAILLY ne s’y serait pas pris autrement !
En présentant lors d’une conférence de presse sa « prise de guerre » réalisée au nez et à la barbe de la droite républicaine, le leader politique issu du Nouveau Centre n’a pas dissimulé une extrême jubilation. Avant que ne démarre sa prise de parole officielle. Et pour cause !
Commerçante implantée depuis moult années dans le sérail (elle fut même la présidente des « Vitrines d’Auxerre » aux grandes heures de gloire d’une association qui est hélas aujourd’hui disparue), Virginie GARERES-DELORME jouit d’une solide notoriété dans l’espace professionnel et politique local.
Côté idéologie politique, la quadragénaire a toujours été estampillée à droite. Se portant même candidate au sein de listes clairement identifiées UMP (devenue depuis Les Républicains) aux dernières échéances municipales, face signe du sort à la liste conduite par le maire Guy FEREZ, et aux cantonales. Alors, par quel tour de passe-passe, voire de mystérieuse magie blanche, l’a retrouve-t-on désormais en accointance étroite avec un parti qui cautionne faits et causes le bilan de l’édile d’Auxerre ?
Le refus de la dérive droitière des Républicains…
Réponse de l’intéressée qui ne se dérobe nullement à la question : « Ma formation d’origine, Les Républicains, vire trop à droite et cela ne me convient absolument pas, concède-t-elle, certes, je n’ai pas encore arrêté ma décision mais je me sens plus proche des centristes de droite. Ceux représentés par le Nouveau Centre ».
Du petit lait à siroter avec une belle cuillérée de miel pour Jean-Philippe BAILLY qui n’en demandait pas tant ! Il est vrai que l’ex-secrétaire de l’UMP (c’est presque aujourd’hui de la Préhistoire !) en connaît aussi un rayon sur le besoin de changer d’aspirations pour s’aérer la tête et l’esprit.
Lui aussi s’était opposé en son temps à la dérive droitière qu’il reproche aujourd’hui sans états d’âme au parti de Christian JACOB.
Las de vivre cette situation, il avait alors quitté la droite républicaine originelle pour rallier ce centrisme qu’il affectionne tant aujourd’hui.
« Je me souviens, explique-t-il en faisant un sacré bond en arrière dans le fil de ses pensées, à l’époque, à l’UMP, j’avais enregistré parmi les nouvelles adhérentes la mille cinq centième personne à être encartée dans l’Yonne : elle se nommait Virginie DELORME… ».
Curieuse coïncidence de la vie, en effet, qui fait se retrouver autour de la même table, et rejoint par l’adjoint au maire en charge des ressources humaines, du dialogue social, des jumelages et des anciens combattants, Jean-Paul SOURY, les deux compagnons de route politiques de jadis.
Désormais, Virginie GARERES-DELORME se positionne en phase avec elle-même sur la liste d’ouverture voulue par le maire sans étiquette Guy FEREZ afin de mieux servir les intérêts des Auxerrois.
« J’ai toujours œuvré en dépassant les clivages politiques, précise celle qui a assisté à toutes les commissions où elle était inscrite, ce que j’apprécie dans cette composante qui part à l’assaut de ce nouveau mandat, c’est justement le rassemblement pluriel de ses membres. Je déteste tout ce qui s’apparente à de la politique politicienne et les « gué-guerres » de parti. Cette liste ne comporte pas d’étiquette, c’est tant mieux… ».
L’addition des différences sur une liste commune, c’est un atout…
Le projet élaboré par le président de la Communauté de l’Auxerrois (c’est aussi un enjeu important dans la balance électorale) fait figure de kaléidoscope politique avec des représentations issues de LREM, du MoDem, du Parti radical, d’AGIR La Droite constructive, du Parti socialiste. Voire de représentants de la société civile qui ne possèdent aucune appartenance politique tout court.
Même s’il n’intégrait pas les accords initiaux inspirés par le modèle de « Renaissance », déjà expérimenté lors des Européennes, le Nouveau Centre de l’Yonne souhaitait intégrer en toute logique le projet symbolisé par Guy FEREZ.
Toutefois, une autre solution aurait pu convenir à la commerçante auxerroise pour y exprimer ses idées. Rejoindre la liste « Auxerre au Cœur » dont Crescent MARAULT est aujourd’hui le porte-étendard. Une liste davantage marquée au centre droit et à la droite républicaine.
« Je n’ai pas trouvé sur ce projet les valeurs déontologiques qui me correspondaient, évacue-t-elle avec spontanéité, je préfère me projeter sur un projet novateur et constructif, où l’addition des différences devient un véritable atout… ».
Une arithmétique qui ne peut que trouver grâce aux oreilles de Jean-Philippe BAILLY et de Jean-Paul SOURY à l’issue de cette causerie intimiste. Les deux adjoints ont bel et bien confirmé, en guise de conclusion, leur présence sur la liste définitive que Guy FEREZ officialisera le 16 janvier prochain.
Le joker de charme Virginie GARERES-DELORME en sera également. Reste à savoir à quelle position ?
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Isabelle FROMENT-MEURICE : L'Yonne en Scène est à l'écoute des compagnies culturelles du territoire…
décembre 14, 2019Au détour de la troisième Journée « En bonnes compagnies », concoctée par « L'Yonne en Scène », l’élue en charge des affaires culturelles au Département, Isabelle FROMENT-MEURICE, s’est prêtée au jeu de l’interview afin de rappeler les grandes orientations de la structure dont elle assume la présidence…
VEZELAY : L’élue de Puisaye-Forterre n’est jamais avare en prise de parole lorsqu’elle est sollicitée par les médias. Elle a pu profiter de la tenue de cette journée annuelle où étaient réunies à la Cité de la Voix vingt-sept compagnies artistiques icaunaises pour répondre à nos interrogations.
Pouvez-vous nous rappeler les fondements essentiels de la structure « L'Yonne en Scène » ?
Cette entité présente depuis un quart de siècle sur le département a pour objectif le prêt de matériel aux différentes associations culturelles icaunaises, adhérentes au concept. Mais, ces prêts concernent aussi les collectivités, c’est-à-dire toutes les communes qui organisent des évènements culturels. Soutenue financièrement par le Conseil départemental, « L'Yonne en Scène » a bénéficié en 2016, et à son initiative, d’un processus de restructuration. Il a eu pour effet de donner une orientation supplémentaire à la structure et de lui permettre de devenir un outil au service des compagnies artistiques de notre territoire.
Que dire de ce concept « En bonnes compagnies » et de ce rendez-vous ?
Fort d’un postulat, celui que les compagnies ne se connaissent pas les unes des autres, l’idée est venue de proposer une journée spécifique à leur intention. C’est l’occasion de découvrir leur travail de manière collégiale qui, même s'il est différent, permet d’observer que les problématiques demeurent identiques. Ce rendez-vous annuel s’institutionnalise petit à petit. L’idée de base est d’appartenir à une véritable communauté ayant envie de mieux appréhender comment l’autre travaille et fonctionne. A ce titre, un annuaire a été créé : il regroupe les coordonnées des cinquante-cinq compagnies exerçant à l’heure actuelle sur notre territoire…
Comment envisagez-vous les phases évolutives de l’association ?
Le parc est déjà conséquent. Il devrait l’être encore plus dans les années à venir. Grâce au rapprochement et au partenariat qui devraient être conclus prochainement avec l’ARTAM, qui réalise désormais le même type d’opération en Bourgogne Franche-Comté.
Actuellement, au nombre de cinquante-cinq, les compagnies culturelles de notre département connaissent une augmentation permanente. Vingt-deux d’entre elles ont bénéficié cette saison d’un besoin concret.
A contrario, seize structures ne nous ont pas sollicités pour une demande spécifique.
Mais, certains pensent qu’il ne faut pas solliciter de l’aide parce qu’ils sont persuadés en leur for intérieur qu’ils ne l’obtiendront pas.
C’est vrai que le monde de l’art reste suggestif pour celui qui le voit, l’écoute, le lit, le saisit émotionnellement.
Pour autant, ne doit-on pas résoudre cette équation basique, posée par cette simple interrogation : que faut-il faire pour bénéficier des soutiens nécessaires et plaire afin de les obtenir ?
Propos recueillis par Maryline GANDON
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« Têtes de Chien » assure le spectacle aux 3èmes Journées « En bonnes compagnies »
décembre 14, 2019Mélange de chants a capella et de textes lus, illustrant le quotidien de pensionnaires des maisons de retraite, le nouveau concept de la formation artistique, « Le Petit tour, histoire d’en rire », aura été l’un des temps forts de ces rendez-vous de qualité, prétexte à de la concertation…
VEZELAY : Vingt-sept compagnies artistiques de l’Yonne étaient conviées à la Cité de la Voix pour cette nouvelle édition, baptisée « En bonnes compagnies », proposée par " L'Yonne en Scène ".
Dont « Têtes de Chien », structure articulée autour de cinq individualités au talent certain qui devait présenter en avant-première leur nouvelle réalisation conçue autour de l’évocation de souvenirs des anciens. Cela donna suite à des chansons tirées de la tradition orale des seniors.
Curieux maelstrom que celui-ci où voix a capella et textes de témoignages obtenus dans divers établissements accueillant des retraités composèrent cette prestation scénique originale. Elle servit de prétexte à un débat consacré à la collecte des informations mémorielles sur le territoire tout en découvrant les limites de ladite collecte.
Un peu plus tôt, le prologue de cette manifestation était assuré par Luc de MAESSCHALCK, coordinateur de l’ensemble. Il rappela les grandes missions de l’association (« L'Yonne en Scène »).
Ce discours de présentation qui fut étayé ensuite par les propos de l’élue départementale en charge de la culture, Isabelle FROMENT-MEURICE, présidente de l’association « L'Yonne en Scène ».
Plusieurs ateliers accueillirent également le public. Celui-ci se répartit selon les thématiques afin d’y procéder à un retour de partage d’expériences.
L’occasion de se rencontrer autour de thèmes éclectiques aura permis d’évoquer les problématiques rencontrées par ces compagnies au quotidien. Et surtout de pouvoir piocher çà et là les bonnes idées des uns et des autres. Toujours utile et opportun !
Maryline GANDON
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Prospective : Laurent PONCET (YNOVAE) excelle dans une analyse géostratégique sur l’agriculture
décembre 12, 2019La pression. Le mot est significatif et se passerait presque de commentaires superfétatoires. Mais, il a été prononcé tout de go par l’une des figures emblématiques de la filière agricole dans l’Yonne, Laurent PONCET. Pour illustrer la situation actuelle. Le président de la coopérative YNOVAE, invité à s’exprimer lors de la récente assemblée générale de la structure, n’a pas choisi ce terme par hasard. La pression, ou plutôt les « multiples pressions », pèsent aujourd’hui de tout leur poids sur les épaules fragilisées de ces femmes et ces hommes qui essaient tant bien que mal de survivre dans ce monde si complexe…celui de l’agriculture.
AUXERRE : Ce n’est un mystère pour personne. Mais de nos jours, le milieu agricole évolue dans un contexte très compliqué. En France où le phénomène de l’agri-bashing atteint des proportions jusque-là insoupçonnées. Une tendance qui est largement entretenue par l’insidieuse influence des réseaux sociaux qui se veulent être des juges de paix. L’agriculteur est devenu la bête noire à abattre si l’on peut se permettre cette métaphore.
Rien d’étonnant, au vu de la gravité de la conjoncture et du sentiment de désamour qui persistent envers la corporation que le président de la coopérative YNOVAE interpelle son public : un auditoire majoritairement composé de celles et ceux qui exercent au quotidien ce dur métier si besogneux et si ingrat.
« Ces pressions que vous subissez dans votre quotidien engendrent nécessairement des conséquences néfastes sur vos modes de production, sur vos propres motivations… ».
Seul, à la tribune, sous la lumière aveuglante des projecteurs, Laurent PONCET livre dans un silence de plomb et sous les regards convergents de centaines de paires d’yeux ses réflexions et interrogations personnelles sur le devenir de cette filière qu’il affectionne plus particulièrement.
Il ne retient dans son intervention que trois items qui prédominent selon lui dans le contexte actuel : les risques sanitaires, les effets de la géopolitique et les conditions d’évolution climatiques.
Une perte de la lisibilité face à l’avenir…
Vis-à-vis du premier argument (les risques sanitaires), Laurent PONCET fustige de qui survient avec régularité à l’autre bout de la planète. En Chine, plus précisément où la peste porcine décime les élevages de porcs. Cela impacte le marché mondial de la viande. C’est le poids réservé aux grandes puissances qui veulent jouer les premiers rôles dans un secteur économique.
« Au-delà de cela, estime Laurent PONCET, il y a une chose positive pour les éleveurs porcins français : c’est l’augmentation des importations vers ce pays de l’Asie ; c’est bénéfique par une augmentation des cours… ».
Mais, le balancier du négatif n’est jamais très loin dans la réalité. Puisque les importations d’orges d’origine françaises destinées à alimenter le cheptel porcin chinois ont subi de lourdes pertes. Pour autant, force est de constater que la qualité et la sécurité alimentaire des produits hexagonaux sont très appréciées à l’international. Faute de l’être chez nous ? Un comble !
Le volet géopolitique suscite là-aussi bien des inquiétudes de la part de l’une des têtes pensantes de la coopérative. Laurent PONCET se dit soucieux. Que penser de l’avènement au pouvoir de personnages aussi atypiques comme peuvent l’être Donald TRUMP ou Boris JOHNSON ? Ils engendrent une perte de lisibilité pour anticiper l’avenir.
Et à ce jeu-là, celui des revirements de situation ou de la proclamation d’annonces inattendues, ce sont toujours les cours et les marchés qui en pâtissent.
« La conjugaison d’une bonne récolte de canola au Canada additionnée aux tensions diplomatiques avec la Chine qui en rétorsion préfère l’origine australienne débouche sur une hausse de 42 % de l’importation européenne du canola canadien. Cela freine la hausse des cours de nos colzas que l’on espérait suite à la plus faible récolte de colza en Europe depuis plus de dix ans… ».
Un niveau de prix pas satisfaisant en France…
Constat désabusé de Laurent PONCET : « Dans une économie mondialisée si la Chine s’enrhume, c’est nous qui avons des poussées de fièvre ! ».
Quant aux conditions climatiques, elles se caractérisent aujourd’hui par une forte sécheresse dans l’hémisphère sud. L’Australie enregistre une baisse de volume en blé et en orge. Le Brésil est en retard pour ses semis de soja alors qu’il subsiste un sérieux doute concernant la seconde récolte de maïs.
« Chez nous, rappelle Laurent PONCET, concentré à la tribune, c’est l’humidité qui retarde les semis de blé et perturbe la récolte avec une détérioration des qualités. En Europe, l’Ukraine a battu ses records de production en blé et en maïs ; la Russie est étale en blé mais pulvérise des records en orges et en maïs. Quant à l’Union européenne, elle a battu des records en céréales à paille (148 millions de tonnes de blé) et 63 millions de tonnes d’orges… ».
Si la production mondiale atteint une fois de plus un niveau record que dire de la situation vécue par l’Hexagone où malgré une récolte de blé tendre importante (39,5 millions de tonnes), le niveau des prix n’est pas satisfaisant alors que les céréales françaises voient leur compétitivité se doper sur des marchés comme l’Egypte ou le Maroc.
Une réflexion géostratégique et économique intéressante qui aura servi de préambule au déroulé de l’assemblée générale de la coopérative sur laquelle nous reviendrons plus en détail dans une prochaine publication…
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