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Le BIG DATA serait-il le parangon des manipulateurs ? Il représente le coup de grâce à nos libertés…
janvier 28, 2020Capturer des données, les rechercher et les analyser, exigent des outils de stockage et de gestion des informations recueillies, hyper sophistiqués. C’est ce que l’on nomme usuellement le BIG DATA. Ou littéralement : la récolte de données importantes, de données massives ou de méga-données. Ce procédé technologique condamne-t-il le principe même de la démocratie ? Celui de notre liberté de penser…
TRIBUNE : Chaque jour, nous générons plus de 2,5 trillions d’octets de données ! De quelles données parlons-nous ? Ce sont des messages envoyés, des vidéos publiées, ceux de nos interventions sur les réseaux sociaux. Auxquelles, il est nécessaire d’ajouter toutes les informations médiatisées, les signaux GPS, les transactions d’achats en ligne…
Mais, qui sont réellement les utilisateurs du BIG DATA ? Des informaticiens, des entreprises, des chercheurs. Mais, il y a aussi les spéculateurs qui influent sur les marchés financiers. Ils intègrent et gèrent des masses de données, qui leur permettent d’adresser des ordres de bourse toutes les nanosecondes. N’omettons pas de notre inventaire à la Prévert les décideurs politiques, les services marketing et de communication…
Le BIG DATA représente aujourd’hui une véritable révolution qui permet de manipuler l’information donnée et de gagner plus. En parts de marchés, mais aussi en nombre de clients, voire d’électeurs…
Le BIG DATA repose sur la règle sacro-sainte des cinq « V » : variété des informations, volume de ces mêmes infos, vélocité, véracité et enfin valeur des éléments collectés.
Tous ces « outils » permettent d’optimiser les arbitrages et actions stratégiques des décideurs. Chacun apprend à manipuler les infos stockées et analysées, afin de mieux impacter de leurs poids le commerce et la vie politique.
L’IA supplante petit à petit l’intelligence humaine…
Les systèmes issus du BIG DATA décident pour les hommes. Qu’il s’agisse de recrutement et de licenciement, de conception de produits « vendables », des techniques de marketing, des stratégies politiques pour séduire les électeurs.
L’imperfection humaine laisse la place à l’intelligence artificielle (IA). C’est en fait la fin de notre vie privée ! Quant à la décision soumise au BIG DATA, c’est le robot qui valide les choix et remplace l’homme.
En politique, historiquement, ce principe technologique est devenu un acteur important dans trois des récents scrutins : la dernière présidentielle aux Etats-Unis, le BREXIT en Grande-Bretagne, et l’élection d’Emmanuel MACRON en 2017. Le BIG DATA a ainsi permis d’inonder les internautes de contenus conformes à leurs a priori !
Ainsi, chaque citoyen reçoit un discours ciblé. Dans ces conditions, comment tendre la perche vers le dialogue ? On votera pour des intérêts personnels au détriment du collectif.
Aujourd’hui, les solutions humaines et imparfaites s’effacent progressivement devant la détermination froide de l’informatique.
Ce sont des remèdes sans émotion. Sans la volonté d’unité de la nation. Sans âme !
Bref, qu’on se le dise autour de nous : le BIG DATA sonne irrémédiablement le glas de nos démocraties…et de nos libertés individuelles.
Jean-Paul ALLOU
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« Printemps pour Auxerre » promeut l’écologie humaine et constructive : comme un zéphyr qui rafraîchirait la ville…
janvier 27, 2020Perfectionniste jusqu’au bout des ongles, une qualité rare de nos jours, inhérente sans doute à sa rigueur professionnelle, Maud NAVARRE aime le sens du détail. La permanence qui l’accueille depuis peu ainsi que ses colistiers des « Printemps pour Auxerre », nom de baptême de la liste qui défendra ses couleurs (vertes de préférence !) aux prochaines échéances municipales, occupe un pas de porte rue Faillot. Un local qui se situe à quelques encablures de cet hôtel de ville tant convoité. Serait-ce le fait du hasard, un clin d’œil non dénué d’humour ou un signe prémonitoire pour celle qui se voit élue au soir du 22 mars au poste suprême de maire d’Auxerre ?
AUXERRE : Inaugurer la permanence de campagne demeure toujours un acte fort pour celles et ceux qui se lancent dans une joute électorale. Petits fours, confiseries et dives bouteilles auront donc été les précieux auxiliaires de cet incomparable évènement qui officialise les choses et les rapproche des échéances. En l’occurrence, celles du premier tour de la municipale 2020, le 15 mars.
Les têtes de pont de la liste écologique « Les Printemps pour Auxerre » n’auront donc pas dérogé à cette pratique quasi institutionnalisée dans nos mœurs politiques qui favorise les retrouvailles de sympathisants et militants autour de la juste cause : la défense des valeurs. Et surtout celles dispensées dans le programme !
Alors, entre l’inéluctable conférence de presse et la convivialité qui découlait de cette soirée inaugurale plus festive, autant dire que Maud NAVARRE avait des choses à dire côté informations aux représentants des médias.
A commencer par un petit explicatif sur l’appellation de sa liste qu’elle fera connaître de manière définitive d’ici la date butoir du 27 février.
Fleuri et s’inspirant de la saisonnalité, le nom des « Printemps pour Auxerre » a finalement été retenu. Et ce depuis près d’un mois par les intéressés. Des colistiers inféodés à Maud NAVARRE qui ont aimé cette référence faite à la période temporelle, mais aussi à la nature et à l’environnement (c’était la moindre des choses) sans omettre cette fine allusion au rajeunissement et à la vitalité. Une manière de bien signifier que dans cette liste, tout y respire la démocratie participative et la présence de l’éclectisme, à travers ses sensibilités…
Vers une écologie favorable à la qualité de vie et non punitive…
La rhétorique de Maud NAVARRE n’a pas bifurqué d’un iota depuis sa dernière entrevue médiatique. Elle veut adoucir le contenu parfois austère et radical qu’ont prôné avant elle d’autres ténors de la cause écologique. Sans ambages, elle l’affirme : « Je ne veux pas porter un programme qui envisage le développement de l’écologie radicale, intenable et inacceptable… ».
S’absoudre définitivement de l’écologie punitive est sa raison d’être qu’elle mène à travers ce combat. « Nous sommes favorables à une écologie raisonnée, programmée, en accompagnant les citoyens. Nous allons nous engager sur un programme progressif en nous penchant sur les questions fondamentales que sont pour notre société la qualité de l’eau, de l’air et de la vie… ».
Bref : l’écologie représente à ses yeux un visage humain et sans contrainte.
Une liste qui se construit dans une mûre réflexion…
Quant à la liste, elle se construit avec sérénité et patience. Dans un esprit tout à fait démocratique.
« La campagne démarre à présent et on a besoin de talents, de gens motivés, pour la composer en parfaite quiétude et dans l’analyse. Nous sommes fiers qu’elle ne soit pas encore complète : c’est la preuve que nous ne forçons nullement l’ordre des choses et que nous prenons le temps de la consolider avec des personnes volontaires et utiles aux intérêts d’Auxerre… ».
Bénéficiant des soutiens officiels du mouvement Europe Ecologie Les Verts et de Génération Ecologie, la liste « Les Printemps pour Auxerre » déroulera sa réflexion articulée autour de cinq grands piliers thématiques : la santé, l’éducation, la sécurité, l’environnement et le pouvoir participatif.
Tous les détails devant être largement explicités d’ici la date butoir de février. Reste désormais l’hypothèse de la non-qualification pour le second tour. Quelles seraient alors les consignes de vote données par Maud NAVARRE et les siens ?
La réponse nous est parvenue par la voix de l’une de ses plus fidèles porte-étendard, issue du centre, Farah ZIANI : « Notre liste ne rejoindra jamais celle de Guy FEREZ au second tour. D’ailleurs, il n’y aura pas de discussions avec quiconque. Nous avons l’intention de porter notre projet jusqu’au terme de ces échéances… ».
Avec la victoire comme objectif final ?
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Le livret A est-il encore à privilégier ? Le placement préféré des Français ne rémunère plus qu’à 0,5 % d’intérêt…
janvier 26, 2020Au premier février, le fameux placement ne proposera plus qu’une rémunération s’élevant à 0,5 % d’intérêt. Un taux de rentabilité que beaucoup considèrent comme amorphe pour garantir la pérennité d’un placement. Pour autant, faut-il le rejeter de nos possibilités d’épargne ?
TRIBUNE : Nous sommes passés de 8,5 % (le plus haut niveau dans l’histoire) en 1981 à 0,5 % (dès février 2020), avec le taux de rentabilité le plus bas depuis deux cents ans.
Né en 1818, en même temps que la Caisse d’épargne de Paris, le livret A fait figure d’ancêtre parmi les placements financiers modernes qui sont encore proposés sur le marché.
L’Etat voulait obtenir des capitaux afin de combler les trous financiers creusés par les guerres napoléoniennes. Le livret est accessible à tous, sans exclusive d’âge, de fortune et de sexe. Il constitue, à l’époque, une innovation dans le monde de l’épargne. A l’origine, c’est un placement à vue, une création philanthropique avec l’ambition de résoudre la question du paupérisme. Aujourd’hui, les sommes recueillies servent à financer le logement social. Mais, 0,5 % d’intérêt : c’est très bas ! A 0,07 %, on pourra toujours se prendre pour James Bond ! Mais trop bas, par rapport à quoi ?
Souvenons-nous : en 1981, avec une inflation à 13,4 % et un livret rémunéré à 8,5 %, le taux était psychologiquement acceptable pour les épargnants : un différentiel de près de 5 % au détriment du pouvoir d’achat. On est malgré tout satisfait. Aujourd’hui, ce livret va se situer à 0,5% pour une inflation à 1,4 %, chiffre référent de décembre 2019. Soit un différentiel de 0,9 %. La différence est plutôt rassurante mais tout le monde râle un peu. De forts taux d’inflation, dans les limites de 10 à 15 % démontrent un impact psychologique positif chez les titulaires de ces livrets.
Les chiffres clés du livret A…
Le livret A n’a pas vocation à couvrir l’inflation. Si on applique la formule de calcul du taux de rémunération, on obtient un taux de 0,23 % ! Heureusement, la règle édictée par l’Etat fixe un rendement minimum de 0,5 %. Mais pour combien de temps encore ?
Nous recensons aujourd’hui : 55 millions de livrets A et 35 millions de détenteurs (contre 28 déposants le premier jour de sa création), soit un encours global de 360 milliards d’euros en dépôts. Selon une association des consommateurs, la CLCV, en 2018, l’écart de 1 % entre l’inflation et le taux de rémunération du livret a généré une perte de pouvoir d’achat de 3,6 milliards d’euros (1% de 360 milliards de dépôts) : c’est juste.
Cependant, François CARLIER, délégué général de la CLCV affirme que cette somme non versée, c’est autant d’argent gagné par les banques : ce qui est archi faux !
Il semble méconnaître la gestion d’une banque ou faire juste un peu de manipulation politiquement stratégique. Ce raisonnement est du même niveau que le discours de Madame, lorsque de retour des boutiques elle déclare à son tendre époux : « aujourd’hui, grâce à des soldes à 50 %, j’ai économisé 300 euros ! ».
Pourquoi est-il nécessaire de conserver son livret A ?
Garder son livret pour faire une bonne action envers le logement social ? Entendons les sarcasmes ! Nous avons tous joué au « Monopoly », tirer une carte « Chance ? » qui nous donnait quelques sueurs froides. « Faite des travaux dans vos maisons » disait l’intitulé.
Sans monnaie, on avait perdu au jeu ! Alors oui, il faut conserver un ou plusieurs livrets. La raison d’être de ce livret demeure sa disponibilité. Retenons, qu’à l’inverse des placements financiers (Bourse…), les placements bancaires de cet acabit ne présentent aucun risque sur le capital.
Un placement sûr, disponible et dont le rendement est acceptable par rapport à l’inflation représente une épargne de précaution. C’est-à-dire la boîte de métal ou le bas de laine de nos grands-mères ou les noisettes de l’Ecureuil (souvenons-nous de l’antique logo des Caisses d’épargne).
Alors, conservons ce livret A qui reste invariablement « une poire pour la soif », à boire sans modération…
Jean-Paul ALLOU
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Le Guide MICHELIN retire une étoile au pape de la gastronomie : la seconde mort de Paul BOCUSE…
janvier 20, 2020Michelin siffle-t-il la fin de l'ère BOCUSE ? Pas si simple ! Comme autrefois, pour « La Pyramide » à Vienne, où le fameux guide attendit le décès de l'emblématique Mado POINT pour rétrograder la maison à deux étoiles en 1987. Là aussi, c'est après le décès du « Général de GAULLE » de la gastronomie française, puis de son épouse Raymonde, que la sanction est tombée. MICHELIN aurait-il osé le faire du vivant de M. Paul ? On peut en douter...
TRIBUNE : Mais, procédons à un petit retour en arrière. Nous sommes début 1965. Le président de la République est le Général de Gaulle, Premier ministre se nomme Georges POMPIDOU. Quant aux BEATLES, ils sont encore en noir et blanc !
Quelques mois plus tôt, les services du guide, installés boulevard Pereire à Paris, reçoivent un jeune chef provincial, assuré et sûr de lui. C'est qu'il vient d'être titré MOF (Meilleur ouvrier de France). Il est déjà détenteur de deux étoiles. Le MICHELIN demande alors au cuisinier si les travaux dans son établissement ont avancé et si enfin les WC vont quitter le fond de la cour, pour se retrouver à l'intérieur du restaurant !
Le chef répond de façon affirmative, en montrant des photos du chantier. Il n’est autre que Paul BOCUSE !
En cette année 1965, le guide lui attribue ses convoitées triples étoiles pour la terrine de grives au baie de genièvre, la mousse de truite à la Constant Guillot, ainsi que le carré d'agneau à la broche aux herbes de Provence. Le repas y coûte 34/38 francs de la radio et l'usage de la radio est interdit en salle !
Cette proximité avec le MICHELIN sera une des particularités de ce cuisinier entreprenant et visionnaire !
Et pourquoi pas la sanctification du maître ?
On ne se rendait pas au restaurant chez lui ; non, on allait chez Paul BOCUSE ! La façade est clinquante couleur framboise et pistache, les plaques rappellent les crues de la Saône (1955/83).
Entrez donc : tout y brille de mille feux ! Le spectacle peut commencer dans le temple de la Gastronomie française : soupe aux truffes, filet de sole nouille Fernand Point, loup en croûte à la sauce Choron, poularde de Bresse en vessie et autres chariots de dessert...
Tous ces mets ne méritent peut-être plus les triples étoiles en 2020. C'est vrai, bien que...! Mais, le MICHELIN aurait pu (aurait dû) statufier par une distinction particulière cette maison mythique de la Gastronomie française !
Gageons cependant que Vincent LE ROUX, directeur de la maison et ses équipes truffées de MOF, sauront dans un établissement récemment rénové, se battre pour retrouver cette triple distinction.
Celle qui dès lors deviendra, sous l'œil taquin du Commandeur, la référence éternelle de la cuisine française.
Pour conclure, trois citations de ce dernier : « j'ai deux bacs : un pour l'eau chaude, un pour l'eau froide ! » ou encore « Quand je vois une bonne idée, je ne copie pas mais je fais pareil… ». D’ailleurs, il ne s'en privera pas !
Et puis cette dernière : « Il n'y a qu'une cuisine : la bonne ! ».
Ce sera le mot de la faim, « F A I M », à l'approche peut-être de l'heure du repas quand vous lirez ces lignes.
Et comme il est inscrit sur les menus de cette mythique auberge lyonnaise : « bon appétit et large soif ! ».
Gauthier PAJONA
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Vecteur d'agrément pour soi, le bien-être est ce joyau spirituel à ressentir et à vivre. Il se conforte à la bienveillance et veille à un état d'être complaisant à la douceur et à la délicatesse envers son être. Il est l'élégance à porter, au détail près, en conformité avec son intériorité…
TRIBUNE: Etre bien avec soi « m'aime »...Une traduction édulcorée et fantaisiste, je ne pense pas. Cette philosophie de la vie, déconcertante à édifier dans son quotidien, détient les fondations pour établir une harmonie dans tous les domaines de sa vie. Ces énergies intérieures et extérieures dont nous nous nourrissons se transposent dans notre quotidien.
Justement, le bien-être est un contrat entre son corps et son esprit. Ce binôme inséparable se marie sur un accord à respecter le deal…Tenir compte de ses désirs et de ses volontés. C'est être ordonné dans sa verticalité. Quand ce duo se confronte, des douleurs variées et avérées de différentes tonalités commencent à arriver.
La douleur n'a pas de classe sociale. Elle se faufile avec douceur et fermeté dans ce qui n'est pas aligné ou acté avec ses propres pour « parlés ». Le défi est d'écouter son intériorité en faisant abstraction de conseils qui ne seraient toujours avisés et qui pourraient nuire à sa bonne santé.
La notion de plaisir est vitale…
Dans un second temps, le bien-être a cette candeur et cette audace de s'imposer face à des contraintes logistiques quotidiennes. C'est pourquoi, il est primordial de planifier des relais de détente combinés dans différentes activités. Physiques ou méditatives pour apaiser et générer un état de relaxation.
C'est aussi varier et ponctuer des actions de distraction où peuvent s'inviter des contraintes de performances mais limitées. La notion de plaisir est vitale et nécessaire pour fusionner l'équilibre et la paix intérieure entre le privé et le professionnel. Ces distractions doivent être un bonus d'agrément pour que la notion de loisir soit récréative où par effet miroir se déploiera sous une forme de lâcher-prise.
Ces moments de répit apaiseront le mental au bénéfice d'une meilleure santé. Une trêve salutaire au bourdonnement entêtant des caprices du quotidien. Ciné, musé, sport etc… : c'est le meilleur moyen énergétiquement de festoyer en toute légèreté.
D'autres facteurs mais intérieurs génèrent une plus-value à ce dérivatif à savoir la nourriture.
Bien choisir sa base alimentaire…
Les aliments génèrent de hautes ou basses vibrations. Plus le corps ingère du « haut de gamme » comme les fruits, les légumineuses, thé de qualité supérieure...plus l'énergie corporelle est bienfaitrice et performante.
A contrario, le sucre raffiné ou toute autre substance grasse est connoté à des flux de basses fréquences. Ingérés de façon journalière, le moral et l’épanouissement personnel s'en ressentiront. C'est la loi de cause à effet. Nous sommes intérieurement ce que nous « mangeons » émotionnellement et culinairement.
Cette sagesse au bien-être se déploie et s'observe sous différents angles stellaires. La vie est un ciel étoilé de mille opportunités. A saisir ou non.
Chacun est maître de sa destinée en étant consistant de ses propres décisions. De sa santé en étant cohérent dans ses champs d'action. De son bien-être en s'octroyant une halte personnelle. Le premier vecteur d'une vie exponentielle est l'épanouissement personnel alors...
Comme l'exprime avec justesse le daïla lama : « Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel… ».
Lyvia ROBERT
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