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Entre analyse de la crise et craintes de cyber-attaques : le parler vrai d’Alain PEREZ (CCI) à Entreprendre Bourgogne
octobre 05, 2020Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne était l’invité du réseau Entreprendre Bourgogne pour les premières retrouvailles en présentiel du réseau de décideurs après de longs mois d’abstinence relationnelle. L’occasion pour le représentant consulaire de dresser un panorama réaliste de la situation économique de l’Yonne telle qu’il la perçoit…
APPOIGNY : Convier à prendre la parole devant un aéropage de chefs d’entreprise masqués et respectueux de la distanciation physique, le président de la CCI de l’Yonne Alain PEREZ a salué les mesures gouvernementales prises avec le plan de relance pour accompagner les acteurs de la sphère économique. Dans un contexte très endommagé par une crise sanitaire qui demeure, et il le regrette, toujours d’actualité.
Et même si on ne connaît pas encore toutes les applications de ce plan, certains éléments à l’instar du PGE (prêt garanti par l’Etat) prouvent que les entrepreneurs sont réactifs à en faire la demande pour bénéficier de ces soutiens. Avec le concours des partenaires institutionnels et financiers.
Le président de la chambre consulaire aura profité de sa prise de parole devant les membres du réseau Entreprendre Bourgogne pour évoquer le travail en parfaite symbiose qui est mené depuis le début de la crise sanitaire avec la cellule économique ad hoc, supervisée par le préfet de l’Yonne.
Puis, détaillant secteur par secteur, Alain PEREZ observa que les professionnels de la filière artisanale et du bâtiment tiraient plutôt bien leur épingle du jeu. Même si une zone d’inquiétude perdurait avec le cruel manque de visibilité quant au carnet de commandes en 2021.
La filière commerce, notamment alimentaire, n’a pas trop souffert, quant à elle, de cette transition conjoncturelle très spéciale. Un constat qui ne se révèle pas du tout de la même facture pour le secteur vestimentaire et les métiers de services, plus à la peine selon le président.
Une chance pour notre industrie : la taille de ses entreprises et leur diversité…
Du côté de la filière industrielle, Alain PEREZ indiqua que « la diversité de notre industrie et l’absence de réelle filière trop spécialisée représentaient une réelle chance pour la sauvegarde de ce secteur sur notre territoire ».
Toutefois, point d’angélisme dans les propos de l’ancien responsable d’industrie sénonais. Alain PEREZ estime que les effets de la crise économique en termes d’emplois pourraient se faire ressentir dès les premiers mois de l’année 2021 lors du remboursement des charges.
Pour autant, les tribunaux de commerce d’Auxerre et de Sens ne présentent pas une activité débordante au niveau des dépôts de bilan et autres redressements judiciaires. Ce qui a l’heur de rassurer pleinement le président de la chambre.
En revanche, Alain PEREZ s’alarme d’une toute autre crise plus pernicieuse qui pourrait anéantir les espérances de celles et de ceux qui tentent de redresser la tête au quotidien : la cyber-attaque.
Les services de l’Etat craignent en effet des attaques informatiques de grande ampleur contre les systèmes numériques des entreprises. Un acte irresponsable s’avérant dramatique si cela venait à se confirmer.
Dans cette optique, la CCI de l’Yonne proposera dans les semaines à venir des webinaires afin d’informer le plus grand nombre d’entreprises sur les risques potentiels pouvant être encourus en cas d’infections virales numériques.
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Premières retrouvailles depuis le 15 mars : Entreprendre Bourgogne 89 prône la positive attitude !
octobre 04, 2020Le plaisir de se retrouver, enfin. Et de surcroît en présentiel ! Après une interminable période de doutes, ponctuée de soubresauts intempestifs d’une infection virale qui aura pollué la sphère économique. L’antenne icaunaise du réseau Entreprendre Bourgogne a donc savouré la moindre de ces minutes de liberté, dans le respect des mesures de protection. En délivrant à ses membres, des messages résolument portés vers l’optimisme…
APPOIGNY : Ce fut un bien fou pour le moral que ces retrouvailles concoctées après de si longs mois d’absence pour le réseau économique de Bourgogne Franche-Comté !
Hormis de sporadiques contacts purement virtuels dont la soirée des lauréats 2020, les membres de la structure n’ont guère eu l’opportunité de s’entretenir de manière physique au cours de ce dernier semestre.
Un manque relationnel évident pour le directeur général Arnaud GRAVEL qui n’avait pas hésité à rallier l’Yonne depuis Dijon pour présider cette animation conviviale accueillie dans les locaux des « Plaisirs des Mets ». L’une des unités de production que compte la société FESTINS de Bourgogne dans le département.
Le mot « présentiel » mis à l’honneur…
Il y fut rejoint par la coordinatrice territoriale, la toujours sémillante Sophie BERNARD. Celle-ci n’avait rien perdu de sa superbe en prenant des nouvelles de chacun de ses hôtes avant que ne débute réellement la soirée. Un rendez-vous placé sous le sceau de la convivialité et de la délivrance de messages positifs qui devaient booster le moral des troupes !
Codirigeante des FESTINS avec son époux Didier, Evelyne CHAPUIS prit la parole lors de la phase introductive de la manifestation. Evoquant dans le détail les règles sanitaires à respecter au moment du cocktail. Soit dit en passant, toujours aussi agréable à l’œil et appétissant au goût !
Ne négligeant pas une note d’humour, la cheffe d’entreprise avoua avoir ajouter de nouvelles locutions à son vocabulaire durant cette période de confinement en citant notamment ce mot de « présentiel » dont elle put apprécier tout le sens étymologique durant ces agapes.
Un nombre de comités d’engagement en pleine expansion…
De son côté, Arnaud GRAVEL rappela que les entrepreneurs avaient l’obligation de se réinventer pour mieux exister face à la crise. Son réseau dont il gère la destinée était à l’écoute des différentes attentes de ceux qui génèrent de l’activité et de l’emploi.
D’ailleurs, Sophie BERNARD précisa que cette année 2020 si particulière n’était pas aussi négative pour Entreprendre Bourgogne. Quinze lauréats, porteurs d’un équivalent de cent-cinquante emplois nouvellement créés ou préservés, ont rejoint la communauté.
Quant aux comités d’engagement (ils permettent d’instruire les dossiers des futures adhérents), leur nombre avait déjà dépassé celui de l’exercice antérieur : soit 26 séances de travail contre 24.
Les deux prochaines réunions auront lieu précisément le 14 octobre et le 03 novembre. Preuve que les experts économiques de ce réseau d’accompagnement de porteurs de projets régionaux ne chôment pas. Même pendant cette délicate époque !
A ce titre, parmi les nouveaux lauréats de la prochaine promotion, devraient figurer la société de Sens « NEED ROBOTICS », pilotée par l’ingénieux Ned CEKIC et l’enseigne « Monsieur Bricolage », devant assurer une nouvelle implantation à Migennes.
Un focus sur les PGE contractualisés dans la région BFC…
Parmi les futurs projets, signalons également le rapprochement avec « La Fabrique à Entreprendre », concept orignal porté par la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais. Avec lequel le réseau Entreprendre Bourgogne 89 devrait initier plusieurs séances « after work » afin de renforcer sa présence dans la partie septentrionale de notre territoire.
Deux intervenants apportèrent enfin leurs analyses personnelles sur la situation conjoncturelle. Tout d’abord, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ évoqua l’actualité économique (voir l’article à paraître).
Puis, le responsable départemental du centre d’affaires entreprises de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain, Jean-Philippe BEZIN s’attarda quelque peu sur le soutien bancaire auprès des entrepreneurs via les PGE. Les fameux prêts garantis par l’Etat.
Un chiffre retiendra l’attention de l’auditoire. Celui de 4 milliards d’euros de PGE qui ont été contractés dans notre contrée depuis le lancement de cette initiative nationale. 900 millions d’euros sont imputables à la seule charge de l’établissement mutualiste.
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Etat d’alerte à Auxerre et à Sens : la COVID-19 oblige la préfecture à adopter de nouvelles mesures dès le 05 octobre
octobre 03, 2020Pas de surprises dans les annonces du préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de la conférence de presse qui s’est tenue ce samedi 03 octobre en matinée. L’Yonne se retrouve de nouveau en état d’alerte. Notamment dans deux de ses plus grandes agglomérations. C’est la strate initiale d’une échelle de valeurs qui en comptabilise quatre pour mieux appréhender le risque sanitaire encouru par la population avec la présence du coronavirus. Dès lundi, les principales voies pénétrantes d’Auxerre et de Sens ne pourront être fréquentées sans le port du masque. Il faudra donc s’y habituer…
AUXERRE : C’était couru d’avance. Tant les statistiques dévoilées par les services de l’Agence Régionale de Santé (ARS) s’orientaient depuis plusieurs semaines vers l’inéluctable. A l’instar de la situation observée dans d’autres départements de notre contrée : la Côte d’Or et le Doubs. L’Yonne est donc confrontée une fois encore à cette situation complexe de l’état d’alerte du fait de la propagation active de l’épidémie de la COVID-19.
Et ce n’est pas de gaieté de cœur, on s’en doute, que le représentant de l’Etat Henri PREVOST a dû faire l’annonce via un point presse de nouvelles mesures de protection pour tenter d’enrayer la chaîne de contamination. Deux villes inquiètent plus spécifiquement le haut fonctionnaire : celles d’Auxerre et de Sens. Aujourd’hui, la capitale de l’Yonne est sous haute surveillance. L’épidémie s’y développe plus qu’à la normale.
Après avis de l’ARS, le préfet n’avait d’autres alternatives que d’adopter très vite une ligne stratégique proportionnée au contexte ambiant. Celle-ci se décline en plusieurs items. Tous seront applicables dès le lundi 05 octobre, et ce, pour une quinzaine de jours.
Limiter les risques de circulation du virus pour éviter le pire…
Depuis le 01er octobre, le département septentrional de la Bourgogne Franche-Comté faisait l’objet de tous les intérêts auprès des services de l’Agence Régionale de Santé. Via deux indicateurs très significatifs : le taux d’incidence sur une population de cent mille âmes et le taux de positivité des personnes testées.
Communiqués par la déléguée départementale de l’ARS dans l’Yonne, Eve ROBERT, les chiffres ne bercent pas les analystes vers un optimisme béat. En un laps de temps très court, le taux d’incidence s’est situé à 64 nouveaux cas pour 100 000 habitants. Alors que le dépassement du seuil d’alerte est en principe atteint dès que l’on excède les 50 cas, comparativement à ce même critère de 100 000 habitants.
Du côté de la positivité des tests, les ratios ne sont guère florissants là-aussi. A ce jour, le taux est de 7 % alors qu’il devrait se situer en deçà de 5 % pour que notre territoire demeure en vert.
Dans le concret, quatorze personnes ont été admises ces jours-ci dans les centres hospitaliers d’Auxerre et de Sens. Deux d’entre elles ont été affectées en réanimation. Rappelons que l’Yonne ne recense que dix-huit lits dans ce service, devenu le point névralgique de la lutte contre cette épidémie virale.
Des contrôles plus préventifs que répressifs des forces de l’ordre…
Face aux problématiques inhérentes à ce service et afin d’en maîtriser le plus possible les conséquences au niveau des tensions, Henri PREVOST a préféré abattre de son jeu la carte de l’anticipation. En prenant par arrêtés un certain nombre de dispositifs qui se mettront en place à la sortie du week-end.
Des mesures qu’il explique dans le seul but de se protéger mutuellement et de ne pas exposer les plus fragiles de nos concitoyens à des risques éventuels.
Le port du masque se retrouve ainsi en première ligne de ce plan de campagne pour gagner la bataille. La préfecture le rend obligatoire dès le 05 octobre sur l’ensemble des marchés (couverts et extérieurs) et aux abords des établissements scolaires du second degré (collèges, lycées, centres de formation par apprentissage…). Sans qu’il n’y ait réellement de périmètre indiqué pour son usage. Les gares routières s’ajoutent à cette liste.
Mais, s’il ne fallait retenir qu’une seule décision dans cette panoplie de mesures, ce serait celle-là : l’adoption du port du masque dans les rues principales des cœurs de ville d’Auxerre et de Sens.
Le résident de l’hôtel de la préfecture a pris soin en amont de contacter les deux édiles de ces villes, Crescent MARAULT et Marie-Louise FORT pour établir la liste des rues impactées par ce dispositif. Il s’agit de voies d’accès pénétrantes, choisies délibérément pour leur cohérence et la densité de leurs fréquentations.
Le masque y sera obligatoire entre neuf et vingt-et-une heure chaque jour de la semaine, même le week-end. A Auxerre, les rues du Pont, celle du Temple, la place des Cordeliers ou la rue de Paris sont concernées. A Sens, le quartier des Champs-Plaisants ou encore les accès qui mènent de la gare SNCF au cœur de ville bénéficieront de ces mêmes mesures.
La surveillance sera assurée par des contrôles réguliers des forces de l’ordre qui feront preuve d’une relative souplesse avant de verbaliser les récidivistes. Le but n’étant pas de mettre une amende de manière systématique aux contrevenants. Mais, d’encourager aux gestes qui sauvent selon Henri PREVOST.
La difficulté pour les piétons sera de se souvenir des rues où il est nécessaire de porter le masque ou non. D’autant qu’aucune signalétique ne viendra mentionner si l’on est dans une rue autorisée à circuler librement.
Une cartographie détaillée indiquant les itinéraires précis a été réalisée pour les deux agglomérations icaunaises.
Ne pas développer de clusters familiaux…
Quant aux évènementiels d’origine familiale, ils se situent dans l’œil du cyclone des nouvelles directives préfectorales. Conséquence, dès le 05 octobre, les rassemblements festifs de plus de trente personnes dans les établissements accueillant du public sont proscrits jusqu’à nouvel ordre. Cela concerne les mariages mais aussi les anniversaires et les baptêmes. A contrario, les associations ont toujours la faculté de se retrouver pour une réunion statutaire de type assemblée générale.
Les rassemblements festifs chez les particuliers ne peuvent subir de contrôles, il va de soi. Le préfet en appelle à la vigilance accrue et à la responsabilité de chacun si de tels évènements devaient se tenir.
C’est un nouveau coup dur pour les professionnels des métiers de bouche, en particulier les traiteurs qui souffrent déjà de la conjoncture. Henri PREVOST a rappelé que ces entrepreneurs pouvaient bénéficier des mesures nationales mises en œuvre dans le cadre du plan de soutien.
L’exemple des vide-greniers (on le sait, ils font florès dans le département) a été également abordé. Partant du postulat qu’il est très difficile de faire respecter les gestes barrières durant ces animations, le préfet de l’Yonne en a décidé l’interdiction sine die.
La sphère sportive est aussi concernée par l’application de ces nouveaux arrêtés préfectoraux. Ainsi à l’AJA, les autorisations ponctuelles d’accueil de public de plus de cinq mille personnes sont remises en cause dès samedi. Le club de Francis GRAILLE qui livrera bataille ce soir contre l’Athlétic Club d’Ajaccio verra sa jauge de spectateurs qui plafonnait jusque-là à sept mille places revenir à cinq mille supporters.
Pour être tout à fait complet sur ce lot de nouvelles dispositions à venir, précisons que les autorisations d’ouverture tardive dans les bars ont été suspendues sur l’ensemble du territoire. Les débits de boisson devront cesser toutes leurs activités à une heure du matin en semaine. Un léger répit, jusqu’à deux heures, leur est accordé le week-end…
Quant à un retour au confinement pur et dur comme cela fut le cas au printemps, il n’est même pas hypothétique de l’envisager pour le préfet de l’Yonne, bien décidé à contenir la seconde vague de l’épidémie le plus longtemps possible.
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Un alchimiste des mots fait rêver un parterre d’entrepreneurs : Malek BOUKERCHI, sportif de l’extrême
octobre 01, 2020Dans la vie, tout est possible. Rien n’est programmé. Cette théorie tord le cou de manière définitive aux adeptes de la destinée qui pensent que tout est déjà inscrit au plus profond de nos codes génétiques. Celui qui pense cela, n’est pas un être humain ordinaire. Même si son humilité transpire à chaque prise de parole. C’est un cas à part. Un extra-terrestre de l’impossible, capable de courir en les enchaînant des ultra-marathons sur des centaines de kilomètres dans le désert de Mauritanie ou sur la glace de l’Antarctique. Un homme qui est allé au bout de sa folie beaucoup plus maîtrisée qu’il n’y paraît…
AUXERRE: Le plaisir de l’écoute se boit à satiété dans la moindre de ses paroles. Prolixe, l’orateur transporte son public avec ses mots à lui. Avec lesquels il interprète tel un slam une narration qui n’en finirait jamais. Il y a du lyrisme et de la poésie dans ces propos minutieusement choisis qui inondent la salle et son auditoire. Un sens profond, aussi qui ne fait pas la part belle au hasard.
Conteur, poète mais surtout athlète d’exception, Malek BOUKERCHI n’a pas son pareil pour emmener avec lui dans ce saut vers l’inconnu qui se nomme l’aventure celles et ceux qui écoutent et comprennent ses messages.
Spécialiste des courses de l’extrême, le personnage est incroyable. Le palmarès est éloquent. Bien qu’il ne soit pas compétitif dans l’esprit de gagner une médaille.
Que ce soit en altitude à plus de quatre mille mètres au sommet d’une montagne, sur les surfaces cuites par le soleil d’un désert de sable ou dans la froidure d’un hiver polaire sans fin, cet anthropologue/philosophe de métier partage sa passion du sport « no limite » (ou presque) lors de cycles de conférence destinés à booster le moral des troupes. C’est-à-dire celui de ces dirigeants et cadres d’entreprises qui en éprouvent l’immense besoin. Et ils sont légion depuis l’apparition de la pandémie de ce coronavirus de triste mémoire qui aura plombé pour un temps incertain la vie économique.
Pourtant que l’on ne s’y méprenne point mais notre sportif émérite n’est pas un professionnel de ces disciplines qui forgent le mental et renforcent l’endurance à grand renfort de biceps. Ou de cohésion d’équipe !
Il se définit plutôt comme un chantre de la « métamorphose silencieuse ». Celle qui fait muer un être lorsque ce dernier prend le soin de redonner enfin un sens à son existence. Il rêvait de se dépasser physiquement ? Alors, il est passé aux actes !
Démontrant ainsi par la force des choses que rien n’est jamais acquis sur notre chemin terrestre et qu’il est bon de remettre sans cesse l’ouvrage sur la table de travail chaque jour que Dieu créé !
Prendre son destin en main en s’émerveillant chaque jour…
Alors, se transcender intérieurement pour repousser les limites du possible est envisageable pour chacun d’entre nous. C’est la substance idéologique de ce rendez-vous qui nous aura été proposé de suivre grâce à la CPME de l’Yonne et à la société EPONA COACH (Sandra CACHON).
Une double combinaison destinée à conforter les chefs d’entreprise dans leur envie d’autre chose, mise en scénographie par l’incontournable IDX PROD, avec Yannick DAVOUSE, son responsable aux manettes.
L’ultra-marathonien a su délivrer son lot de belles formules qui ont peut-être encanaillées un peu plus ce public de décideurs auxerrois (majoritairement issus de la gent féminine) pour redéfinir leur mission dans leur vie professionnelle de chaque jour.
En voici, un petit florilège. « Nous sommes éternellement des enfants ! ». Enfin, il faut le reconnaître et cela fait du bien à entendre en nous redonnant ce vrai bol de jouvence salvatrice !
« L’ultra-marathon me permet de traverser les territoires de façon sensible… ». Ou encore cette citation pour évoquer les risques et les dangers de ces échappées sauvages au beau milieu de nulle part : « Est-ce qu’il faut tutoyer la mort pour se sentir mieux pour exister ? ».
Retenons aussi, la formule plus mystique sur la réalité de notre monde : « Dans la course, on passe par des frontières ; ce sont surtout des frontières invisibles… ».
Enfin, par rapport au silence, seul compagnon de course autorisé par ce sportif hors normes, membre du club très hermétique des 700 pratiquants de course extrême au monde : « Cultiver le silence dans la course, permet de transformer ensuite les mots de façon juste… ».
Effectivement, les participants de cette conférence unique agrémentée de visuels à couper le souffle (Antarctique) purent s’en rendre compte de manière formelle. Le sourire aux lèvres et la tête dans les nuages. Une vraie bouffée d’air pur inhalée dans la stratosphère !
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Des récoltes plombées par la sécheresse : Arnaud DELESTRE fait entendre la voix des agriculteurs
octobre 01, 2020Le président de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne a profité de son temps de parole qui lui était imparti lors d’une séance de travail où était présente l’élue régionale Marie-Guite DUFAY pour brosser un état des lieux de la filière. Celle-ci vit un contexte qualifié de « catastrophique »…
SENS : Aux côtés des représentants de la filière industrielle, à l’instar d’Hervé de ROMEMONT, dirigeant des Moulins DUMEE et responsable du concept « Territoires d’Industrie » sur le département, et de ses collègues des chambres consulaires, le président de la Chambre départementale d’agriculture Arnaud DELESTRE a eu l’opportunité de faire entendre sa voix, et par ricochet celle de la filière agricole, lors d’une réunion de travail organisée en prologue de la signature du partenariat avec le Grand-Sénonais ce mardi (Plan de relance par les EPCI).
Une intervention succincte mais ô combien nécessaire en marge des problématiques observées par les commerçants et l’artisanat, pour rappeler dans quelle situation se meut aujourd’hui le monde agricole, en proie aux pires des difficultés économiques.
La sécheresse aura une fois de plus joué un bien vilain tour cet été aux céréaliers qui ne savent plus à quels saints se vouer pour optimiser leurs maigres récoltes, chétives au beau milieu des champs.
Le changement climatique est loin d’être un leurre comme certains pourraient encore le penser. Il suffit d’écouter les propos alarmistes du président de la chambre consulaire de l’Yonne pour comprendre qu’il y a urgence à prendre le sujet à bras le corps.
Un message qui a été reçu cinq sur cinq par la présidente de la Région qui n’a eu de cesse de rappeler, notamment, le besoin de consommer différemment en privilégiant les circuits courts de la distribution, qui favorisent les petits producteurs locaux au niveau du maraîchage.
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