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La robotique au service des industriels : la CCI et le club Business Sens en détaillent son financement…
novembre 20, 2020Décliné sous la forme d’un webinaire, ce rendez-vous informatif concerne les acteurs de l’industrie. Celles et ceux qui souhaitent intégrer le numérique et la robotique au sein de leur unité de production afin de mieux en optimiser les potentialités. D’autant que des aides de l’Etat, initiées par le plan « France Relance », peuvent en assurer le financement…
SENS : Voilà une date intéressante à biffer d’ores et déjà sur les agendas ! Celle du jeudi 26 novembre, à partir de 17h30.
Dans le cadre de ses échanges mensuels initiés au nom de la communauté des « Positives Entreprises », la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne invite les industriels et autres entrepreneurs à se relier au webinaire consacré à l’apport du numérique et de la robotique en entreprise.
Une intervention à multiples entrées qui facilitera la compréhension et le bon usage de ces technologies à travers leurs champs d’application. Mais aussi d’évoquer leur financement.
Le gouvernement a lancé un plan d’action pour accélérer l’adoption des technologies relevant de l’industrie du futur dans les entreprises de la filière industrielle.
Ainsi, l’apport de robots, cobots, machines de production à commandes numériques, fabrication additive, réalité virtuelle ou augmentée, réseaux de capteurs, logiciels de conception intègrent ce processus de développement visant à renforcer la compétitivité de l’industrie en France et sa capacité à créer de l’activité et des emplois sur le territoire.
Un plateau de choix pour faire toute la lumière sur ce dossier…
Lors de cet échange, coordonné par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et le Club Business Sens, différents dispositifs seront présentés à l’auditoire. Notamment l’aide transformée en subvention à l’investissement, élargie aux ETI, relevée jusqu’à 40 % de subventions de l’investissement hors taxes pour les sociétés impactées par la pandémie et 20 % pour les autres, sur du matériel neuf ou d’occasion.
Parmi les intervenants de ce rendez-vous en virtuel, citons la présence des entreprises de l’Yonne, RB3D et NEED ROBOTICS qui parleront des potentialités offertes par la robotique ; de Gérard VALLET du CETIM qui interviendra sur le programme industrie du futur en Bourgogne Franche-Comté et du tandem de la CCI, Christine JAN et Patrick COTTIN, dont les propos se focaliseront essentiellement sur les aides pour l’industrie du futur.
Les aides de droit commun au niveau régional seront spécifiées en partenariat avec l’Agence Economique de la Région (AER) et la Région Bourgogne Franche-Comté.
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Le Pôle environnemental dort d'un sommeil profond en attendant le prince charmant qui le réveillera ?
novembre 20, 2020Quel avenir sera réservé au fameux Pôle environnemental ? Alors que le bâtiment dont les travaux se sont achevés début 2020 était à l’aune de son inauguration au printemps, le doute sur la finalité exacte de ce concept persiste depuis le changement de gouvernance à la municipalité d’Auxerre, et par effet gigogne à la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Pour l’un de ses instigateurs, l’écologiste Denis ROYCOURT, l’abandon du projet en l’état représente un réel gâchis. Explications…
AUXERRE: Les supputations les plus insolites s’accélèrent dans le microcosme institutionnel-politique de l’Auxerrois sur l’affectation du fameux Pôle environnemental et de son édifice aux formes si caractéristiques. A quoi ce bâtiment va-t-il être destiné en définitive ?
Ce projet dont les origines datent déjà de 2008, aura pris son temps avant de se matérialiser à nos yeux, douze années plus tard.
Prêt à être inauguré au printemps, ce bâtiment de huit cents mètres carrés flambant neuf brille aujourd’hui par son inactivité chronique. Ce ne fut pas forcément le cas à l’achèvement des travaux à l’hiver dernier.
Une exposition y avait été installée avec une thématique de choix portant sur le délicat dossier de l’eau potable. Mais, celle-ci s’est très vite évaporée dans les limbes de l’oubli en se conjuguant avec les temps du passé ! Version décomposée !
Jamais inauguré de manière protocolaire, l’édifice à l’abandon ressemble désormais à une spacieuse coquille vide venue s’échouer sur les rives de l’Yonne, laisser là en plan à quelques encablures du parc des expositions dont il devait être un corollaire d’attractivité.
Pourtant, trois entreprises du cru, sélectionnées pour leur appétence au développement durable et à l’économie verte auraient dû s’installer dès que possible dans ce cadre agréable où le bois reste ce matériau noble et prédominant à sa construction. Or, elles n’y sont toujours pas. Et ne le seront jamais, sans doute…
Autre signe de vie tangible qui était prévu pour agrémenter le site : l’accueil de l’équipe ad hoc, garante de sa bonne fonctionnalité. Celle-ci a été déplacée dans un bâtiment bien trop exigu, accueillant déjà le service développement durable de l’Agglo.
Plusieurs raisons expliquent ce singulier tableau qui n’a rien d’idyllique dans les faits aujourd’hui : la persistance du confinement imputable au coronavirus qui aura paralysé toutes les velléités opérationnelles liées à l’emménagement des trois entreprises dans ces locaux et surtout le changement de gouvernance, survenu au lendemain des échéances municipales, aussi bien à la ville d’Auxerre qu’un peu plus tard à l’Agglo de l’Auxerrois.
Une infrastructure trop coûteuse dans la conjoncture actuelle…
Lors d’un récent conseil communautaire, la question du devenir de cette infrastructure fut d’ailleurs abordée par l’un des instigateurs du projet, l’écologiste Denis ROYCOURT. Il interpella le nouveau président de l’Agglo Crescent MARAULT sur cet épineux sujet. En pointant de l’index un hypothétique abandon du projet.
La réponse du maire ne se fit pas prier pour dénoncer le coût prohibitif de ce complexe (rappelons que le bâtiment aura coûté la coquette somme de trois millions d’euros à la communauté) et ses frais de fonctionnement nécessaires pour en assurer le maintien, soit une enveloppe annuelle de 500 000 euros.
Disant stop de manière ferme à ces coûts budgétaires qui ne sont plus supportables pour la collectivité, surtout en cette période de crise exceptionnelle, Crescent MARAULT renvoya la balle dans le camp de son interlocuteur en précisant, en outre, que les trois start-ups initialement choisies pour s’installer dans les murs du Pôle environnemental ne correspondaient pas à la finalité première du projet : à savoir celui de capter des entreprises extra territoriales.
Dubitatif et insatisfait par les réponses obtenues, Denis ROYCOURT s’interroge aujourd’hui sur les perspectives de ce qu’il qualifie de véritable gâchis.
« Le personnel compétent est totalement démotivé, précise-t-il, y-a-t-il encore un pilote à la direction de la Communauté ? ».
Un plan d’occupation mis en place dès le mois de mai 2019…
« Avant même de lancer un appel à projets en direction des entreprises vertes pour rejoindre ce pôle, ajoute l’un des chefs de file d’Auxerre Ecologie, ce dernier avait reçu et accepté les candidatures de plusieurs start-ups, soucieuses de s’y installer. C’était le cas d’AK TEAM (bureau d’études en écologie), de PHENIX (entreprise gérant la seconde vie des produits et luttant contre le gaspillage alimentaire), de DIVINE (avec sa filiale de recyclage des collants usagés), d’INGENT (bureau d’études et recherche & développement en géosciences). D’autres frappaient également à la porte, à l’instar de BIO Bourgogne qui souhaitait y ouvrir un espace de huit personnes travaillant sur le développement des circuits courts. Quant à l’association AUX’OLEIL (toits solaires), elle avait fait part de sa volonté de rejoindre le pôle… ».
Et Denis ROYCOURT de rappeler les trois missions fondamentales qui avaient été retenues par le conseil communautaire à l’origine du concept. La première d’entre elles consistait à devenir grâce à cet outil le « haut-parleur » de la politique environnementale de l’Agglo. Notamment dans le domaine de l’eau, de l’air, de l’énergie, des déchets et des mobilités.
Le Pôle s’inscrivait comme un lieu d’accueil privilégié d’exposition et d’expérimentations présentant des campagnes d’informations et de sensibilisation destinés aux scolaires mais aussi aux citoyens, aux collectivités et aux acteurs de l’économie.
La seconde mission du Pôle reposait sur la constitution d’un réseau fédérant les acteurs de l’Auxerrois positionnés sur le développement durable et l’économie verte. Un comité de suivi avait déjà été créé pour en assurer les aspects opérationnels.
La troisième orientation du site se rapportait à l’innovation et à l’aide apportée au développement de l’économie verte.
L’accueil d’un incubateur de projets verts visait à faciliter l’émergence d’activités novatrices en provoquant l’installation d’entreprises qui auraient par la suite rejoint la zone d’activités Aux-R-Parc.
Parmi les secteurs qu’il convenait de retenir : l’alimentation durable, les énergies renouvelables, la gestion des déchets, les transports, le bâtiment ou encore l’écologie industrielle.
Le Pôle environnemental qui sommeille dorénavant dans une profonde léthargie avait acquis une véritable notoriété au plan de l’Hexagone. En obtenant trois distinctions : le TEPC (Territoire à énergie positive pour la croissance verte), le GPATIC (Grand prix d’aménagement en territoire inondable constructible) et le Prix de la sélection FIMBACTE.
Autant de reconnaissances qui n’avaient rien d’honorifiques puisqu’elles avaient permis d’apporter de précieuses subventions à sa réalisation !
De précieux subsides dont il faudra peut-être un jour rembourser au centime près à ses donateurs si le projet initial devient définitivement obsolète ?
Thierry BRET
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La session du Département à suivre en direct vendredi : les rapports budgétaires examinés par les élus à huis clos…
novembre 19, 2020Confinement oblige, les conseillers départementaux de l’Yonne se retrouveront en séance plénière vendredi à partir de 09 heures avec l’examen des différents rapports budgétaires. Un huis clos où il sera possible de s’immiscer par le biais d’une audioconférence afin de comprendre tous les enjeux de cette session sur Facebook…
AUXERRE : L’exécutif départemental poursuit ses activités avec abnégation malgré l’omniprésence du coronavirus dans le paysage. Programmée ce vendredi 20 novembre, l’assemblée plénière permettra aux 42 élus de l’Yonne de participer à l’examen d’un certain nombre de dossiers, en particulier ceux qui sont relatifs aux orientations budgétaires.
Avec comme point d’ancrage, les décisions modificatives qui sont apportées sur les dossiers du Foyer de l’Enfance, au budget principal 2020 et à l’aménagement numérique du territoire.
Concernant le budget principal 2020, il s’agit d’adapter les niveaux de dépenses et de recettes aux conséquences financières inhérentes à l’infection virale.
A ce stade, les recettes, notamment les droits de mutation, semblent peu affectées. Contrairement aux prévisions qui avaient été esquissées en juin. A contrario, les dépenses sociales progressent même si le RSA ne devrait pas augmenter de 10 %.
Du côté de l’investissement, un effort soutenu a été consenti par l’institution, avec un niveau d’exécution appréciable malgré la période. Ainsi, un virement de trois millions d’euros supplémentaires a été opéré de la section de fonctionnement vers la section d’investissement du budget.
Une mesure prise en lieu et place d’un emprunt afin d’accompagner l’accélération de certains chantiers, surtout les réfections de voiries, en cette fin d’année.
Une fois terminée cette assemblée plénière, les élus du département continueront leurs travaux en commission permanente.
En savoir plus :
La session du Conseil départemental sera retransmise à partir de 09 heures sous la forme d’une audioconférence diffusée en direct sur la page Facebook de l’institution.
Référence : https://www.facebook.com/fildelyonne/live/
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La Région vote un abondement de 5,6 millions d’euros en faveur des petits commerçants
novembre 18, 2020De nouvelles mesures viennent d’être statuées par l’institution régionale lors de son assemblée plénière ce lundi 16 novembre. Avec cette décision, la prise en charge des loyers des TPE/PME de moins de dix salariés ayant subi une fermeture administrative durant la seconde vague de confinement est actée…
DIJON (Côte d’Or) : Construites en bonne intelligence avec l’ensemble des intercommunalités partenaires du Pacte régional pour l’économie de proximité, ces nouvelles mesures apportent une bouffée d’oxygène salvatrice aux petits commerçants.
En choisissant de faire évoluer ledit pacte adopté en juin dernier, la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY donne un coup de pouce supplémentaire aux entrepreneurs qui éprouvent de réelles difficultés avec le retour du confinement. Et la fermeture de leur outil de travail.
Comme devait le préciser l’élue avant le vote de cet abondement de 5,6 millions d’euros, « un commerce qui disparaît, c’est dramatique ; c’est toute la vitalité d’un territoire qui est remise en question… ».
Adoptée, cette mesure s’agrège avec les dispositifs de l’Etat afin de limiter la faillite des petits commerces, principalement en zone rurale.
Concrètement, les intercommunalités sont invitées à cofinancer ce nouveau processus solidaire à parité avec la Région. Selon le schéma opérationnel qui est le suivant : pour un euro versé par l’entité régionale, l’EPCI contribue à hauteur équivalente.
Un pacte spécifique adopté par 92 des 113 intercommunalités du territoire…
Toutefois, afin de préserver les capacités financières des plus petites collectivités, les communautés de communes verront leur contrepartie abaissée à deux euros pour la Région et seulement à un euro pour les EPCI concernés.
Rappelons que le Pacte régional pour l’économie de proximité a été adoubé par 92 des 113 intercommunalités de la Bourgogne-Franche-Comté au 10 novembre. Mobilisant initialement 27 millions d’euros, il repose sur deux piliers : un fonds régional d’avances remboursables mutualisé et solidaire.
A date, 645 demandes ont déjà été déposées et 123 dossiers instruits et payés pour un montant de 1,6 million d’euros, sécurisant ou créant 347 emplois sur le territoire. Le second volet de ce dispositif se rapporte à un fonds régional des territoires, destiné à accorder des subventions. Il est opéré par les EPCI auquel la Région contribue par un versement à hauteur de cinq euros par habitant dans chacune des intercommunalités.
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L’urgence économique, priorité absolue pour la Conférence départementale du plan de relance...
novembre 17, 2020Mobilisés depuis plusieurs mois, les acteurs de la conférence départementale de mise en œuvre du plan de relance dans l’Yonne ont prévu de se réunir lors d’un troisième rendez-vous dès le début de l’année prochaine. Le second de ces entretiens pilotés par le préfet de l’Yonne a eu lieu ce lundi. Objectif de cette séance consultative : faire émerger de nouvelles pistes d’action…
AUXERRE : La deuxième réunion de la conférence départementale en faveur de la déclinaison du plan de relance sur notre territoire s’est déroulée dans les locaux de la préfecture de l’Yonne. En présence des services de l’Etat, des grands élus, des présidents des EPCI ainsi que des représentants des chambres consulaires.
Au cours de cette rencontre, il aura été question de présenter les dispositifs du plan nouvellement accessibles, de faire toute la lumière sur les projets d’ores et déjà portés, et surtout d’évoquer l’émergence de nouvelles pistes d’actions départementales à mettre en œuvre au plus vite.
Concrètement, trois priorités et deux temporalités se dégagent de cette séance de travail constructive. Dans l’immédiat, il s’agit de répondre à l’urgence économique dans ce contexte si particulier du confinement seconde édition. Mais, à moyen et à long terme, d’autres priorités s’inscrivent déjà dans ce schéma directeur : la réussite des transitions écologiques et numériques ainsi que le renfort de l’attractivité territoriale.
Rappelons que le plan de relance voulu par l’Etat (France Relance) totalise une enveloppe de cent milliards d’euros qui doivent être applicables à l’échelle du territoire. A savoir, collectivités locales, entreprises et particuliers sont accompagnés par les services de l’Etat et leurs partenaires habituels dans la région et le département afin d’obtenir les aides dont ils ont besoin pour faire face à ce contexte sociétal sans précédent.
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