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L’intelligence technologique au service de la conduite : NISSAN LEAF première belle surprise de 2021 ?
novembre 28, 2020Déjà une décennie de présence grâce à deux générations de modèles. Synonymes de succès qui se traduit par la vente de 500 000 exemplaires, dont 180 000 en Europe. Fleuron de la gamme électrique du constructeur japonais, la LEAF plaît aux consommateurs de l’Hexagone. La preuve, ils ont acheté 25 000 de ces véhicules. Un chiffre qui augmentera au premier trimestre prochain avec la mise en vente de la version 2021…
PARIS : C’est l’effervescence dans le réseau des concessionnaires NISSAN. Les commandes de la LEAF 2021 sont ouvertes depuis plusieurs semaines. Afin d’assurer les premières livraisons de la petite dernière issue de la gamme électrique du constructeur nippon et ce, dès le début de la nouvelle année.
Pionnière de la mobilité 100 % électrique depuis 2010, l’automobile a été totalement renouvelée sept ans plus tard. Pour sa nouvelle version, l’ingénierie propose un produit qui accentue sa connectivité en lui apportant des équipements supplémentaires.
Cette berline compacte est toujours disponible en deux versions. La LEAF 150 ch/40 kWh équivaut à plus des trois quarts des ventes et la LEAF e+ 217 ch/82 kWh, commercialisée depuis dix-huit mois.
Davantage de technologies embarquées à son bord…
La Nissan LEAF a inauguré la conduite assistée « ProPILOT » en Europe. Cela constitue l’étape initiale menant à la conduite autonome. Elle bénéficie également de la technologie « e-Pedal ». Ce qui permet d'accélérer, ralentir, freiner et même s'arrêter avec la seule pédale d'accélérateur dans 90 % des cas. Pour cette version 2021, plusieurs technologies de sécurité s'y ajoutent : un détecteur d'angle mort intelligent et un système de maintien dans la voie qui équipent désormais tous les modèles.
On l’aura compris : le constructeur choisit de lancer sur le marché l’une de ses automobiles les plus connectées, à l’image de JUKE début 2020. Grâce à l’application spécifique, on peut optimiser de nouvelles fonctionnalités comme le verrouillage/déverrouillage des portes à distance ou l’autonomie et l’état de charge. Les conducteurs peuvent recevoir une alerte si le véhicule sort d'une zone ou dépasse une vitesse préalablement prédéfinie. Cerise sur le gâteau : le Wifi est accessible sur simple abonnement.
Innovation particulière : un rétroviseur intérieur ultra intelligent….
La plupart des conducteurs en ont déjà fait l'expérience. L'usage du rétroviseur intérieur peut être perturbé par la présence d’un objet volumineux que l'on transporte à l’arrière. Voire par la tête d’un passager. Ne parlons pas des conditions météo parfois très défavorables. Pour garantir la vision optimale dans toutes les situations, NISSAN innove sur la LEAF 2021 en introduisant un rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique.
Celui-ci comporte deux positions : un rétroviseur-miroir traditionnel et un mode écran. Quand le mode écran s’active, il est alors connecté à une caméra fixée en haut de la lunette arrière. Il suffit au conducteur d'actionner une commande située en bas du rétroviseur pour passer instantanément d'un mode à l'autre.
Ce système, déjà plébiscité sur de nombreux véhicules de la marque au Japon et en Amérique du Nord, a su faire ses preuves. Ce rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique sera disponible de série sur la finition « Tekna » du futur modèle tant attendu en 2021.
Pour conclure, précisons qu’une toute nouvelle couleur de carrosserie s’ajoute à la gamme chromatique. Il s’agit d’un coloris gris argile qui peut aussi se décliner avec la présence de noir sur le toit.
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2 500 emplois affectés à une plateforme de e-commerce de 150 000 m2 : Sens croise les doigts pour obtenir le projet
novembre 27, 2020Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Même si celle-ci arbore une fourrure de la plus belle des textures. Mais à l’annonce du concept entrepreneurial qui pourrait tomber dans l’escarcelle du Grand-Sénonais à l’horizon 2022, il y a des raisons d’espérer. Si l’appel à projets lui revient favorablement, c’est la plateforme logistique d’un grand groupe européen positionné dans le e-commerce qui s’implanterait alors à Sens. Créant au passage la bagatelle de plusieurs milliers d’emplois…
SENS : Non, il ne s’agit pas du géant américain, AMAZON qui a déjà choisi Chalon-sur-Saône comme point d’ancrage en Bourgogne Franche-Comté ! Mais, ce serait tout comme, si d’aventure le projet venait à se concrétiser d’ici les prochaines semaines.
Les perspectives induites seraient très alléchantes pour le bassin d’emploi du Sénonais. Et par effet gigogne, à l’ensemble des strates économiques de ce territoire, avec en priorité les artisans et les sociétés de service.
L’édification de cette future base logistique – la plus importante dans l’Hexagone pour ce commanditaire européen spécialiste du e-commerce dont l’identité n’a pas été relevée pour l’heure pour cause de confidentialité par le porteur de projet, la société PANHARD– apporterait une embellie durable et circonstanciée à la cause de l’emploi sur le secteur septentrional de l’Yonne.
Un projet qui ne date pas d’hier comme devait le préciser lors d’une conférence de presse permettant de faire toute la lumière sur ce dossier, l’édile de Sens et présidente du Grand-Sénonais, Marie-Louise FORT.
Cela fait deux ans déjà que les fonts baptismaux de ce dossier très attendu par le sérail local ont été posés sur la table des tractations. La Ville de Sens n’avait pas, jusqu’alors souhaité l’évoquer, à l’instar de tant d’autres projets en gestation, parce que sa politique de communication s’articule seulement autour de programmes ayant une chance d’aboutir in fine.
Une entrée en matière explicative très véhémente de l’élue de l’Yonne qui a voulu remettre les pendules à l’heure après avoir été accusée lors du conseil municipal du lundi 23 novembre par son opposition verte de ne pas dire toute la vérité sur ce dossier.
Une motte de beurre dans l’assiette d’épinards du Sénonais…
De quoi s’agit-il précisément ? Un major européen de la « supply chain » et de la logistique dans le e-commerce – visiblement originaire d’Outre-Rhin par simple déduction – a lancé un appel d’offres national portant sur la recherche d’une zone d’aménagement en vue de l’installation de son futur centre logistique dans l’Hexagone. Et plus particulièrement sur l’axe Paris/Lyon.
Une quarantaine de sites ont fait acte de candidature dès l’annonce de ce projet qui remonte à vingt-deux mois.
Spécialiste de l’immobilier industriel dont celui de l’implantation de bases de logistique en France, le groupe PANHARD (rien à voir avec feu la célèbre enseigne automobile) est entré dans la danse.
En prenant fait et cause pour imposer le territoire de Sens dans les négociations !
Si à date, rien n’est encore fait quant à l’attribution définitive de cette implantation, il ne resterait plus, aux dires de Jean-Louis LAZUECH, directeur général du développement logistique de la société, que deux à trois sites figurant encore sur les rangs. Dont celui qui intéresse le bassin d’emploi du Sénonais ! Une énorme motte de beurre dans une assiette d’épinards pour le développement économique du territoire !
Un chantier titanesque avec 150 000 mètres carrés de bâtiment !
Dans les faits, le projet est proprement colossal. La plateforme s’étalerait sur 150 000 mètres carrés de superficie dont 50 000 mètres carrés en étage. Ce qui en ferait de facto l’une des plus importantes bases logistique de l’Hexagone !
Son coût reviendrait à 300 millions d’euros, financés pour moitié par le porteur du projet lui-même.
L’investissement humain atteindrait des proportions très conséquentes pour le microcosme local : avec une jauge estimative fixée à près de deux mille cinq cents emplois dont 50 % établis en contrat à durée indéterminée.
Parmi les profils essentiels de ces postes, citons celui des caristes dont la future société aurait grandement besoin pour rendre opérationnel l’ensemble. Les cadres et personnels administratifs seraient accueillis dans douze mille mètres carrés de bureaux.
Sur les trente hectares occupés pour le développement de ce projet, une dizaine serait consacrée à l’aménagement de plan d’eau (deux hectares), de la préservation du biotope, de la plantation de quelques neuf cents arbres et végétaux, de la pose de ruchers.
Bref, un concept résolument vert et écologique qui, pour couronner le tout, se verrait aussi doter de panneaux photovoltaïques sur la toiture de l’édifice. Ceux-ci d’une puissance de cinq MgW pourraient répondre aux besoins en énergie électrique de mille deux cents foyers.
Les abords du site logistique seraient également repensés. Avec à la clé, des accès menant vers la rocade de contournement de Sens. Il s’agirait de rendre plus fluide la circulation des poids lourds, évalués de 400 à 500 véhicules par jour dans ce périmètre.
S’il était retenu, le chantier de construction de cette plateforme de très belle envergure nécessiterait près de vingt-quatre mois de labeur. Auxquels il faudrait ajouter de six à huit mois supplémentaires pour l’agencement du lieu. Quant au recrutement des futurs salariés, il incomberait aux services de Pôle Emploi.
Marie-Louise FORT, tout comme son adjointe en charge de la vie commerçante, de l’artisanat et de l’attractivité économique Clarisse QUENTIN, se disent confiantes. « Notre dossier est bon, nos arguments aussi… ».
Il n’y a plus qu’à croiser les doigts et patienter jusqu’en 2021 pour que cette nouvelle année vienne égayer de ses lumières (et de l’acceptation de ce dossier) le paysage sociétal sénonais…
Thierry BRET
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800 000 euros d’aides de l’Etat : FRUEHAUF pense compétitivité en garantissant les emplois de demain
novembre 27, 2020Pris sur le vif, l’instantané photographique illustre l’intérêt porté par la classe économico-politique au monde de l’entreprise. En particulier celui de l’industrie dont FRUEHAUF représente l’un des fers de lance sur notre territoire. Bénéficiaire d’une enveloppe généreuse de 800 000 euros, obtenue grâce au plan « France Relance » institué par l’Etat, le fabricant de remorques et semi-remorques modernisera son outil de production tout en préservant le capital humain dans ses ateliers…
AUXERRE: Une sénatrice, un député, un président de communauté de communes et maire d’une grande agglomération, un président de chambre consulaire, un délégué général d’organisations patronales de poids dans le paysage économique, et pour couronner le tout, le représentant de l’Etat !
Ces éminentes personnalités du sérail économico-politique de l’Yonne étaient au rendez-vous ce jeudi après-midi pour une visite privative du site industriel de la filiale hexagonale du groupe WIELTON, l’emblématique FRUEHAUF.
Un comité, certes très restreint pour cause sécuritaire imputable à la COVID-19, mais ô combien important pour encourager l’initiative de l’Etat à soutenir le tissu industriel via un plan de relance national.
C’est précisément grâce à ce judicieux dispositif baptisé « France Relance » que le directeur général du leader français dans la conception de remorques et semi-remorques Richard RIHOUET était tout sourire en accueillant ses visiteurs.
Logique, l’appel à projets proposé dans le cadre de ce programme solidaire étatique lui est revenu favorable avec à la clé une coquette somme de 800 000 euros, permettant à la société de rebondir de manière optimale face à la crise.
Gagner en compétitivité est favorable à l’export et…à l’emploi
Une aide importante pour l’essor de l’entreprise qui sera convertie en achat d’une nouvelle chaîne de fabrication de longerons. Pièce névralgique et maîtresse d’une remorque. Datant de 1982, l’équipement actuel apparaît vétuste et ne permet plus à l’usine auxerroise d’augmenter sa capacité de production. Son remplacement, inévitable, s’inscrivait parmi les priorités de la filiale de l’actionnaire polonais WIELTON.
Opérationnelle courant 2021, la nouvelle ligne robotisée favorisera la compétitivité de l’entreprise tant sur le marché français qu’européen. FRUEHAUF exporte les produits nés de son savoir-faire vers le BENELUX, l’Espagne ou la Suède. Sans omettre le prometteur marché du Maghreb.
Mais, ce coup de pouce de l’Etat l’est aussi en faveur de l’emploi et de sa pérennisation. Le site industriel d’Auxerre – l’unique représentation physique que compte FRUEHAUF en France – accueille dans ses bureaux d’étude et ateliers près de 650 collaborateurs. Ce qui en fait l’une des plus grosses sociétés industrielles du département.
L’embauche y est constante tant les besoins de main d’œuvre qualifiée y sont nécessaires. D’ailleurs, une centaine de travailleurs intérimaires ont vu leur contrat professionnel se muer en CDI au cours de ces derniers mois !
Devant ses interlocuteurs, le dirigeant de FRUEHAUF ne pouvait que remercier humblement tous les acteurs qui l’ont aidé à traverser cette crise délicate. Qu’il s’agisse des partenaires sociaux, des contacts institutionnels et économiques ainsi que l’Etat.
« Les services de l’Etat nous ont grandement soutenus, précise-t-il, le chômage partiel aura permis de maintenir l’emploi… ».
Fabriquant 22 remorques ou semi-remorques par jour à l’heure actuelle dans ses ateliers, FRUEHAUF devrait gagner en productivité grâce à ces futurs aménagements de l’ordre de 15 %. De quoi ravir les investisseurs polonais qui s’engagent à soutenir davantage le site icaunais à l’avenir.
Que les entreprises de l’Yonne soient irriguées par les aides de l’Etat…
Lors du point presse, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST expliqua les enjeux primordiaux de ce plan de relance dont la cheville ouvrière administrative n’est autre que BPI France. Un budget global de 100 milliards d’euros débloqués par l’Etat. Dont 600 millions d’euros impactent directement les acteurs de l’industrie automobile.
Commentant ces initiatives de l’Etat, le député de la première circonscription Guillaume LARRIVE évoqua le principe vertueux du « service après vote », soit un blanc-seing politique accordé à ce plan de relance en faveur de l’économie nationale.
« Je veux que ces millions d’euros (3,9 pour le seul département de l’Yonne) équipent et soutiennent les entreprises de notre territoire, souligna le parlementaire LR, nous devons nous saisir de ces atouts de compétitivité et de croissance durable… ».
De son côté, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Alain PEREZ confirma que « la compétitivité d’aujourd’hui n’est autre que la préservation et la création des emplois de demain ».
Il s’est dit très favorable à ce plan de relance qui « peut remettre de l’ordre dans la compétitivité des entreprises industrielles qui ont souffert après plusieurs mois d’immobilisme… ».
Alain PEREZ souhaite en conclusion que « tous les territoires de notre département soient suffisamment irrigués par cette manne financière et que cela ne se cantonne pas uniquement à certaines grandes entreprises… ».
Le délégué général de l’UIMM/MEDEF de l’Yonne Claude VAUCOULOUX s’est montré très satisfait que le projet de développement porté par FRUEHAUF auprès de BPI France soit retenu. En espérant que ces investissements soient très vite injectés dans l’entreprise afin d’en assurer son essor.
Quant au maire d’Auxerre et président de l’Agglo de l’Auxerrois Crescent MARAULT, il a rappelé qu’il était indispensable de faire preuve de solidarité autour du tissu entrepreneurial grâce à ce plan de relance coopératif.
« L’Etat investit dans notre bassin pour préparer l’avenir et ses relais de croissance ; ce qui ne peut être que profitable aux emplois… ».
Reste la sénatrice Marie EVRARD : cette dernière concluait ce tour de table testimonial en faisant part de sa fierté dans les projets mis en œuvre par le constructeur de remorques et semi-remorques, un leader national implanté à Auxerre. Toute étonnée d’y découvrir un site industriel qui conçoit ses produits de A à Z…
Les fondements même d’un véritable savoir-faire made in Yonne dont on ne peut que s’enorgueillir et exporter !
Thierry BRET
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Leur présence est insuffisante dans l’Hexagone : plus de points de recharge pour doper les véhicules électriques ?
novembre 26, 2020Les vérités de La Palice n’auraient pas trouvé mieux. Pour qu’il y ait un accroissement de la sensibilisation des automobilistes français au véhicule électrique, il serait nécessaire de disposer au détour d’une route, d’un parking de centre commercial ou d’une place de village davantage de points de recharge. Si tel était le cas à présent, ce serait quatre de nos concitoyens sur dix qui opteraient volontiers pour l’achat de ces modèles…
PARIS : On le sait, l’objectif du gouvernement sur ce volet capital de la transition énergétique est de pouvoir disposer de 100 000 points de recharge au terme de l’année 2021.
Un maillage ambitieux qui permettrait de conforter l’orientation stratégique en faveur de l’essor consumériste des automobiles électriques.
Aujourd’hui, l’Hexagone se situe à la troisième position européenne du nombre de bornes installées dans son paysage. Près de 30 000 unités.
Une présence intéressante, certes, mais qui est encore loin, somme toute, de l’Allemagne qui, pour une fois avec ses 41 461 recharges (chiffres communiqués par AVERE-France) se classe à la seconde place. Ce sont les Pays-Bas qui caracolent en tête de ce classement avec plus de 58 000 unités.
L’accélération de la pose de ces structures est indispensable au rayonnement du véhicule électrique.
Entre 2019 et 2020, leur part de marché a évolué de 1,6 à 6,1 %. On est encore très loin des réelles potentialités offertes par ces modèles dont 70 % de nos compatriotes seraient friands à condition qu’il y ait plus de bornes de recharge ! Bref, c’est le serpent qui se mord la queue !
75 % des Français disent ne pas trouver de bornes sur les longs trajets…
Du côté des constructeurs, 41 % aimeraient que ces bornes soient davantage présentes dans le cœur des villes où il est vrai, elles brillent le plus souvent par leur absence.
Bon nombre de stations-services n’en possèdent toujours pas. Quant aux professionnels de la grande distribution, ils commencent à s’y intéresser en leur dédiant un espace sur l’un de leur parking.
Dans un marché atone qui a connu une dégringolade de près de 27 % au niveau des ventes cette année, contexte sanitaire oblige, les véhicules électriques symbolisent ce renouveau tant attendu par les concessionnaires.
A la seule condition que très vite fleurissent de nouveaux appareils de recharge. 75 % des automobilistes français se plaignent de ne pas trouver ces précieux points de ravitaillement en électricité lorsqu’ils empruntent un parcours relativement long.
Il n’y a donc plus de temps à perdre pour la gouvernance qui veut changer le paradigme de la mobilité en France…
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Maillon naturel de la pédagogie agricole : le CFA des Terres de l’Yonne accède à plus de visibilité et d’attractivité…
novembre 25, 2020Entériné au printemps 2019 par le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le transfert du centre d’apprentissage agricole de Champignelles vers Venoy eut tôt fait de bouleverser quelque peu le microcosme local. D’autant que la petite localité de Puisaye avait à gérer en concomitance un autre départ : celui de l’Ecole nationale vétérinaire. Force est de constater que depuis son déménagement survenu à l’été dernier, le CFA a gagné en attractivité et en effectifs…
VENOY : Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA), lycée professionnel agricole de Champs-sur-Yonne (LPA), lycée agricole d’Auxerre La Brosse (LA) : il ne manquait à cette photographie éducative déjà éclectique que la présence physique d’un centre de formation d’apprentis (CFA) pour que l’offre pédagogique déclinée par l’établissement de l’Auxerrois soit réellement complète.
A ceci près que le LPA de Champs-sur-Yonne est situé à quelques encablures du vaisseau amiral de l’enseignement agricole icaunais (une distance réelle de quatorze kilomètres), soit un petit quart d’heure de déambulation par la route.
Un établissement fonctionnel depuis 1975…
Jadis, établi en Puisaye au cœur de la commune de Champignelles, le CFA agricole accueillait depuis 1975 celles et ceux de ces jeunes gens ayant une appétence naturelle pour les métiers de la filière verte.
Notamment autour de quatre de ces spécificités les plus représentatives : les métiers du jardinage et du paysagisme, ceux du secteur équestre, de la viticulture et de l’agriculture.
Des cursus qui restent ô combien d’actualité même si le complexe structurel a déménagé entre-temps. Une opération de logistique qui s’est déployée au cours de la dernière période estivale et qui avait l’assentiment de la région Bourgogne Franche-Comté.
De la pure évidence que de regrouper sur le même site, celui des Terres de l’Yonne à Venoy, ce centre de formation quelque peu excentré des grands axes de communication. Un positionnement géographique délicat en fin de compte qui lui aura coûté en termes d’effectifs et surtout en rentabilité.
Des synergies naturelles avec les autres établissements du complexe…
Désormais, accueillie dans un ensemble de structures modulaires mixant ergonomie et fonctionnalité, l’équipe administrative et enseignante du CFA agricole ne souhaite qu’une seule et unique chose : accroître ses effectifs en privilégiant la visibilité.
Une requête d’autant plus facile que l’infrastructure pédagogique est dorénavant située au cœur même de l’édifice du complexe agricole icaunais.
D’où un gain légitime en visibilité et surtout une osmose évidente avec les autres strates enseignantes locales : le lycée agricole La Brosse et le Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA).
Les synergies qui vont s’y développer dans le futur ne peuvent être que normales.
S’il n’existe pas encore de section dédiée à l’accueil d’un BTS, les cent-cinquante apprenants qui fréquentent les lieux se répartissent vers d’autres cursus menant à l’obtention d’un CAP ou d’un baccalauréat professionnel.
Communication, qualité et digitalisation : des items synonymes d’avenir…
Les quatre filières demeurent très attractives pour les jeunes gens. Notamment celles qui préparent aux métiers de l’aménagement des espaces verts dont sont friands les collectivités et les entreprises ; celle de l’hippisme avec une corrélation naturelle vers la kyrielle de centres équestres répartis sur les départements de l’Aube, la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne. Du côté du secteur purement agricole, les demandes de contrat d’apprentissage sont toujours importantes au vu des besoins des exploitations.
L’un des objectifs pour la nouvelle directrice de l’entité, Hélène DECULTOT, sera d’obtenir la certification de qualité, QUALIFORMAGRI, en 2021. Reconnu par l’AFNOR, ce précieux sésame attestera de la qualité de l’enseignement agricole public. Il est salué par le ministère de l’Agriculture comme étant un nouvel outil d’amélioration continue.
Si le développement d’une politique de communication accrue figure parmi les axes de réflexion prioritaires de la jeune directrice, l’apport de la digitalisation afin d’encadrer les cours assurés par les enseignants est un autre volet des chantiers à mettre en exergue dès la saison prochaine.
Pour mémoire, précisons que le transfert du CFA agricole aura nécessité une enveloppe budgétaire de 750 000 euros financée par la Région.
En savoir plus :
Pour connaître l’ensemble des activités et des cursus proposés sur le site, un contact :
CFA Agricole de l'Yonne
La Brosse
89290 Venoy
03.86.45.15.23.
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Thierry BRET
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