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Un écrivain public officiera dans la nouvelle boutique de Joigny : le supplément d’âme de la Croix-Rouge…
décembre 02, 2020Sélective dans son offre de produits, la nouvelle boutique à l’estampille de la Croix-Rouge française sera dévoilée au public ce vendredi 04 décembre. Implanté dans la rue Cortel, le magasin présente l’originalité d’accueillir chaque mardi en matinée un écrivain public. Une personne sachant mettre ses capacités scripturales au service de celles et de ceux qui éprouvent des difficultés à manier l’écriture…
JOIGNY : C’est joindre l’utile à l’agréable. En transcrivant avec des mots dûment choisis les attentes manuscrites de notre quotidien. Un courrier administratif, des missives plus personnelles, voire des lettres de motivation accompagnant un CV dans le cadre d’une recherche d’emploi.
C’est ce qui incombera désormais à l’écrivain public qui rédigera des actes ou d’autres textes tous les mardis en matinée dans la nouvelle boutique de la Croix-Rouge. Celle qui sera officiellement inaugurée ce vendredi 04 décembre.
Cerise sur le gâteau : la prestation se fera sans bourse délier !
Presque un avant-gout de Noël pour une frange de la population en indélicatesse avec la maîtrise du français, version scripturale.
Disposer de l’intervention d’un écrivain public est l’une des suggestions préconisées avec l’ouverture de ce énième magasin de l’association caritative. Un plus qui sera amplifié par l’éclectisme des produits vestimentaires et de leurs accessoires accueillis par la boutique. Sise au numéro 59 de la rue Cortel.
Opérationnelle cinq demi-journées par semaine, on pourra y trouver des vêtements pour femmes et hommes ainsi qu’un certain nombre d’accessoires : foulards, écharpes, ceintures, chaussures…
Ne présenter que du beau dans les articles proposés…
Précisons que les bénévoles exercent un tri sévère dans la quantité des dons qui sont fait en amont.
« Nous mettons un point d’honneur à ne présenter que du « beau » !, précise Anne SEVI, présidente de la Croix-Rouge Centre Yonne, c’est une question de respect du public quel qu’il soit ! ».
Quant à la politique tarifaire, elle demeure très modique avec des prix attractifs, entre 1 et 5 euros appliqués à la grande majorité des articles.
« Entrer dans la boutique Croix-Rouge, c’est se donner la possibilité de réaliser des achats solidaires immédiatement reconvertis en produits alimentaires : un chemisier ou un pull vendus permettent d’acheter lait ou farine, sucre etc…, ajoute la responsable de l’antenne locale de la Croix-Rouge, les recettes réalisées sont destinées à financer l’aide alimentaire dispensée à longueur d’année aux personnes qui en ont besoin. Il s’agit là d’un objectif complètement inscrit dans l’action sociale dispensée par la Croix-Rouge française... ».
C’est aussi assumer une démarche écoresponsable : en effet, acheter un blouson ou un pantalon d’occasion équivaut à favoriser la réduction du gaspillage tout en donnant une deuxième vie aux vêtements.
Signalons que la vesti-boutique accueillie dans les locaux de l’ancien groupe géographique, rue Dumont d’Urville, ouvrira ses portes dès ce jeudi 03 décembre. Le public y découvrira un choix important de vêtements pour enfants, femmes et hommes dans un site totalement réaménagé.
En savoir plus :
Croix-Rouge de Joigny
59 rue Cortel
Heures d’ouverture
Mardi : 14h / 17h
Mercredi : 9h / 12h - 14h/17h
Vendredi : 14h / 17h
Samedi : 10h / 18h
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Cinq petits mois et puis s’en va : Gilles PEYLET s’affranchit de sa fonction de premier adjoint à Auxerre
décembre 02, 2020Il n’aura pas goûté longtemps aux prérogatives propres à sa fonction. Celle de premier adjoint de la Ville d’Auxerre qui lui permettait entre autres d’être le porte-étendard de dossiers importants liés à la coordination globale du projet municipal, à l’urbanisme, à la rénovation urbaine et aux travaux. Moins d’un semestre après sa nomination, Gilles PEYLET s’est libéré de ces charges en présentant sa démission. Un état de fait accepté par l’édile d’Auxerre et président de l’Agglo Crescent MARAULT…
AUXERRE : La nouvelle a fait l’effet d’une petite secousse tellurique dans le microcosme politique auxerrois et sur les réseaux sociaux.
Le premier adjoint de la Ville d’Auxerre Gilles PEYLET a pris la décision, sans crier gare, de quitter il y a quelques jours (le jeudi 26 novembre) le jeu stratégique auquel il avait été convié le 05 juillet dernier. A savoir, sa nomination à ce poste, hautement névralgique dans l’organigramme municipal.
Inconnu jusqu’alors du sérail politique, ce responsable industriel, originaire d’Auvergne, figurait en septième position sur la liste de Crescent MARAULT, « Auxerre au Cœur, soyons fiers d’Auxerre ». Liste victorieuse aux dernières échéances municipales de juin, comme chacun le sait.
Son désir de remettre davantage d’humanisme au centre des projets de gouvernance de la ville aura donc fait long feu. Si les motivations réelles de ce départ précipité ne sont pas connues de manière officielle, faute de communication, l’édile d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois Crescent MARAULT a, de son côté, entériné cette décision. En vantant les louanges de son ancien bras droit.
Mais, pouvait-il en être autrement face à la détermination du nouvel élu qui avait transmis au préalable sa lettre de démission aux services de la préfecture de l’Yonne ?
Plusieurs hypothèses de remplacement peuvent être envisageables…
L’opposition, dans l’expectative, se dit aujourd’hui « stupéfaite » et « très surprise » par ce mini tsunami qui vient de secouer le cocotier de l’exécutif auxerrois en ce début de mandature. C’est le cas, notamment, du premier des socialistes du département, Mani CAMBEFORT, interloqué par la situation.
Reste désormais à connaître le nom de celle ou de celui qui remplacera Gilles PEYLET et occupera ce rôle clé, indiscutable.
Prévu à la date du 17 décembre, le prochain conseil municipal délivrera-t-il l’identité de l’heureuse élue ou de l’heureux élu à ce poste ? Ce n’est pas si sûr.
Parmi les poids lourds de la gouvernance actuelle, plusieurs noms circulent dans le cénacle pour tenir la fonction de premier adjoint.
On pense tout naturellement à celui de Pascal HENRIAT ou de Céline BAHR. Le premier rappelons-le, vient d’être réélu en qualité de chef de file départemental du MoDem : il est en charge des finances de la collectivité.
La seconde, diplômée de Sciences Po en charge du développement durable, de la culture, du patrimoine et de l’enseignement supérieur, se situe dans la droite ligne des Républicains et de leur leader emblématique, Guillaume LARRIVE.
Mais, dans cette équation à plusieurs inconnues, d’autres élus, un peu moins enclins à briller sous la lumière des projecteurs, peuvent aussi prétendre à toucher le Graal de leurs doigts.
Il nous faudra encore patienter quelque peu avant que ne soit révélé le patronyme du nouveau premier adjoint de la Ville d’Auxerre. Si cela se produisait juste avant Noël, est-ce à dire que cela lui confèrerait un rôle messianique dans la gouvernance actuelle ?
Thierry BRET
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L’ouvrage de Pont-sur-Yonne se fait une cure de jouvence : le Département en suit sa progression…
décembre 01, 2020Les travaux se poursuivent inlassablement sur ce point névralgique que représente ce pont surplombant l’Yonne dans le nord de notre territoire. Construit avant-guerre, l’édifice présentait quelques signes de fatigue. Nécessitant sa réhabilitation : un chantier qui incombe financièrement au Conseil départemental en charge de la voirie et de l’état du réseau routier. Les élus se sont rendus récemment sur le site afin d’en apprécier sa progression…
PONT-SUR-YONNE : D’un investissement global de 7,2 millions d’euros, la rénovation de la fameuse structure qui permet de traverser Pont-sur-Yonne continue, sans être affectée par les affres du confinement et de l’épidémie de coronavirus.
Accueillant la D 606 (ex-nationale 6 au temps jadis), l’ouvrage dont le début de l’édification date de 1938 voit chaque jour un trafic de douze mille automobiles et poids lourds très conséquent l’emprunter. Autant dire que sa réhabilitation devenait nécessaire avec le poids des années !
Gestionnaire de la structure, le Conseil départemental a donc fait le pari de procéder à un sérieux lifting en consolidant l’ensemble en maintenant la circulation.
Une livraison de l’ouvrage prévue en juin 2021…
Accompagné des vice-présidents du Département Christophe BONNEFOND et Dominique SINEAU, le président de l’exécutif départemental Patrick GENDRAUD a pu observer avec beaucoup d’intérêt les premiers effets de la mise en circulation sur une voie unique sur le pont. Une bascule technique, assurée la nuit même avant la visite de la délégation. Celle-ci fut accueillie par l’édile de Pont-sur-Yonne et conseiller départemental Grégory DORTE.
Si les délais sont respectés selon le cahier des charges initial, ces travaux devraient se clore au mois de juin 2021. Idéal pour avoir un pont remis à neuf avant le grand rush des vacances estivales ?
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L’esprit du grand large souffle sur le lycée Vauban, vivier de jeunes recrues pour la Marine nationale…
novembre 30, 2020Coquillages et crustacés. On connaît la célèbre ritournelle popularisée par le joli minois de Brigitte BARDOT au temps de sa splendeur langoureuse. On ne savait pas, en revanche, que parmi les élèves qui fréquentent les classes professionnelles préparant aux métiers de l’hôtellerie restauration certains pouvaient prétendre rejoindre la Marine nationale pour y faire carrière ! Une opportunité maritime qui s’appuie depuis quatre ans sur un partenariat…
AUXERRE : L’initiative est rarissime dans le landerneau régional. Mieux : elle est unique et tout à l’honneur du lycée des métiers de l’Yonne qui a su en poser les jalons initiaux.
Dans ce lieu de savoir-faire, permettant d’embrasser une carrière dans l’hôtellerie et la restauration, voire celui plus exotique de s’illustrer dans le monde des cocktails grâce à ces mentions spécifiques, espérer tôt ou tard rejoindre la Marine nationale n’est donc pas une ineptie en soi.
Les embruns maritimes ont beau souffler loin des rivages icaunais, les jeunes « moussaillons » esthètes des arts de la table et des métiers de bouche du sérail bourguignon peuvent s’ils le désirent, après une phase préparatoire prise en charge financièrement par la Marine nationale, intégrer ce corps d’armée pour y exercer leur profession.
Car, c’est bien connu : dans les forces militaires, il y a pléthore d’opportunités pour s’insérer dans la vie active !
Initiée à l’origine en 2016, la convention de partenariat qui lie le lycée des métiers Vauban à la Marine nationale vient d’être prorogée de trois années supplémentaires. Selon la sage décision, prise par la directrice de l’établissement pédagogique, Capucine VIGEL, enthousiaste par ce projet.
L’expérience si elle demeure unique n’en est pas moins passionnante tant au plan intellectuel (la découverte des us et coutumes à bord d’un bateau, le rituel pour dresser la table du pacha – le commandant de bord –) qu’au plan des perspectives d’emplois offertes in fine.
De jeunes mousses avides d’en savoir plus sur les us et coutumes militaires…
A l’issue de leur diplôme, les apprenants peuvent bénéficier d’un contrat déclinable pendant un an, avant de s’embarquer sur un bateau pour y vivre une aventure inoubliable.
Début octobre, vingt-quatre de ces élèves, répartis en petits groupes, ont pris connaissance des potentialités de carrière existantes dans ce corps militaire. Le second volet de cette séquence découverte a eu lieu ce lundi 30 novembre.
Mais, malheureusement, sans la présence du premier-maître, Mme GUILLAUMAIN, cheffe de cuisine, qui fut refoulée le matin même par la gendarmerie nationale alors qu’elle sortait de la capitale par l’autoroute et qui s’est vue délivrée une amende conséquente malgré l’attestation en poche faisant foi de la nécessité de son déplacement professionnel dans l’Yonne !
Toutefois, cela n’empêcha nullement les deux intervenants militaires (le capitaine de frégate commandant Sylvain LE HOUSSEL et le premier-maître Sylvain OLIVIER) de délivrer leurs connaissances aux jeunes « mousses » avides d’en apprendre davantage sur les subtilités de la marine et de ses codes gastronomiques.
D’ores et déjà, et le rendez-vous est biffé dans les agendas des intéressés, quatre enseignants de Vauban dont les professeurs de cuisine Frédéric BENUCCI et Jérôme DE MEYERE iront s’immerger au cœur de la base navale de Cherbourg en octobre 2021. Ils y accompagneront une demi-douzaine de jeunes gens volontaires pour appréhender l’esprit du grand large. Et respirer l’air pur de ces embruns salvateurs…
Thierry BRET
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Ce mardi 1er décembre devrait être chaud bouillant pour la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté. Participant au comité de suivi du fonds de développement de l’industriel américain GENERAL ELECTRIC, Marie-Guite DUFAY entend bien défendre le projet de reprise d’activité déposé par les salariés de GE Hydro. Contre l’avis du directeur général de la filiale française…
DIJON (Côte d’Or) : Entre GENERAL ELECTRIC et l’exécutif de la Région Bourgogne Franche-Comté, le torchon brûle. Surtout après l’annonce de nouvelles suppressions de postes dans le cadre de la réorganisation de l’industriel américain. Ce sont 300 emplois qui sont sur la sellette dont 240 affectés au site de Belfort dans la branche du « steam power ». Celle qui conçoit la fabrication des turbines présentes dans les réacteurs des centrales nucléaires.
S’entretenant il y a peu avec le ministre de l’Economie et de la Relance Bruno LE MAIRE, Marie-Guite DUFAY endosse une fois de plus sa vêture de chevalier blanc, en défenseuse toute acquise à la préservation de l’emploi dans sa zone géographique de prédilection.
Favorable à un rachat par EDF et FRAMATOME de l’ensemble de la branche énergie de GENERAL ELECTRIC, ce qui favoriserait la création d’un grand groupe énergéticien aux couleurs nationales, l’élue régionale sollicite pour la énième fois la présidence de la République.
Depuis deux ans, Marie-Guite DUFAY multiplie en effet les contacts auprès d’Emmanuel MACRON afin que ce dernier s’empare enfin du dossier. En vain. Pour l’heure, rien ne bouge et ses demandes restent lettres mortes.
« Sans l’intervention du chef de l’Etat, nous assisterons à la destruction massive d’emplois et de compétences uniques au monde, souligne-t-elle dans un communiqué de presse, les intérêts de notre pays et la filière française de l’énergie sont menacés… ».
Exit le temps des promesses, des mensonges et des trahisons…
Fustigeant l’attitude du géant américain qui n’a pas tenu ses promesses (« depuis le rachat de la branche énergie d’ALSTOM, ce n’est que mensonges et trahisons…), Marie-Guite DUFAY dénonce la stratégie de l’industriel.
Une politique qui touche à la souveraineté industrielle de la France tout en mettant en péril notre indépendance énergétique et notre sécurité nationale à terme.
Il y a un an, GENERAL ELECTRIC s’était engagé après d’âpres tractations à signer un accord pour pérenniser l’activité gaz à Belfort. Mais, aujourd’hui, les négociations ne sont toujours pas abouties.
Quant aux mille emplois promis en France par l’industriel nord-américain, ils se sont évanouis comme par enchantement dans la nature. Laissant la place, en revanche, à de multiples plans sociaux ou de départs volontaires qui se succèdent en cascade.
Enfin, rappelons, qu’au mois de septembre dernier, ce sont 83 salariés de la filière Hydro qui ont été sortis des effectifs au nom d’une restructuration comptable.
Mardi, face à Hugh BAILEY, directeur général de GE France, et contre son avis, la présidente de région soutiendra mordicus les intérêts des salariés de GE Hydro qui consiste en une reprise de leur activité. Une rencontre qui sera certainement « électrique » entre les deux parties…
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