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Plus qu’un club de business : DYNABUY Chablisien, un an d’âge, développe ses affaires entre amis avec humanité…
janvier 04, 2023Une première bougie. La plus belle, peut-être à souffler de façon symbolique puisqu’elle traduit presque la genèse de la structure, localisée par son siège social à Chablis. Pourtant, c’est dans le cadre bucolique du joli château de Percey, sis entre Saint-Florentin et Tonnerre, que le club d’affaires a commémoré comme il se doit cet anniversaire. Un évènementiel suivi par plus d’une centaine de personnes, issues de la sphère entrepreneuriale et dirigeante…Réussi !
PERCEY: De l’écoute, du partage, de la convivialité, au service du business. Telle est la définition proposée par l’oratrice du soir, présente sur l’estrade, pour évoquer ce qu’est réellement le réseau DYNABUY au niveau de son éthique. Voire de sa manière d’être, une fois que l’on a rejoint l’organisme en qualité de membre.
Pourtant, elle ne connaît l’entité que depuis deux ans, Marika GAYOUT. Cela ne l’empêche nullement de pouvoir en parler avec justesse et détails, tout en étant aux manettes du jeune club en sa qualité de jeune présidente couvrant Chablis et ses alentours. Une structure associative qui a été portée sur les fonts baptismaux de la création depuis un an à peine.
Entre l’Aube et l’Yonne, ce sont à date huit clubs du même acabit que celui de Chablis qui accueillent avec une régularité de métronome plus de cent cinquante chefs d’entreprises et cadres investis dans la vie économique. Des rendez-vous mensuels judicieux qui n’ont d’autres objectifs que de faire fructifier leurs chiffres d’affaires et leurs réseaux relationnels, le principe cardinal et vertueux de tout responsable de société qui se respecte.
En y agrégeant en parallèle de la convivialité et de la confiance. Une véritable dynamique, engagée au bénéfice des TPE/PME de notre territoire, où le fait de mieux se connaître et de se rencontrer entre membres facilite aisément le développement des affaires.
Les avantages d’un réseau qui offre l’opportunité de faire des économies !
Profitant de ce cadre de prestige que représente le château de Percey, un établissement de belle facture géré par la dynamique Nathalie DIAS, les membres du club de Chablis (le véritable intitulé est « DYNABUY Chablisien ») avaient donc convié plus d’une centaine d’entrepreneurs à cette soirée anniversaire qui possédait le goût savoureux de retrouvailles réussies. Malgré la morsure de l’hiver !
Référent du réseau DYNABUY sur le secteur Grand Est et une partie de la Bourgogne, Patrick CENDRE, en parfait maître de cérémonie de l’évènement, ouvrit le bal – logique quand tous les convives sont rassemblés dans la grande salle d’un tel édifice patrimonial ! - afin de présenter le déroulé d’une soirée devant se prolonger tard dans la nuit pour les plus noctambules des invités.
Evoquant les dates butoirs de ce réseau national – celui-ci a été créé en 2007 -, Patrick CENDRE énuméra ensuite lors de son laïus les principes vertueux de la structure qui permet à ses adhérents de réaliser de jolies économies substantielles en bénéficiant d’un système de centrales d’achat sur certains produits et de disposer de l’équivalence d’un comité d’entreprise au plan organisationnel.
Une seule corporation acceptée au sein des clubs d’affaires…
En parallèle, DYNABUY est reconnu dans le sérail du monde des affaires pour sa facilité à mettre en réseau des dirigeants d’entreprises. Il existe aujourd’hui 140 entités structurées sur l’ensemble de l’Hexagone qui offrent la possibilité à des entreprises de toute taille de pouvoir se rencontrer dans la régularité temporelle.
Quant aux clubs d’affaires ad hoc – de véritables entités opérationnelles sur le terrain qui maximisent les recommandations -, ils sont apparus depuis plus de deux ans dans le réseau.
Une option correspondant à une véritable attente des entrepreneurs, eux-mêmes. Sachant qu’un seul représentant par métier est accepté au sein de ces clubs qui font désormais florès aux quatre coins du pays.
L’Yonne recense trois d’entre eux sur son territoire. L’un à Auxerre, l’autre à Sens et le dernier né à Chablis. Des structures qui sont toujours en quête de nouveaux adhérents puisque moult métiers ne sont pas encore représentés en leurs seins.
Parmi les personnalités présentes à cet anniversaire, on aura remarqué le président de la Communauté de communes de Serein et Armance, Yves DELOT, édile de Saint-Florentin et ancien dirigeant d’entreprise, ainsi que le maire de la localité de Percey, Daniel BOUCHERON. Didier CHAPUIS, dirigeant des FESTINS, n’était pas très loin, lui non plus !
Une soirée qui devait se clore par la présentation de la douzaine de membres du club de Chablis. Chacun des adhérents devant rejoindre Marika GAYOUT sur la scène afin de se dévoiler aux yeux de tous et de poser pour l’éternité le sourire aux lèvres…
Thierry BRET
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La vie reprend ses droits à la Ville de Sens : Paul-Antoine de CARVILLE renoue avec la solennité des vœux
janvier 04, 2023L’exercice n’est pas aussi anodin qu’il n’y paraît. D’autant que pour l’interlocuteur principal de cette cérémonie des vœux, il y aura forcément l’ombre de son prédécesseur qui planera avec insistance au-dessus des têtes du public. Celui de la population sénonaise et de ses diverses composantes qui en constituent le socle, soit des acteurs de la vie institutionnelle, politique, économique, associative et citoyenne, réunis ce samedi 07 janvier...
SENS : Plus que jamais, la solennité sera de mise lors de la cérémonie protocolaire des vœux concoctée par la Ville de Sens. Une manifestation traditionnelle qui dans un récent passé a été considérablement perturbée par la crise sanitaire et ses délicates périodes de confinements depuis 2020.
Une célébration qui permet en règle générale à l’édile de la capitale septentrionale de l’Yonne de brosser bilans et perspectives, tout en souhaitant le meilleur aux habitants de la place.
Un exercice de style dans lequel excellait Marie-Louise FORT. Trop tôt disparue, à l’automne dernier, la regrettée personnalité de la vie publique icaunaise sera pourtant dans toutes les mémoires au moment où Paul-Antoine de CARVILLE, son successeur, prendra la parole, samedi peu avant midi dans les grands salons de l’hôtel de ville.
Cette cérémonie sera la première adresse à l’ensemble de la population sénonaise de la part du jeune élu de Sens, investi dans ses nouvelles responsabilités depuis le 07 octobre dernier.
C’est certain, l’ombre de Marie-Louise FORT sera bien présente dans l’immense pièce aux richesses décoratives murales. Qui pourrait l’oublier par ailleurs ?
Paul-Antoine de CARVILLE profitera également de ce temps de parole public pour évoquer les actions qu’il souhaite décliner avec l’ensemble de l’équipe municipale durant l’année 2023. Histoire de bien nous rappeler que malgré tous les aléas de l’existence, la vie reprend ses droits et doit se poursuivre inlassablement…
En savoir plus :
Cérémonie des voeux de la Ville de Sens
Samedi 07 janvier à 11 heures dans les grands salons de l'hôtel de ville.
Thierry BRET
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L’envolée des coûts de l’énergie place les boulangers dans le pétrin : Julien ODOUL (RN) appelle à des mesures d’urgence
janvier 03, 2023Avant de rencontrer les fournisseurs d’énergie mardi soir à Bercy pour qu’ils « aident de manière plus significative les petites entreprises confrontées à la hausse spectaculaire des tarifs du gaz et de l’électricité », Bruno LE MAIRE a été le destinataire d’une question écrite dans la journée par le parlementaire du Rassemblement National Julien ODOUL à propos des mesures d’urgence à adopter pour sauver les professionnels de la boulangerie. Ce dernier fustige le gouvernement qui ne protège pas assez les artisans…
PARIS : Le ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle Bruno LE MAIRE s’est vu remettre une question écrite dans l’hémicycle du Palais Bourbon ce mardi après-midi. Une interpellation épistolaire à l’estampille du député RN Julien ODOUL alors que dans le même temps il demandait aux fournisseurs de gaz et d’électricité de « faire davantage, de faire mieux et de le faire tout de suite » pour soutenir les professionnels en proie à de sérieuses difficultés. Dans le viseur de ces métiers en extrême tension sont ciblés les artisans, les TPE, les PME. Parmi les artisans, les boulangers vivent une situation à la limite du catastrophisme.
C’est justement en prenant fait et cause envers les professionnels de la boulange que le député de l’Yonne Julien ODOUL a alerté le ministre du gouvernement BORNE. Appelant à la prise de mesures d’urgence et immédiates pour sauver la corporation.
Le risque d’une vague de faillites sans précédent en France…
Aujourd’hui, après une année 2022 déjà désastreuse pour bon nombre d’artisans, les hausses du coût de l’énergie atteignent des sommets allant parfois jusqu’à 1 000 % !
Julien ODOUL réagissant à cela est catégorique : « La mesure gouvernementale qui consiste à prendre charge une petite partie de la hausse ne suffit pas à faire face à ce tsunami financier. Aujourd'hui, nos artisans et en premier lieu les boulangers se retrouvent au bord de la fermeture avec le risque d'une vague de faillites sans précédent en France… ».
Face à la situation ubuesque, le parlementaire du Rassemblement National en appelle le gouvernement à agir vite et de manière concrète en prenant des mesures sérieuses ; « à commencer par la sortie du marché européen de l'énergie qui force les Français à acheter leur propre électricité aux tarifs du gaz hors de prix ».
Pour lutter contre l'explosion du prix des matières premières (beurre, œufs, farine) et la hausse phénoménale de l'énergie, les boulangers ont été sommés d'augmenter leurs prix de 5 % pour essayer de survivre, faisant ainsi passer la baguette de 1,05 à 1,10 euros. Pas suffisant pour certains qui entrevoient déjà la fermeture sine die de leur établissement, licenciements secs de leur personnel à la clé. Les exemples commencent à se multiplier comme des petits pains aux quatre coins de l’Hexagone.
Triste constat, en vérité.
Sortir des règles européennes de fixation des prix de l’électricité…
« Les 35 % d'aides de l'État n'auront finalement pas été suffisantes pour ces artisans, qui ont tout perdu, explique l’élu de l’Yonne. Certains boulangers qui ont vu leur facture flamber de 1 800 à 6 000 euros tentent de tenir bon en limitant le nombre de jours d’ouverture. Ils ferment la semaine et accueillent la clientèle que le week-end. Une situation qui est une véritable menace pour l'artisanat et démontre une nouvelle fois que le gouvernement est incapable de protéger les petits commerçants français… ».
Quant à la mesure d'amortissement des prix de 20 % pour les professionnels, elle est loin d'être suffisante pour le député bourguignon, voire « totalement déconnectée de la réalité ».
Julien ODOUL a donc demandé explicitement au ministre de sortir des règles européennes de fixation des prix de l'électricité, à l'instar du Portugal et de l'Espagne pour sauver la filière artisanale en profonde détresse.
D’ailleurs, prophétique il prévient que « si cette mesure de bon sens n'est pas mise en place dans les plus brefs délais, ce sont près de 33 000 boulangeries et autant d'artisans-boulangers français qui risquent de baisser le rideau… ».
Thierry BRET
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Le modèle payant adopté par le SDEY depuis le 02 janvier : des bornes exploitables entre équilibre financier et pérennité du service public
janvier 03, 2023Il ne pouvait en être autrement. Logique, au vu du contexte actuel et de la course folle de l’inflation en matière énergétique que l’on nous promet depuis si longtemps ! Dans un souci d’équilibre financier à long terme, et afin de pérenniser un service public sur notre territoire rural non prioritaire pour les autres opérateurs, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a décidé de passer désormais à un modèle payant pour les bornes de recharge des véhicules électriques. Une application effective depuis le 02 janvier…
AUXERRE : Il fallait s’y attendre. Tant les tensions sont palpables et déconcertantes sur tout ce qui touche le volet énergétique dans l’Hexagone depuis plusieurs mois. Mais, il faut bien se rendre à l’évidence. Les choses évoluent selon les soubresauts de la conjoncture et des crises successives qui s’abattent sur le ciel européen. Voire mondial.
Le SDEY, syndicat départemental d’énergies de l’Yonne, n’a eu d’autres choix en effet que de s’aligner sur les évènements qui induisent une forte augmentation du coût de l’électricité dans l’Hexagone. Et encore, nous ne sommes pas à plaindre puisque le bouclier tarifaire voulu par l’Etat a quelque peu réduit la facture énergétique. Qu’elle soit électrique ou gazière en ce début d’année.
Oui mais voilà. A l’instar de bon nombre d’entreprises, de collectivités ou de structures associatives qui désirent exister durablement et apporter de précieux services auprès de nos concitoyens, des ajustements financiers sont indispensables. Ne serait-ce, dans le cadre du SDEY, que pour asseoir dans la durée la notion de service public apporté dans notre département – le développement de la centaine de bornes de recharge pour véhicules électriques – et de préserver pour l’organisme son légitime équilibre budgétaire.
Un point de recharge pour quatre véhicules dans l’Yonne grâce au SDEY…
Ainsi, depuis lundi, le syndicat départemental icaunais a donc décidé d’opter pour une formule payante, à partir d’une grille de tarification dûment étudiée, dans cette offre de service public que représente ce réseau de bornes, nécessaires à l’alimentation des modèles automobiles électriques ; ces derniers connaissant une nette progression au niveau des ventes sur notre territoire.
On le sait, le SDEY s’est investi sans relâche depuis 2015 pour aménager du mieux possible le département de l’Yonne avec ces fameuses bornes désignées sous le sigle technique « IRVE » (Infrastructures de Recharge des Véhicules Electriques).
A date, l’organisme piloté par Jean-Noël LOURY, président et Eric GENTIS, directeur, exploite près de 40 % des infrastructures ouvertes au public aux quatre coins de l’Yonne. Aujourd’hui, la photographie instantanée prise sur ces appareils est plutôt flatteuse puisqu’il existe un point de recharge pour quatre automobiles dans le périmètre icaunais.
Maintenir sa place d’aménageur public principal sur le territoire icaunais…
Sachant que différentes variétés de bornes y ont été installées, même dans les communes les plus reculées du département : on dénombre ainsi 109 bornes inférieures à 25 KW, une vingtaine de bornes offrant une capacité de recharge comprise entre 25 KW et 100 KW ; enfin, deux bornes – de vraies « Rolls-Royce » de la recharge rapide ! – ont été posées par le SDEY sur le territoire.
Un service favorisant la transition énergétique des automobilistes de l’Yonne qui était jusque-là entièrement gratuit et très sollicité en raison de l’adoption de ce mode de déplacement réduisant les rejets de carbone.
Une sollicitation telle de la part des automobilistes qui induit naturellement une usure prématurée du matériel, augmentant au passage les coûts de maintenance et le risque de devoir remplacer lesdites bornes.
Quant à la proposition tarifaire mise en application au 02 janvier 2023, elle est relativement basse en année 1 pour avoir la possibilité de réviser le prix à la hausse ultérieurement.
La mise en place d’une formule abonnement est concrète pour se rapprocher des modèles économiques d’autres acteurs et opérateurs de ce segment d’activité.
Précisons que le SDEY doit être en mesure d’assumer des coûts importants sans rentabilité à court terme afin d’occuper l’espace et de maintenir sa place d’aménageur public principal de l’Yonne.
En savoir plus :
925 MWh ont été distribués en 2021 sur les bornes du SDEY.
1 333 MWh ont été distribués sur les bornes du syndicat de l’Yonne entre le 01er janvier et le 30 septembre 2022.
Les tarifs pratiqués :
Puissance inférieure à 25 KW, 0,50 euros du kWh
Plus 0,30 centimes la minute dès la quinzième minute après le temps de charge.
Tarif abonné : 0,40 euros du kWh
Puissance comprise entre 50 et 100 kW, 0,70 euros du kWh
Plus de 0,40 euros du kWh la minute dès 15 minutes après la fin de charge.
Tarif abonné : 0,60 euros du kWh.
Puissance de plus de 100 kW, 0,90 euros du kWh.
Plus 0,50 euros la minute dès 15 minutes après la fin de charge
Tarif abonné : 0,80 euros du kWh.
Quant aux prix et avantages de l’abonnement, ils sont les suivants, 14,99 euros par mois, avec une exonération de la composante « temps », entre 21h et 06 h du matin.
Thierry BRET
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Le Comité régional de la Fédération bancaire française élit son dirigeant : Laurent HARO succède à Emmanuel VEY
janvier 03, 2023Le mandat court sur deux années. Suffisant pour y imprégner sa griffe personnelle et représenté convenablement l’ensemble des banques françaises et étrangères qui exercent sur notre territoire. Succédant à Emmanuel VEY, son directeur général au sein du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne, Laurent HARO – il exerce lui-même les responsabilités de numéro deux dans l’établissement vert – prend les rênes de cet organisme, la FBF régionale, cheville ouvrière de la vie bancaire territoriale…
DIJON (Côte d’Or) : La passation de pouvoirs entre ces deux connaissances professionnelles – ils pilotent ensemble aux côtés de leurs équipes la destinée du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne – s’est faite au mois de décembre. Succédant à Emmanuel VEY, directeur général de la banque verte, Laurent HARO s’installe donc dans le fauteuil de président du Comité régional des banques de la Fédération bancaire de France (FBF) de Bourgogne Franche-Comté pour un mandat de vingt-quatre mois qui trouvera son terme en décembre 2024.
Une nomination qui n’est pas une surprise en soi tant ce cadre dirigeant s’est déjà investi au fil de sa carrière, au bénéfice du secteur bancaire.
Elu par le comité régional de l’organisme fédérant l’ensemble des banques hexagonales et internationales qui exercent leurs activités en France, Laurent HARO jouera un rôle représentatif primordial sur les huit départements de la Bourgogne Franche-Comté.
Des banques régionales solides et ouvertes à la proximité…
Première déclaration de l’intéressé à l’issue de sa désignation : « Je suis honoré de représenter notre profession sur notre territoire régional et de succéder ainsi à Emmanuel VEY… ». Dont il a salué le travail.
Indispensables partenaires et vecteurs de la vie économique de notre région, les banques accompagnent quotidiennement la clientèle de particuliers, de professionnels et de collectivités dans la réalisation de leurs projets.
« Nos banques sont solides, a précisé le nouveau responsable du Comité régional de la FBF, elles ont pour valeur essentielle la proximité… ».
Un atout qui est d’ailleurs reconnu par 89 % des habitants du territoire bourguignon franc-comtois qui en possèdent une excellente opinion selon une étude réalisée par l’IFOP sur les « Français, leurs banques et leurs attentes ».
Avec leurs 10 900 collaborateurs, les banques de Bourgogne Franche-Comté pèsent par leur présence physique avec 1 380 agences et vitrines commerciales tout réseau confondu sur le territoire et injectent chaque année 87 milliards d’euros de crédits en faveur de la consommation et de l’économie.
En savoir plus :
La Fédération bancaire de France rassemble 334 établissements français et étrangers depuis 2001. Ceux-ci exercent des activités dans l’Hexagone.
Il existe 103 comités régionaux et départementaux qui sont présents sur tout le territoire national.
La FBF dispose d’un bureau à Bruxelles.
Son rôle est d’intervenir sur les questions réglementaires et financières aux niveaux national, européen et international. L’organisme aborde également tous les sujets relatifs à la place de la banque dans l’économie et la société.
Le secteur bancaire emploie plus de 350 000 salariés en France.
Thierry BRET
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