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Humeur : et la surprise inaugurale de la 95ème Foire de Sens se nommera… Jordan BARDELLA !
avril 24, 2024Cela couvait depuis un moment dans les alcôves et l’état-major du Rassemblement National, cette affaire ! L’information a été rendue officielle par l’attachée de presse du RN, Elise LAPLACE, en tout début d’après-midi mercredi via SMS et communiqué de presse, au contenu très lapidaire. La tête de liste aux élections européennes et président du parti mariniste Jordan BARDELLA se déplacera bien à Sens, samedi, à l’occasion de l’inauguration de la 95ème Foire exposition…
SENS : Jordan BARDELLA à la foire de Sens ?! Ce n’est ni une blague de potache ni une plaisanterie douteuse colportée par quelques adeptes des réseaux sociaux, souhaitant diffuser en faisant le buzz de l’intox !
La tête de liste aux élections européennes et président du Rassemblement National a confirmé sa présence dans l’Yonne septentrionale ce samedi 27 avril par l’intermédiaire du service de presse de la formation souverainiste ce mercredi.
A la demande du député de la circonscription, Julien ODOUL, président du groupe RN au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, celui qui est en pole position de ces futures échéances électorales – le dernier sondage du jour pointe la liste bleu marine à 31 % des intentions de vote le 09 juin, soit un point de moins par rapport au précédent – a répondu favorablement à l’invitation, non pas des organisateurs de la manifestation on s’en doute, mais bel et bien du parlementaire de l’Yonne.
Le jeune président du Rassemblement National a même programmé un échange avec la presse – campagne oblige ! – au beau milieu de la matinée. Où il ne manquera pas de rappeler les arguments principaux portés par sa liste et ses motivations personnelles à la conduire. Les médias affûtent déjà leurs questions contradictoires !
Ce n’est pas la première fois que Jordan BARDELLA effectue un déplacement en terre icaunaise. Loin s’en faut, dès que Julien ODOUL lui demande !
Fidèle habitué des plateaux médiatiques parisiens, le député de la troisième circonscription de l’Yonne, avec cette invitation faite au ténor de son parti, vient de transformer à sa manière un évènement traditionnellement commercial et économique en une véritable vitrine politique hexagonale, et au premier jour de la manifestation.
En ayant prolongé le suspense quant à la venue de l’intéressé, jusqu’à la dernière minute, ce qui doit laisser perplexe et soucieux les organisateurs de la manifestation, la Ville, ne serait-ce qu’au niveau de la sécurité et du service d’ordre à respecter. Une problématique supplémentaire car ils ne devaient pas s’attendre à cela...
On ne sait jamais, en effet, ce qu’il pourrait subvenir lors d’un évènement fréquenté par une foule importante ayant des idées diverses et variées : il ne faudrait pas que la foire exposition vire en foire d’empoigne !
Thierry BRET
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Taxe « lapin » : on nous prend pour des blaireaux !
avril 20, 2024Le gouvernement ne cesse de marteler à grand renfort de slogans électoralistes que les Français sont pressurisés par les impôts à la veille des échéances européennes. Le premier en tête, Gabriel ATTAL qui n’a pas sa langue dans sa poche du haut de ses 35 ans, a juré mordicus que la hausse des taxes et de la fiscalité n’était nullement inscrite à l’ordre du jour en cette année 2024, faite pourtant de disette abyssale en matière de recettes économiques pour l’Etat.
Même le président de la République s’y met de sa litote lancinante sur cet item, ces dernières semaines, écartant cette éventualité pour renflouer les caisses percées de Bercy, car il est vrai que nous sommes et de loin déjà les champions d’Europe ?, du monde ?, de l’univers ?, toute catégorie sur le sujet ! Oui, mais ça, c’est pour 2024 !
Parce que dès l’année suivante, Mesdames Messieurs, il faudra bien s’acquitter d’une nouvelle taxe qui en dit long sur ses intentions et sur le traquenard évident, façon portes ouvertes qui vont se pérenniser dans le temps à l’instar de la fameuse CSG/CRDS, qui se présente à nous, la bien-nommée taxe « lapin », applicable à partir de 2025 !
Rien que l’appellation, déjà risible en soi, vaut son pesant de terrines de campagne ! On dirait presque que nos fins technocrates parisiens, bardés de diplômes et de titres honorifiques ronflants, sont sortis de leurs terriers ou de leurs garennes en mode tour d’ivoire pour travailler d’arrache-pied sur un tel projet !
La chasse aux rendez-vous non honorés et pas excusés
A quelle sauce, moutarde, à la bière, aux pruneaux ou au vin rouge, allons-nous être mangés, nous autres disciples de « Bugs Bunny » ?! Qui ressemblons davantage, une fois de plus, aux dindons de la farce quand il s’agit de passer au tiroir-caisse !
Pour mémoire, la taxe « lapin » - c’est pourtant sympathique comme animal, surtout de compagnie plutôt que de le cuisiner en mode sauté ou chasseur ! – s’appliquera à toute personne constituant la patientèle d’un représentant de la docte caste médicale qui n’honorera pas son rendez-vous le jour J et à l’heure H, bloqué sur un agenda au préalable biffé par le praticien.
D’où la fameuse expression, « poser un lapin » qui a dû enthousiasmer celles et ceux des conseillers ministériels ayant dû plancher longuement et chers payés avec notre argent sur la thématique en question.
« Vous avez quatre heures ! » pour la dissertation qui n’a rien de philosophique celle-là, nonobstant l’enjeu, elle prêterait même à la franche rigolade !
Sachant que la patientèle hexagonale s’exposera à la sanction suprême – un prélèvement obligatoire de 5 euros – si l’annulation dudit rendez-vous médical n’a pas été effectué a minima 24 heures avant la date fatidique. Où ira la somme de 5 euros in fine ? Dans la poche du généraliste ou du spécialiste ! Magnanime, le gouvernement laisse même le soin à ce dernier de prélever ou pas la somme équivalente à la sanction…Dans le genre, ce n’est pas nous, c’est l’autre, ce n’est pas mal !
La désertification médicale ? Ce n’est pas moi, c’est l’autre !
A peine annoncée, la mesure qui permettrait in fine de récupérer selon les analyses officielles entre 15 à 20 millions de créneaux médicaux supplémentaires (un vrai plus en termes de citoyenneté et de respect envers les malades qui en ont le plus besoin), est loin de faire l’unanimité chez les thérapeutes. Bon nombre d’entre eux ne se satisfont pas d’une telle décision aussi arbitraire et d’un procédé pour le moins coercitif, comme à l’accoutumée en France dès que l’on propose une réforme ! Vous vous souvenez de celle concernant les retraites ?!
On estime entre 3 et 7 %, selon les spécialités médicales, le pourcentage de rendez-vous non honorés et non excusés en une année sur un potentiel de plus de 30 millions d’entretiens avec son médecin en France.
Or, soucieux de résoudre la crise de la désertification médicale imputable à une succession de décisions politiques prises par le passé en dépit du bon sens (le numerus clausus appliqué stricto sensu en bloquant tous les désirs d’installation et de renouvellement des jeunes médecins), ce qui engendrera de facto la fameuse désertification médicale dans laquelle nous nous trouvons depuis belle lurette, nous autres les perdreaux vivants en province et en zones rurales, le gouvernement veut mettre les bouchées double en mettant la pression sur les Français, en les culpabilisants !
Toujours selon le sacro-saint principe, élémentaire mon cher WATSON, ce n’est pas moi, c’est l’autre ! D’une évidence avérée, bien sûr !
Une sanction de 5 euros ni charitable ni louable !
Sauf que dans le cas présent, la mayonnaise qui pourrait accompagner le râble de lapin ne prend pas. D’une part, les associations qui représentent les usagers de la médecine en France sont vent debout contre une telle pénalité. Arguant que s’il y a des annulations de dernière minute, c’est à cause des délais impartis pour obtenir un rendez-vous, des délais parfois incompressibles de plusieurs mois dans certaines zones géographiques dépourvues de praticiens spécialisés – suivez mon regard et vous aurez vite compris ! – qui nécessitent des mois et des mois d’attente !
Moyennant quoi, vous avez le temps de mourir dix fois avant de recevoir les premiers soins en France ! Ainsi soit-il ! Bravo le modernisme car où sont passés nos médecins de famille d’antan en ce début de XXIème siècle et qui eux vous auscultaient vraiment des pieds à la tête durant le rendez-vous ?
Sauf que les médecins eux-mêmes rechignent à l’idée de mettre en application ce dispositif sanction contre leur patientèle. Pas très charitable et louable lorsque l’on a prêté le serment d’Hippocrate !
D’autant que des petits malins – et il y en a dans toutes les corporations comme chacun le sait - seraient peut-être même tenter de s’inventer de faux rendez-vous pour arrondir leurs fins de mois, non ! Une idée de plus à mettre au profit des fraudes qui excellent dans ce pays, déjà en tête de peloton là aussi : elle n’est pas belle la vie ?!
Non, si le gouvernement via son ministère de la Santé veut récupérer coûte que coûte de salvateurs créneaux horaires pour la patientèle, il suffirait tout bonnement d’autoriser la délivrance des ordonnances pour consulter les spécialistes ou les certificats sportifs auprès…des officines pharmaceutiques, transformées la plupart du temps maintenant en grande surface du soin avec une multitude de caisses enregistreuses !
Reste enfin que ce système de taxe corporatiste, inhérent à l’annulation non excusé d’un rendez-vous pourrait faire florès à l’avenir et s’appliquer à une kyrielle de professions où les rendez-vous sont légion au quotidien.
Chez les coiffeurs et les barbiers (la taxe « porc-épic » à cause des poils !), chez les banquiers (la taxe « écureuil » en référence à la Caisse d’Epargne !), chez France Travail (la taxe « couleuvre » pour ces « feignants » de chômeurs et profiteurs des allocations !), chez certaines castes professionnelles à la puissance et influence avérée (la taxe « requin » ou la taxe « loup » vous avez le choix !), etc.
Gageons que nos flamboyants technocrates parisiens pourront largement s’inspirer d’un abécédaire animalier hors limite pour nous mitonner, non pas du ragoût de lièvre (la tangente du lapin !), mais des taxes en veux-tu en voilà à nous rendre chèvres !
N’oublions pas aussi pour celles et ceux qui circulent sur l’autoroute et qui dépasseraient les vitesses autorisées, la future « taxe escargot » ! Il vaut mieux en rire, non ?!
Thierry BRET
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Initiatives : et si l’emploi se jouait dans une mêlée !
avril 13, 2024Ma foi, l’idée est plutôt originale. Pas commune, certes, mais après tout quand on veut trouver un boulot lorsque l’on est issu de la jeune génération, on peut tout essayer, selon la formule rendue populaire par Laurent RUQUIER, pour y arriver !
Et si le sport était donc devenu un pourvoyeur de jobs ? Pas dans le fait qu’il puisse aider à devenir un coach mental, un préparateur physique ou un technicien de telle ou telle discipline, mais plutôt que par son intermédiaire, il devienne un véritable vecteur relationnel et expérimental, facilitant contacts et échanges utiles.
La belle affaire, me direz-vous ? Oui, et c’est ce que vient de tester précisément dans l’Yonne, l’une des antennes locales de France Travail (ex-Pôle Emploi) à Auxerre qui n’est plus à une expérience pratico-pratique près. L’une de ces bizarreries structurelles, loin des académismes ordinaires, proposée par la vénérable institution et qui…marche !
C’est sûr, on pourra toujours se gausser, critiquer et blâmer ouvertement sur ce que représente l’agence de l’emploi dans sa quête à résoudre efficacement les problématiques des délaissés du travail en France sur les réseaux sociaux ; mais il est de bon ton aussi de rétablir les choses vis-à-vis de cet acteur institutionnel, clé de voûte dans la lutte contre le chômage en matière d’initiatives et de nouveautés !
Valoriser les deux années du CEJ, le Contrat engagement jeunes
Celle-ci en est une en la matière. Elle se déroule sur un cadre très éloigné du milieu professionnel : une pelouse. Celle d’un complexe rugbystique qui accueille habituellement les joueurs du club à XV local, le RCA, soit le Rugby Club Auxerrois !
Pour couronner le tout, on y trouve dès le début de la matinée, le jour de cette immersion spectaculaire dans l’enceinte sportive, en survêtements et en baskets, des demandeurs d’emploi.
Bon, on élimine d’entrée de jeu les quadras et autres seniors qui ne sont pas conviés à pareille fête. Trop âgés ou trop rouillés physiquement, allez savoir !
Car, la subtilité de ce rendez-vous matinal et frisquet – ce jour-là un vent glacial balayait le stade Pierre BOUILLOT en tétanisant de froid les sportifs en herbe et les observateurs qui auraient se munir d’une surveste ! – est de ne concerner que les plus jeunes d’entre nous. Celles et ceux, pas de sectarisme entre les sexes, qui bénéficient d’un CEJ, acronyme bien connu de tous évidemment (!), désignant le « Contrat engagement jeunes ».
Conçu il y a deux années, ce CEJ semble déjà donner de bons résultats d’après les spécialistes de la question.
Rappelons qu’il offre au jeune un parcours entièrement personnalisé et ce sur une durée de douze mois. Grâce à un programme intensif d’au moins vingt heures par semaine, le jeune adulte peut ainsi accéder à différents types d’activités qui le rapprocheront à terme d’un emploi durable en sortie de contrat. Ce sont les Missions Locales, qui en sont les porteurs auprès de jeunes gens âgés de 16 à 25 ans…
« L’Emploi entre en jeu » : recrutés et recruteurs mouillent le maillot !
Jusque-là, c’est bien mais rien de vraiment insolite dans l’opération, me direz-vous. Sauf que dans cette manifestation coordonnée entre les services de France Travail et de la MILO (Mission Locale), les recruteurs potentiels sont de la partie !
Tout cela sous couvert de l’anonymat, en se mêlant aux jeunes gens, celles et ceux qui effectuent des exercices de remise en forme sur le terrain, encadrés par les coaches du club de rugby local.
Et là, ce petit jeu – l’opération a été baptisée d’ailleurs « L’Emploi entre en jeu » - mérite tout notre intérêt à bien des égards. Car combiner une animation assumée par ses organisateurs dans un esprit ludique, convivial, voire bon enfant entre recruteurs et recrutés change de cadre habituel !
On se situe donc à des années lumières du sempiternel entretien d’embauche, en face-à-face sinistre dans un bureau sentant bon l’encaustique et ripoliner de frais pour faire bonne impression et surtout intimider le néophyte !
Et pourquoi ne pas étendre l’initiative à d’autres sports ?
Ici, c’est vivant, cela a du punch, c’est incroyablement efficace pour gagner en confiance surtout quand on se sent bourrés de complexes ; le plus souvent d’infériorité.
Que des jeunes demandeurs d’emploi pratiquent le temps d’une matinée quelques exercices rugbystiques face peut-être à leurs futurs patrons, ça ne manque pas de sel. J’en vois certains qui, à la lecture de ce propos, imagine très bien plaquer durement au sol leur responsable de service, tamponner allègrement le directeur des ressources humaines, s’agripper en mêlée (attention, tous les coups ne sont pas permis !) à leur patron, mettre un doigt dans l’œil de son collègue irascible ou terminer joyeusement la troisième mi-temps avec les camarades féminines du service administratif d’à côté !
Plus sérieusement, mêmes des réseaux officiels de l’entrepreneuriat, à l’instar de celui porté par la préfecture et de la CCI (« Les Entreprises s’engagent »), soutiennent une telle initiative qui ne manque pas de piment, en vérité.
Au-delà de la rencontre, c’est le secteur de l’industrie qui vire en grand gagnant à la fin de la matinée avec quelques recrutements assurés au terme de cette initiative à redéployer très vite. Peut-être à base d’autres catégories sportives ?
Cela prouve en cette année olympique que sport et entreprise font bon ménage à plus d’un titre. Même si le rugby dans sa configuration à quinze ne figure pas dans les épreuves disputées tous les quatre ans sous le prisme des célèbres anneaux…
Thierry BRET
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Délégation suspendue pour Jamilah HABSAOUI à la Région : Marie-Guite DUFAY appelle toutefois au respect de la présomption d’innocence
avril 11, 2024C’était il y a une semaine à peine. Une séquence immortalisée dans la salle des Maréchaux de l’hôtel de ville à Avallon. Côte à côte et ravie d’être ensemble. En mode satisfaction et parfaite insouciance. Pour l’une, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY venue spécialement honorer l’évènement (« A Nous de Jouer »), comme pour l’autre, l’édile de la sous-préfecture avalonnaise, Jamilah HABSAOUI. Depuis, bien des choses ont changé. Surtout après le placement en détention provisoire de la maire d’Avallon. Réaction de la présidente de l’exécutif régional…
DIJON (Côte d’Or) : La surprise, puis le choc. Une tâche d’huile médiatique qui fera très vite le tour des rédactions et non des moindres. Toutes celles ou presque de la presse généraliste, nationale et régionale, tous supports confondus, de notre pays de cocagne.
L’Yonne placée sous le feu des projecteurs à livre ouvert mais pas du bon côté de la lorgnette, bien sûr. Sur le registre des faits divers, et du trafic de drogue. Un coup au foie ou de massue selon les variantes, porté aux institutions, aux milieux politiques, au monde économique, à la société dans son ensemble…
Naturellement, la présidente de la Région BFC, Marie-Guite DUFAY, se devait de réagir. D’autant que depuis le mercredi 10 avril et après plusieurs jours de garde à vue, et dans le cadre d’une information judiciaire du chef de trafic de stupéfiants, la maire d’Avallon, Jamilah HABSAOUI a été mise en examen et placée en détention provisoire.
Une élue, représentative du Conseil régional en sa qualité de conseillère régionale déléguée à la ruralité…dont beaucoup appréciaient le travail, par ailleurs.
Compte tenu de la communication des derniers éléments fournis par le parquet auxerrois, Marie-Guite DUFAY qui avait participé le 04 avril dernier au lancement de l’animation « A Nous de Jouer » à l’hôtel de ville d’Avallon en sa compagnie – une belle manifestation annonciatrice d’un programme mêlant les arts et le sport en juin prochain – s’est fendue d’un communiqué de presse, très explicite et sans ambiguïté, mercredi soir. En voici, le contenu intégral dans les lignes qui suivent…
Un communiqué de presse faisant office de réaction officielle
« Je tiens en premier lieu à réaffirmer que la lutte contre les trafics de drogue est indispensable et que je soutiens les opérations d’envergure qui sont aujourd’hui menées par le gouvernement.
Au regard de l’ampleur des saisies réalisées à Avallon par les services enquêteurs, chacun peut mesurer la gravité des faits. J’en appelle au respect de la présomption d’innocence dont Jamilah HABSAOUI doit bénéficier, au même titre que n’importe quel justiciable. J’en appelle, plus largement au respect de sa personne, qui fait l’objet d’une campagne haineuse sur les réseaux sociaux ces derniers jours, souvent basée sur ses origines.
La Ville d’Avallon, le Département de l’Yonne et la Région sont sous le choc. Il est de ma responsabilité, afin de préserver l’action régionale, de suspendre la délégation que j’avais confiée à Jamilah HABSAOUI. Dans le même temps, en accord avec Jérôme DURAIN, président du groupe majoritaire auquel elle appartient au sein du Conseil régional, j’acte sa mise en retrait de notre groupe politique. ».
Thierry BRET
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Trois week-ends à vivre avec « A Nous de Jouer » : les arts et le sport vont fusionner en mode olympique à Avallon …
avril 10, 2024L’appellation est astucieuse. Un clin d’œil finement ciselé pour mettre en adéquation de la manière la plus subtile qu’il fût, le monde des arts et celui des sports. « A Nous de Jouer » ! Bien sûr, il y a un renvoi naturel à ces Jeux olympiques séculaires que Paris souhaitait accueillir depuis…1924. Mais, au-delà de cette référence, le concept porté par « La Cité de la Voix » et l’ensemble de ses partenaires (institutionnels, associatifs, économiques) se veut garant d’un esprit festif, ouvert à toutes les générations, mêlant judicieusement la multitude de rencontres aux expériences à vivre. « A Nous de Jouer » s’étalera sur les trois premiers week-ends de juin. On nous les promet uniques et envoûtants ! Alors, à vos marques ? Prêts ? Partez !
AVALLON : L’olympisme se décline par tous les pores de la peau de la société hexagonale en cette année 2024 ! Que les plus blasés de nos concitoyens se rassurent : cela n’arrive qu’une fois le siècle ou presque ! Même si la France sera terre d’accueil dès 2030 des Jeux d’Hiver, en zone alpestre, mais, sans aucun doute avec la ferveur en moins. Et encore que, cela n’est pas prouver dans les cerveaux en totale ébullition de celles et ceux qui savent concocter des projets évènementiels insolites et novateurs. Un peu à l’image de ce projet un peu « dingue » accueilli prochainement à Avallon, qui va réunir sur la même affiche, les arts dans toute la noblesse de leurs expressions et le monde physique et endurant du sport. Quoique certaines disciplines – on pense à la gymnastique rythmique, le patinage artistique ou le break danse, désormais spécialité olympique ( ?) quid du karaté ou de la pétanque, alors !! – possèdent bien évidemment des aspects graciles et agréables à l’œil.
On ne présente plus « La Cité de la Voix ». Et ses fameuses Rencontres Musicales de Vézelay à faire pâmer quelques festivals de classique en France ! Voilà que la structure dirigée par François DELAGOUTTE va opérer sur un registre nouveau en cette fin de printemps 2024 grâce au projet « A Nous de Jouer » ! Comment ? En s’encanaillant avec le milieu sportif ! Le tout proposé avec une série d’évènements de belle facture, originaux, atypiques parfois dans leurs lieux d’expression, ponctuant de ses rendez-vous les trois premiers week-ends de juin, dans la ville la plus méridionale de l’Yonne.
Normal, alors, que la salle des maréchaux (et ses portraits surannés accrochés sur leurs cimaises) de l’hôtel de ville ait reçu la visite de jeunes enfants de l’école Victor Hugo possédant déjà les rudiments de la musique jouée en orchestre juste avant de lancer le cycle des prises de parole habituelles pour expliciter la genèse d’un tel évènement. Un exercice à la fois nécessaire pour mieux en comprendre les arcanes techniques et financières, mais au final un tantinet trop long car durant près de soixante minutes !
Toutefois, les acteurs clés de ce concept empruntant le chemin de la nouveauté ont eu le temps de s’exprimer. La Ville d’Avallon par l’intermédiaire de sa première élue. La Région Bourgogne Franche-Comté par l’entremise de sa présidente. Une Marie-Guite DUFAY ravie d’être là, visiblement, et qui aura apprécié la prestation musicale de ces enfants interprétant, entre autres, un vieil air issu du répertoire de la Mersey et de sa ville lumière pour les adorateurs de la pop, les BEATLES. Le Département, aussi, avec une Isabelle FROMENT-MEURICE, fière de ce remarquable programme qui sera décliné en cette période de juin, bénie des dieux, entre le solstice d’été et le retour du printemps radieux.
Un long préambule avant que ne soit acté de manière officielle le partenariat entre ces différents acteurs de la vie institutionnelle et politique du terroir, auxquels il ne fallait pas oublier Pascal GERMAIN, le président de la communauté de communes.
Nous reviendrons plus en détail sur le contenu de ces trois week-ends, prélude légitime avant le passage de la flamme olympique, le 11 juillet prochain dans l’Yonne, dont Avallon et Vézelay. Il n’y a pas à dire mais avec un tel cocktail d’imagination et de créativité autour du sport et de la culture, l’été sera beau !
Thierry BRET
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