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Il faut sauver les emplois de la filière : la Région, entre action et anticipation, injectera 36 millions d’euros en 2022
janvier 25, 2022Le secteur de l’automobile, s’il n’est pas encore à l’agonie, dans sa configuration actuelle, mérite néanmoins une attention très particulière pour qu’il ne passe pas de vie à trépas. Forte de ses 45 000 salariés, la filière est particulièrement exposée en Bourgogne Franche-Comté, du fait de difficultés multiples, structurelles et conjoncturelles. Pour Nicolas SORET, vice-président en charge des finances, de l’économie et de l’emploi, « la course contre la montre est lancée »…
DIJON (Côte d’Or) : Il fallait sauver, jadis sur grand écran, le soldat Ryan d’une mort certaine. Il faut venir au secours désormais de la filière automobile territoriale, moribonde et soumise à d’innombrables difficultés économiques. Tel est l’énoncé du problème, une complexe équation à plusieurs inconnues, auquel est confronté le pouvoir exécutif régional.
Comme devait le préciser lors de son intervention en conférence de presse le troisième vice-président de la Région, Nicolas SORET : « La course contre la montre est lancée si l’on ne veut pas que tout l’édifice s’écroule ».
De profondes mutations comparables à la crise de la sidérurgie…
Entre compétitivité et mutations profondes liées aux réponses à apporter aux problématiques environnementales, la filière de l’automobile ne sait plus à quels saints se vouer.
D’autant, que la crise sanitaire est passée par là, entraînant avec elle, son lot de surprises désagréables et inéluctables. Celles-ci se sont traduites par la chute progressive des ventes et surtout la pénurie en matière d’approvisionnement qui perturbe depuis le retour à la croissance.
La Bourgogne Franche-Comté est située dans l’œil du cyclone. Logique quand on peut se targuer d’être la première région industrielle de l’Hexagone. Une position, certes, très flatteuse sur le papier mais qui l’est beaucoup moins lorsque les rouages de l’entrepreneuriat se grippent. De ce fait, 350 établissements professionnels sont aujourd’hui suspendus aux décisions que prendront les pouvoirs publics afin de tenter de relever la tête. L’enjeu est de taille. Il y va de la pérennité de près de 45 000 emplois.
Surtout depuis que l’Europe a décidé dans le cadre du Green Deal d’interdire à la vente les véhicules à motorisation thermique neuf, et ce dès 2035. Motif : les rejets de Co2 imputables à ces moteurs occasionnent 12 % des émissions de dioxyde de carbone de l’Union.
Conséquence : la corporation tremble car elle se doit de changer dans un laps de temps très court de paradigmes. L’anticipation est devenue le synonyme de profondes mutations pour le secteur, un bouleversement comparable à celui vécu par la sidérurgie dans les années 1970.
Une feuille de route aux contours stratégiques précis…
Pour Nicolas SORET, le dossier est complexe. Il l’a précisé sans fioritures lors de sa prise de parole.
« La difficulté que l’on croyait conjoncturelle est en fait de plus en plus structurée avec ces contraintes observées dans les approvisionnements et la pénurie des semi-conducteurs. Or, du fait de la mondialisation des règles économiques, les constructeurs s’adressent plus facilement aux sous-traitants installés dans les pays à bas coûts pour qu’ils interviennent dans la fabrication de pièces. C’est le cas avec les nations de l’Asie du Sud-Est. Enfin, pour couronner le tout, la bascule historique entre le choix du moteur thermique et celui de l’électrique a conduit à un contexte aujourd’hui irrévocable de non-retour en arrière… ».
La naissance d’une feuille de route régionale automobile est devenue de ce fait une évidence. C’est une sorte de force de frappe pour aider à la mutation de la filière. Une approche qui repose à la fois sur les entreprises et leurs salariés, mais aussi sur les territoires qui les accueillent.
Le leitmotiv est simple : anticiper les mesures qui s’appliquent sur les territoires les plus exposés par cette nouvelle crise industrielle.
De quoi se constitue cette fameuse feuille de route, précieux cahier des charges utile devant permettre de préserver les emplois ? Deux axes d’intervention de la Région y répondent. Le premier se base sur le diptyque, action et coopération.
« C’est simple, ajoute le président de la CC du Jovinien et maire de Joigny, l’idée est de mettre en place une force d’intervention pour les mutations automobile afin de proposer à chaque sous-traitant un accompagnement qui soit le plus adapté… ».
Le second volet se rapporte aux outils et méthodologies destinés aux entreprises, aux actifs et aux territoires via des curseurs importants tels que l’orientation, la formation, la reconversion afin de limiter le plus possible la casse sociale. Nom de code de l’outil : le GPECT, acronyme pour « gestion prévisionnelle des emplois et carrières territorialisés ».
Un effort financier soutenu en 2022 de l’ordre de 36 millions d’euros…
Cette feuille de route, aux contours mûrement étudiés, n’est pas le fruit d’un quelconque hasard. Une multitude d’auditions ont été réalisées avec tous les acteurs et spécialistes de la filière automobile afin d’en brosser la trame. Tout cela a été conforté par une enquête effectuée sur le territoire dont les résultats sont connus depuis le mois de décembre.
« Nous sommes capables de savoir grâce à cela quels seront les territoires les plus exposés à l’avenir selon la réalité de leur tissu industriel, souligne Nicolas SORET.
Un exemple d’anticipation devant également s’appuyer sur le concours des intercommunalités qui connaissent à merveille le potentiel économique de leurs entreprises. Il ne faudrait pas qu’un sous-traitant soit oublié par ce dispositif et passe à travers les mailles du filet.
« Aussi, renchérit le vice-président en charge des Finances, de l’Economie et de l’Emploi, nous allons contractualiser avec les territoires ce principe afin d’anticiper du mieux possible la situation. Cela passe aussi par l’évolution professionnelle des salariés qui doivent gagner en compétences pour qu’ils soient le moment venu capables de rebondir sous le sceau de la diversification de leurs activités sur d’autres filières si leur entreprise venait à être touchée ».
Moyennant quoi, la Région augmentera son effort financier, déjà significatif, à destination des TPE et PME de la filière automobile cette année. Soit une ligne budgétaire de 36 millions d’euros, portée à l’exercice 2022. Une enveloppe venant s’additionner aux moyens de l’Etat, existants et nouveaux, ainsi que ceux de la nouvelle programmation des fonds européens FEDER.
La feuille de route régionale automobile, tracée sur la période 2022/2024, prend ainsi son envol. Il en va de la pérennité du tiers de l’emploi industriel de notre territoire qui incombe uniquement à une filière automobile qui attend une vraie bouée de sauvetage à terme…
Thierry BRET
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Bourgogne Franche-Comté Tourisme : son dossier de presse des nouveautés 2022 fait mouche !
janvier 18, 2022Concocté en interne sans l’aide de la moindre agence de communication, le volumineux document dévoilant les nouveaux axes et idées touristiques de la contrée a retenu l’attention d’un jury de onze journalistes lors de la seconde journée des rencontres nationales ADN Tourisme de Paris. La Bourgogne Franche-Comté se place au top de la créativité !
PARIS: Le graphisme, les angles judicieux mais aussi le soin apporté à la limpidité rédactionnelle des textes ont séduit le jury de onze journalistes de ce concours du meilleur dossier de presse, lors des rencontres ADN Tourisme de Paris. Celles-ci se déroulent actuellement dans la capitale.
Bourgogne Franche-Comté Tourisme, l’organe régional qui assure la promotion touristique de notre contrée, possède une équipe de communication plutôt fière aujourd’hui avec cette reconnaissance par les milieux professionnels.
Surtout que cet opuscule dévoilant toutes les bonnes suggestions et idées 2022 sous le prisme de la nouveauté a été retenu sur une sélection initiale d’une vingtaine de documents.
Un premier cocorico pour l’organisme qui a su faire mouche sur cet évènementiel fondamental dans le choix des futurs sujets de reportage de l’année en cours…
Thierry BRET
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Le journaliste Guillaume BAROIN préside le 36ème Concours des Vins de Chablis : « je suis content d’être là ! »
janvier 15, 2022Depuis qu’il a porté sur les fonts baptismaux son média numérique consacré aux « vins qu’on boit et aux assiettes qu’on sauce », notre confrère, esthète dans l’art de l’œnologie, voue une passion sans limite à la Bourgogne Franche-Comté et à ses nectars sublimes qu’il découvre lors de ses multiples déplacements, version séances de dégustation. Samedi, il a eu le privilège de présider la 36ème édition du Concours des Vins de Chablis.
BEINE : Remettre la bouteille au centre de la table et des arts de vivre ! C’est l’un des credo éditorial du fondateur et rédacteur en chef des « BUVOLOGUES », notre confrère Guillaume BAROIN.
La plume alerte et avisée du responsable de ce service de presse en ligne n’aurait voulu manquer sous aucun prétexte ce premier rendez-vous de l’année 2022 avec le monde de la viticulture. Et l’un de ses dignes fleurons de la Bourgogne Franche-Comté : le chablis !
Le journaliste a effectué le déplacement en terre icaunaise afin d’y présider ce samedi 15 janvier en matinée le 36ème Concours des Vins de Chablis, mettant en exergue après dégustation les meilleurs crus des millésimes 2019 et 2020 sélectionnés par la cinquantaine de membres d’un jury d’esthètes et d’épicuriens.
Il aura fallu deux années pour que les organisateurs de l’évènement, le BIVB (Bureau Interprofessionnels des Vins de Chablis), ne rendent la manifestation la plus ressemblante possible avec ce qui était proposée juste avant la crise sanitaire avec notamment le retour d’une présidence de jury officielle.
Le partage des émotions vineuses avec les membres du jury…
C’est donc Guillaume BAROIN qui endossait ce rôle ce week-end même si les membres du jury ne se retrouvaient que deux par table de dégustation au lieu de quatre, du fait de la jauge réduite en matière de présence effective.
Pour la première fois depuis 27 ans qu’il écrit et se passionne pour la merveilleuse histoire du vin et de ses vignerons, le rédacteur en chef des « BUVOLOGUES » occupait cette fonction de président de séance. Une satisfaction qu’il devait partager lors de sa prise de parole introductive avec le public avant que ne débute la dégustation des 280 échantillons aux alentours de 09h30.
« J’ai eu envie de participer à cette animation afin de partager avec vous les émotions que procurent le chablis ». Partage réciproque, assurément !
Précisons que les « BUVOLOGUES », un pure player décliné par abonnement, proposent toutes les semaines des articles fouillés et de belle facture sur la vie des domaines de notre contrée, leurs produits mais aussi des focus sur la restauration, la gastronomie et la cuisine. Une indication subtile : 42 % de son lectorat est…féminin. Effet de mode ou signe des temps ?!
Thierry BRET
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Pas de trou d’air chez ROBIN AIRCRAFT : Claude VAUCOULOUX séduit par l'excellence à la française
janvier 13, 2022Le 23 février 2021 fut une date mémorable pour le constructeur aéronautique régional. Le président de la République Emmanuel MACRON foulait le sol des ateliers de Darois en Côte d’Or afin d’y visiter et soutenir l’une des pépites industrielles atypiques dont l’Hexagone regorge à foison : la société ROBIN AIRCRAFT. Il y a vingt-quatre heures, c’était au tour de Claude VAUCOULOUX de suivre les pas élyséens pour une immersion dans l’antre du savoir-faire à la française…
DIJON (Côte d’Or) : Enthousiaste le délégué général de l’UIMM et du MEDEF de l’Yonne ! Sans doute l’est-il autant que le résident du Palais de l’Elysée qui avait emprunté le même parcours initiatique en février de l’année dernière. Il est vrai qu’une plongée parmi le saint des saints de l’excellence aéronautique à la française a de quoi décoiffer !
Structure entrepreneuriale apparue en 1957, spécialisée dans la conception de monomoteurs légers en bois, ROBIN AIRCRAFT mérite amplement le détour surtout que l’on est la cheville ouvrière de la Maison de l’Entreprise et des pôles de formation technologique sur les territoires voisins de la Nièvre et de l’Yonne. L’animateur d’un réseau construit autour des activités de l’aéronautique en Bourgogne Franche-Comté : GISEaéro !
Claude VAUCOULOUX s’est donc accordé bien légitimement une « récréation » passionnante et instructive hors de sa zone de prédilection en visitant le joli joyau dirigé par Casimir PELLISSIER, installé en périphérie de Dijon.
Une entreprise qui avait eu les honneurs d’un hôte de marque avant que ne soit instauré le plan national de relance de l’industrie, Emmanuel MACRON en personne.
La PME avait retenu également l’intérêt du ministère ad hoc, engageant d’importants moyens pour soutenir le développement d’une entreprise qui n’a jamais cessé d’être française, familiale et ambitieuse.
Des avions de bois et de toile qui sont ciselés comme de la dentelle, fabriqués à la main et dans le respect d’une tradition de près de soixante ans. Cela méritait bien un petit déplacement pour en apprécier toute la quintessence, non ?!
Thierry BRET
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La quête aux parrainages de Nicolas DUPONT-AIGNAN ne démobilise pas les militants de Debout La France
janvier 12, 2022Petit à petit, l’oiseau fait son nid, précise le dicton. Même si pour l’heure, la crainte de ne pas recevoir le précieux adoubement faisant foi de parrainage par l’un des 42 000 élus de l’Hexagone est présente dans tous les esprits. Le candidat de Debout La France Nicolas DUPONT-AIGNAN n’a pas encore toutes les garanties de figurer sur la grille de départ de cette course à l’Elysée 2022. Ce qui n’empêche nullement deux de ses porte-voix de sillonner la région pour rameuter les troupes…
NEVERS (Nièvre) : La concurrence est rude à la droite de la droite à quelques 90 jours de l’échéance présidentielle. Surtout pour s’affirmer publiquement dans les médias aux horaires de prime time en pensant disposer des cinq cents parrainages indispensables à la qualification à cette course effrénée.
Candidat déclaré de Debout La France (DLF), ainsi que l’a validé le conseil national de la formation souverainiste réunie le 27 novembre dernier à Yerres, NDA (Nicolas DUPONT-AIGNAN) croit plus que jamais en sa bonne étoile même si la présence d’Eric ZEMMOUR vient considérablement perturber le jeu dans la quête des précieux accessits auprès des élus.
Occuper le terrain pour promouvoir les actions…
Deux de ses porte-étendards, le Nivernais Pascal LEPETIT, délégué régional pour la Bourgogne Franche-Comté et secrétaire départemental de la Nièvre ainsi que l’Icaunais Patrick MOREAU, secrétaire départemental de l’Yonne, redoublent depuis d’efforts pour légitimer la présence de leur chef de file sur la ligne de départ au matin du 10 avril.
Courant décembre, les deux relais de DLF assuraient communément le lancement de la campagne du parlementaire de l’Essonne sur le territoire de l’Yonne, à Foissy-les-Vézelay, où Patrick MOREAU a été élu maire.
S’appuyant sur des rencontres directes avec les représentants du mouvement politique, les deux hommes devaient présenter les cinq axes prioritaires de la campagne ainsi que tous les supports de communication qui en découleront pour en assurer le rayonnement et la promotion.
Rappelons que le programme du candidat souverainiste s’articule autour de la hausse du pouvoir d’achat, la méritocratie dans le travail, la restauration de l’ordre, la reconstruction des services publics et l’engagement de la nation vers une écologie humaine et pragmatique.
Comme le précise Pascal LEPETIT, « le leader de Debout La France est le seul des prétendants à la présidentielle à avoir véritablement chiffré son projet de façon précise en y mentionnant ses sources ».
Des parrainages plus difficiles à obtenir qu’en 2017 du fait de la levée de l’anonymat…
Logique, Nicolas DUPONT-AIGNAN a fait des chiffres et statistiques sa priorité, des valeurs mathématiques que l’on découvre abondamment dans son dernier opus, « Où va le pognon ? » que le pensionnaire du Palais Bourbon vient de publier il y a peu pour dénoncer les abus de la gouvernance actuelle.
Pascal LEPETIT reconnaît lui aussi qu’il est plus délicat de recueillir les parrainages des élus cette année comparativement à l’élection précédente de 2017.
« La levée de l'anonymat place les maires en situation de devoir se justifier vis-à-vis de leur conseil municipal, de leurs administrés, des intercommunalités ou des conseil départementaux, avec les conséquences en termes de fonctionnement que l'on peut imaginer si le parrainage, qui pourtant n'est pas un soutien politique, n'est pas de la couleur locale. C’est donc difficile cette année pour Marine LE PEN, Eric ZEMMOUR, Jean-Luc MELENCHON et…Nicolas DUPONT-AIGNAN ».
Mais, pour l’heure, cela n’enlève nullement la volonté des partisans de NDA de se battre jusqu’au bout, selon leur volonté commune, de « sauver la France ». Aux dernières nouvelles, NDA affirme avoir déjà obtenu 450 signatures en sa faveur. Il se dit optimiste pour la suite des opérations…
En savoir plus :
Les grands axes du programme de Debout La France :
1) Une France indépendante, des français libres : NDA veut renouer avec la Vème République telle que la voulait le Général Charles de GAULLE en associant les Français sur les grands sujets par référendum (Union européenne, immigration, réforme du Code Pénal). Il souhaite faire entrer les Français à l'Elysée.
En outre, il est prévu de mettre en place le RIC déclenché à partir de 500 000 signatures, retour au septennat avec un référendum révocatoire à mi-parcours, si 20 % du corps électoral le demande.
2) Récompenser le travail
- Hausse des salaires de 8 %, soit un mois supplémentaire, entièrement financée par la suppression des fausses cartes Vitale,
- 75 % de la commande publique réservée aux produits fabriqués en France,
- Diviser par deux les impôts sur le bénéfice pour les entreprises qui investissent en France,
- Indexation des retraites, des salaires des fonctionnaires et du livret A sur l'inflation.
3) Reconstruire les services publics
- Réouverture d'un hôpital ou d'une maternité par département (un projet financé par les neuf milliards de trop versés à l’Europe car l'objectif est que le coût de contribution à l'Union soit ramené à un milliard comme sous Jacques CHIRAC),
- Renforcer les apprentissages fondamentaux,
- Renationalisation des autoroutes et suppression des péages en cinq ans,
4) Rétablir l'ordre
- Tolérance zéro : une peine sera appliquée à chaque condamnation pour délit,
- Expulsion des délinquants étrangers,
- Contrôle des frontières, sortie de Schengen,
- Suppression du droit du sol.
5) Engager une écologie humaine et pragmatique
- Pratiquer une protection de l’environnement non sectaire,
- Il y aura zéro éolienne sur la durée du mandat. L'argent qui sert à les financer sera investi pour doubler les aides à l'isolation thermique des habitations pour réduire la facture d'énergie,
- Crédit d'impôts Produit en France afin de favoriser l’incitation des entreprises à rapatrier les productions et les emplois en France,
- Réduction de la pollution.
Thierry BRET
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