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De la Jordanie au Grand Nord-Est hexagonal : Thierry MARIGNY se connecte à sa nouvelle direction chez Orange
avril 07, 2023Jusqu’au premier avril 2023, il présentait un profil de « globe-trotter » professionnel vantant le savoir-faire de la technologie made in France et de sa filière des télécommunications, le futur patron de la région Grand Nord-Est de la société Orange ! Nommé directeur de zones sectorielles englobant les Hauts-de-France, le Grand-Est et la Bourgogne Franche-Comté, Thierry MARIGNY, à 59 ans, se lance un tout autre défi : celui d’imposer sa griffe et son expérience sur cette partie de l’Hexagone.
DIJON (Côte d’Or) : C’est certain, question climats et températures, le nouveau dirigeant de l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde risque de s’apercevoir du changement !
Lui qui était depuis 2018 l’un des artisans du développement du groupe Orange sur la zone Afrique et Moyen-Orient (Jordanie, Tunisie, Sénégal, Liban…) y perdra au change, du côté de l’ensoleillement. Mais, il y gagne une belle promotion avec ce retour en France, devenant de facto l’un des ambassadeurs territorial de la directrice générale du groupe aux 43,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires, Christine HEYDMANN.
Diplômé de l’IMT Business School, Thierry MARIGNY, natif de la capitale, presque sexagénaire, possède dans sa besace un DESS en télécommunications, agrémenté d’un Master en gestion de l’Université Paris-Dauphine. A 59 ans, et après avoir exercé moult responsabilités au sein du groupe, notamment dans le marketing mobile mais aussi pour le compte de la marque en assurant son développement promotionnel, le nouvel impétrant à la fonction directionnelle Grand Nord-Est voulait relever un challenge supplémentaire.
La modernisation des réseaux : la première des priorités !
En succédant en ce mois d’avril à Ludovic GUILCHER – ce dernier est promu directeur en charge de la mise en œuvre du nouveau modèle d’entreprise porté par Christine HEYDMANN – Thierry MARIGNY hérite d’une équipe efficiente, forte de 8 000 femmes et hommes, ayant pour objectif de maintenir le leadership d’Orange dans les réseaux de télécommunications.
Un beau challenge, d’autant que parmi les projets à venir à brève échéance, on peut identifier la modernisation des réseaux Très Haut Débit sur le fixe avec le déploiement de la fibre optique et sur le mobile, avec la présence de la 5G.
C’est sûr : Thierry MARIGNY, au vu de son emploi du temps très serré, devrait très vite s’accommoder, sans trop s’en préoccuper, des rigueurs du climat continental qui l’attend désormais !
Thierry BRET
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Transport : les trains "Corail" prennent leur retraite à 48 ans, snif, snif, adieu wagons confortables !
avril 06, 2023Au XIXe siècle, lors de l'invention du chemin de fer, une locomotive à vapeur tirait des wagons. Cela constituait un train. Cela perdura longtemps : les locos devinrent diesel ou électriques mais le train demeurait. Désormais, ce binôme mythique de l'histoire du chemin de fer est en train de disparaître. Adieu les locos ! Adieu les wagons suspendus et confortables sur nos lignes de chemin de fer…
BILLET : C'est l'heure désormais des rames automotrices dans lesquelles l'embarquement des passagers est facilité. On pense aux fauteuils roulants et aux poussettes, accessibles au niveau du quai. Le hic ? Le confort y a disparu et nos navetteurs Icaunais vont vite regretter les vaillantes voitures « Corail ».
En 1975, l'apparition des wagons Corail révolutionna le transport des voyageurs à la SNCF. La plupart des voitures y ont un couloir central. Les sièges y sont de couleur orange, « LA » couleur de ces années si florissantes.
Sur le plan de la sécurité, les contrôleurs ferment via une commande hydraulique les portes au moment du départ. Les rames sont sonorisées, ce qui permet de diffuser des annonces. Tout cela est novateur.
L’époque mythique des locomotives est révolue…
Accessibles au 160 km/h, les temps de trajet se réduisent : Paris-Marseille passe de 7h45 à 7h. Ces voitures au siège épais sont fort bien suspendues et l'on y voyage fort confortablement, en pouvant ranger une valise à l'entrée du wagon.
Rien de cela dans les plus modernistes rames « Bombardier » - l'intérieur montre des signes précoces de vieillissement - ou celles de « MOBIGO », siglée par la Région : « Emmène-moi où je veux (sauf grève, panne et autre retard !).
Le confort y a disparu, un peu comme les nappes au restaurant ! C'est une époque révolue ! Dans les rames « MOBIGO » : peu de toilettes et aucun logement dédié aux valises. Question secousse : c’est à l’identique des manèges de la foire ! Effet garanti !
Quant aux rames « Bombardier », il faut faire attention au chauffage surpuissant mais mal réglé, si d'aventure en hiver, on y est assis proche de la brûlante cloison !
Aussi, c'est bien plus qu'une époque du transport ferroviaire qui disparaît avec la fin des wagons et des mythiques locomotives : les « 2D2 », les « CC 7 100 » (championne du monde de vitesse en 1955 à 331 km/h) et surpuissantes « CC 6 500 », star du rail des années 70 !
Au revoir confortables wagons « Corail » : les voyageurs vous regretteront longtemps. Et bonne retraite...à l’âge de 48 ans !
Quai numéro 2, le train rapide « n° 5 049 » va partir. Attention au départ. La SNCF vous souhaite un agréable voyage !
Gauthier PAJONA
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Des étoiles dans la tête après le succès au MAF Boucherie régional : « Lucie GIRARD in the sky with diamonds… »
mars 27, 2023Seule représentante féminine engagée dans la toujours très difficile finale régionale du concours de « l’Un des Meilleurs Apprentis de France », catégorie boucherie, la jeune ressortissante du Doubs, Lucie GIRARD, a su tirer son épingle du jeu, au terme de cette épreuve qui rassemblait les huit lauréats départementaux de la discipline…
AUXERRE : Qualificative pour une place en finale hexagonale – celle-ci se déroulera au palais des Papes en Avignon dans un cadre idyllique ! -, la sélection régionale de l’Un des Meilleurs Apprentis de France de Bourgogne Franche-Comté, catégorie boucherie, a livré son verdict au terme d’une âpre journée de concours.
Accueillie, une fois de plus dans les locaux du CIFA de l’Yonne – cela devient une habitude pour l’établissement auxerrois, preuve que l’excellence sait aussi s’exporter hors de nos frontières -, l’épreuve rassemblait les vainqueurs des sélections départementales, venus s’affronter dans un ultime round afin de décrocher, pourquoi pas, un billet pour le challenge national.
Organisé par la Confédération française de la Boucherie, boucherie-charcuterie et traiteurs, dont les deux présidents régionaux (Eric DULAT pour la Bourgogne Franche-Comté et Bruno JEANDOT pour l’Yonne) représentaient les intérêts de la filière lors de la remise des récompenses, ce concours de très belle tenue aura donc vue la victoire d’une jeune fille, un brin timide et qui savoura son succès avec modestie.
Plébiscitée par ses pairs, et surtout par les organisateurs de la manifestation, sous l’œil expert du MOF Marc LABARDE, représentant la fameuse structure distinctive des « Meilleurs Ouvriers de France », Lucie GIRARD reçut le trophée des mains de Michel TONNELLIER, président du CIFA de l’Yonne, avant de recevoir l’accolade – la bise serait plus exact !- de Bruno JEANDOT, satisfait de cette excellente édition 2023.
Invitée à profiter au maximum de ce titre honorifique avant de disputer le rendez-vous national, la jeune Lucie s’immergera à Paris ces prochaines semaines lors d’un double stage avec des « Meilleurs Ouvriers de France » de sa spécialité artisanale pour parfaire ses connaissances. Une excellente manière de bien appréhender la prochaine échéance !
Thierry BRET
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RSA : l’Etat et le Département en mode raccord pour mieux accompagner les bénéficiaires vers le retour à l’emploi
mars 13, 2023Menée sur les secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois depuis le début de l’année, l’expérimentation s’est mise en place dans notre territoire avec le concours de Pôle Emploi et le suivi de l’Etat. Permettre aux bénéficiaires du RSA de retrouver le chemin qui conduit à la vie active n’est pas un vœu pieu pour le préfet de Région Franck ROBINE et le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD à l’unisson sur le sujet…
AUXERRE : Il ne pouvait pas conclure la conférence de presse qu’il accordait aux médias de l’Yonne, lundi en début d’après-midi, sans faire une allusion au dispositif orchestré dans une vingtaine de départements – dix-neuf avec exactitude dont celui de la Bourgogne septentrionale – relatif aux bénéficiaires du RSA, acronyme se rapportant au « Revenu de Solidarité Active ».
Un item primordial pour le préfet de Région Franck ROBINE. Tant les tensions actuelles sur le marché du travail sont importantes et pénalisent de manière inéluctable les entreprises dans leur besoin à recruter.
Saluant l’initiative du Département de l’Yonne – notre contrée a été choisie par la gouvernance étatique pour expérimenter un nouveau dispositif de retour à l’emploi dans le cadre de la démarche « France Travail » qui vise les bénéficiaires du RSA -, le préfet de Bourgogne Franche-Comté, en visite ce lundi 13 mars dans la capitale de l’Yonne, félicita le président de l’exécutif icaunais, Patrick GENDRAUD, d’avoir bien voulu accepter l’expérience.
Près de 2 100 bénéficiaires du RSA sur les secteurs d’Avallon et de Tonnerre…
Pour faire simple, l’idée de la nouvelle organisation « France Travail » dont le gouvernement est le porte-étendard dans le domaine de l’emploi, est d’aider les bénéficiaires du RSA à retourner le plus vite possible vers une activité professionnelle.
Un monde du travail qui échappe parfois, sur une très longue période – une étude nationale démontre que cette absence de vie active peut allègrement aller jusqu’à sept années –, à ces personnes qui perçoivent le Revenu de Solidarité Active.
Dans l’Yonne et sous la houlette de la conseillère départementale Sonia PATOURET, très investie sur ce dossier – on se souvient de l’initiative « Brique à Brique » menée par ses soins avec détermination auprès de la filière du bâtiment avec le concours de la FFB, la CAPEB, la FRTP et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat en 2021 -, ce sont près de 2 100 bénéficiaires du RSA (2 070 avec précision) des secteurs géographiques de l’Avallonnais et du Tonnerrois qui se sont donc lancés dans cette nouvelle aventure depuis janvier.
Des personnes qui profitent d’un accompagnement spécifique et adapté à leurs besoins afin de favoriser ce retour immersif dans l’emploi.
« Grâce à cet engagement du Département de l’Yonne, devait-il souligner, ce sont des femmes et des hommes qui vont retrouver du travail. Cette initiative est extrêmement importante dans la vie de ces personnes… ».
Le Département a le devoir moral de remettre les gens au travail…
Vu par le prisme départemental, le RSA représente une enveloppe de 60 millions d’euros à la charge de l’institution icaunaise. Un chiffre que ne manqua pas de rappeler Patrick GENDRAUD, complétant ainsi les propos liminaires de Franck ROBINE. Une somme versée aux 8 200 destinataires de ce revenu minimal. Un nombre de bénéficiaires qui s’érode légèrement depuis plusieurs années.
Exprimant sa fierté de voir que le département dont il assume la présidence avait été choisi par le dispositif « France Travail » pour cette phase test, élément précurseur sans aucun doute avant le maillage hexagonal qui se fera par la suite, l’ancien maire de Chablis rappela que bon nombre d’offres d’emploi fleurissaient çà et là.
Il cita, à titre d’exemples, le monde viticole et ses trois cents postes non qualifiés à pourvoir de suite ; les neuf cents opportunités qui ont été identifiées sur le domaine de la restauration et de l’hôtellerie ; etc.
Des arguments faisant dire au patron de l’exécutif que « l’organisme qu’il représentait avait un devoir moral de remettre les gens sur le chemin du travail… ».
Selon lui, les premiers frémissements se faisaient désormais ressentir dans ces deux secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois, avec l’implication accrue de Pôle Emploi.
« Je pense que nous sommes sur la bonne voie avec cette démarche initiée par « France Travail », devait-il préciser en guise de conclusion.
Une conclusion devant satisfaire un Franck ROBINE pédagogue sur le sujet, mettant un terme à ce deuxième rendez-vous relationnel avec la presse départementale.
Thierry BRET
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Il sera seul maître à bord du « FISTOULIK » : Philippe KLIMACEK prêt à appareiller pour de nouveaux rivages !
février 21, 2023Les lunettes lui servant de serre-tête, la chevelure grisonnante un peu folle, le regard fixant l’objectif, il possèderait presque le visage d’un vieux loup de mer mâtiné aux embruns iodés, Philippe KLIMACEK ! Que l’on ne s’y trompe point : ce passionné de plaisance et de navigation n’a pourtant rien d’un marin d’eau douce. Même si son futur projet concerne le tourisme fluvial et la pratique du bateau à vocation altruiste et entrepreneuriale sur les canaux de la région…
AUXERRE : Elle se nomme le « FISTOULIK ». Une jolie pénichette de près de douze mètres de longueur, arborant comme nom de baptême si original, un mot typiquement breton. « Remuant », selon la traduction littérale ! Autant que peut l’être l’heureux propriétaire de cet esquif qui n’a rien de frêle. J’ai nommé Philippe KLIMACEK.
Un patronyme que les spécialistes de la voile et des courses nautiques en pleine mer connaissent bien pour celles et ceux qui s’y intéressent de près à chaque grande édition maritime. D’autant qu’ils ne sont pas légion, les aventuriers sportifs de la Puisaye à s’être lancés à l’assaut de la « Route du Rhum » ! Philippe, lui, il a osé ! Avec moult péripéties et une kyrielle de souvenirs. Mais, là, n’est pas le propos du jour. S’il a choisi de prendre de son précieux temps à la rencontre d’un journaliste, c’est pour raconter ce qui l’anime aujourd’hui. Un projet novateur, un brin décalé mais qui tellement pertinent.
Le premier avril prochain, le navigateur de l’Yonne rapatriera depuis Beaune avec un groupe d’amis férus tout comme lui de plaisance par la voie fluviale – 192 écluses à franchir tout de même – la pénichette dont il vient de faire l’acquisition pour la coquette somme de 35 000 euros. Le « FISTOULIK » ! La ramenant à son nouveau port d’attache, Joigny. La ville du Centre Yonne possède une charmante zone portuaire. Et une entreprise de renom qui y exerce ses activités de tourisme fluvial depuis si longtemps, LOCABOAT.
Le soutien des professionnels de santé et des clubs services…
C’est de là que partira vers d’autres rivages le nouveau projet de ce navigateur, retiré désormais des courses folles en haute mer. Pour l’heure, il sera d’ordre associatif. Les statuts venant d’être déposés. Philippe y assumera le rôle de président. A 65 ans, il a eu envie de relever de nouveaux challenges. Via, de prime abord, un projet aux contours humanitaires ayant pour objectif de s’adresser aux enfants défavorisés sur le plan de la santé afin de leur octroyer un moment de répit grâce à des instants magiques et intenses. La navigation en eau douce ! Sur rivières et surtout en empruntant des circuits qu’il connaît bien sur les canaux que possèdent notre contrée. Celui de Bourgogne, celui du Nivernais, celui du Centre…
« L’idée est d’embarquer quelques enfants malades, accompagnés d’un professionnel de santé, sur la pénichette, souligne Philippe, sur de courts parcours d’une journée. De les immerger le temps de cette excursion dans la peau d’un marin avec séance de pilotage, la préparation des repas en les dégustant à bord, de passer les écluses, etc. Un concept qui reposerait aussi sur l’aspect collaboratif avec les professionnels de santé et les associations concernées par la cause des enfants… ».
A l’heure actuelle, Philippe KLIMACEK peaufine le programme de ces circuits nautiques qui pourraient prendre leur envol à la belle saison avant juillet.
« Une étape idéale serait de prendre en charge les enfants tôt le matin, argumente-t-il, avec petit déjeuner servi à bord, de les initier aux aspects sécuritaires de la vie à bord avant une première halte quelques heures plus tard au fil de l’eau… ».
Philippe aimerait convaincre les centres hospitaliers et les services pédiatriques du territoire du bien-fondé de son action salvatrice pour la joie de vivre des petits patients.
Transformer la structure associative en entreprise…
Son job constitue également à solliciter quelques mécènes pour l’aider à finaliser et à financer ce projet évalué aux environs de 15 000 euros. Il fait appel en parallèle aux dons altruistes de généreux donateurs et pense se rapprocher des clubs services du cru qui interviennent beaucoup, de par leurs actions sociales, en faveur de l’enfance.
L’idée de développer le concept vers le tourisme d’affaire en privatisant le bateau au nom d’une entreprise lui titille également l’esprit. Une manière de diversifier son activité naissante. A terme, l’idée de néo-entrepreneur serait de transformer l’association en entreprise et de la dupliquer sous le principe d’une franchise à travers l’Hexagone.
« Il existe plus de 7 000 kilomètres de canaux en France, se plaît-il à ajouter. De quoi optimiser le projet et de créer des emplois… ».
Même s’ils sont saisonniers, d’avril à octobre, le temps que dure la navigation dans le domaine du tourisme fluvial. Un rêve qui pourrait se muer en réalité avec un peu de chance et beaucoup de pugnacité…
En savoir plus :
Contact :
Philippe KLIMACEK au 06.07.02.44.69.
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Thierry BRET
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