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Investir sur le territoire : clé de voûte idéale du partenariat gagnant/gagnant entre les collectivités et la FRTP
avril 17, 2023Il est résolument optimiste, le président de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté. Vincent MARTIN se satisfait de la labellisation du premier pôle de compétitivité concernant son secteur d’activité. Un sésame, ô combien précieux on s’en doute, ayant vu le jour fin mars. Se profile ainsi la perspective de belles opportunités sur ce pan crucial de l’économie. A condition que les collectivités reprennent leur politique volontariste au niveau des investissements.
BESANCON (Doubs) : Les indicateurs seraient-ils dans le vert chez les professionnels des travaux publics ? En tout cas, quelques bonnes nouvelles égayent le moral de leur porte-parole officiel dans la région, à savoir le président de la FRTP, Vincent MARTIN.
La première d’entre elles, concerne la labellisation du premier pôle de compétitivité inhérent au secteur d’activité. Un coup de pouce des plus sympathiques qui est survenu en mars dernier et qui a été vécu avec beaucoup de fierté de la part des dirigeants de l’entité régionale puisque l’association « ECORCE TP » – véritable pilier d’une économie en faveur du développement durable tant au niveau de sa réflexion et de sa conception jusqu’à l’exploitation des ouvrages – est précisément membre fondateur de ce pôle.
Des outils lancés par le gouvernement pour répondre aux attentes…
La seconde, provient de la représentation étatique et de la mise en exergue de plusieurs dispositifs visant à maintenir la capacité d’investissement des collectivités locales, qui comme chacun sait demeure le nerf de la guerre via la commande publique pour tout entrepreneur des TP qui se respecte !
Malgré un contexte conjoncturel on ne peut plus délicat et tourmenté – c’est le moins qu’on puisse dire ! -, les collectivités locales ont reçu des messages limpides et forts de la part de l’Etat qui leur donne des moyens de maintenir la pression sur leurs nécessaires investissements.
Noms de code de ces outils mis à disposition des élus et de leurs services techniques : la DETR (dotation d’équipement aux territoires ruraux), la DSIL (dotation de soutien à l’investissement local) ou encore le Fonds Vert dont se fait écho lors de tous ses déplacements dans les huit zones départementales de notre contrée, le préfet de Région Franck ROBINE.
Des retombées tangibles pour les acteurs de la filière BTP…
En sus et en guise de cerise juteuse sur le gâteau, l’Etat a annoncé la hausse de 320 millions d’euros de la dotation globale de fonctionnement. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, il est bon de rappeler que l’augmentation de l’ordre de 290 millions d’euros de l’effort de péréquation n’est pas un vœu pieu. Elle s’applique favorablement aux projets des territoires ruraux.
Autant d’éléments positifs – et c’est suffisamment rare pour les signaler ! – dont s’abreuve sans modération un Vincent MARTIN confiant pour la suite des opérations. L’équation est donc très simple : si les collectivités ont les moyens financiers et les coudées franches pour mener à bien leurs projets d’investissements structurels, c’est autant de retombées économiques palpables à mettre au profit des entreprises de travaux publics et du bâtiment qui en réaliseraient les chantiers !
Un deal astucieux et logique du rapport gagnant-gagnant dans toute sa splendeur qui existe entre ces deux mondes qui n’en font plus qu’un si toutes les conditions collaboratives sont réunies, sous le sceau du partenariat…
Thierry BRET
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NATURA 2000 et Fonds Vert au service de la nature : l’Etat et la Région BFC s’engagent en faveur de la biodiversité
avril 15, 2023C’est une première en Bourgogne Franche-Comté ! Elle s’articule autour d’un nouveau projet, sous la forme un plan d’action territorial qui va se décliner dans le cadre de la SNAP, soit la Stratégie Nationale pour les Aires protégées. Sur une période qui court sur l’exercice 2022/2024, l’Etat et la Région ont donc décidé de joindre leurs efforts afin de favoriser la biodiversité…
DIJON (Côte d’Or) : Réuni mercredi dernier dans l’hémicycle de l’hôtel de la Région, le Comité régional de la biodiversité – un organisme co-présidé par le préfet de région, Franck ROBINE et la présidente du Conseil régional, Marie-Guite DUFAY - a validé le Plan d’Action territorial, premier du genre, en faveur des aires protégées de notre territoire.
Composée de 123 représentants, cette instance consultative favorise les échanges et concertations autour des grandes thématiques inhérentes à la biodiversité et à son développement. Elle coordonne également la Stratégie nationale pour les aires protégées (SNAP). Une initiative impulsée par l’État.
Celle-ci doit permettre, d’ici 2030, d’enrayer la perte de biodiversité en protégeant 30 % du territoire français, dont un tiers est sous protection forte ; c’est-à-dire sur lequel s’applique une réglementation stricte des activités. Ainsi, elle met l’accent sur la pertinence, la cohérence et l’interconnexion du réseau d’aires protégées pour assurer un maillage efficace à l’échelle nationale.
Sept objectifs pour enrayer la perte de biodiversité…
Dans le cadre de la SNAP, l’Etat et la Région s’engagent à faire respecter sept priorités favorables à la préservation de la biodiversité. Celles-ci se rapportent au développement d’un réseau d’aires protégées résilient aux changements globaux, à l’accompagnement de la mise en œuvre d’une gestion efficace et adaptée du réseau d’aires protégées, de favoriser des activités durables au sein du réseau d’aires protégées, mais également de conforter l’intégration du réseau d’aires protégées dans les territoires, de renforcer la coopération à l’international pour enrayer l’érosion de la biodiversité, de porter un réseau pérenne d’aires protégées et enfin de conforter le rôle des aires protégées dans la connaissance de la biodiversité.
Des objectifs conformes aux orientations de la Stratégie régionale pour la biodiversité 2030 et aux priorités de la Stratégie de mandat 2021-2028 du Conseil régional. Rappelons que son ambition est d’augmenter les surfaces d’espaces naturels protégés et de soutenir les réserves naturelles régionales. À ce jour, les aires protégées couvrent 26,17 % du territoire.
Grâce à ce premier Plan d’Action territorial, le nombre et la superficie des aires protégées devraient augmenter en Bourgogne Franche-Comté. Plusieurs territoires – ils représentent 88 projets d’aires – vont ainsi faire leur entrée dans ce schéma. On peut citer le Parc naturel régional du Doubs horloger, la réserve naturelle régionale du Bief du Nanchez dans le Jura ou encore quatre autres projets de réserves naturelles de grottes à chauve-souris situées en Côte d’Or et dans le Doubs.
Plus près de nous, signalons les trois projets d’extension de sites NATURA 2000 qui sont implantés dans le Morvan, ceux de la moyenne vallée du Doubs et la vallée de la Loue et du Lison.
Deux dispositifs pour accélérer la préservation des aires protégées…
Pour se faire, la Région a désormais la compétence sur le concept NATURA 2000 et ce depuis le 01er janvier 2023. La Bourgogne-Franche-Comté compte 118 sites, couvrant 13,8 % de son territoire, soit 6 590 km2. Elle est la 6ème région française en termes de superficie. L’année 2023 est marquée par une réorganisation de la gouvernance des sites NATURA 2000. La loi 3DS du 21 février 2022 a transféré une partie de la compétence aux Régions en leur confiant le pilotage de la gestion de ces sites.
Cheffe de file en matière de biodiversité, la Région BFC assure ainsi cette nouvelle responsabilité, avec un budget annuel de 2,5 M€ (dotation de l’État) auxquels s’ajoutent 4,3 M€ de fonds européens (FEADER) jusqu’en 2027.
Quant à l’Etat, il s’appuiera sur le Fonds vert pour accélérer la transition écologique dans les territoires, un dispositif lancé en janvier 2023. Il s’agit de poursuivre, d’amplifier et d’accélérer la transition écologique et de renforcer la résilience des territoires pour s’adapter au changement climatique et lutter contre l’érosion de la biodiversité.
Doté au plan national de deux milliards d’euros, délégués aux préfets de région, le Fonds vert en Bourgogne Franche-Comté dispose d’une enveloppe globale de 72,12 M€ pour 2023. Il finance trois types d’actions : le renforcement de la performance environnementale dans les territoires, leur adaptation au changement climatique et l’amélioration du cadre de vie.
Il permettra en particulier de financer la mise en œuvre de la SNAP en accompagnant à la fois l’émergence et la gestion de ces aires. Sur l’enveloppe globale du fonds vert, 6,8 M€ sont dédiés à la biodiversité régionale
en 2023.
Thierry BRET
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TF1 consacre un reportage au groupe Bernard LOISEAU dans « Sept à Huit » : focus sur le nouvel établissement…
avril 09, 2023C’est un rendez-vous que les épicuriens et esthètes de la gastronomie française ne manqueront sous aucun prétexte. Une immersion de plusieurs minutes au cœur de ce groupe entrepreneurial de renommée universelle, fleuron des arts de la table de la Bourgogne Franche-Comté. TF1 diffuse ce dimanche à 18h20 dans « Sept à Huit » un reportage consacré au groupe Bernard LOISEAU, dont la pérennité est assumée aujourd’hui par ses deux filles, Blanche et Bérangère…
SAULIEU (Côte d’Or) : Entre deux reportages consacrés l’un au souvenir du charismatique leader de « QUEEN », Freddy MERCURY, et la violence urbaine qui se banalise à Marseille, cité endeuillée au quotidien par des assassinats crapuleux sur fond de trafic de stupéfiants, les aficionados de l’émission culte de TF1 (« Sept à Huit ») – présentée par Harry ROSELMACK depuis septembre 2010 -, se plongeront dans l’univers gourmand de l’un des temples de la gastronomie universelle, le groupe Bernard LOISEAU.
L’émission de ce dimanche 09 avril proposera à partir de 18h20 une immersion au sein de la société tenue jadis par Dominique et Bernard LOISEAU, le regretté chef qui nous a quittés il y a maintenant deux décennies dans de tragiques circonstances.
Un reportage qui ne doit rien au hasard, au-delà de l’hommage rendu à ce personnage mythique de la gastronomie hexagonale.
Car, parmi l’actualité du groupe LOISEAU, il y a l’ouverture le 21 avril prochain de « LOISEAU du Temps », un nouvel établissement sis dans la ville chère à Victor HUGO, Besançon.
Après sept mois de travaux, le groupe LOISEAU ouvrira cette nouvelle vitrine culinaire – une formule « bistrot » de chic et de charme situé dans le « Conservatoire » de la ville -, venant étoffer ainsi l’offre déjà existante, comprenant à Saulieu « Le Relais Bernard LOISEAU » avec ses deux hôtels, son spa et ses deux restaurants, à Beaune « LOISEAU des Vignes » et à Dijon « LOISEAU des Ducs ». Un cinquième établissement qui méritait bien un sacré coup de projecteur de la part de TF1, presque à l’heure du dîner…
Thierry BRET
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De la Jordanie au Grand Nord-Est hexagonal : Thierry MARIGNY se connecte à sa nouvelle direction chez Orange
avril 07, 2023Jusqu’au premier avril 2023, il présentait un profil de « globe-trotter » professionnel vantant le savoir-faire de la technologie made in France et de sa filière des télécommunications, le futur patron de la région Grand Nord-Est de la société Orange ! Nommé directeur de zones sectorielles englobant les Hauts-de-France, le Grand-Est et la Bourgogne Franche-Comté, Thierry MARIGNY, à 59 ans, se lance un tout autre défi : celui d’imposer sa griffe et son expérience sur cette partie de l’Hexagone.
DIJON (Côte d’Or) : C’est certain, question climats et températures, le nouveau dirigeant de l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde risque de s’apercevoir du changement !
Lui qui était depuis 2018 l’un des artisans du développement du groupe Orange sur la zone Afrique et Moyen-Orient (Jordanie, Tunisie, Sénégal, Liban…) y perdra au change, du côté de l’ensoleillement. Mais, il y gagne une belle promotion avec ce retour en France, devenant de facto l’un des ambassadeurs territorial de la directrice générale du groupe aux 43,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires, Christine HEYDMANN.
Diplômé de l’IMT Business School, Thierry MARIGNY, natif de la capitale, presque sexagénaire, possède dans sa besace un DESS en télécommunications, agrémenté d’un Master en gestion de l’Université Paris-Dauphine. A 59 ans, et après avoir exercé moult responsabilités au sein du groupe, notamment dans le marketing mobile mais aussi pour le compte de la marque en assurant son développement promotionnel, le nouvel impétrant à la fonction directionnelle Grand Nord-Est voulait relever un challenge supplémentaire.
La modernisation des réseaux : la première des priorités !
En succédant en ce mois d’avril à Ludovic GUILCHER – ce dernier est promu directeur en charge de la mise en œuvre du nouveau modèle d’entreprise porté par Christine HEYDMANN – Thierry MARIGNY hérite d’une équipe efficiente, forte de 8 000 femmes et hommes, ayant pour objectif de maintenir le leadership d’Orange dans les réseaux de télécommunications.
Un beau challenge, d’autant que parmi les projets à venir à brève échéance, on peut identifier la modernisation des réseaux Très Haut Débit sur le fixe avec le déploiement de la fibre optique et sur le mobile, avec la présence de la 5G.
C’est sûr : Thierry MARIGNY, au vu de son emploi du temps très serré, devrait très vite s’accommoder, sans trop s’en préoccuper, des rigueurs du climat continental qui l’attend désormais !
Thierry BRET
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Transport : les trains "Corail" prennent leur retraite à 48 ans, snif, snif, adieu wagons confortables !
avril 06, 2023Au XIXe siècle, lors de l'invention du chemin de fer, une locomotive à vapeur tirait des wagons. Cela constituait un train. Cela perdura longtemps : les locos devinrent diesel ou électriques mais le train demeurait. Désormais, ce binôme mythique de l'histoire du chemin de fer est en train de disparaître. Adieu les locos ! Adieu les wagons suspendus et confortables sur nos lignes de chemin de fer…
BILLET : C'est l'heure désormais des rames automotrices dans lesquelles l'embarquement des passagers est facilité. On pense aux fauteuils roulants et aux poussettes, accessibles au niveau du quai. Le hic ? Le confort y a disparu et nos navetteurs Icaunais vont vite regretter les vaillantes voitures « Corail ».
En 1975, l'apparition des wagons Corail révolutionna le transport des voyageurs à la SNCF. La plupart des voitures y ont un couloir central. Les sièges y sont de couleur orange, « LA » couleur de ces années si florissantes.
Sur le plan de la sécurité, les contrôleurs ferment via une commande hydraulique les portes au moment du départ. Les rames sont sonorisées, ce qui permet de diffuser des annonces. Tout cela est novateur.
L’époque mythique des locomotives est révolue…
Accessibles au 160 km/h, les temps de trajet se réduisent : Paris-Marseille passe de 7h45 à 7h. Ces voitures au siège épais sont fort bien suspendues et l'on y voyage fort confortablement, en pouvant ranger une valise à l'entrée du wagon.
Rien de cela dans les plus modernistes rames « Bombardier » - l'intérieur montre des signes précoces de vieillissement - ou celles de « MOBIGO », siglée par la Région : « Emmène-moi où je veux (sauf grève, panne et autre retard !).
Le confort y a disparu, un peu comme les nappes au restaurant ! C'est une époque révolue ! Dans les rames « MOBIGO » : peu de toilettes et aucun logement dédié aux valises. Question secousse : c’est à l’identique des manèges de la foire ! Effet garanti !
Quant aux rames « Bombardier », il faut faire attention au chauffage surpuissant mais mal réglé, si d'aventure en hiver, on y est assis proche de la brûlante cloison !
Aussi, c'est bien plus qu'une époque du transport ferroviaire qui disparaît avec la fin des wagons et des mythiques locomotives : les « 2D2 », les « CC 7 100 » (championne du monde de vitesse en 1955 à 331 km/h) et surpuissantes « CC 6 500 », star du rail des années 70 !
Au revoir confortables wagons « Corail » : les voyageurs vous regretteront longtemps. Et bonne retraite...à l’âge de 48 ans !
Quai numéro 2, le train rapide « n° 5 049 » va partir. Attention au départ. La SNCF vous souhaite un agréable voyage !
Gauthier PAJONA
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