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Il veut le renforcement des lois républicaines : Daniel GRENON refuse le compromis au collège de St-Georges
avril 04, 2024Il a décidé de mettre les pieds dans le plat, le député de la première circonscription de l’Yonne. En apportant son total soutien au principal du collège Jean Bertin, Olivier CHOLET, chef d’établissement de ce lieu pédagogique, implanté à Saint-Georges-sur-Baulche, au cœur de l’actualité. Elle n’est d’ailleurs pas sans rappeler celle vécue par le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris, selon le porte-voix du RN…
TOUCY : C’est depuis le bureau de sa permanence en terre de Puisaye que le parlementaire à l’estampille bleu marine a décidé de se positionner et de réagir à la suite de l’incident survenu lors des récentes portes ouvertes de l’établissement scolaire de Saint-Georges-sur-Baulche, le 23 mars.
Rappelons les faits qui se sont déroulés la semaine dernière : le directeur du collège Olivier CHOLLET aurait demandé à trois représentantes d’une association auxerroise, « L’Olivier 89 », de quitter l’établissement au cours des portes ouvertes car elles se présentaient à l’entrée vêtues d’un voile.
Connue depuis l’été 2023 par ses activités d’accompagnement à la réussite scolaire et à ses projets de solidarité, l’association intervient auprès des établissements scolaires de l’Auxerrois afin d’y dévoiler ses axes de réflexion auprès des familles.
Le port du voile a visiblement été le facteur déclenchant de la polémique. Si l’une des trois femmes incriminées a bel et bien retiré le tissu au centre des discussions houleuses, il n’en a rien été des deux autres représentantes de la structure associative qui se sont vues interdites l’accès à l’école secondaire. Selon le principe de laïcité, qui doit être privilégié, dixit le rectorat…Toutefois, le directeur académique a exigé que le principal présente ses excuses. Démontrant ainsi une certaine dichotomie au sein de l’Education nationale !
« La République ne doit pas céder à l’entrisme islamiste »
Il n’en fallait pas davantage pour que ce faits divers, sorte de l’anonymat et suscite des réactions de la part des figures politiques locales. A commencer par le député de l’Yonne, Daniel GRENON.
« Il est inacceptable qu'un principal de collège soit condamné par sa hiérarchie pour avoir défendu les valeurs républicaines et éviter un trouble à l’ordre public, écrit le parlementaire dans un communiqué de presse. Il a pris une décision courageuse, pourtant, au lieu de recevoir un soutien de sa hiérarchie, il est maintenant contraint de présenter des excuses, ce qui est totalement inacceptable… ».
Puis, un peu plus loin de rajouter : « La République ne doit jamais céder face à l'entrisme islamiste encouragé par certaines formations politiques islamo-gauchistes et le laxisme politique au pouvoir depuis tant d’années. Il est urgent de prendre des mesures concrètes pour renforcer la loi de 2004 et sanctuariser toutes les enceintes publiques, notamment les écoles… ».
Daniel GRENON enchaîne : « En tant que représentant élu du peuple, j'appelle fermement le directeur académique de l’Yonne à écouter le recteur de l’Académie de Dijon et à retrouver la raison. Par conséquent, il doit surseoir à cette injonction d'excuses envers le principal du Collège Jean Bertin. Nous devons défendre nos principes républicains avec détermination et fermeté, sans compromis… ».
Ni compromis, ni compromission, donc pour le député RN qui réaffirme « son engagement à soutenir les établissements scolaires du territoire dans leur mission d'enseignement et de préservation des valeurs républicaines ».
Et de conclure par la phrase suivante : « Nous devons rester unis dans la défense de notre modèle laïque et démocratique… ».
C’est dit !
Thierry BRET
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L’emploi associatif en milieu rural, source de vitalité pour la vice-présidente de la Région Sarah PERSIL
avril 03, 2024En charge de la Jeunesse, de la Vie associative, de la Citoyenneté et de la Démocratie participative, la vice-présidente de l’exécutif régional, Sarah PERSIL, était en déplacement ce mardi en Puisaye afin d’y remettre un chèque de 7 000 euros, une aide généreuse à la création du mille cinq centième emploi associatif soutenu par la Région Bourgogne Franche-Comté. L’élue de Lons-le-Saunier s’est félicitée de ce qu’elle a pu observer au Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement (CPIE) Yonne et Nièvre…
SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Elle peut se frotter les mains en signe de contentement, la représentante de l’exécutif régional ! Tout ce qu’elle a pu entendre et constater de ses propres yeux sur le site du CPIE (Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement) Yonne et Nièvre, ce mardi après-midi sous un vent frisquet à ne pas mettre une élue dehors, l’a ravie !
« C’est une grande fierté d’avoir pu soutenir une association qui agit en ruralité, ici à Saint-Sauveur-en-Puisaye, confia la vice-présidente Sarah PERSIL, c’est un encouragement à la vitalité de notre région. Les associations effectuent un travail de solidarité et de lien social extrêmement important. Et, là, en plus, on est sur une logique de transition écologique… ».
Du pur bonheur en fait pour cette élue à l’étiquette écologiste, originaire du Jura. Sarah PERSIL avait fait le déplacement depuis Lons-le-Saunier, soit un périple de près de trois heures, pour venir remettre en main propre aux responsables du CPIE Yonne et Nièvre un fac-similé, modèle certes un peu réduit, traduisant un subside, a contrario, plus conséquent que la taille du document : une somme de 7 000 euros.
Un projet qui joue le jeu de la coopération
Au-delà de la somme, rondelette et intéressante à percevoir pour une entité associative, le symbole fort de la journée était de consacrer officiellement le « mille cinq centième emploi » associatif qui bénéficiait ainsi d’une aide financière de la Région BFC. Un job se situant dans l’axe prioritaire de l’élue : la transition écologique, une aubaine, donc !
« Ce qui est important, ajouta l’oratrice, c’est que ce poste nouvellement créé dans le domaine du bocage, trognes et agroforesterie est en lien direct avec le monde des agriculteurs locaux. Mais, aussi avec l’ensemble des partenaires et des collectivités. C’est presque la synthèse de tous les projets que l’on a envie de porter, dira-t-elle avec un réel enthousiasme.
Accompagnée de son homologue et régional de l’étape, Gilles DEMERSSEMAN, Sarah PERSIL prit soin durant plus d’une heure d’écouter toutes les explications, depuis la genèse du projet jusqu’à son aboutissement à date fournies par les responsables associatifs.
« C’est un beau projet qui joue le jeu de la coopération, souligna la vice-présidente de la Région, c’est un modèle de société et de démocratie labellisé national qui est pilote sur l’ensemble des actions entreprises, notamment sur les trognes (arbre taillé périodiquement à même hauteur afin de produire durablement du bois). C’est un beau projet qui est fait ici chez nous et qui rejaillit au niveau national dont on peut être fiers ! ».
Thierry BRET
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« Numéro 13 » : l’univers floral possède son chiffre porte-bonheur malgré la problématique du recrutement
avril 03, 2024C’est à ne rien y comprendre dans cette France qui ne tourne pas toujours bien rond ! Voilà l’exemple parfait d’une belle entreprise, possédant deux boutiques à Auxerre, joliment décorées et abondamment fleuries – c’est normal, la fleur et le végétal sont leur raison d’être professionnelle -, qui peine à recruter de nouveaux collaborateurs/collaboratrices alors que les potentialités de développement existent ! Y compris en s’installant dans les départements limitrophes au nôtre. Une incongruité sans nom qui trouve pourtant son explication…dans l’absence de formation locale.
AUXERRE : Lorsqu’il aborde le sujet de l’emploi et des vocations, on le sent un tantinet désolé, voire courroucé Olivier LECLERC. Pourtant, celui qui aux côtés de son épouse, égaie l’existence de celles et ceux qui convolent en justes noces avec ses sublimes compositions florales, celles et ceux qui célèbrent un anniversaire de mariage ou une fête en les agrémentant des plus beaux végétaux aux couleurs chatoyantes ou celles et ceux qui accompagnent à sa dernière demeure un proche passé vers l’au-delà en fleurissant le cortège funéraire n’est pas d’un naturel pessimiste. Loin s’en faut !
Depuis quinze ans, déjà, ce professionnel de la fleur et du végétal, présentée et commercialisée dans toutes ses variantes et configurations, aime avec passion ce métier, qui lui occasionne tant de plaisirs.
Toutefois, là, sur le registre de l’employabilité de nouveaux collaborateurs – en l’occurrence des collaboratrices car il semblerait que la filière « fleur » soit à l’apanage de la gent féminine en France, à tort bien sûr -, son visage n’affiche plus le même sourire bienveillant que celui de la présentation de la seconde boutique, ouverte il y a maintenant deux ans, le long de l’avenue Charles-de-Gaulle.
Un concept store novateur, auquel il faut rendre visite, ne serait-ce que pour admirer le lieu, nimbé de lumière naturelle et regorgeant d’innombrables plantes et fleurs coupées, séchées, décoratives, stabilisées. Un endroit idéal pour se ressourcer en reprenant attache avec les merveilles créées par Dame nature.
Des boutiques au supplément d’âme évident
« Numéro 13 ». Le bien-nommé. Un chiffre porte-bonheur pour le couple de commerçants/artisans auxerrois qui emploie aujourd’hui huit collaborateurs au sein des deux structures. La boutique en centre-ville, si caractéristique et toujours animée en périodes festives, y compris sur les parvis. Et puis, celle de l’avenue Charles-de-Gaulle, aux quatre cents mètres carrés, judicieusement bien implantée dans un ancien site industriel.
« L’effectif idéal serait de dix personnes pour faire face à la demande croissante de la clientèle, explique Olivier, un brin pragmatique.
Une clientèle qui se décompose en différentes strates : les particuliers, le nerf de la vente, mais aussi les collectivités, les associations et les entreprises. Un melting-pot gagnant ! Rien qu’en 2023, l’enseigne a fleuri avec ses plus beaux atours 123 cérémonies nuptiales ! Qui dit mieux dans le landerneau ?
L’endroit, la seconde boutique qui est devenue le vaisseau amiral de la flottille, se présente comme un véritable parcours végétalisé. Un univers à part où il fait bon flâner, sans se préoccuper de la montre. C’est fou ce que le monde floral et végétal propose comme diversité ! E met du baume au cœur…
Le vide sidéral des formations en floriculture dans l’Yonne
Cela tombe bien, Olivier LECLERC et son épouse, aiment se démarquer. Se distinguer. Une différence assumée, certes, mais toujours dans le respect de la qualité, de la clientèle, de la politique tarifaire pratiquées, aussi. Un supplément d’âme que le couple tente tant bien que mal de transmettre aux jeunes recrues qui toquent à la porte. Des alternants, la plupart du temps, qui suivent le cursus du CAP ou du BP en s’immergeant davantage dans les arcanes de ce fantastique métier. Avec pourquoi pas, le job en guise de précieux sésame au bout du compte.
Sauf qu’il n’est guère facile de trouver, à date, des néo-apprenants qui veulent faire de la fleur et du végétal leur métier.
Un sérieux problème de recrutement qui inquiète les deux managers du magasin.
« C’est logique, explique Olivier LECLERC, les centres de formation proposant les diplômes requis pour notre filière sont implantés à Dijon, Orléans, Nevers, Montereau. Il n’y a rien dans l’Yonne… ».
Une problématique en termes d’emploi qui suppose venir s’installer dans l’Yonne, territoire pourtant d’attractivité dans certaines bouches institutionnelles mais qui ne présente pas toutes les caractéristiques de la diversité en matière d’orientation et de formation, ce qui est préjudiciable à certaines corporations. Il faudra donc revoir la copie !
Pour que le monde de la petite fleur flamboyante et de la belle plante en pamoison se ressaisisse et reprenne espoir dans l’Yonne, et suscite à défaut de réelles vocations des emplois pérennes, il serait peut-être grand temps que les acteurs de l’orientation et de la formation professionnelle se penchent réellement sur la question.
Surtout sur un marché – celui de la fleur coupée notamment – qui est en proie à un véritable dynamisme auprès de consommateurs, férus notamment de produits locaux issus de la floriculture du terroir, moins consommatrice en carbone…
Thierry BRET
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Esthétiquement vôtre ; six jeunes candidates du CIFA 89 décrochent le Graal au concours des MAF 2024
mars 29, 2024De la fierté. Des compliments, aussi. De la part des parents qui encouragent, en toute logique, leur progéniture. Elles et ils, ont réussi leurs examens. En l’occurrence, elles, puisque c’est bien du concours « Un des Meilleurs apprentis de France » catégorie esthétique dont il s’agit. Une épreuve consacrée à la sélection départementale qui s’est disputée dans le saint du saint de l’excellence en matière d’apprentissage, le CIFA de l’Yonne.
AUXERRE ; Ils ont de quoi être fiers les parents des candidats du concours « Un des Meilleurs apprentis de France », de la catégorie esthétique. La sélection départementale de l’épreuve qui se déroulait dans les locaux du CIFA de l’Yonne, le centre interprofessionnel de la formation par l’apprentissage, a tenu toutes ses promesses avec quatre jeunes filles qualifiées pour le concours régional de Bourgogne Franche-Comté sur les six lauréates ayant obtenu une distinction. Précisons que treize prétendantes au sacre se lançaient sur la grille de départ.
Un concours dont les récompenses et les encouragements oraux furent prononcés par le président départemental des MOF, Marc LABARDE, toujours affublé de sa célèbre écharpe rouge, sa griffe vestimentaire qui porte chance aux candidats de l’Yonne visiblement.
Les résultats
Lucie POQUEREAU, institut Citron Vert, médaille d’or
Adèle GUEGAN, institut Yves Rocher, médaille d’or
Capucine BERTRAND, institut Yves Rocher, médaille d’argent
Alicia OUDART, institut Pur Elégance, médaille d’argent
Rachelle SAIB, institut Yves ROCHER, médaille de bronze
Lauren BONGIBAULT, institut Azur Bien Etre, médaille de bronze.
Les quatre premières obtiennent leur billet pour le concours régional.
Thierry BRET
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Première hexagonale chez AFTRAL Auxerre ; formateurs et apprenants vont disputer les « Jeux AFTRALYMPIQUES »
mars 29, 2024Ce n’est pas un centre de formation ordinaire. Ici, sur le vaste site implanté à Appoigny, on y parle de transport routier, de logistique, de marchandises à affréter, de CACES, de matières dangereuses, de manipulation de chariots, etc. De transport de voyageurs, aussi. Mais, avec le retour du mois d’avril, le centre AFTRAL auxerrois va mettre l’accent sur un tout autre sujet, propre à l’actualité sportive ; les Jeux Olympiques. Lors d’une opération bien particulière qui se déclinera le 06 avril prochain, à partir de 09 heures…
APPOIGNY ; Nom de baptême du chantier élaboré depuis plusieurs mois par les responsables du centre de formation transport et logistique de la place, « AFTRALYMPIQUES ». Un jeu de mot non dénué d’humour, faisant référence directe et subtile avec l’actualité sportive qui nous attend cette année en France, les Jeux Olympiques de Paris.
Samedi 06 avril, en matinée, sera donné le coup d’envoi de cette animation spécifique, première du nom et pour cause au vu de la rareté du fameux évènement sportif international. Le centre AFTRAL devrait connaître l’effervescence des grands jours, similaire aux journées où se déroulent les examens.
Toutefois, que l’on ne s’y méprenne pas. Derrière le côté fantaisiste de la chose, réaliser une série d’épreuves théoriques et pratiques sur une journée supposée riche en émotions, se cache un rendez-vous bien tangible, celui-là, qui servira de notation dans le cadre du CAP Conducteur routier en marchandises, un examen.
Formateurs et apprenants seront placés à la même enseigne ; c’est-à-dire qu’ils participeront avec cet état d’esprit de réciprocité et de partage aux épreuves. Une première, en somme, qui dynamise déjà les futurs candidats. Un peu l’application concrète de la célèbre formule que l’on doit au baron Pierre de COUBERTIN, « l’essentiel est de participer… ».
Répartis en équipes de quatre à cinq candidats, élèves, formateurs et tuteurs joueront le jeu. Afin de se surpasser lors des épreuves qui comprendront des quizz, une évacuation en situation d’urgence d’un autocar, un test de connaissance du code de la route, un plateau sur le CACES, des exercices à concevoir avec l’aide des deux simulateurs dont est pourvu le centre de l’Yonne. Au total, six défis qui permettront de départager les meilleurs, on s’en doute mais aussi de donner un maximum de points, bien réels ceux-là, afin d’obtenir le CAP, précieux sésame qui conduit vers l’avenir professionnel.
Précisons, et cela mérite aussi un cocorico pour la prise d’initiatives, que le centre de formation AFTRAL d’Auxerre est le premier à l’échelle de l’Hexagone à proposer une telle manifestation. Un concept qui pourrait être dupliqué sur les autres structures que compte cet acteur de la formation pédagogique en France, soit plus de 135 accueillis aux quatre coins du territoire national.
Si le jeune Guillaume NARCY – il est un des alternants à suivre ce CAP Conducteur routier marchandises en prenant part à cette épreuve originale – se charge de la communication et des relations presse autour de l’évènement, c’est la formatrice de référence du centre icaunais, Sophie THEVENET qui en pilote le déroulé et le contenu.
Des « AFTRALYMPIQUES » qui ne devraient pas manquer de piment lors de cette journée où les familles et les amis sont invités à venir encourager dans un cadre festif les jeunes champions…La flamme est déjà allumée chez AFTRAL Auxerre.
Thierry BRET
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