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L’ADN managérial de Loïc CHEVALLARD a du potentiel : provoquer le déclic des dirigeants pour gérer les conflits
février 23, 2021Les acteurs de l’insertion professionnelle l’intéressent. Tout autant que les managers et autres dirigeants des structures entrepreneuriales des secteurs privés et publics. A la tête de son cabinet de formation, Loïc CHEVALLARD agit en qualité de coach impliqué, s’engageant vers des voies novatrices qui lui permettent de désamorcer des situations complexes, voire inextricables. Sa méthode : provoquer le déclic au niveau des consciences.
CHEMILLY-SUR-YONNE : Les conflits qui éclatent en entreprises ne possèdent plus de secrets pour ce coach de l’Yonne. Il offre en effet l’opportunité aux managers de pouvoir renforcer la cohésion sociale et l’engagement qu’il soit individuel ou collectif dans un contexte très anxiogène.
Celui que les entrepreneurs de l’Hexagone traversent à l’heure actuelle du fait de la pandémie ne manque pas de piquant, convenons-en !
Invité à partager ses retours d’expériences et à prodiguer d’utiles conseils auprès de l’Institut des Dirigeants, un atelier pédagogique initié par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, le responsable d’ADN Potentiel utilise des outils qu’il a su développer au fil du temps. Notamment dans les domaines complémentaires que sont les neurosciences et la psychologie humaine.
D’ailleurs, sa ligne directrice professionnelle n’est autre que cette formule dont il a fait son leitmotiv : « être un déclencheur de déclics pour managers ». Il nous livre en quelques réponses ses réflexions sur son entreprise et ses projets…
Des projets pleins la tête dont la rédaction d’un ouvrage…
Pourquoi avoir nommé votre entreprise, ADN Potentiel ?
A la naissance, nous avons tous une mémoire cellulaire et génétique. C’est-à-dire un potentiel. Nous pouvons l’activer, le faire évoluer dans le temps comme notre ADN, à l’aide de facteurs internes (notre vécu) et externes. Soit l’environnement dont les managers que nous avons eu dans notre vie peuvent jouer un rôle clé s’ils sont inspirants.
Quels sont les services que vous proposez ?
Il s’agit d’apporter une meilleure compréhension des profils des équipes, avec une communication et un management adaptés. Il faut aider l’entrepreneur à identifier le potentiel des candidats, en créant des conditions favorables à leur plein épanouissement. En les fidélisant, on se prémunit de situations potentiellement conflictuelles.
Regardons vers l’avenir. Quels projets allez-vous encouragé en cette année 2021 ?
Dans le cadre du développement de l’activité, j’ai recruté une collaboratrice afin de m’accompagner dans ma stratégie de communication. Cela présage de belles perspectives pour la suite avec la mise en place de nouveaux partenariats. Parallèlement, je prépare avec la complicité d’un co-auteur un livre sur l'entreprise et le management aux côtés d’autres experts et d’universitaires.
Cet ancien manager commercial grands comptes intervenant dans la formation est aussi un passionné par la transmission des savoirs. Les relations humaines et la dimension stratégique au sein des organisations l’interpellent tout autant.
L’idée d’entreprendre lui est donc venue de son entourage professionnel. Des dirigeants, des partenaires l’ont fortement incité à créer sa propre entreprise, au vu de ses interventions qualitatives, ses ateliers et formations assurés en afterwork.
Thierry BRET et Maryline GANDON
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Sens veut renforcer le commerce de proximité : la Banque des Territoires partenaire idoine de cette stratégie…
février 22, 2021Bras armé de la solidarité économique impulsée par l’Etat envers les zones géographiques de l’Hexagone désireuses de gagner en attractivité, la Banque des Territoires va s’investir davantage sur le Sénonais. L’organisme, marque à part entière de la Caisse des Dépôts, paraphera ce mardi 23 février une convention de partenariat avec l’édile de la Ville de Sens. Un document profitable au développement du commerce de proximité…
SENS : C’est en présence du directeur général de la Caisse des Dépôts Eric LOMBARD que la présidente de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais Marie-Louise FORT apposera en début de matinée de ce mardi 23 février sa griffe au bas du document signé avec la Banque des Territoires de Bourgogne Franche-Comté.
Organisme qui décline un ensemble de solutions d’accompagnement et de financement au service des projets initiés par les collectivités, la Banque des Territoires fait figure depuis sa création en mai 2018 de maillon pertinent de la dynamique économique en termes de cohésion des territoires.
La marque de la Caisse des Dépôts a eu depuis moult opportunités de se distinguer sur le terrain, compte tenu du contexte sanitaire qui prévaut dans l’Hexagone depuis plusieurs mois.
A l’origine de sa création, Eric LOMBARD avait d’ailleurs précisé que « la Banque des Territoires était née de la volonté d’apporter encore plus aux territoires de la République et de répondre à leurs nombreux besoins ».
Bref, l’organisme incarne le nouveau visage de la Caisse des Dépôts, celui d’une caisse de l’égalité des territoires…
Concrètement, il sera question de l’essor du commerce de proximité et de son animation à travers les lignes rédigées dans cette convention. Le texte sera également adoubé par le sous-préfet de l’arrondissement de Sens, Rachid KACI et Antoine BREHARD, directeur régional de la Banque des Territoires en Bourgogne Franche-Comté.
En filigrane, l’organisme régional apporte son soutien financier à la Ville de Sens qui lui aura permis de créer au premier janvier un poste de manager de commerce. Un pôle économique capital pour le développement de l’attractivité territoriale.
Thierry BRET
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La bascule du tout électrique prévue en 2025 : JAGUAR s’adosse à la politique neutralité carbone des Britanniques
février 20, 2021La feuille de route du constructeur haut de gamme a été dévoilée cette semaine par le nouveau PDG Thierry BOLLORE. Le schéma est simple : il se calque à la volonté du gouvernement britannique de ne plus commercialiser de véhicules à essence d’ici 2030. Pour y parvenir, la marque au célèbre félin injectera chaque année 3,5 milliards de dollars dans l’électrification de ses modèles, ceux de JAGUAR et à moindre mesure de LAND ROVER…
PARIS : Le budget est colossal au niveau des investissements. Mais, le challenge in fine s’avère très important à relever pour le constructeur du Royaume-Uni. D’autant que le gouvernement a bien fait savoir qu’il n’autoriserait plus la moindre vente de véhicules à essence dans le pays d’ici le terme de cette décennie.
Fort de cela, le groupe JAGUAR LAND ROVER a donc revu sa copie en matière de stratégie pour répondre à ces futurs enjeux environnementaux.
Les cinq prochaines années apparaissent comme déterminantes pour l’enseigne haut de gamme européenne, propriété de TATA Motors Ltd, l’un des géants automobile de l’Inde.
Toutefois, l’abandon définitif des motorisations traditionnelles ne se fera pas sans une phase de restructuration. Y compris au niveau humain avec certainement des conséquences sur les emplois. Même s’il a été précisé par voie de presse que pas une seule usine ne fermera avec le changement de cap voulu en faveur de l’électrique.
L’objectif sera au terme de cette aventure technologique d’atteindre la neutralité carbone en 2039.
Thierry BRET
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L’espoir et l’inquiétude se chevauchent chez les étudiants : se sentir utile auprès d'autrui, seul besoin de l’instant…
février 20, 2021En cette période de crise sanitaire imputable à la COVID-19, la jeunesse se sent oubliée. Un sentiment de solitude qui pousse certains à trouver un nouveau sens à leur vie. En faisant preuve d’altruisme et en allant aider les autres. Cette génération sacrifiée tente de faire face à cette conjoncture en ne prévoyant rien de concret malgré un avenir incertain bien présent devant eux...
TRIBUNE : L’engagement des jeunes auprès des associations s’est considérablement accru depuis le début de la crise. La réserve civique voulue par le gouvernement français a été mis en place via le site Internet www.jeveuxaider.gouv.fr Grâce à lui, les jeunes s’engagent dans le bénévolat pour aider les autres citoyens durant cette crise sanitaire sans précédent.
On compte à ce jour plus de 330 000 bénévoles. En s’investissant dans cette voie, ces jeunes gens vont, par exemple, distribuer des repas et des produits de première nécessité aux personnes les plus démunies vivant dans la rue ou dans des établissements d’accueil.
Ils ont également la possibilité de venir en aide aux personnes âgées, à celles en situation de handicap ou de pauvreté tout en entretenant un lien social avec celles-ci.
Avec la fermeture des écoles ou la perte d’un travail pour les parents, certains enfants éprouvent de sérieuses difficultés à suivre leurs cours à distance. Une école qui n’est pas assez à l’écoute des difficultés de l’enfant avec son lot de professeurs absents. Pour y remédier, les bénévoles se proposent alors pour apporter un soutien scolaire à ces enfants.
L’UNESCO a mis en place la campagne « Mon Histoire COVID-19 » pour mettre en lumière la manière dont la jeune génération a créé de nouvelles idées pour faire face à ces temps difficiles.
Certains prennent soin des personnes âgées en faisant leurs courses alimentaires. D’autres améliorent la qualité de vie des « LGBTQAI+ ». D’autres encore se mobilisent pour réunir de la nourriture et aider les secteurs les plus touchés. Le besoin, aujourd’hui, est surtout de se sentir utile…
Un nouveau sens à leur vie mais que se passe-t-il après ?
Cette crise de la COVID-19 engendre beaucoup de stress au quotidien lorsque cette génération oubliée se projette vers l’avenir.
Ce sentiment est présent au quotidien. Que va-t-il se passer après ? Ces étudiants obtiendront-ils leur un diplôme ? Peuvent-ils envisager de trouver du travail ?
Des manifestations se multiplient. A partir de témoignages, d’appels à l’aide, de hashtags tel que la référence « #etudiantsfantomes » qui attestent de ce besoin grandissant de se faire entendre.
Il est devenu très difficile pour ces étudiants de rester positif dans cette période délicate lorsque les cours sont proposés pour la plupart à distance.
Les inquiétudes concernant l’après ne sont pas les moindres. Des diplômes obtenus, certes, mais une offre sur le marché du travail qui est en baisse dans bon nombre de secteurs économiques.
Des concours s’annulent. Conséquence : les étudiants sont non préparés à la poursuite de leurs études alors que le nombre de places disponibles dans les écoles lui est minime.
« Pour ce qui est de l’emploi, je sens une grande précarité arriver. Je me focalise sur le présent avec mes études parce que mon avenir dans le monde du travail est flou et pas rassurant… nous livre en guise de commentaire Kody DOUANGSITHY, étudiant en troisième année d’Information et Communication à l’Université Lumière de Lyon 2.
On est loin, très loin de l’avenir radieux promis à la jeunesse de notre Hexagone…
Jordane DESCHAMPS
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Elle a fait preuve de sagesse et croit en la longévité de ses entreprises : la FRTP ne pense qu’à la relance économique
février 17, 2021Le moment revêtira sans aucun doute d’une grande solennité. Enfin, une prise de parole en présentiel afin de brosser les grandes lignes stratégiques d’une relance économique que tout le monde espère avec impatience sur nos territoires. Les travaux publics en Bourgogne Franche-Comté souhaitent annoncer la couleur pour 2021. Celle de la verte espérance, synonyme de reprise des activités et de carnets de commandes abondamment garnis ? On ne peut que le souhaiter pour une filière dans les starting-blocks !
DIJON (Côte d’Or) : Ce n’est peut-être pas le fait du hasard. Mais, choisir le jour de la Saint Nestor pour organiser la première grande conférence de presse de l’année permettant à la filière des travaux publics et à tout un aéropage de personnalités du sérail économique de pouvoir s’exprimer sur la relance ne manque pas d’interpeller les observateurs que nous sommes à plus d’un titre.
Certes, aux antipodes de la fête qui honore le saint du jour, à l’existence obscure qui le conduisit sur une croix et au supplice de la crucifixion au IIIème siècle de notre ère, intéressons-nous plutôt aux valeurs symboliques de ce prénom aujourd’hui totalement désuet qui magnifie pourtant l’esprit de la sagesse et de la longévité.
De la sagesse et de la longévité : ne serait-ce point-là l’essence même de ces décideurs de la vie entrepreneuriale qui auront l’opportunité de s’exprimer lors de ce rendez-vous, porteur d’espérance ?
De la sagesse, il en aura fallu une sacrée dose pour que ces chefs d’entreprise de ce secteur clé de notre économie ne sombrent pas dans le marasme ambiant quotidien.
Pour assurer la longévité de leur outil de travail, ils n’ont eu de cesse durant des mois de multiplier les efforts afin de préserver l’emploi malgré une baisse d’activité tutoyant les 25 % de pertes. Et des carnets de commande dont les contenus se sont étiolés comme la neige fondant au soleil au fil des mois de cette maudite année 2020.
Les entreprises des TP sauront répondre à la relance économique…
De la sagesse, il en aura été aussi question lors de l’annonce du fameux plan de relance gouvernemental dévoilé par le Premier ministre pour que les entrepreneurs lèvent le voile de la sinistrose qui les enveloppait pour regarder enfin devant soi.
Néanmoins, les choses ne vont pas aussi vite qu’il le faudrait. Mais, le président de la Fédération régionale des Travaux Publics Vincent MARTIN n’a jamais changé d’un iota son message à destination de ses adhérents, de ses partenaires institutionnels ou des collectivités.
Pour lui, c’est clair : la relance ne peut s’envisager que par les territoires et les entreprises de travaux publics de notre contrée sauront y répondre en participant activement.
L’exercice oratoire auquel il nous convie, ce fameux vendredi 26 février jour de célébration des Nestor, lui donnera l’opportunité ainsi qu’aux représentants des plusieurs organisations professionnelles (MEDEF, FFB, CPME, CAPEB, UNICEM, FNTR, Chambre des métiers et de l’artisanat) d’esquisser les perspectives de la relance telle qu’elle pourrait se concevoir au fil de ces prochaines semaines.
Souhaitons que les informations qui y seront délivrées soient suffisamment encourageantes et ambitieuses sans être départies de cette sagesse et de cet esprit de longévité allant de pair avec ce retour en grâce des travaux publics et de l’économie…
Thierry BRET
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