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Le préfet Patrice LATRON poursuit son combat sans merci contre les dangers de la route…
février 26, 2019Géré par l’association ACOR, dont le président n’est autre que le fils du fondateur et le frère d’une victime de la route, le foyer Philippe GUILLEMANT s’est spécialisé dans l’accueil des personnes cérébro-lesées. Dont bon nombre d’accidentés de la route. Créée en 1996, la structure figure aujourd’hui parmi les premiers centres opérationnels de ce type en France. Elle a pour vocation de faciliter la réadaptation de personnes victimes d’un traumatisme crânien…
LIXY : Evoquer le destin tragique de ces vies brisées à la suite d’un accident de la route s’inscrit parmi les objectifs prioritaires du préfet Patrice LATRON. Le représentant de l’Etat visitera ce centre de rééducation le 05 mars prochain en compagnie du délégué à la Sécurité routière, Emmanuel BARBE.
Lors de cette immersion, le préfet de l’Yonne aura l’opportunité de pouvoir échanger avec les résidents de ce foyer. Les familles des victimes mais aussi le personnel de l’établissement seront invités à prendre part à cette concertation où se retrouveront les forces de l’ordre et de secours. Ces femmes et ces hommes qui assurent avec dextérité la prise en charge des accidentés sur les lieux de ces sinistres.
Une table ronde articulée autour du thème, « Regards croisés sur les conséquences des accidents de la route », ponctuera cette visite préfectorale.
Rappelons que dans l’Yonne, 131 personnes ont été gravement blessées par un accident de la route en 2018. Dans 81 % des accidents, le comportement des conducteurs est en cause. S’il conduit dans certains cas à la mort, il peut entraîner, dans d’autres cas, des traumatismes physiques et psychiques graves et irréversibles.
La réalisation d’un spot en partenariat avec le lycée de Sens…
Côté communication, la préfecture de l’Yonne entend poursuivre sa mission de sensibilisation à très large échelle sur le département. Un court-métrage, incluant de nombreux témoignages de personnes impliquées dans un accident de la route, sera réalisé d’ici quelques semaines. Désireux de mobiliser la jeunesse, le préfet souhaite que ce spot soit conçu en étroite osmose avec le lycée de Sens et sa section cinématographique. Le film sera ensuite largement diffusé auprès du plus grand nombre afin de rappeler les méfaits et les pièges de la route. D’ores et déjà, les résidents du foyer de Lixy mais également les familles et les forces de l’ordre et de secours sont conviés à y prendre part afin de nourrir ces images de témoignages véridiques et puissants.
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Rassemblement contre l’antisémitisme : Isabelle FROMENT-MEURICE (LR), la honte doit changer de camp…
février 21, 2019A titre personnel comme au plan politique où elle représentait le député Guillaume LARRIVE, lui-même mobilisé Place de la République à Paris, la vice-présidente du Conseil départemental de l’Yonne et élue de Puisaye-Forterre ne pouvait se soustraire à ce rassemblement citoyen, mobilisateur à Auxerre. Avocate de formation, Isabelle FROMENT-MEURICE qui avait déjà pris fait et cause dans la lutte contre les violences faites aux femmes souhaite que les réseaux sociaux soient davantage encadrés. Sans tomber dans les travers de la censure. Et surtout, que nos concitoyens ne cèdent pas à la peur…
AUXERRE : Prendre part à cet appel à l’union contre l’antisémitisme et les actes discriminatoires représentait beaucoup pour vous en votre qualité d’élue ?
C’était tout bonnement indispensable à mes yeux ! Le président dans l’Yonne de notre mouvement, le député Guillaume LARRIVE était lui, Place de la République à Paris : il m’appartenait donc, en qualité de secrétaire départementale Les Républicains, de représenter notre formation politique. J’y serai allée de toutes façons, car je condamne ces actes antisémites et discriminatoires qui portent atteinte à la République dont nous sommes, nous, les élus, les représentants au sein de nos collectivités respectives.
Et sur le plan personnel ?
Une évidence ! Petite-fille de compagnon de la Libération, avec de surcroît une mère qui a été collaboratrice de Simone VEIL pendant des années au Ministère de la Santé, et justement parce que élue, il est de mon devoir d’assumer mes opinions. Je ne pouvais envisager de rester les bras croisés, sans exprimer publiquement mon indignation et mon soutien à toutes les victimes de ces actes.
Comment analysez-vous cette poussée de violence et de xénophobie qui se banalise depuis plusieurs semaines dans l’hexagone ?
Le sentiment de délaissement d’une partie de la population. Celle qui peuple la France rurale, loin des métropoles et de leur rythme tourbillonnant. Celle victime de la « fracture territoriale » ou rurale comme l’appelle et l’analyse très justement le géographe Christophe GUILLY, s’est exprimé avec les « Gilets jaunes ». Du moins dans l’essence de ce mouvement, avant qu’il ne soit peu à peu dévoyé par ce que j’appelle les « anti-tout » : anti-élite, anti-élus, anti-journalistes, anti-taxes, qui tapent sur tout ce qui dépasse, tout ce qui réussit et qui attribuent la difficulté du quotidien aux complots mondiaux libéraux et antisociaux…Bref, la vanne s’est ouverte. Et avec elle, toutes sortes de débordements, que certains utilisent, sciemment, pour semer ce climat de violence et de xénophobie.
Légiférer davantage est une chose sur laquelle le Gouvernement souhaite s’atteler plus implicitement ces jours-ci ; en votre qualité de juriste, quelles seraient les parades idéales, selon vous, pour réduire ces intentions malveillantes à l’égard des populations victimes de ces actes odieux ?
L’arsenal législatif est principalement celui mis en place dans le cadre du code pénal et de la loi sur la presse. Cet arsenal permet déjà de poursuivre les auteurs d’incitation à la haine raciale, de harcèlement, d’atteintes au respect dû aux morts (pour la profanation des tombes du cimetière juif de Quatzheinem par exemple), ceux qui enregistrent filment et diffusent des images de violence etc… Mais, cet arsenal ne s’est pas encore adapté aux nouveaux moyens employés par ces auteurs, notamment dès lors que tout cela se fait par les réseaux sociaux… Il faut absolument encadrer la responsabilité des hébergeurs de ces réseaux sociaux, ce qui est un exercice délicat car il ne faut pas non plus tomber dans les travers de la censure…
Adapter l’arsenal législatif est donc une nécessité. Mais, il est également indispensable que les victimes de ces actes portent plainte. Or par essence, les « minorités silencieuses », surtout quand elles portent encore dans leurs chairs les stigmates du passé, souhaitent avant tout se fondre dans la majorité, et ne pas attirer l’attention sur elles. Et le plus souvent, elles se cachent, honteuses alors que ce sont les auteurs de ces actes qui devraient être honteux.
On a connu la même chose avec les femmes battues, harcelées, violées. Depuis l’affaire WEINSTEIN et le #denoncetonporc, elles sont sorties de l’ombre et ont porté plainte. Je souhaite qu’il en soit de même pour les victimes d’actes d’antisémitisme et plus généralement des victimes d’actes d’incitation à la haine raciale : qu’elles soient encouragées à porter plainte systématiquement, qu’elles soient entendues, écoutées par les forces de police et de gendarmerie quand elles auront le courage de porter plainte, et que, du coup, la justice se saisisse et poursuive les auteurs systématiquement. La honte doit changer de camp !
La France Insoumise et le Rassemblement national n’ont pas été invités de manière officielle par le Parti socialiste, à l’initiative de ce grand rassemblement national, à manifester sa désapprobation contre l’antisémitisme. Est-ce franchement républicain dans l’esprit ?
Rien ne les empêchait de se joindre à ce Rassemblement national, la place était ouverte à tous, personne n’a, que je sache, montré la carte de son parti pour entrer ?
Vous êtes une élue de Puisaye-Forterre. Avez-vous eu vent de phénomènes antisémites sur cette contrée icaunaise ? Craignez-vous des effets boule de neige dans l’Yonne devant l’amplification de ces actes, savamment relayés par les médias ?
Je n’ai pas eu vent d’un acte de ce type en Puisaye. Mais, la Puisaye n’abrite à ma connaissance ni cimetière juif, ni synagogue… En revanche, un maire s’est fait très violement attaquer, parce qu’il représentait l’autorité, la République, (le maire de Saint-Privé, Jean-François BOISARD), et à l’heure des réseaux sociaux, personne n’est à l’abri.
Vous développez des permanences qui favorisent les échanges et la concertation dans plusieurs localités de Puisaye-Forterre. Prendre le temps de rencontrer les citoyens est-il le moyen de renouer les liens avec la population et de résoudre les problématiques de la société ?
Je n’ai pas la prétention à moi toute seule de résoudre les problématiques de la société ! (rires). J’ai juste constaté que quand on était conseiller départemental de cantons qui sont maintenant assez étendus (24 communes en ce qui me concerne), il était difficile de rester un élu de proximité en recevant les personnes qui le souhaitent dans un bureau anonyme du Conseil départemental à quarante, voire cinquante kilomètres de là. Donc, j’ai souhaité rester à l’écoute, et si possible apporter quelques solutions en ouvrant une permanence à Toucy. Mais, également en en tenant une à Saint-Fargeau et une à Bléneau… Cela me permet de rester à l’écoute, et d’essayer, très modestement, d’apporter des solutions.
Est-ce que la France de 2019 vous fait peur en l’état actuel des choses ?
Avoir peur, c’est déjà se placer dans un état de résignation, et je ne crois pas que cela soit dans mon caractère. Prendre conscience de l’état de la France, écouter, comprendre et travailler chaque jour à essayer d’apporter des solutions, tel est mon état d’esprit...
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Le premier-adjoint Guy PARIS participera au Grand Débat organisé par la Ville d’Auxerre
février 19, 2019La Maison de quartier de Sainte-Geneviève sera le théâtre du futur Grand Débat que la Ville souhaite concocter le lundi 07 mars prochain. Le bras droit de Guy FEREZ y a confirmé sa présence afin de recueillir les précieux témoignages devant être relevés dans le cadre de cet exercice de communication participatif…
AUXERRE : La date et le lieu ont été arrêtés et communiqués par la direction de la communication de la Ville. A partir de 19 heures, le lundi 07 mars, la Maison de quartier changera sa raison d’être initiale, associative et culturelle, pour y accueillir un exercice que ne devraient pas bouder les habitants de la capitale de l’Yonne.
Dans le cadre du Grand Débat national, la Ville d’Auxerre a décidé de se prêter au jeu de cet acte citoyen, proposant une rencontre informative autour des quatre grandes thématiques retenues par la présidence de la République.
Ainsi, les Auxerrois auront tout le loisir d’analyser et de soumettre leurs préconisations sur la transition écologique, la fiscalité, la démocratie et la citoyenneté, sans omettre l’organisation des services publics.
Mais, la Ville qui est ouverte à la concertation et au dialogue dans cette opération, ne souhaite pas fermer la porte à d’autres sujets qui peuvent donner lieu à échanges.
Si les débats seront animés par l’ancien rédacteur en chef de l’Yonne Républicaine, Gérard DELORME, qui excelle d’ordinaire dans ce travail consensuel de Monsieur Loyal, on notera également la présence remarquée du premier-adjoint, Guy PARIS. Le relevé de conclusion sera assuré par la Ville d'Auxerre.
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JCE Auxerre : la reconnaissance de l’être humain grâce à la valorisation de la société…
février 19, 2019Solidarité, civisme et tolérance. Trois mots clés dans la sémantique usuelle employée par les membres de la Jeune chambre économique. A l’instar des cent vingt structures qui fédèrent plus de deux mille adhérents dans l’hexagone, celle de la capitale icaunaise ne déroge pas à la règle. Depuis sa fondation en 1965, l’entité associative fourmille d’idées bénéfiques à la société et à son environnement. Porteuse de projets dont elle lance les fondamentaux avant de passer le témoin à d’autres organismes, la JCE Auxerre occupera cette année encore un terrain propice à l’essor de son inventivité. Avec à sa tête, un nouveau président, Adrien BAILLY, désireux de contribuer à l’avènement d’un monde meilleur…
AUXERRE : Ecole pragmatique de l’apprentissage citoyen et de la prise des responsabilités, la JCE devrait s’inscrire parmi les étapes obligatoires de l’existence dans le cursus des jeunes générations, prêtes à en découdre avec les enjeux économiques et sociétaux de demain.
Oui mais, voilà, malgré tout le bien-fondé que l’on peut octroyer à juste titre à ce mouvement associatif dont les primes racines nous viennent des Etats-Unis, comme une foultitude de structures équivalentes, aucun texte législatif ne vient imposer cette orientation ô combien épanouissante pour ses représentants.
Reste donc la cooptation et une irrésistible envie de faire bouger les lignes de la société qui nous entoure pour pouvoir prétendre, tôt ou tard, y jouer un rôle significatif avant l’âge fatidique de quarante ans. Un couperet immuable qui met un terme définitif à cette belle aventure humaniste, à moins, pour certaines et certains d’entre eux, d’y jouer les prolongations en qualité de sénateurs et membres ad vitam aeternam.
Un mouvement à la déontologie positive et humaniste…
La quarantaine, Adrien BAILLY, s’en soucie comme de sa première chemise. Le jeune homme qui vient d’être porté au pinacle de la motivation en accédant à la présidence va pouvoir dérouler sereinement le copieux programme dont il a hérité. Un legs de son ami et prédécesseur, Edouard LEPESME, qui dirigeait jusque-là l’antenne auxerroise. Douze mois de mandat : c’est à la fois fort peu et très long à l’échelle du temps.
Insigne de représentant suprême de la structure au revers de la veste, Adrien BAILLY prononça le serment officiel avec quelques zestes d’émotion au fond de la gorge. Pas facile, jeune homme, d’endosser une telle responsabilité !
Car, la JCE n’est pas un organisme ordinaire. Il se mérite, se décline en une kyrielle de projets et d’évènements, et se gère de manière collective et par la représentativité de chacun au sein de commissions.
Puissant réseau à l’échelle planétaire (112 pays accueillent à l’heure actuelle le mouvement de ces jeunes gens apolitiques et respectueux des différences d’autrui), la Jeune chambre économique est profondément vertueuse. Reconnue d’utilité publique, la structure ne répond qu’à un seul et unique objectif : servir l’intérêt général.
Etre le réseau incubateur des leaders citoyens d’aujourd’hui et de demain…
On l’aura compris, le terrain de jeu de ces bénévoles au grand cœur et à l’altruisme sociétal affirmé est vaste. Tant au niveau de l’aménagement du territoire que de celui de l’environnement. Mais aussi, en matière de développement économique salvateur à l’humain, notamment en favorisant les projets et concepts qui mettent en exergue la pratique de l’économie circulaire, la sauvegarde de la nature, la valorisation d’un modèle social novateur où l’homme ne serait plus livré aux miasmes de systèmes hégémoniques contraires à son éthique.
Récemment, une journée de formation réunissant une cinquantaine de personnes dont le délégué territorial administrateur national a été organisée à Auxerre. Ouverte aux membres du bureau, dont le nouvel organigramme de la JCE locale, elle aura été très fructueuse en permettant à ses hôtes de s’immiscer au cœur de l’univers JCE.
Et surtout de réaffirmer à chacun l’identité propre à ce mouvement universel : être un incubateur de leaders citoyens d’aujourd’hui et de demain. Plus que le credo officiel, énoncé de manière cérémoniale à chaque rencontre, il s’agit d’un vrai sacerdoce dont personne ne peut plus ignorer la symbolique…
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Les infractions aux stupéfiants supplantent les fautes commises sous l’emprise de l’alcool sur nos routes…
février 16, 2019La mobilisation du mouvement revendicatif, identifié par les « Gilets jaunes », aura eu, au-delà de l’aspect économique, une toute autre conséquence importante dans notre paysage. Depuis la mi-novembre, les forces de l’ordre ont concentré leurs activités aux abords des ronds-points et des défilés contestataires, délaissant quelque peu leurs missions habituelles au niveau de la sécurité routière. Les dégradations répétitives observées sur les radars fixes faussent également le bilan des infractions, relevées par les forces de l’ordre en 2018. Une chose est sûre, si l’alcoolémie régresse de manière relative, les infractions dues à la prise de stupéfiants s’envolent…
AUXERRE : Les mauvais résultats des chiffres de la sécurité routière (lire article correspondant) enregistrés en 2018 auront pour conséquence évidente de renforcer le nombre de contrôles au cours de ces prochains mois. Même si le nombre de suspensions de permis a connu une baisse appréciable. Il est passé de 1 924 en 2017 à 1 777 en 2018, soit un recul de - 7,64 %.
Interrogés par le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, le colonel Renald BOISMOREAU, commandant le groupement de gendarmerie de l’Yonne et le commissaire Thomas BOUDAULT, directeur de la sécurité publique du département, ont eu tout le loisir de brosser, statistiques à l’appui, un bilan précis de l’exercice écoulé.
Les effets nocifs du cannabis au volant…
Deux facteurs à risque inquiètent plus particulièrement les représentants des forces de l’ordre. La vitesse excessive sur les routes de notre territoire qui demeurent des causes aggravantes en cas d’accident.
Le nombre de suspension de permis pour excès de vitesse, hors radars fixes, a ainsi augmenté de 1,65 % ces douze derniers mois.
Mais, le sujet de préoccupation qui perturbe les esprits des forces de l’ordre se situe ailleurs. Du côté de la consommation effrénée de stupéfiants (principalement le cannabis), qui associée à d’autres produits euphorisants comme l’alcool, engendre des effets catastrophiques derrière le volant.
Le nombre de contrôles a connu une forte hausse. De 13 %, qui se traduit comptablement par les chiffres suivants : 3 328 cas relevés en 2018 a contrario des 2 937 cas, l’année précédente.
Des radars fixes toujours aussi efficaces…
Paradoxalement, le nombre de suspensions de permis pour ce motif a lui fortement baissé ; soit de moins 31,5 %. Sans doute que les consommateurs de ces substances illicites prennent davantage de précautions en évitant les déplacements sur les routes.
Une note satisfaisante dans cet état des lieux contrasté : les infractions relatives à l’alcoolémie ont chuté de manière quasi imperceptible, à peine 1 % (0,9 %). Il en va de même des contrôles occasionnés sur les routes en matière de dépistage d’alcool dans le sang. La baisse s’élève à 2 %.
Quant aux radars, ils continuent à flasher à tout va ! Les fixes ont pris en flagrant délit 69 510 automobilistes en 2018 contre 65 289 l’année d’avant. Toutefois, les radars embarqués connaissent une forte diminution de leurs activités, avec 29 614 infractions relevées, soit une dégringolade de 35,3 % par rapport à 2017.
Enfin, depuis la mise en place de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau des routes françaises, les résultats sont plutôt rassurants. Avec la baisse des infractions observée un peu partout dans l’Hexagone.
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