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On l’imagine aisément : ce n’est pas de gaîté de cœur que le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD a dû prendre la décision. L’hypothèse d’adapter la populaire manifestation estivale à vocation familiale aura donc fait long feu : au regard des incertitudes qui planent sur le contexte sanitaire. Yonne Tour Sport est retirée du calendrier 2021. Tristesse et consternation…
AUXERRE : L’histoire semble se répéter avec la même désespérance pour l’animation estivale portée par le Département. Comme la saison dernière, preuve que les choses n’évoluent pas aussi vite que l’on voudrait le croire dans l’éradication de l’épidémie du coronavirus, Yonne Tour Sport disparaît des écrans radars de la programmation estivale.
Rendez-vous festif attendu chaque mois de juillet et d’août par des centaines d’enfants, l’évènement offre la possibilité à des gamins âgés de 6 à 16 ans de pratiquer gratuitement des activités sportives originales sur de nombreuses communes de notre territoire.
Ces jeunes gens devront tirer un trait définitif sur cette manifestation opportune qui leur procure des instants d’émotion et les joies de la camaraderie.
L’explication fournie par Patrick GENDRAUD est, on ne peut plus limpide : « Le Département, en sa qualité d’acteur public, doit prendre les mesures nécessaires pour limiter la progression du virus et protéger les populations les plus fragiles… ».
La décision de suspendre et de reporter Yonne Tour Sport s’inscrivait naturellement dans la logique des choses compte tenu des ultimes développements sanitaires…
Thierry BRET
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« Restau’Art » débute ce 01er avril à Joigny : quand les artistes font recette au profit d’une cause solidaire…
mars 31, 2021L’action se peaufine depuis plusieurs semaines. Elle sera officialisée ce jeudi 01er avril par l’adjointe au maire, déléguée à la Culture et à l’Evènementiel Murielle LE ROY. Les artistes du cru (peintres, photographes, plasticiens…), référencés comme professionnels, investiront les salles de restaurant. Pour y honorer une cause juste et noble : la solidarité !
JOIGNY : L’idée repose sur un soutien intellectuel réciproque. Elle concerne deux corporations, durement frappées par les résultantes néfastes de la circulation de la COVID-19, synonymes de multiples fermetures.
Les artistes s’invitent donc chez les restaurateurs en ce premier avril à Joigny. Et, ceci n’est pas un poisson !
S’inspirant d’une opération menée avec brio à Strasbourg (« PROMEN’ART ») depuis quelques semaines, l’initiative portée par la Ville de Joigny est une contribution visuelle au soutien des restaurateurs et des artistes plasticiens du cru qui ne peuvent plus exprimer leurs talents en ces périodes de confinements successifs.
Le principe se veut simple. Baptisée « Restau’Art », l’animation se traduit par la présence d’une ou de plusieurs œuvres des artistes professionnels du terroir dans les locaux des restaurants qui en acceptent l’accueil et qui proposent à l’heure actuelle de la vente à emporter.
Un bonheur ne venant jamais seul, la clientèle fréquentant ces établissements peuvent ainsi découvrir ces œuvres tout en ayant la possibilité de les acquérir. Soit directement auprès du restaurateur, soit en contactant l’artiste.
Chaque binôme détermine les modalités de vente desdites pièces. Sachant que les artistes ont accepté de verser 20 % du montant de la transaction au restaurateur faisant office de galerie d’art. Un concept altruiste qui se veut gagnant/gagnant !
L’opération devrait s’étaler dans un premier temps sur ce second trimestre, jusqu’au terme du mois de juin.
Thierry BRET
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L’EPNAK les organise : les Journées de sensibilisation à l’autisme prennent une dimension nationale…
mars 30, 2021Programmé la saison dernière à pareille époque, l’évènement ne put se dérouler pour cause de pandémie. De guerre lasse, les organisateurs annulèrent ce rendez-vous, le reportant en 2021. Il nous revient sous une forme 100 % digitalisée les 01er et 02 avril. Cerise sur le gâteau : la déléguée interministérielle en charge de ce thème Claire COMPAGNON en fera l’ouverture officielle…
AUXERRE: C’est une certitude garantie à 100 % ! Claire COMPAGNON, déléguée interministérielle chargée de la mise en œuvre de la stratégie nationale autisme au sein des troubles du neuro-développement, ouvrira l’évènement numérisé, concocté les 01er et 02 avril par l’EPNAK et ses partenaires !
Le bras droit de la secrétaire d’Etat en charge des personnes handicapées Sophie CLUZEL a fait savoir via sa responsable de communication par des échanges de mails qu’elle ouvrirait la manifestation ce jeudi 01er avril en milieu de matinée par une brève allocution.
Ne pouvant être présente physiquement à Auxerre pour les raisons sanitaires que l’on connaît, la représentante de l’Etat a enregistré au préalable un discours retransmis ensuite aux suiveurs de cette manifestation sur Zoom.
L’information a été confirmée ce lundi en fin d’après-midi par le directeur général de l’EPNAK (Etablissement Public National Antoine KOENIGSWARTER) Emmanuel RONOT.
La présence de la responsable numéro un du dossier « autisme » en France confère un crédit supplémentaire à cet évènementiel qui accueillera de nombreux spécialistes de la pathologie et de sa prise en charge durant ces deux journées.
Destinées aux professionnels du secteur de la petite enfance, ces Journées de sensibilisation verront la participation de plusieurs partenaires : le Département, la Ville d’Auxerre, la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) mais aussi un club service, le KIWANIS Club Auxerre, présidé par Jean-François FINANCE qui a succédé à Claude GUILLEMOT.
Thierry BRET
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Le dispositif est-il vraiment vertueux ? Deux jeunes signent une convention dans le cadre du plan « 1 jeune 1 solution »
mars 30, 2021Deux jeunes femmes ont scellé une collaboration de plusieurs mois avec l’EHPAD Notre-Dame de la Providence. Elles ont signé une convention dans le cadre du plan « 1 jeune, 1 solution ». L’Etat présente ce dispositif comme une bouée de sauvetage exceptionnelle pendant la crise sanitaire. Mais permet-il réellement de lutter contre le chômage des jeunes ?
SENS : Le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé par les pouvoirs publics en juillet 2020. Il vient en aide aux jeunes impactés par la crise sanitaire. Son terme est initialement programmé pour janvier 2021. Il avait ensuite été prolongé jusqu’au 31 mars.
A Sens, la Mission Locale annonce que depuis le début de l’année, 35 jeunes ont bénéficié de ces contrats aidés, d’une durée de 9 mois, renouvelables jusqu’à 24 mois. Dans l’Yonne, en 2020, plus de 3 600 jeunes ont profité des avantages de ce plan dont 1 559 d’entre eux au sein du Parcours d’Accompagnement Contractualisé vers l’Emploi et l’Autonomie (PACEA).
A quoi sert ce nouveau plan gouvernemental ?
En théorie, ce type de plan permet aux jeunes de se former, de combler des lacunes en termes de qualifications nécessaires pour trouver plus facilement un emploi.
Mais pour les deux jeunes sénonaises, Assia et Coline, toutes deux âgées de 20 ans, il s’agit davantage d’une passerelle.
Assia rêve de devenir infirmière depuis trois ans mais elle compte parmi les victimes de Parcoursup. Elle souhaitait donc enrichir son dossier par une expérience concrète avant de candidater de nouveau pour une école.
Coline, quant à elle, a abandonné ses études en économie et gestion pour se consacrer à une cause plus proche de l’humain. Elle souhaitait « être utile à la cause de la COVID ». Ce dispositif constitue également un bon tremplin pour sa réorientation vers le secteur médico-social dans lequel elle aimerait finalement faire carrière.
Entre l’alternance, les contrats traditionnels et les divers contrats aidés, les entreprises disposent aujourd’hui d’un choix plutôt riche de contrats à la carte. Une aubaine également en termes de main d’œuvre à moindre coût, surtout à l’heure où l’économie est au ralentie en raison des mesures restrictives liées à l’épidémie de SRAS CoV-2.
Dario RIGOLLET, directeur de l’EHPAD considère que « surtout en ce moment de crise COVID, ce sont des emplois utiles. Sinon au niveau financier, même si l’Etat nous aide énormément, c’est bien d’avoir aussi de l’aide de ce côté-là, au niveau des emplois ».
Le gouvernement offre une aide d’un montant pouvant s’élever jusqu’à 4 000 euros aux employeurs qui embauchent un jeune de moins de 26 ans. A noter que les entreprises accueillant un alternant (en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation) de moins de 18 ans reçoivent 5000 euros et 8 000 euros si celui-ci a plus de 18 ans.
Le directeur admet aussi que l’établissement embauche « continuellement » des jeunes stagiaires en temps normal, apprentis ou sous contrats aidés, qui ne restent pas la plupart du temps, « peut-être parce qu’à ce moment-là on n’avait pas de poste en CDI… » justifie-t-il. Les entrepreneurs ont effectivement la possibilité d’opter pour des contrats aidés depuis de nombreuses années.
L’aide aux jeunes sans qualification : une stratégie politique récurrente
Et pour cause, l’augmentation du nombre de demandeurs d’emploi, et plus particulièrement la paupérisation de la jeunesse française, n’est pas uniquement le fait de cette crise sanitaire.
Depuis plus de quarante ans, le chômage des moins de 26 ans est en constante augmentation, de 20,8 % en 2018 (contre 8,5 % pour les 25-49 ans). En 1975, ce taux n’était que de 6,9 %.
Les gouvernements successifs déploient régulièrement des plans massifs de sauvetages pour endiguer un taux de chômage et faciliter l’accès à l’emploi pour les moins de 15-24 ans pas ou peu qualifiés.
Cette cause est devenue l’un des slogans favoris de la classe politique, avec en vedette le CIE (Contrat Initiative Emploi) créé en 1995. On parle aujourd’hui du CUI-CIE pour le secteur marchand, qui fait d’ailleurs son grand retour, du CUI-CAE, qui s'adresse au secteur non marchand (transformés en PEC-Parcours Emploi Compétence), et du CIE-JEUNES dédié aux moins de 26 ans.
Ce dispositif fait l’objet d’une profonde réforme depuis ses débuts mais le principe est toujours resté le même : une aide financière à l’embauche pour les entreprises et la promesse d’un avenir aux chômeurs longue durée. Et bien que l’on constate son déclin depuis le début des années 2000 (de 600 000 contrats aidés en 2005 à 200 000 aujourd’hui), son utilisation demeure privilégiée. En 2016, 28,1 % des emplois occupés par les jeunes de moins de 26 ans étaient des contrats aidés.
Quelle est l’efficacité réelle du contrat aidé ?
Alors que ces mesures sont souvent critiquées depuis l’instauration des « Travaux d’utilité collective » (TUC) par Laurent FABIUS en 1987, l’Etat continue de les mettre en place. Cela signifie-t-il qu’elles répondent finalement aux objectifs fixés : soutenir l’emploi et favoriser l’insertion professionnelle ?
Dans un rapport de 2011, la Cour des Comptes signifiait que l’objectif était surtout « de lutter contre le chômage en période de basse conjoncture. Les contrats aidés, du secteur non marchand en particulier, permettent en effet de retirer temporairement des effectifs non négligeables des listes de demandeurs d’emploi ».
Une enquête de la DARES (Direction de l’Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) réalisée en 2017 confirme cette tendance.
« A court terme, les contrats aidés, particulièrement ceux du secteur non marchand, permettent de soutenir efficacement l’emploi. À plus long terme, en revanche, les effets sur l’insertion professionnelle sont mitigés » en fonction du secteur et de la conjoncture économique.
Parmi les personnes ayant réalisé un contrat unique d’insertion dans le secteur marchand (CUI-CIE), 72 % déclaraient être en emploi six mois après et 25 % s’étaient réinscrit à Pôle Emploi.
Concernant ceux qui ont effectué ce même contrat dans le secteur non marchand (CUI-CAE), seulement 49 % étaient encore en poste dans le même délai et 43 % avaient réintégré les statistiques du chômage.
« La part de ceux qui s’orientent vers une formation ou sortent vers l’inactivité est inférieure à 5 % ».
Floriane BOIVIN
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Une Master class lui est consacrée à Vauban : l’agneau se dévoile façon puzzle aux élèves cuisiniers !
mars 29, 2021A l’instar de la fameuse formule s’appliquant à la viande porcine, tout serait-il bon à consommer également dans l’agneau ? C’est en toile de fond le fil rouge qui a prévalu lors de cette séance concoctée au lycée des Métiers ce lundi 29 mars. Afin d’en découvrir chaque morceau et ses modes de cuisson…
AUXERRE : Dépecer une carcasse d’un agneau représente tout un programme de dextérité et de minutie à réaliser. Comme l’a démontré l’exercice d’un professeur de l’établissement, retraité de surcroît, sachant manier avec parfaite maîtrise la scie et le couteau.
Les élèves du groupe scolaire VAUBAN se sont familiarisés avec les techniques de la découpe de la pièce carnée. Comme phase liminaire à cette « Master Class » spéciale, on ne pouvait trouver meilleure entrée en la matière !
Quelques jours avant la fête pascale, il semblait judicieux pour le professeur de cuisine François HENNARD de mettre l’agneau au goût de cette session.
En connaître les différents morceaux les plus usités dans les recettes tout en les visualisant dans la carcasse de l’animal était l’un des objectifs de cette animation.
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Un autre volet thématique a permis aux futures pousses de la cuisine de découvrir les différences existantes entre des agneaux issus du Label Rouge (les deux pièces travaillées ce lundi matin offertes par Philippe BULANT, directeur de METRO Auxerre, correspondaient à cette qualité de viande) et les autres catégories plus inférieures. Entre deux séances, on aborda aussi la notion des prix et la traçabilité lors de ces échanges instructifs.
L’après-midi fut réservé à la conception des recettes et leurs modes de cuisson. Celles préparées par le chef du Rive Gauche Jérôme JOUBERT. Il en présenta plusieurs à une dizaine d’élèves qui les réalisèrent avant de les restituer et les soumettre à l’appréciation gustative des professionnels fréquentant les travées du magasin METRO à Auxerre. Une manière agréable de joindre la boucle en mettant l’eau à la bouche à qui voulait goûter !
Thierry BRET
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