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Discrimination à l’embauche : les femmes en subissent-elles toujours les conséquences selon leur sexe ?
avril 21, 2021Depuis des décennies, la place de la femme dans certains secteurs d’activité connaît une part de rejet. Certaines entreprises refusent même d’embaucher des femmes qui pourraient y effectuer un travail dit « d’homme ». Pourtant, des entrepreneurs plus visionnaires traitent cette problématique en prenant le contre-pied de cette tendance discriminatoire…
AUXERRE : Océane, une jeune étudiante qui préparait son CAP s’est vue refuser plusieurs demandes de formations au sein d’entreprises. Anciennement affectée à une formation en gendarmerie, elle s’est reconvertie dans un tout autre registre professionnel en suivant un apprentissage de magasinière au sein de l’entreprise Joël LEFEVRE, concessionnaire de poids lourd DAF à Appoigny.
Elle avait entendu parler de ce métier et souhaitait l’essayer. De ce fait, elle a déposé plusieurs CV. Sa place dans ce corps de métier a été remise en cause plusieurs fois. Des absences de réponses, des refus ont été au rendez-vous pour la jeune fille. Un de ses CV n’a pas été accepté par une entreprise car celle-ci ne possédait pas de vestiaires spécifiques pour les femmes…
Un réel problème de discrimination professionnelle dans l’Hexagone…
Se faire refuser un CV en raison de son sexe est une forme de discrimination à l’embauche. Il est par ailleurs inscrit dans le Code du Travail à l’article L1132-1, qu’« aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement ou de nomination ou de l’accès à un stage ou à une période de formation en entreprise […] en matière de […] son sexe, de ses mœurs… ».[1]
Le secrétariat d’État chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations a publié un dossier en 2019. La conclusion serait que l’inégalité est toujours d’actualité.
D’après les résultats publiés par Eurostat et l’INSEE puis relayés par le secrétariat d’État en 2018, en France, le taux d’emploi des 15-64 ans, selon le sexe possède un écart. 68,9 % des hommes ont un emploi contre 61,9 % des femmes. La parité n’est ici pas totalement présente. [2]
Une ouverture d’esprit qui augure d’un nouvel avenir…
Fabrice LEFEVRE, directeur général de l’entreprise éponyme, ne voit pas les choses de la même manière. Il a décidé d’accepter Océane pour qu’elle ait l’opportunité de découvrir ce qu’elle voulait faire professionnellement.
N’ayant pas non plus de vestiaires pour les femmes, il lui a fait un aménagement afin qu’elle puisse se changer en toute intimité au même titre que les hommes.
Il n’y a aucun problème d’acceptation des femmes dans son entreprise. Il suffit d’aimer le métier et d’avoir de la volonté. Après cela, le directeur général de l’entreprise n’y voit aucun inconvénient.
Sur 220 salariés employés par la SAS Joël LEFEVRE, 20 % sont des femmes. Il assure même que cela deviendra équitable au sein de l’entreprise avec le temps. Tant qu’il y a de la demande et des compétences, les hommes et les femmes seront acceptés. Au sein de la vingtaine de concessions du groupe, celle d’Appoigny accueille le plus de femmes dans ses équipes.
Selon Océane, ces refus d’embauches vont évoluer car il y a de plus en plus de demande de la part de la gent féminine pour ces métiers qualifiés de masculin.
Les entreprises n’auront alors pas d’autre choix que de faire une place pour les femmes dans leurs effectifs.
En savoir plus :
[1] https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042026716/
[1] https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/wp-content/uploads/2019/05/30652-DICOM-CC-2019-essentiel.pdf
Jordane DESCHAMPS
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L’alternance se vit en harmonie dans ses ateliers : la SAS Joël LEFEVRE initie les jeunes à la mécanique poids lourds
avril 20, 2021La rémunération est bien meilleure que celle octroyée dans le monde de l’automobile. Surtout lorsque l’on s’y connaît un peu sur le registre de la mécanique. Pourtant, le recrutement dans les services entretien poids lourd se révèle chaque année de plus en plus complexe pour les entrepreneurs spécialisés. Faute de combattants et de cursus appropriés pour répondre à une demande croissante !
APPOIGNY: C’est la croix et la bannière pour les sociétés spécialisées dans l’entretien de poids lourds lorsqu’il s’agit de dégoter la perle rare côté recrutement. Une situation de plus en plus délicate que n’aura pas manqué d’évoquer Fabrice LEFEVRE, patron de la SAS Joël LEFEVRE, ce lundi 19 avril après-midi.
L’entrepreneur aura profité de la visite de la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne et sous-préfète d’Auxerre Dominique YANI pour glisser quelques messages pertinents sur la formation telle qu’est vécue dans l’Hexagone. Il s’avère au vu des exemples concrets cités par le chef d’entreprise qu’il n’est pas aussi simple de trouver le collaborateur idoine dans cette spécialité que représente la mécanique applicable à la motorisation des poids lourds. Nonobstant, le travail est bel et bien là !
Il suffit d’observer l’effervescence des salariés dans l’atelier de cette PME dynamique qui jouxte les bureaux administratifs pour s’en convaincre. Partisan de l’intégration régulière de jeunes apprentis, Fabrice LEFEVRE privilégie l’alternance qui constitue un excellent vivier favorable à une embauche définitive.
Des recrutements annuels de niveau bac et plus…
Chaque année, ce sont de deux à trois jeunes apprenants issus de centres de formation préparant aux métiers de la mécanique qui rejoignent les effectifs de ces différentes unités de production.
Celles-ci se répartissent sur un vaste territoire du quart Grand-Est de la France, allant de Strasbourg à Troyes, de Besançon à Mulhouse, sans omettre Dijon, Sens ou encore Auxerre. Bref, le potentiel d’employabilité existe et le dirigeant de la PME est ouvert à l’accroissement du nombre de ses collaborateurs car la demande est forte côté clientèle.
Fabrice LEFEVRE n’hésite pas à effectuer annuellement son « marché » de jeunes pousses prometteuses, de niveau Bac, voire BTS, en prenant attache avec l’AFTRAL, un organisme de référence national à la formation des futurs diplômés du transport et de la logistique.
« Nous avons besoin d’intégrer des techniciens hautement qualifiés dans nos ateliers, souligne-t-il, de futurs responsables qui auront ensuite des équipes à manager… ».
Cela n’empêche nullement le responsable de la SAS d’accueillir de plus jeunes néophytes dans ses ateliers. Et ce dès les fameux stages dits de découverte initiés par l’Education nationale pour éveiller les élèves des classes de troisième à la vie active.
Et pourquoi pas un référent pour aider les jeunes à trouver leurs stages !
« C’est une manière pour eux de prendre goût avec une activité professionnelle qu’ils ne connaissent pas nécessairement, explique Fabrice LEFEVRE.
Des propos qui font office de « petit lait » pour le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ, présent en compagnie du directeur de la chambre consulaire Jérôme MAYEL, sur cette visite, décidément ô combien réconfortante pour les défenseurs de l’alternance, facilitatrice d’emplois.
Changer les mentalités de ces jeunes adultes sur le monde de l’entreprise et certaines filières où subsistent encore des préjugés représente le meilleur des remèdes pour rendre ses lettres de noblesses à l’artisanat et aux métiers industriels.
En ce sens, ces intégrations de jeunes gens dans les ateliers se veulent être un modèle vertueux qui ne demande qu’à croître à l’avenir.
D’ailleurs, ne serait-il pas judicieux de créer un référent reconnu par tous les acteurs de la vie économique pour aider les jeunes à trouver des entreprises qui leur proposeraient des stages en immersion directe ?
La suggestion a été lancée par un Alain PEREZ jamais en manque d’inventivité. Elle a eu le mérite de faire mouche auprès de la représentante de la préfecture Dominique YANI. Le directeur de la CCI Jérôme MAYEL a pris bonne note : les agendas n’ont plus qu’à s’ouvrir désormais sur les bonnes pages pour déterminer la date d’un futur rendez-vous propice à plus amples réflexions…
Thierry BRET
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Face à la crise sanitaire : les cheffes d’entreprise de la filière bâtiment font preuve de résilience et de solidarité
avril 17, 2021La filière du bâtiment a connu un coup d’arrêt fort brutal de ses activités au printemps dernier. Date du tout premier confinement. Une quarantaine de femmes, entrepreneuses du secteur, ont été invitées à s’exprimer lors d’une rencontre interrégionale menée par la Fédération française du Bâtiment (FFB) à Lyon il y a quelques jours. Occasion de partager leurs expériences et de témoigner sur les méthodes de travail développées avec cette crise…
LYON (Rhône) : Plus d’une quarantaine de femmes, cheffes d’entreprise de leur état, de la filière du bâtiment ont été conviées par la FFB Auvergne-Rhône-Alpes à prendre position sur le partage des pratiques mises en exergue au sein de leurs sociétés lors d’un colloque organisé dans l’ancienne capitale des Gaules. Plusieurs d’entre elles représentaient des régions limitrophes.
Comme l’avait spécifié la présidente du groupe femmes FFB de la région accueillante, Sylvie FAURE, « cette prise de parole se voulait libérée et décomplexée, sans jugement, ni posture tout en restant positif et volontariste… ». Une entrée en matière des plus encourageantes pour les participantes à cet exercice.
Parmi les temps forts qui ont été ainsi abordés par ces femmes meneuses de société, deux points particuliers relatifs à la capacité de résilience du chef d’entreprise et celui se rapportant à la mobilisation et au management des équipes durant cet épisode si insolite de la crise de la COVID-19.
Sociologue, spécialiste de l’encadrement, psychologue du travail, entrepreneuses : tous les intervenants de ces tables rondes eurent à dire sur ces items ne manquant pas d’attrait.
Pour Anne-Sophie PANSERI, dirigeante de la société MAVIFLEX (production de portes souples et manuelles), l’idée de fermer immédiatement son entreprise fut une décision logique.
« J’avais la boule au ventre de faire venir les équipes à l’usine, confie-t-elle, je me suis posée beaucoup de questions sur ma responsabilité en tant que dirigeante ».
Son de cloche similaire pour Sylvie GUINARD, présidente de THIMONNIER, concepteur de solutions d’emballage : « L’entreprise n’a jamais fermé ! Nous étions en contact régulier avec nos fournisseurs pour nous assurer qu’ils maintenaient leur activité… ».
Tous se sont accordés à dire que les salariés avaient démontré une vraie implication. « Nous avons beaucoup communiqué avec nos équipes, notamment dans le respect des règles sanitaires et dans l’organisation de celles-ci, explique Karine DRUGUET.
Au travers de ses études, la psychologue du travail Laure CHANSELME releva deux sources de stress pour le dirigeant. D’une part, un profond sentiment d’injustice lié à la caractérisation d’activités essentielles versus des activités non-essentielles contraintes de tout stopper. D’autre part, un sentiment d’impuissance de ne plus pouvoir maîtriser l’environnement de l’entreprise.
Se sentir épauler grâce à la solidarité…
Pour faire face à ces situations inédites et instables, la force du réseau et du groupe a été soulignée par tous. Une solidarité, un lieu d'échanges et de partage qui permet au dirigeant de prendre du recul, d'extérioriser et de trouver des solutions.
« Il y a un moment d'abattement et les autres nous relèvent. Cette solidarité fait la différence. Plus largement, nous avons notamment pu constater que les femmes organisées et aidées en réseau réussissent mieux que celles qui sont seules… » précisa Anne-Sophie PANSERI, ancienne présidente du Réseau Femmes Chefs d'Entreprise.
Pour Christel DREAU, de la société éponyme à FONTENAY (Yonne) et vice-présidente du groupe femmes de la FFB de Bourgogne Franche-Comté, le groupe femmes a été un véritable soutien : « On a besoin de cette solidarité, de se sentir épaulées. Il est important de pouvoir échanger avec ses pairs. Dans ce genre de situation, on voit tout le sens et l'utilité du groupe femmes ».
Quant à Sylvie FAURE, elle a insisté sur le rôle essentiel qu'a joué la FFB au niveau national, régional et départemental pour accompagner les entreprises du secteur. Un réseau qui a su démontrer toute sa force et son importance.
Le management des équipes au cœur des débats…
La dernière table ronde était consacrée au management des équipes. Télétravail, préservation du lien entre les collaborateurs en présentiel et distanciel, modes collaboratifs...
Des méthodes de travail qui, si elles ont pu être imposées de manière brutale en raison de la situation, seront sans doute amenées à perdurer.
Selon Marie-Hélène PONS, dirigeante de l'entreprise SOGICS, « il est difficile de trouver une unité entre les salariés en télétravail et ceux en présentiel. Au sein de l'entreprise, personne n'était habitué à travailler à distance, nous n'avions jamais expérimenté le télétravail. Il a fallu trouver les bons outils, adaptés à nos besoins ».
Ce confinement a permis de changer les mentalités et approches d'encadrement, comme en témoigne Anne-Sophie PANSERI : « Cette situation nous a ouvert les yeux sur un autre management. Avant cette crise, j'étais opposée au télétravail. Aujourd'hui, je considère que je dois faire confiance aux collaborateurs. On ne peut pas pénaliser une organisation juste pour quelques personnes qui ne jouent pas le jeu... ». |
En conclusion des échanges, Pierre DRELON, sociologue et intervenant en management, a rappelé combien le besoin d'interaction sociale était prégnant dans le monde de l'entreprise, comme ailleurs.
« Les hommes et les femmes sont programmés pour s'adapter. Ils et elles sont faits pour mettre en place les changements utiles en puisant dans leur imagination et leur capacité d'innovation qui provient des échanges et des interactions sociales. Le propre de l'entreprise est la prise de risques » souligna le sociologue qui, non sans un brin de provocation, posa la question suivante.
« Le vrai confinement n'était-il pas celui des Trente Glorieuses au cours duquel nous étions centrés avant tout sur les droits acquis, l'absence de prise de risques, la mise en place de certifications... ?
Paradoxalement, c'est peut-être seulement maintenant que nous allons sortir d'un confinement de plus de cinquante ans, qui nous poussera à réinventer nos méthodes de travail et à sortir d'une certaine zone de confort ? ».
Une interrogation pertinente qui mérite sans doute de véritables réponses…
Thierry BRET
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La franchise s’installe à Sens : vendre son automobile d’occasion, c’est simple comme SIMPLICI CAR !
avril 17, 2021La pertinence du concept s’appuie sur les principes qui régissent la vente immobilière. Concrètement, on peut céder son véhicule automobile d’occasion en requérant l’intervention d’un agent. C’est la base éthique de cette nouvelle enseigne qui a été portée sur les fonts baptismaux début avril à Sens.
SENS : Et une vitrine commerciale supplémentaire pour SIMPLICI CAR ! Apparue dans le paysage de la commercialisation automobile en 2011, l’enseigne compte désormais une trentaine de comptoirs dans l’Hexagone. Etoffant petit à petit son maillage sur le territoire, elle ne cesse de progresser.
Les prochains points de vente seront positionnés en Seine-et-Marne, à Fontainebleau et à Lagny-sur-Marne, non loin de la base arrière du groupe à Montreuil (Seine-Saint-Denis).
Depuis quelques jours, l’Yonne est pourvue de cette marque. Alessandro SALOMONI a décidé de franchir le Rubicon en rejoignant la structure en devenant un franchisé. Il s’est installé dans la zone des Vauguillettes. Son prévisionnel en termes de chiffre d’affaires pourrait s’élever à plus de deux millions d’euros dans les deux années à venir.
Une estimation gratuite des véhicules d’occasion…
Le principe est basique : vous confiez votre véhicule au jeune entrepreneur. Il va ensuite procéder à son expertise en optant pour un prix plus haut que si vous le revendiez dans un garage et s’occuper ensuite de la cession.
Une fois l’acquéreur trouvé, Alessandro achète le véhicule à un tarif net vendeur, avant de gérer ensuite toutes les démarches propres à la transaction.
Son rayon d’action couvre la France entière. Avec, parmi les prestations possibles, l’opportunité de financement, une garantie, la gestion de la carte grise et un service gratuit pour le cédant.
Proposant en parallèle un service de location de longue durée pour les professionnels, SIMPLICI CAR offre un choix éclectique de deux mille cinq cents automobiles. Les modèles sont visibles sur le site de la société mais aussi sur différentes plateformes d’achat ou de notoriété tels « Le Bon Coin », Facebook et Instagram.
A ce jour, cinq véhicules sont venus compléter le parc. L’objectif est de proposer à terme une trentaine d’automobiles de manière régulière.
Travaillant en famille, Alessandro SALOMONI a recours à sa mère pour gérer la partie administrative de la société ; fonction qu’elle assure en free-lance.
En savoir plus :
https://www.facebook.com/SimplicicarSens
Thierry BRET et Maryline GANDON
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L’AJ Auxerre nourrit de beaux espoirs face à l’AS Nancy-Lorraine : c’est la lutte finale pour être barragiste !
avril 17, 2021L’affiche est belle sur le papier. Elle rappelle de mémorables rencontres disputées parmi l’élite entre ces deux formations. Elles ne demandent pourtant qu’à réitérer l’expérience. Même si la mission paraît peu probable pour les Lorrains cette année. Du côté des Bourguignons, classés 6ème, ils peuvent encore accrocher les barrages. Mais pour cela, la victoire est impérative ce samedi soir face à leurs adversaires…
AUXERRE: A quatre longueurs de la cinquième place, synonyme de play-off qualificatif pour la phase tant espérée des barrages, l’AJ Auxerre livrera un énième combat déterminant pour bonifier l’excellence de sa saison ce samedi soir à l’Abbé Deschamps.
L’adversaire du jour n’est pas à prendre à la légère : il s’agit de l’AS Nancy-Lorraine, longtemps pensionnaire inconditionnel de Ligue 1 et club pépinière de stars éternelles du ballon rond à l’instar de Michel PLATINI ou d’Olivier ROUYER. Autant dire que ce sera du lourd pour les protégés de Jean-Marc FURLAN, le coach auxerrois, qui peut compter sur la motivation de son équipe pour envisager un résultat.
Derrière les cinq de têtes, les Bourguignons peuvent encore entrevoir une participation au play-off, qui raviraient les espérances des aficionados en attente de retour en grâce depuis si longtemps.
Pour la réception des joueurs lorrains, l’entraîneur auxerrois a renoué sa confiance à son équipe type ; celle qui s’était imposée avec la manière chez les Chamois de Niort lors de la précédente journée. Le groupe de dix-huit s’attend à un rendez-vous âpre et difficile face aux professionnels de Jean-Louis GARCIA.
Si la victoire est là, et que dans le même temps, le Paris FC chute à Rodez, alors de nouveaux espoirs naîtront pour les couleurs blanche et bleu des Icaunais. Avant cela, il faudra donc annihiler les envies offensives des Lorrains pour y parvenir. Et croiser les doigts pour que les dieux du football facilitent enfin la destinée des Bourguignons dans cette ultime lutte finale vers les barrages !
Thierry BRET
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