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Certes, il pointe en neuvième position sur la liste. Ce qui n’est pas si mal, après tout, sur un total de 81 candidats choisis à l’échelle de l’Hexagone. Même si ses chances d’obtenir le « Graal européen » au terme de la soirée dominicale du 09 juin sont infinitésimales pour ne pas dire plus, il n’empêche que le colistier de « Défendre les Enfants » auxerrois se prend au jeu et s’offre une tribune médiatique, ne serait-ce que pour être l’un des porte-étendards de la cause enfantine, dans l’Yonne. Une cause, quasi oubliée par les ténors de la vie politique tricolore (comme à peu près partout d’ailleurs en Europe !) qui repose sur la défense des droits parentaux et la protection de l’enfance. Une enfance qui a grandement besoin d’être sécurisée dans le monde actuel…

 

AUXERRE: Pour l’heure, il a mis de côté son projet de livre afin de se consacrer pleinement à la campagne des européennes. Non, pas à la rédaction d’un roman au style ampoulé comme certains savent si bien le faire dans le giron territorial, non, lui, ce qui le passionne vraiment, ce sont les ouvrages à vocation pédagogique, incluant réflexions et conseils. Deux de ses opus (« Débloquez votre potentiel » et « Vers une communication non violente ») se vendent d’ailleurs via les canaux de distribution numériques habituels sur AMAZON !

Le futur bouquin, à la composante très juridique, traitera précisément du thème qui l’obnubile le plus à l’heure actuelle : la place de l’enfant dans la société contemporaine, un enfant devant subir de plein fouet les affres de la séparation familiale et ses aléas. Des aléas que l’on suppose terrible dès que la relation entre mari et femme, en procédure de divorce, tourne au vinaigre, voire en conflit d’intérêt larvé…

 

Déjà dans la course à l’Europe en 2019

 

« Ce sera une autre version du pire et du meilleur occasionné par la vie de couple, concède Daniel DELVERT, un garçon brillant qui ne s’est jamais trop éloigné de la vie politique et citoyenne locale, au sens noble du terme.

Cette fois, l’Auxerrois s’affiche ouvertement sur une liste totalement méconnue ou presque de la sphère publique, qui avait déjà beaucoup dépensé en énergie lors de la précédente édition des échéances européennes, en 2019, sous les couleurs de « Défendre les Enfants ». En cette année 2024, c’est rebelote donc pour cette formation composée de purs représentants de la société civile, des personnes de toutes obédiences et de tous horizons qui possèdent le même dénominateur commun : la protection de l’enfance dans cette Europe tourmentée et perturbée par tant de miasmes ! Une Europe, peu encline à de très rares exceptions à placer l’enfance et ses droits parmi ses priorités stratégiques…

 

De la convergence d’opinions à la conversion dans les faits

 

A la lecture de cette liste, ces 81 patronymes livrés à notre connaissance tel un inventaire à la Prévert, pas de noms connus. Pas de poids lourds de la politique nationale, non plus, placés en guise d’arbitrage politicien dans les fondements de cette suite de 81 noms propres pour donner le change !

Bref, ce sont des Français « bien ordinaires » mais qui savent certainement de quoi elles et ils parlent car confrontés sans doute au quotidien aux vraies problématiques de la vie de parents séparés, divorcés, en procès, veufs, en prise directe avec la justice, ou aux problématiques inhérentes à l’insécurité intrafamiliale (c’est très dans l’air du temps malheureusement), la vie, la vraie, quoi ! C’est sûr qu’à la lecture de leur profession de foi, de l’énergie, elles et ils en ont à revendre en leur qualité de membres de plusieurs associations partenaires et mutualisées dans la défense des valeurs portées par cette candidature.

Le leader de ce mouvement parental au service des intérêts ô combien légitimes de leur progéniture se nomme Gaël COSTE-MEUNIER. Il occupe la première place de cette liste qui n’est pas certaine à quasi 100 % de figurer dans les bureaux de vote le 09 juin prochain, faute de moyens financiers évidents, par bulletin interposé à imprimer !

« Ce qui me plaît dans la démarche de ce mouvement, confie Daniel DELVERT, c’est cette convergence d’opinions et d’idées allant dans la même direction : la défense de l’enfant. Parmi les associations présentes dans cette liste, on y trouve des responsables associatifs favorables à la garde alternée, à la défense des enfants placés dans les ASE (Aide Sociale à l’Enfance), à la protection des enfants autistes, ceux qui sont maltraités… ».

 

Des chiffres à faire froid dans le dos

 

L’enfance maltraitée, parlons-en, justement ! En l’espace de deux à trois ans, le nombre de cas enregistré a explosé en France. Une hausse de 20 % ! Touchant aujourd’hui plus de 340 000 gamins et adolescents, des « invisibles » dont on ne parle jamais ou presque dans le landerneau politique…A de rares exceptions.

Les chiffres fournis par Daniel DELVERT – il est très bien documenté sur cet épineux sujet de société – font froid dans le dos. En 2023, 2 500 enfants mineurs ont subi des viols ou ont été battus. Les cas de harcèlements prolifèrent à la vitesse de la lumière, quasiment en toute impunité pour leurs auteurs. Quant au nombre de femmes ayant eu à subir des outrages incestueux durant leur enfance, il s’élève désormais à…6,7 millions de personnes en France. Cela se passe de commentaires, dans cette société dite de progrès, d’intelligence et accessoirement, civilisée !

Les revendications sont nombreuses, on l’imagine aisément pour « Défendre les Enfants ». Citons quelques exemples. Respect par la Cour  Européenne des Droits de l’Homme qui est en charge de l’application de la Convention internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), une justice moins laxiste, plus efficace et possédant désormais des budgets adaptés à l’ampleur de la tâche – « Nous défendons une part du budget de la justice supérieur à 0,30 % du budget de chaque état au minimum, sous la forme d’une directive », précise notre interlocuteur icaunais -, une modernisation générale des services publics de justice et de travail social qui doivent effectuer leur transition numérique à l’identique de la Sécurité Sociale, la réaffirmation des droits parentaux – « il est préférable de soutenir les familles plutôt que de les décomposer et d’en gérer les conséquences… »-, une protection de l’enfance pleinement européanisée avec un portail numérique pour le suivi des informations de l’enfant et la protection de celui-ci face aux agressions physiques, sexuelles, psychologiques, et des contenus pour adultes sur Internet, et la promotion des résidences alternées en France.

A ce propos, l’Hexagone figure toujours comme l’éternel retardataire sur ce dossier, restant le mauvais élève et bon dernier de la classe avec seulement 11,2 % de résidences alternées mis en exergue pour les enfants de divorcés.

Il est donc grand temps que les choses évoluent dans la bonne direction dans le pays des Droits de l’Homme, qui semble parfois l’oublier, en rappelant qu’un enfant a besoin de ses deux parents pour se construire. Tel sera le message fort que Daniel DELVERT et la liste « Défendre les Enfants » feront circuler durant cette campagne qui gagne enfin en visibilité…

 

Thierry BRET

 


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On ne sait pas qui est ce Maxime. Mais, c’est sûr : l’heureux destinataire de ce gâteau à l’estampille de l’AJ Auxerre doit être un fervent supporter du futur pensionnaire de la Ligue 1 ! Une manière de célébrer sa passion footballistique, lors de son anniversaire, jusqu’au fond de l’assiette et de la meilleure manière que ce soit, crème pâtissière et sucrerie à l’appui ! On se lève tous pour déguster les gâteaux de l’AJA, confectionnés dans la seule et unique boulangerie-pâtisserie de Coulanges-sur-Yonne, la très inspirée chez SOYER ! Il fallait y penser…

 

COULANGES-SUR-YONNE : Actualité oblige, et si dorénavant, les professionnels de la filière boulangerie/pâtisserie de l’Yonne s’amusaient à concocter des gâteaux inspirés en termes de créativité selon les soubresauts parfois très denses de l’information ?! Cela ne mangerait pas de pain, bien sûr ! Et cela ne pourrait que vanter les mérites de ces esthètes de l’artisanat qui procurent un réel plaisir aux épicuriens. Une initiative que le président du Syndicat de la Boulangerie-pâtisserie de l’Yonne, Laurent BISSON, devrait encourager, à coup sûr…

En tout cas, cette délicieuse pâtisserie – on ne l’a pas goûtée certes mais les produits confectionnés sur place ont la réputation de satisfaire tous les palais, y compris ceux des plaisanciers qui effectuent une halte salvatrice dans la localité – est une traduction pâtissière en lien direct avec l’actualité footballistique du moment : celui de la remontée parmi l’élite de l’AJ Auxerre, dès la saison prochaine.

 

 

Crémeuse à souhait et onctueuse dans sa texture, elle a dû une fois livrée à son destinataire, prénommé « Maxime » dans le cadre d’un anniversaire sans doute, combler d’un plaisir savoureux un jeune garçon, amateur des exploits sportifs de son équipe vedette. Cette AJ Auxerre qui aura su nous régaler tout au long de cette saison dominée de la tête et des pieds par les protégés de Christophe PELISSIER.

Vous en reprendrez bien une petite tranche, non ?!

 

Thierry BRET

 

 


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Le revers très agréable de la médaille est que précisément les belles réalisations sorties de l’imaginaire créatif de Simon CORNU, esthète du chocolat chez CHOPARD – on apprécie également les produits à l’estampille de la « Biscuiterie de Bourgogne » -, équivalent à une œuvre d’art « comestible ». Illustrant six disciplines majeures des Jeux Olympiques (athlétisme, équitation, handball, natation, tennis et voile), la chocolaterie de Joux-la-Ville a décidé d’honorer les Jeux de Paris de la plus belle des manières, celle de la gourmandise en confectionnant une collection de médailles en chocolat noir et au lait…

 

JOUX-LA-VILLE : Avis aux amateurs et aux férus des Jeux Olympiques ! Pour peu que vous soyez un tantinet gourmands, vous allez ajouter un plaisir supplémentaire à vos envies : il y a donc de la collection à se constituer dans l’air ! Oui mais attention : il s’agit dans le cas présent d’une collection pas tout à fait comme les autres, pour se remémorer le souvenir de cette manifestation universelle qui accapare tous les esprits depuis l’arrivée de la flamme sur le sol français à Marseille, le 08 mai.

En lien avec la célébration de ce rendez-vous séculaire – la précédente édition des Jeux d’été remonte à 1924 dans la capitale de l’Hexagone -, la chocolaterie CHOPARD – une entité artisanale qui assure son développement commercial via différents produits aux côtés de la « Biscuiterie de Bourgogne » -, vient d’émettre (c’est le nom que l’on emploie à la Monnaie de Paris qui édite parfois de telles breloques mémorielles) une série de médailles…concoctées à base de chocolat.

Une façon très appropriée pour le milieu de l’artisanat de se positionner sur cet évènement qui va occuper les esprits durant ces trois prochains mois.

Chez les sportifs comme chez les suiveurs, sans omettre celles et ceux qui se frottent les mains autour des futures retombées économiques potentielles.

Créée en 2020, la chocolaterie CHOPARD, marque familiale, se veut respectueuse des traditions artisanales de qualité. En témoignent les propos de son dirigeant, Geoffrey quand il caractérise le travail de sa structure : « Nous sommes dédiés à créer des expériences gustatives exceptionnelles à travers notre gamme variée de chocolats artisanaux, tous fabriqués avec les meilleurs ingrédients et un souci du détail inégalé… ».

 

 

Le chocolat est bien plus qu’une simple friandise…

 

C’est le chocolatier maison, Simon CORNU, qui a imaginé cette série spéciale rendant ainsi hommage à six disciplines majeures des jeux. Commentaire du directeur de la chocolaterie, Geoffrey CHOPARD : « Nous sommes ravis de présenter cette collection spéciale de médailles en chocolat en l'honneur des Jeux Olympiques. Chez CHOPARD, nous croyons que le chocolat est bien plus qu'une simple friandise - c'est une forme d'art qui peut inspirer, rassembler et célébrer. Nous espérons que nos médailles en chocolat ajouteront une touche de douceur et de festivité à cette occasion mondiale ».

Elaborées à partir de chocolat noir (incontestablement le meilleur pour les puristes !) mais aussi au lait, ces médailles un peu particulières mais excellentes au palais sont disponibles depuis quelques jours dans les différentes boutiques à l’enseigne « Biscuiterie de Bourgogne ». On les trouve à Joux-la-Ville, siège de l’entité, comme à Auxerre. Mais aussi à Avallon ou sur la Colline éternelle, à Vézelay.

 

Thierry BRET

 


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Mathématiquement, c’est fait ou presque à quasi 100 % ! Sans doute, les joueurs de l’AJ Auxerre auront à cœur lorsqu’ils pénètreront dans l’enceinte du stade d’Amiens, vendredi soir, de poursuivre sur leur lancée triomphale. Avec un différentiel de 33 buts d’avance en cas d’égalité avec l’hypothétique deuxième, soit l’AS Saint-Etienne, soit le SCO Angers, le club bourguignon retrouvera la Ligue 1 la saison prochaine…

 

AUXERRE : Christophe PELISSIER peut savourer en arborant un large sourire dans les vestiaires : le sacre de champion de Ligue 2 est dans la poche après une incroyable saison où le club de Bourgogne Franche-Comté ne s’est jamais éloigné de la cinquième place au classement général durant toute la saison.

A deux journées de la fin et avant d’affronter le dixième Amiens, à l’extérieur, et Concarneau à domicile qui devrait retourner en National, pointant à la 19ème position, l’AJA peut être fière de cette saison en tout point exemplaire et excitante.

Avec 70 points au compteur, vingt victoires tout pile, 68 buts marqués, seulement six défaites – des accidents de parcours ! – et la seconde ligne de défense du championnat, le club offre des statistiques qui flirtent avec le meilleur dans les annales.

 

 

Le coach a su parfaire au fil des rencontres le rendement offensif et la vista dans les lignes « arrière », faisant de ce cru 2023/2024 un excellent millésime.

On se frotte déjà les mains en pensant à l’après. Et aux nouvelles ambitions du président Baptiste MALHERBE et de l’actionnaire James ZHOU lorsque leur équipe foulera le stade de l’Abbé Deschamps en août prochain un cran au-dessus…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Serait-ce parce que le bénévolat n’attire plus autant que jadis au sein des structures associatives que la présidente du CIDFF 89 (Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles) Simone PARIS a fait une légère entorse au protocole habituel d’une assemblée générale statutaire ? En tout cas, la responsable de l’entité icaunaise qui se bat bec et ongles pour protéger les droits de la gent féminine (et de leurs enfants) a voulu récompenser les fidèles de la première heure, leur remettant des médailles honorifiques…Une manière symbolique de commémorer les trente années de l’association.

 

AUXERRE: Les anciens membres du conseil d’administration sont à l’honneur au sein du CIDFF 89 ! Preuve de la longévité de ladite structure, le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles qui, comme sa raison sociale l’indique, œuvre depuis trois décennies au service de celles et de ceux (par extension leurs enfants) qui subissent et souffrent de violences intrafamiliales, puisque telle est désormais l’usage usuel en termes de sémantique de nos jours.

Avant même qu’elle ne présenta le rapport moral de la structure, au cours d’une assemblée générale ordinaire accueillie une fois n’est pas coutume dans les locaux lumineux et ultra modernes de la Maison de la Coiffure, Simone PARIS, présidente en chère, tint à mettre sur un piédestal honorifique quelques valeurs sûres du monde associatif. Des personnes engagées dans la lutte en faveur de la reconnaissance des droits des femmes depuis tant d’années. Vaste programme, par définition !

Si la figure emblématique que représente Monique DESNOYERS – ancienne élue de la Ville d’Auxerre sous l’ère de Guy FEREZ – avait fait part de son absence en s’excusant, il n’en fut rien en revanche de Joël REMY (tiens, tiens, un homme qui est plébiscité pour son engagement et sa sagesse éclairante sur le droit des femmes, cela mérite bien quelques lignes de sympathie !), d’Andrée DEBERT, toujours à l’écoute et de bons conseils (dixit Simone PARIS) et surtout la présidente-fondatrice et présidente d’honneur désormais, Marie-France JEANSON qui étaient tous les trois présents afin de recevoir leurs précieux sésames.

 

Entre congratulations et récompenses en guise de mise en bouche

 

Une présidente-fondatrice qui avait pris sous son aile l’actuelle responsable du CIDFF 89 en lui transmettant tous les arcanes nécessaires afin d’assumer la fonction et par capillarité, sa succession.

« Marie-France, les femmes de l’Yonne te doivent beaucoup avec la mise en place de cette association, souligna avec une pointe d’émotivité dans la voix, Simone PARIS, sous le regard bienveillant de l’intéressée et de son époux, Guy PARIS, président d’AMIDON 89. Au nom de tous et de toutes, je te dis un immense merci… ».

S’en suivie la remise de médailles, avec en guise de hors d’œuvre un homme, Joël REMY qui ouvrit donc le bal, avant les deux autres récipiendaires féminins. Sous le feu nourri des applaudissements du public. Et comme un bonheur ne vient jamais seul, précise l’adage, Simone PARIS fut à son tour saluée pour ses dix années de présidence par les membres de son conseil d’administration.

« Nous connaissons toutes et tous les projets ambitieux que tu portes pour le CIDFF de l’Yonne, et ton implication au sein de la structure… ». Fin du chapitre introductif !

Toujours en marge du bilan de l’année écoulée, Simone PARIS mit l’accent sur le changement d’orientation vécu par les deux juristes de la structure, et surtout leur remplacement en septembre.

 

L’IVG, le caractère fondamental de la liberté des femmes dans la Constitution

 

« C’est dorénavant, Carolane et Julie, qui forment le nouveau binôme de juristes de l’association, apportant avec leur jeunesse et envie de réussir une dynamique ô combien salvatrice pour le travail de l’association, expliqua Mme PARIS. Un regard neuf sur notre fonctionnement et de fortes compétences en droit de la famille… ».

Des éléments que ne manquèrent pas d’apprécier les personnes constituant l’auditoire du jour dont notre ami Serge LE DOUSSAL (ex-président de la Franck Pineau et soutien inconditionnel du droit aux femmes) qui devait les féliciter publiquement après avoir posé quelques questions d’usage, en fervent adepte de la conversation !

Le 08 mars 2024 fut également salué comme une date historique pour la présidente, très à l’aise à son pupitre. Une date importante avec à l’inscription au sein de la constitution de la Vème République (1958) la liberté garantie des femmes pour recourir à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).

« C’est la manière de réaffirmer le caractère fondamental de cette liberté en France, insista Simone PARIS, une avancée pour le droit des femmes… ».   

 

 

 

Pour celles et ceux (surtout ceux évidemment !) qui auraient encore douté de la pertinence et de l’intérêt existentiel d’une telle structure dans le département, les informations qui allaient suivre devaient clore de manière définitive les débats ! Oui, le CIDFF 89 – la structure n’est pas contestée fort heureusement ! – témoigne de la réalité de la situation (celle-ci ne cesse de se détériorer dans l’Yonne pour la population féminine), en étant une référence incontestable des droits et de la défense de ces victimes intrafamiliales. Sujettes aux violences de leurs maris, époux, conjoints et compagnons.

« Si l’accès aux droits demeure une priorité, concède la présidente, les sollicitations pour les questions de violence et la charge de travail induite par la gestion des téléphones « graves dangers » ne cesse d’augmenter… ».

Prouvant, une fois de plus, que le sexisme ne recule pas dans l’Yonne. Il prend sa source dans la famille, se cristallise à l’école et s’amplifie dans les contenus numériques. D’où l’intervention directe des deux juristes de la structure auprès des plus jeunes, dès la maternelle jusqu’au lycée.  

Plusieurs partenariats ont vu le jour en 2023 afin de prêcher la bonne parole aux quatre coins du territoire. Le premier avec « France Services » (Etat), le second avec l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne, structure présidée par Dominique CHAPPUIT.

 

 

Une affaire de famille pour en protéger d’autres…

 

Evoquant les finances, le nerf de la guerre de toute association qui se respecte, Simone PARIS déplora lors de l’assemblée générale 2023 un « financement qui n’était pas à la hauteur des besoins ».

Or, la responsable de la structure pourra toujours brûler un cierge pour honorer la « Bonne Mère » car un financement d’Etat (reçu, certes, trop tardivement au cours de l’exercice) permit in fine de recevoir un salutaire coup de pouce de 70 % de mieux, à l’instar de nombreux autres CIDFF de France !

Conséquence, c’est de manière excédentaire (+ 20 819 euros) que l’association bascula en 2024, avec l’opportunité financière assurée de pouvoir subvenir à un recrutement – il est en cours – sur un poste de chargé d’accueil et de secrétariat. Ce qui fit dire à Simone PARIS : « la trésorerie est bonne, la « boutique » est bien tenue ! ».

Autre chose, plus tendue, c’est le nombre de cas de violences intrafamiliales qui explose dans le département. En 2022, les juristes du CIDFF 89 avaient tenu 1 330 entretiens individuels dont 217 à caractère violences sexistes et sexuelles ! Très inquiétant.

Rien que l’année dernière, ce sont 183 femmes de notre territoire qui ont évoqué lors de ces contacts privilégiés et confidentiels avec les juristes du CIDFF 89 leur situation de violences. Si la plupart ont été subies dans le couple, que penser de celles qui surviennent sur le lieu de travail ?!

Cette année, Simone PARIS, outre les rapprochements avec le dispositif « France Services » - il existe 33 espaces dans l’Yonne – et l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne, entend bien lancer de nouvelles initiatives préventives.

Notamment dans le Sénonais, avec l’opération « Angela », une action de formation auprès des commerçants réalisée avec le Grand Sénonais visant à éduquer les professionnels pour porter assistance aux personnes victimes de harcèlements ou se sentant en danger dans les espaces publics.

En parallèle, le nombre de permanences devrait progresser également au sein de la Mission Locale d’Auxerre ou chez le partenaire historique, spécialiste de l’insertion, AMIDON 89.  

Logique, me direz-vous puisque c’est l’époux de la présidente, Guy, qui en est le responsable ?! Oui, mais, informer, orienter, accompagner sur tous les sujets de droits aux femmes et des familles n’est-il pas le propre de tous ? Alors, dans le jeu des sept familles usuel, je voudrais le mari après la femme – un PARIS peut en cacher un autre ! – au service de la solidarité et de l’altruisme ! Qui s’en plaindra ? Personne, assurément…

 

Thierry BRET

 


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