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Initialement, la séquence « Chablis » n’était pas inscrite à l’ordre du jour de la visite ministérielle, prévue ce jeudi. Le déplacement dans le vignoble de l’Yonne frappé par de violents orages de grêle s’est très vite imposé à l’esprit des organisateurs de la courte visite de la ministre déléguée en charge du Renouveau démocratique, Prisca THEVENOT. La porte-parole du gouvernement s’est rendue sur place, rencontrant les dirigeants éprouvés de la coopérative « La Chablisienne », avant de constater les dégâts parmi les vignes endommagées…

 

CHABLIS : C’est sûr : ils ne regarderont pas la météo de la même manière la saison prochaine, à pareille époque, les viticulteurs de la région de Chablis. Les violentes chutes de grêle qui se sont abattues sur leurs exploitations dans la nuit de mercredi à jeudi ont eu raison probablement d’une grande partie de la récolte 2024. Un constat de désolation qui s’affichait sur les visages des deux dirigeants de la coopérative centenaire « La Chablisienne », Christophe RACE, le président, et Damien LECLERC, le directeur, au moment de la visite impromptue de la ministre déléguée en charge du Renouveau démocratique et porte-parole du gouvernement, Prisca THEVENOT. Celle-ci avait échangé quelques instants auparavant avec une délégation de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs sur les sérieuses problématiques économiques observées dans la filière.

 

 

La grêle, un gros aléa, impossible à prévoir et inattendu, a donc ravagé les ceps et leurs bourgeons. On parle d’un quart du fameux vignoble à la renommée internationale. Dont certaines parcelles pourraient être touchées entre 80 et 100 % !

Toutefois, pour apprécier la justesse de l’étendue des dégâts, il faudra patienter encore un bon mois, selon Christophe RACE, président de la coopérative de Chablis, afin de voir quelle sera la réaction de la plante.

Une récurrence des phénomènes météo qui impacte nécessairement la gestion des entreprises viticoles, comme devait de son côté le rappeler Damien LECLERC à la représentante de l’Etat, et notamment sur les réserves. La capacité d’adaptation doit être déployée très rapidement afin de permettre aux vignerons de pouvoir faire face à la fureur des éléments météorologiques.

 

 

« Il ne faut pas de dogmatisme mais bien du pragmatisme, insista le directeur de La Chablisienne.

Quant à la ministre, son premier message à l’endroit des agriculteurs et viticulteurs touchés sur certains secteurs par vingt centimètres de grêle sera celui de la solidarité.

« L’Etat va les soutenir au travers de l’indemnité de solidarité nationale qui a pu mettre le phénomène de grêle dans ses mécanismes, suite à la réforme de l’assurance récolte voulue par le Président de la République il y a quelques années. Nous devons protéger, libérer et simplifier plus largement notre savoir-faire français et le monde viticole en fait partie… ».

La ministre a ainsi confirmé qu’un certain nombre de discussions avait lieu dans le cadre du projet de loi agriculture, en ce moment même en débat en commission à l’Assemblée Nationale. Un texte qui prendra en considération toutes les particularités des territoires, mais aussi filière par filière.

En attendant l’estimation financière des sinistres, l’Etat par la voix du ministre de l’Agriculture Marc FESNEAU a de son côté voulu rassurer les professionnels de la vigne, via le principe du système assurantiel. Corroborant ainsi les propos de Prisca THEVENOT qui s’était exprimée sur le sujet quelques heures auparavant depuis le grand hall de la coopérative viticole de l’Yonne…

 

Thierry BRET

 

 


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Nom du projet : « BTE ». La naissance d’une marque, nouvelle en l’occurrence en Bourgogne-Franche-Comté, ni plus ni moins. Mais, déjà experte, par ailleurs. C’est le cas en Auvergne-Rhône-Alpes où elle fut portée sur les fonts baptismaux en septembre 2020. Puis, en Savoie. Avant de s’étendre à l’Occitanie, le Sud, le Val-de-France…La Banque de la Transition Energétique (BTE) arrive enfin sur les rivages de notre territoire, auquel il est nécessaire d’y adosser le Pays de l’Ain. Un concept, 100 % Banque Populaire, il va de soi ! Ayant pour objectif de soutenir en les finançant et en les encourageant toutes les initiatives qui vont désormais verdir notre société…

 

QUETIGNY (Côte d’Or) : « BTE ». Retenez bien cet acronyme : il va, c’est sûr, gagner en popularité dans les semaines et les mois à venir ! Mais, serait-ce le nom de référence d’un nouveau combo, issu de la K-pop sud-coréenne ?! Il y eut autrefois, pour les puristes de la fusion instrumentale et vocale entre le rock et le jazz dans les années 70, le fameux « BS&T », alias « Blood Sweat & Tears ». Mais, çà, c’était jadis !

Non, le « BTE » dont on parle tant depuis quelques jours dans le landerneau bourguignon/franc-comtois et qui risque de faire florès dans les autres régions de l’Hexagone ne l’ayant pas encore adopté, n’est autre que…la « Banque de la Transition Energétique ». Une séduisante nouveauté en matière d’accompagnement de projets de rénovation énergétique, de production d’énergie verte et d’investissements durables que l’on doit à la Banque Populaire. Un concept à l’ancrage territorial évident, devant accompagner les acteurs locaux. Les entreprises comme les collectivités. Les milieux associatifs comme les particuliers.

Dans l’absolu, son principe de fonctionnement est simple. Comme tout établissement financier qui se respecte, la Banque Populaire BFC et Pays de l’Ain, via sa nouvelle entité, collecte des fonds auprès de son innombrable clientèle, fonds qu’elle s’engage à affecter ensuite de manière tout à fait transparente et traçable – des arguments porteurs qui reviendront à maintes reprises dans les propos des dirigeants devant dévoiler les arcanes de ce concept à la presse il y a peu – sur des projets de financement qui favorisent la transition énergétique de notre territoire régional.

 

Un établissement coopératif devant jouer les premiers rôles…

 

Un vrai coup d’accélérateur accordé à cette transition énergétique ô combien indispensable aux principes vertueux de la planète et de nos écosystèmes comme devait le rappeler en guise de préambule, un François de LAPORTALIERE plutôt à l’aise dans son exercice oratoire.

Le directeur général de l’établissement mutualiste régional résuma en quelques mots : « j’ai la conviction que notre banque en étant très opérative sur le territoire jouera un rôle important dans ce domaine, pour accompagner la région dans son développement au sens large, et soutenir toutes les initiatives de notre clientèle de professionnels et d’entreprises… ».

Un déroulé, on ne peut plus logique, voire légitime, de cet engagement puisque historiquement, la Banque Populaire a toujours accompagné et financé les grandes transitions déjà opérées par le passé en France. Dont la révolution industrielle antan ou d’autres évolutions toutes aussi importantes. Un postulat observé par le cadre bancaire sur le rôle des pouvoirs publics. « On ne peut pas tout attendre de l’Etat ni des collectivités, soulignera-t-il, nous devons apporter des solutions pour soutenir les projets autour de la transition énergétique, un des enjeux majeurs qui se présente à nous pour aujourd’hui et pour demain… ».

Bien sûr, il est aussi question de passer à l’étape supérieure avec l’adoubement d’un tel concept dans la zone de chalandise de la banque. « Nous allons mettre à disposition de nos clients tous les outils pragmatiques et utiles les aidant à construire des plans de développement durables qui tiennent compte des contraintes économiques auxquelles ils sont confrontés… ».

En cela, la Banque Populaire renforce ainsi son positionnement d’établissement coopératif en jouant à la fois sur la collecte en amont de cette épargne « verte » et en aval sur la distribution de ces mêmes fonds sur les projets locaux à connotation environnementale.

 

 

Entre 100 et 200 millions d’euros collectés au terme de la première année

 

Dans les faits, un premier chiffre est lâché par le patron de la banque régionale : dans les prochaines années, plus de 500 millions d’euros de financements verts seront déployés sur le secteur. Une zone géographique couvrant, rappelons-le les huit départements de la Bourgogne Franche-Comté et une frange du Pays de l’Ain.

« Nous sommes bel et bien une partie de la solution, devait conclure François de LAPORTALIERE, même si nous ne sommes que des banquiers ! ».

Toutefois, plus modestes, les décideurs de la Banque Populaire BFC et Pays de l’Ain tablent sur le premier exercice sur une collecte auprès de leur clientèle qui oscillerait entre 100 et 200 millions d’euros. Ce qui est déjà non-négligeable !

Nonobstant, ce n’est pas d’aujourd’hui que les problématiques inhérentes à la transition énergétique titillent les esprits ingénieux des cadres de l’établissement. Dès 2022, une équipe d’accompagnement intervenait déjà en les soutenants les projets régionaux. Le bilan est prometteur : à savoir, plus de 150 millions d’euros de financements verts obtenus en s’appuyant sur les huit centres d’affaires et les trois directions de la structure.

Que pourra apporter en sus cette marque « BTE » à l’édifice bancaire régional ? C’est très simple, en vérité, davantage de moyens d’expertise et de formation de la banque, et des retours d’expérience obtenus depuis 2020 par les autres établissements régionaux ayant déjà souscrits à son adoption. Notamment en se rapprochant de la Banque Populaire Auvergne-Rhône-Alpes et du directeur exécutif de la Banque de la Transition Energétique, Pierre-Henri GRENIER.

A date, et depuis septembre 2020, l’établissement BP AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) aura récolté 844 millions d’euros de collecte auprès de ses clients pour en reverser à peu près autant (834 millions) destinés au financement de projets verts, à l’instar de chantiers de pose de panneaux photovoltaïques, à l’amélioration de la flotte de véhicules électriques dans certaines entreprises ou collectivités, voire de développer davantage l’un des processus encouragés par les chambres consulaires agricoles, la méthanisation qui demeure au niveau de ses programmes en France très en deçà de ce qui se pratique chez nos voisins allemands.

Mais, une autre des subtilités de cette nouvelle enseigne dont il vous faudra se souvenir des initiales, c’est l’accompagnement de cette stratégie salvatrice pour la planète par les acteurs locaux de la transformation énergétique.

 

 

Un réseau de partenaires et d’experts engagés dans le projet

 

Un véritable réseau de partenaires et d’experts, de proximité, est venu se greffer au montage de cette nouvelle enseigne. Une dizaine à l’heure actuelle mais ce n’est pas fini !

« Ils sont capables de répondre aux différentes problématiques de notre clientèle, explique Pierre-Henri GRENIER, notamment pour tout ce qui a attrait avec l’optimisation des coûts de l’énergie, l’installation des panneaux photovoltaïques, le financement des projets de centrales hydrauliques, les projets d’autoconsommation ou de consommation d’énergie partagée, la mobilité durable… ».

Le témoignage de la société OPERA Energie et de l’un de ses représentants, Aurélien JOUAULT, viendra précisément mettre de l’eau au moulin.

Puis, Arnaud CAULIER – il officie en qualité de directeur du développement et de la distribution au sein de la BPBFC – et Olivier POISEAU, premier directeur officiel de cette antenne régionale de la Banque de la Transition Energétique, éclaireront de leur lumière des journalistes peu avares de questions ! Leurs interventions porteront sur la traçabilité et la transparence – deux maîtres mots nous l’avons dit ! -, dont le client pourra même juger de visu en consultant le site Internet dédié https://banquetransitionenergetique.fr/ afin de suivre avec la régularité d’un métronome l’évolution des affectations concrètes en termes de projets verts. Un outil accessible et très précieux !

« Nous allons mettre en place progressivement ce modèle, en coopération avec les acteurs publics et privés pour jouer pleinement notre rôle dans la trajectoire économique et énergétique de notre région, rappela Arnaud CAULIER.

Depuis le 30 avril, la Banque Populaire BFC propose un nouveau produit d’épargne à rémunération établie à 1,30 %. « Celles et ceux qui se sentent concernés par ce vrai sujet de société ne recherchent pas nécessairement la rentabilité optimale d’un placement mais plutôt à redonner du sens à son épargne, aura-t-on précisé en substance. Un produit complétant l’offre des comptes à terme existant déjà.

Il ne reste plus à la Banque Populaire BFC que de faire savoir au cours de l’année 2024 la nouvelle stratégie mise en exergue autour de la BTE, conférences et ateliers sont d’ores et déjà programmés sur les agendas pour y parvenir. En tout cas, retenez bien ce nom : « BTE », gageons que vous allez en entendre parler dans vos agences et plus qu’il n’en faut, il y va de la préservation de la planète !

 

Thierry BRET

 


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Décidément, on se souviendra longtemps de cette 95ème édition de la Foire de Sens ! Une manifestation qui ne ressemble déjà pas à une autre en temps ordinaire mais qui là, à attirer davantage de public et de médias dans ses travées lors de la visite de cortèges VIP bien distincts et inédits ! On ne reviendra pas sur la venue du président du RN Jordan BARDELLA qui avait biffé sur son agenda l’ancienne capitale des Sénons pour tester sa popularité à un mois des européennes. Autre registre, autre figure avec la ravissante Miss France 2024, Eve GILLES, qui s’est prêtée au jeu des arrêts sur stands en compagnie de l’édile Paul-Antoine de CARVILLE…

 

SENS : La foire de Sens vire au people, c’est certain ! Et ce, de toutes tendances confondues ! Après le personnage politique – Jordan BARDELLA qui s’est greffé sur la manifestation l’une des plus populaires de France en termes de fréquentation, du fait de sa configuration géographique, tout autour de la ville – c’était au tour de la vedette cathodique et des magazines glamour, la Miss France 2024, de venir faire le petit tour dominical qui va bien à la rencontre de ses fans et de son public, un tantinet féminin de surcroît.

La nouvelle ambassadrice des mathématiques en France – si, si, c’est du sérieux ce titre honorifique lui a été décerné par le Premier ministre car la jeune femme de vingt ans possède une licence dans la discipline – découvrait pour la première fois de sa jeune existence la traditionnelle foire expo sénonaise, ses exposants, ses us et coutumes, son sens de la fête.

 

 

Souriante et affable, ce sont les premières des qualités que l’on exige de ces belles personnes qui incarnent la dimension tricolore à l’international mais aussi dans l’Hexagone, Eve GILLES n’a pas boudé son plaisir de se retrouver en compagnie d’un guide lui narrant tous les explicatifs sur sa ville, Paul-Antoine de CARVILLE, en se promenant dans les belles allées gorgées de professionnels de l’artisanat, du commerce et des services. Le public lui a bien rendu en multipliant selfies et séances d’autographes avec finalement la « première dame de France », côté représentativité !

Une foire qui se « peoplise », quoi de plus naturel en somme pour ce type d’évènementiel accueillant du public. Forcément, il y aura eu aussi des retombées économiques pour les 300 exposants et les professionnels de la ville. Elle n’est pas belle la vie ? Si, comme le sourire éclatant d’une Miss France !

 

Thierry BRET

 

 


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Pour sa 95e édition, la Foire de Sens s’est offerte un invité de dernière minute que les organisateurs n’avaient pas prévu au programme initial ! Comme une inauguration avant l’heure pour le président du Rassemblement National, Jordan BARDELLA, qui a déambulé deux heures durant, multipliant signatures et selfies, pour le plus grand plaisir de ses supporters locaux.

 

SENS : Si aux premières heures de la matinée ce samedi, le ciel sénonais avait oublié de se peindre en bleu, il suffisait de se promener dans les travées de la foire exposition pour en retrouver la couleur. Bien avant l’arrivée du « patron », ils étaient une vingtaine à la manœuvre, militants RN du cru, blouson et casquette bleu azur de circonstance, à distribuer des tracts à l’effigie de leur président sur fond de ciel provençal…

Une heure plus tard, ils étaient plus de deux cents à attendre l’arrivée de Jordan BARDELLA, à l’image de Renée, qui affiche haut et fort ses 82 printemps, prête à se jeter dans la mêlée pour obtenir le « Graal », en l’occurrence un selfie avec la tête de liste du Rassemblement National aux européennes : « j’ai toujours voté Front National et m’en suis jamais cachée. Mais Jordan, c’est autre chose, qu’est-ce qu’il est beau… » (Sic !).

Sous les quolibets, quelques membres du collectif « 89 contre l’extrême droite » tentent de déployer une banderole au contenu explicite, « Pas de R Haine chez nous ». Laurène a bien du mal à se faire entendre : « ils sont racistes, ils sont sexistes, ils sont fascistes. C’est un parti qui ne cesse de dire qu’il défend le peuple et en réalité, sa définition du peuple, c’est défendre les milliardaires, comme MACRON… ».

 

 

Des vertes et des pas mûres au niveau des expressions !

 

Dans le camp adverse, le discours des plus anciens se fait parfois fleuri : « vous avez des petits-enfants madame ? Qu’est ce que vous allez leur laisser ? Un gros tas de merde devant leur porte… ! ». Ou semblant hors de propos : « allez donc à Gaza, vous serez mieux là-bas, vous aurez sûrement des choses à dire… ». Comprenne qui voudra !  Avec cette pique adressée aux anciens frontistes par ce badaud aux sympathies diamétralement opposées : « avec le RN, c’est toujours le cirque, toujours la foire, c’est « bordella… ! ».

Sous la banderole, se glissent quelques jeunes militants de la droite extrême, tracts en mains en guise d’étendard, entonnant sur l’air des lampions le mot du jour, « Jordan président ! ». Et justement, la voiture « présidentielle » se profile à l’horizon. A peine le temps pour le conseiller régional Pascal BLAISE (Avenir Français), d’une ultime consigne : « mettez-vous devant la banderole ! ».

 

 

« Ici, il n’y a personne, par rapport à Vesoul ! »

 

A peine descendu de voiture, déjà la valse des selfies, avec beaucoup de monde sur la piste de danse ! Une « Marseillaise » est entonnée a capella. Elle sonne plus ou moins juste, mais qu’importe ! Ambiance inauguration du Salon de l’agriculture assurée, bousculades en sus, les vaches en moins !

Tout sourire, la tête de liste du RN aux prochaines européennes multiplie les poses et les autographes. Le député Julien ODOUL consulte sa montre, le cortège prend du retard, mais s’accorde une pause sur un stand aux accents méditerranéens. Quelques olives plus tard, nouvel arrêt et nouveaux selfies, « ma belle-sœur est folle de lui alors je vais lui faire une photo… ».  Avec parfois quelques réflexions croustillantes : « c’est qui le jeune que l’on prend en photo ? C’est le maire de Sens ? ».

Mauvaise pioche monsieur, il va vous falloir réviser avant le 09 juin ! Pascal BLAISE a son baromètre personnel pour juger de l’affluence : « moi je me réfère toujours à Vesoul. Ce jour-là, on a fait un kilomètre en 3 heures et demie ! Ici en comparaison, il n’y a personne… ».

 

 

L’ascension fulgurante de celui qui pourrait faire de l’ombre à Marine LE PEN

 

Sur son stand, Gilles est ce que l’on appelle un « bon client », au phrasé pour le moins « sonore » et truculent, pas peu fier de partager le même patronyme que Jordan BARDELLA, même si prévient-il, « le mien n’a qu’un seul L… ! ». Sûr que pour s’envoler, c’est moins facile !

Revendiquant lui aussi une appartenance affichée au parti lepéniste, « d’ailleurs, Marine est déjà venue chez nous à Soucy… ». Presque une terre d’accueil quand on sait que l’ancienne présidente y avait récolté près de 40 % aux européennes de 2019 et une bonne raison pour Gilles, de trinquer avec le président candidat en lui faisant découvrir l’un de ses trésors, un « Côtes d’Auxerre blanc ».

Quelques mètres encore, avant une mini conférence de presse improvisée, autour de sujets de prédilection du parti, comme l’immigration, l’insécurité et le « délitement de la France »… Le petit-fils d’immigrés italiens - il a grandi en Seine-Saint-Denis - a le verbe facile, en atteste son ascension fulgurante, passé en une décennie, d’une adhésion au Front National en 2012, à son élection à la présidence du Rassemblement National en novembre 2022.

Au point que certains s’interrogent aujourd’hui de l’ombre que pourrait exercer sa popularité, notamment auprès des jeunes, sur une éventuelle candidature de Marine LE PEN à la présidentielle de 2027… « Marine qui ? » répondront les plus fidèles thuriféraires du jeune loup aux dents longues !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Le chiffre, véritable marqueur référentiel, correspond déjà à une première étape symbolique, venant d’être franchie. 2 500 ! C’est le nombre de systèmes de télé-relève (et non pas de simple « compteur » d’eau comme le rappellera fort judicieusement le directeur de l’agence SUEZ Bourgogne-Champagne Fabrice LABALME) qui vient d’être installé dans l’Auxerrois. Un déploiement  technologique devant s’étendre jusqu’à fin 2025 sur les vingt-huit communes de l’agglomération. Avec in fine, un double objectif : préserver la ressource en eau et surtout apporter des services novateurs aux usagers…

 

LINDRY : « On ne touche pas à l’existant, mais on vient se greffer sur le compteur déjà existant… ».  Il n’est pas avare en commentaires techniques lors de sa présentation, le  patron du groupe SUEZ Bourgogne-Champagne Fabrice LABALME. Invité à expliquer les objectifs et enjeux de ce déploiement de systèmes de télé-relève à tout crin (37 000 foyers seront à terme équipés de cet appareil connecté en l’espace de deux ans sur l’Auxerrois), le responsable de l’opérateur régional devait rappeler lors d’une présentation officielle du dispositif technologique que celui-ci correspondait à une engagement fort, pris par SUEZ, lors de la signature de la nouvelle délégation de service public, signé en 2023. Un contrat baptisé « AuxR_Eau ». Un engagement qualifié de « visible » pour les usagers.

« D’ordinaire, on ne voit pas toujours ce que réalise SUEZ au bénéfice des usagers dans la lutte contre les fuites d’eau ou l’entretien des installations, précisa Fabrice LABALME, mais aujourd’hui, c’est différent avec ce nouveau système connecté dont bénéficient déjà les habitants des communes de Lindry, Villefargeau et Saint-Georges-sur-Baulche. Et ce depuis mars 2024… ».

 

 

Une économie de 100 000 m3 d’eau sur le secteur

 

Il est vrai qu’avec l’apport de ce nouvel appareillage, les usagers ont désormais la faculté de pouvoir être maîtres de leur consommation d’eau. Le suivi de cette consommation est possible. En cas de déperdition ou de surconsommation, des alertes sont ainsi lancées auprès des utilisateurs de ce dispositif performant.

« On a également prévu d’envoyer à l’usager des informations lui permettant d’optimiser sa consommation d’eau, ajoute l’orateur, quant à la facturation, elle ne sera plus établie sur de l’estimation mais bel et bien à partir de la consommation réelle… ».

 

 

Un avantage précieux, dans la gestion de son budget. Concrètement, près de 100 000 m3 d’eau seraient économisés annuellement grâce à ce système. Une télé-relève qui offre aussi des avantages pour la partie exploitation du réseau.

« Nous pourrons connaître à l’aide de cet outil le rendement de notre réseau, commune par commune, souligne Fabrice LABALME, et ce au quotidien et non plus une fois par an ! ».

 

Réduire et optimiser son usage de l’eau

 

Un déploiement tous azimuts sur l’Auxerrois qui se veut vertueux et solidaire, en compagnie de la société d’insertion « IDEES 89 ». Celle-ci assure la pose gratuite de ces systèmes chez l’habitant, comme à l’heure actuelle sur la localité de Perrigny.

« Tout ce que l’on fait là, c’est dans le cadre de la préservation de la ressource, insiste Fabrice LABALME, c’est important car malgré les pluies abondantes actuelles, il ne faut pas oublier qu’en octobre dernier nous étions encore en période de sécheresse avec des arrêtés préfectoraux restreignant la consommation…. ».

D’où le fameux slogan, « je réduis, je décale », adaptable à l’électricité qui s’applique également pour la consommation d’eau, dans la version suivante : « je réduis, je réutilise et j’optimise mon usage de l’eau »…

 

Thierry BRET

 

 


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