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La qualité de l’eau dans l’Auxerrois et les interrogations sur la décision d’en confier la gouvernance au privé pour les vingt prochaines années ont servi de trame au premier débat public organisé par le collectif « Notr’Eau », le 22 mars  dernier. Une date qui ne relève sans doute pas du hasard, puisque célébrée par les instances de l’ONU depuis plus de vingt ans comme « Journée mondiale de l’eau ».

 

AUXERRE: Si l’on s’en réfère à l’historique présenté en préambule de la soirée, il y a longtemps que la qualité de l’eau sur le territoire de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois est pointée du doigt. C’est ainsi que dès le milieu des années 90, on enregistrait des pics de nitrates et de pesticides dans les analyses effectuées alors, survenant en général à la fin de l’hiver, conséquence d’apports importants sur les cultures d’engrais azotés à l’automne. Une situation donnant naissance en 1998 à l’Association pour la qualité de l’eau potable de la Plaine du Saulce, regroupant des agriculteurs sensibilisés aux problèmes de pollution et à une modification de leurs pratiques culturales. Leurs efforts conjugués à l’élaboration d’une charte sur les bassins d’alimentation de captage (BAC) par les pouvoirs publics en 2016 et la création d’un système de géofiltration supplémentaire à Escolives n’ont pu empêcher trois ans plus tard, la fermeture des captages d’Irancy, Chitry et Augy. En 2020, la Communauté d’agglomération relançait la charte locale pour la qualité de l’eau et son comité de pilotage, avec à ce jour, 37 agriculteurs engagés dans la démarche, soit 24 % des exploitants de la zone pour 42 % de la surface totale des BAC.

 

Pas d’excès de nitrates sur l’Auxerrois depuis mai 2022…

 

Des chiffres jugés insuffisants selon l’un des deux intervenants de la soirée, Dominique COQUERET, membre de l’Observatoire des pollutions dans l’Yonne : « plus de la moitié des captages sont actuellement encore menacés. Nous sommes aujourd’hui en vulnérabilité car il suffirait d’une pollution importante sur l’un des trois captages restants pour que l’ensemble de l’agglo, soit 72 000 personnes, se retrouve en difficulté… ».

L’ancien médecin homéopathe a rendu compte de l’étude entreprise par ses soins à partir des 1 400 analyses effectuées par l’ARS (Agence Régionale de Santé) ces six dernières années, faisant état de pollutions multiples : nitrates, pesticides et leurs métabolites, plomb, sur-chloration… Si tous les captages sont impactés, Irancy aura été en 2021 la commune la plus affectée par les nitrates, totalisant neuf dépassements du taux autorisé de 50 mg/l, rendant l’eau impropre à la consommation pour les nourrissons et les femmes enceintes. Le seuil de 100 mg/l en interdisant l’usage pour tous, avec des risques avérés de voir les nitrates se transformer en nitrites cancérigènes dans l’intestin. A noter que depuis mai 2022, aucune commune de l’Auxerrois n’a présenté d’excès de la sorte. Le résultat combiné, selon Dominique COQUERET, du développement de l’agriculture de conservation et des couverts végétaux, ainsi que l’interconnexion entre les réseaux de manière à diluer l’eau et passer sous la barre des seuils autorisés.

 

 

De multiples sujets de préoccupation pour les consommateurs

 

Classé un temps au premier rang des producteurs de colza, le département, jusqu’en 2016, consacrait encore 71 000 ha à cette culture, usage à l’appui d’herbicides comme le « Dimétachlore » et le « Métazachlore ». Avec des pollutions aux pesticides pouvant dépasser le quadruple du seuil autorisé, comme à Perrigny en 2018, ou plus du triple aux Piédalloues à Auxerre en 2020. Particulièrement toxique pour les plantes aquatiques, le « Métazachlore » est considéré comme hématotoxique pour les humains, occasionnant des dommages au foie et susceptible de provoquer des cancers en cas d’expositions répétées. Autre préoccupation avec le « R471811 », métabolite issu du fongicide « Chlorothalonil », très utilisé en grandes cultures céréalières, jusqu’à son interdiction en mai 2023. Une étude menée depuis juillet dernier a mis en exergue sa présence dans douze communes du territoire auxerrois, avec au total 21 prélèvements supérieurs à la dose normale.

Autre sujet d’inquiétude avec la sur-chloration enregistrée dans les relevés effectués, faisant état de 236 dépassements des seuils autorisés sur une période de 2018 à 2022 et 58 supplémentaires en 2023. Avec parfois des chiffres pouvant atteindre sept fois la dose autorisée, comme à Vallan en décembre 2022 ! Rappelons que si la chloration de l’eau est une méthode efficace pour se prémunir des bactéries, son usage intensif peut entraîner l’apparition de sous-produits, dont les « Trihalomethanes » (THM), considérés comme cancérigènes. Une sur-chloration pouvant avoir pour origine, explique Dominique COQUERET, « qu’après la fermeture de certains captages, il a fallu rallonger les interconnections, notamment avec celui des Boisseaux-Monéteau, qui va jusqu’à Chitry et comme le chlore est volatile dans les réseaux, on le surdose au départ… ».

Avec cette interrogation sur le fait qu’en Puisaye-Forterre, suite à un léger dépassement à Moutiers en mai 2023, l’ingénieur en charge des relevés avait rédigé un rapport alarmant en ces termes : « la teneur en chlore résiduel sur le réseau de distribution doit se situer entre 0,1 et 0,2 mg/litre… Il est indispensable de revoir les conditions de fonctionnement du dispositif de désinfection et d’assurer un suivi régulier et rigoureux afin de garantir en permanence aux usagers un taux de désinfection satisfaisant… ».

Pas un seul message de ce type, affirme l’intervenant, n’a jamais été diffusé sur le territoire de l’Auxerrois, « alors même que l’on y a enregistré plus de 300 dépassements supérieurs à 0,400 mg/litre… ».

 

 

L’exemple de Paris à la loupe

 

L’eau est-elle un bien commun trop précieux pour voir sa gestion confiée au privé… ? En septembre dernier, les élus de la majorité communautaire ont perpétué le système de privatisation en vigueur depuis plusieurs décennies, en renouvelant pour vingt ans à la société SUEZ la délégation de service public d’eau potable sur l’ensemble du territoire de l’agglomération auxerroise. Validant de fait une enveloppe budgétaire de 140 millions d’euros comportant notamment la construction de deux nouvelles unités de traitement et l’installation de compteurs connectés de nouvelle génération. Les membres du collectif d’usagers « Notr’Eau » sont vent debout contre ce choix, coupable à leurs yeux de privilégier le curatif au préventif en matière d’assainissement et de protection de l’eau, synonyme également d’un alourdissement de la facture pour l’usager dans un avenir proche.

Un discours conforté par l’intervention d’Anne LE STRAT, docteur en géopolique et ancienne responsable de la gestion de l’eau à la mairie de Paris sous l’ère de Pierre DELANOË, qui fit de la remunicipalisation du service son cheval de bataille, conduisant à la création de l’entité « Eau de Paris », à ce jour la plus grande régie publique d’eau dans l’Hexagone.

Avec pour objectif, une démarche de prévention en amont, qui s’inscrit dans le temps, « une démarche qui ne répond pas à des logiques financières liées aux contrats privés, car pas forcément rentable à court terme… ».

 

 

Un nouvel échange public prévu à l’automne

 

Elle s’accompagne notamment d’aides financières à la transition des systèmes agricoles, pour une meilleure qualité de l’eau, comme c’est le cas dans le nord de notre département : « sur le Bassin de la Vallée de la Vanne, nous sommes passés de 1 % de surface agricole utile cultivée en bio à 30 % aujourd’hui pour 39 agriculteurs engagés, en l’espace d’une dizaine d’années, la plus belle réussite du système mis en place… ».

Sur l’ensemble des bassins, 115 exploitations bénéficient ainsi de ce dispositif de « Paiement pour Service Environnemental », pour une enveloppe sur sept ans de plus de 50 millions d’euros, financée à 80 % par l’agence de l’eau Seine-Normandie et à hauteur de 20 % par Eau de Paris : « une démarche de prévention qui porte ses fruits, on le voit à la fois par la baisse du niveau des pesticides, nitrates et intrants sur la zone, mais aussi avec le maintien de l’emploi agricole et les débouchés de nouvelles filières. Un modèle vertueux à la fois pour les collectivités, les usagers, les agriculteurs et pour les territoires… ».

Les membres du collectif « Notr’Eau » vont désormais s’atteler à analyser les teneurs du contrat souscrit entre la collectivité territoriale et la société SUEZ, avec une remise de leurs travaux à l’automne prochain, dans le cadre d’une nouvelle conférence-débat.

 

Dominique BERNERD

 


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La connaissance de l’eau à distiller dès le plus jeune âge, cela coule de source chez VEOLIA. Eduquer aux gestes salvateurs pour la planète – l’économie d’une ressource naturelle qui va aller en se raréfiant à l’avenir – les enfants dès la maternelle et le primaire pour qu’ils servent de courroie de transmission auprès de leurs parents et leur environnement familial est un fin calcul sur lequel l’opérateur a décidé de miser en Bourgogne Franche-Comté. Grâce à une mallette au contenu pédagogique qui a été testée aux côtés du SIVOM du Gâtinais. Explications…

 

VILLETHIERRY ; C’est presque une mallette diplomatique. Avec un contenu plutôt éclectique dans les tests et expériences à réaliser que les enseignants peuvent mener auprès de leurs jeunes élèves en classe afin de les éduquer à préserver, voire à économiser, cette ressource naturelle si nécessaire à l’homme, l’eau. Là, où on est surpris en qualité d’observateur de l’initiative, c’est la cible visée. Des enfants, certes, mais pas ceux qui fréquentent les collèges ou les lycées, mais bel et bien ceux du primaire, voire de la maternelle.

Une sacrée initiative que pilote VEOLIA et ses équipes en Bourgogne Franche-Comté. Une animation qui repose sur cette mallette offerte par l’entreprise gestionnaire de l’eau au…SIVOM du Gâtinais. Pour les amateurs d’explication d’acronymes, le Syndicat intercommunal à Vocation Multiple, pour celles et ceux qui avaient déjà oublié.

 

 

Eduquer les plus jeunes pour qu’ils en parlent à leurs parents

 

D’ailleurs, la représentante de la structure, en l’occurrence sa présidente, Christine AITA, ne manque pas une miette des explications fournies par Thierry CHANUSSOT, directeur du territoire Nord-Bourgogne de VEOLIA. Carte façon planisphère à l’appui, ce dernier en bon pédagogue explique la situation de l’eau à l’échelle du globe. L’eau douce disponible par habitant sur la Terre. Et à bien regarder la carte dépliée par notre interlocuteur devant les yeux intéressés des institutrices de l’école maternelle de Villethierry, il y a du souci à se faire pour certains des pays du continent africain ou du Moyen-Orient. La guerre de l’eau est déjà dans tous les esprits ; le réchauffement climatique et son aggravation n’arrangent rien en matière de crise géopolitique qui risque de poindre son nez dans l’échiquier planétaire.

Alors, éduquer les plus jeunes des générations de cette véritable problématique qui va vraiment s’accélérer dans les années à venir n’est peut-être pas le moindre mal.

Les enseignantes posent des questions sur le contenu de cette mallette magique qui propose pipettes, fioles, et ustensiles utiles à des prélèvements. Une manière ludique de découvrir le cycle de l’eau, tel un mini-laboratoire portatif puisque facile à manipuler. Commentaires de Thierry CHANUSSOT durant son exposé aux représentantes du SIVOM et aux enseignantes, « cette mallette pédagogique permet à l’élève de suivre une vraie démarche scientifique, basée sur l’observation, la formulation d’hypothèses, et la validation par l’expérience… ».

 

 

Une quinzaine d’expériences à réaliser avec la mallette…

 

Joindre l’utile à l’agréable donc autant pour les institutrices que nos chères têtes blondes (ou brunes) qui vont accroître leurs connaissances autour de cette matière liquide indispensable à la vie.

Si d’ordinaire, le public visé par ce genre d’initiative se situe davantage vers le secondaire en mode 6ème et 5ème, VEOLIA a voulu tester avec la bénédiction du SIVOM du Gâtinais les bienfaits de cette malle à la Houdini dans les classes inférieures, notamment les cours moyens et élémentaires. Même les maternelles, avec un langage adapté, ont pu bénéficier de cette session pour le moins enrichissante de perles et paroles d’enfants. In fine, ce sont trois écoles à Domats, Villebougis et Villethierry qui ont ainsi pu profiter de ces séances explicatives, et leurs écoles de ces mallettes prêtes à l’emploi.

Des mallettes offertes, rappelons-le, par VEOLIA Eau, aux écoles des collectivités dont les services aquatiques sont gérés par l’opérateur hexagonal.

Une quinzaine d’expériences se rapportant à l’état de l’eau, sa potabilité, son transport peuvent ainsi être tentées en cours durant la période scolaire. Une judicieuse idée qui ne demanderait qu’à être dupliquée dans les autres SIVOM de l’Yonne. Voire à destination des plus grands et notamment des adultes, grands gaspilleurs de la ressource au quotidien, comme chacun le sait…

 

Thierry BRET

 


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L’exercice se reproduira dix fois. Dans chacune des caisses locales de la vénérable institution. Celle qui prône les vertus et les valeurs du mutualisme au travers de la protection et de la prévoyance. Entamées sur le secteur Nord Est du Sénonais, et plus spécifiquement à Pont-sur-Yonne, les assemblées générales de l’assureur mutualiste vont ainsi s’étirer jusqu’à la mi-mai, date de l’ultime rendez-vous…

 

PONT-SUR-YONNE ; C’est la grande revue du printemps. Un exercice qui revient une fois l’an et qui s’égrène sur une période d’une dizaine de semaines environ. Presque autant que le nombre de caisses locales qui sont ainsi concernées par l’initiative, s’inscrivant parmi les étapes obligatoires et statutaires de la structure assurantielle et de prévoyance, les assemblées générales des caisses locales concoctées dans l’Yonne.

Le rendez-vous revêt toujours de la plus haute importance pour les dirigeants de GROUPAMA Yonne. A l’instar de ceux du groupe régional, Paris-Val-de-Loire, puisque ce type d’exercice est programmé dans chacun des départements fédérés sous cette appellation.

C’est donc par la partie septentrionale de l’Yonne que les responsables de l’entité mutualiste ont posé les jalons de ce nouveau cycle de dix rendez-vous, correspondant à la programmation 2024. Et c’est le président de la caisse locale Nord Est Sénonais, Guillaume GALLOT, qui devait lancer les opérations lors de la première rencontre, dans l’une des salles des fêtes de Pont-sur-Yonne. Sous les regards attentifs de Ludovic DAME, directeur des établissements de GROUPAMA Yonne et Seine-et-Marne, de Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses locales de la structure et de Grégory DORTE, premier vice-président du Conseil départemental de l’Yonne et maire de Pont-sur-Yonne.

 

 

Mieux cerner le mode de fonctionnement de l’assureur mutualiste

 

Une localité que GROUPAMA 89 connaît particulièrement bien pour y avoir décliner différentes opérations salvatrices et généreuses en matière de prévention aux gestes qui sauvent, ou le soutien financier de la réhabilitation du Vieux pont.

Retour aux sources ou presque donc pour la société de prévoyance et de gestion des sinistres, avec ce rendez-vous explicatif pour les nombreux sociétaires présents. Des personnes à l’écoute de tout ce qui fut présenté durant deux heures avec une option sur la prévention et les alarmes.

 

 

Rendre compte de l’activité de la caisse locale à travers ses multiples actions, en y ajoutant de la convivialité – le traditionnel repas des sociétaires servi sur place en guise de clôture de cette rencontre – reste la priorité de ces états des lieux forts instructifs pour mieux cerner le mode de fonctionnement de l’entreprise.

C’est en substance ce que devait rappeler Guillaume GALLOT dans son préambule.

Ce dernier devait revenir sur la grande opération des gestes qui sauvent, accueillie dans les salons de l’AJ Auxerre, il y a quelques semaines. Autre manifestation orchestrée avec le concours des sapeurs-pompiers de l’Yonne (SDIS) en direction de l’Ukraine, la mise en condition de chiens sauveteurs qui ont été préparés par les pompiers de l’Yonne, en vue de rechercher des personnes ensevelies sous des décombres après les bombardements.

 

Les sociétaires sont les acteurs du mutualisme…

 

Naturellement, le président de la caisse locale Nord Est Sénonais ne pouvait s’affranchir de parler de l’association des « Petits Princes » et des marches déclinées çà et là pour récolter des fonds nécessaires pour porter les projets de la structure. D’ailleurs, le 01 er avril, c’est sur le secteur de Chablis que sera organisée l’une de ces opérations pédestres, toujours très suivie par les randonneurs.

De quoi donner aux sociétaires une vision globale et locale de la vie de la structure. « Le mutualisme ne fonctionne véritablement si et seulement si les sociétaires sont actifs de l’organisme dont ils défendent les valeurs, ajouta Guillaume GALLOT, le mutualisme, c’est l’affaire de tous… ».

Un message envoyé en substance à celles et à ceux des sociétaires qui aimeraient bien s’investir davantage dans la prise de décision de la caisse locale. Puis, les comptes de l’entité septentrionale de l’Yonne furent présentés et commentés via des slides par une analyste vocale. La soirée pouvait alors se poursuivre tranquillement avec la traditionnelle série de questions et réponses des sociétaires…Un rendez-vous utile et agréable.

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est l’incontestable star de la soirée. Une vedette mécanisée mise en évidence, sous le feu des projecteurs, par les responsables de la concession « Etoile 89 ». Celle que dirige, sous l’égide du groupe CHOPARD et ce depuis quelques années déjà l’hôte de ces lieux, Paulo PIMENTEL. Une vitrine commerciale, cousine germaine du point de vente auxerrois. Mais, c’est bel et bien à Sens que s’est déroulé l’évènement. La présentation de la grande nouveauté de ce printemps 2024 chez MERCEDES avec la sortie du modèle AMG SL 63 4MATIC +. A l’occasion des retrouvailles dynamisantes du club CARBAO Sens et de ses adhérents entrepreneurs…

 

SENS ; Les soixante-dix chefs d’entreprise et autres cadres dirigeants, invités dans le cadre des rencontres business par le club sénonais, CARBAO, n’auraient manqué sous aucun prétexte un tel spectacle pour la vue. Et, sans doute, s’offrir un peu d’évasion avec de l’imaginaire un brin débridé.

Outre le plaisir de se retrouver en pareille circonstance en ces lieux – c’est déjà la troisième fois que le réseau de recommandations et club d’affaires du Sénonais est accueilli par le groupe CHOPARD dans l’une de ses concessions automobiles à l’estampille de l’enseigne « Etoile 89 » -, les invités d’un soir ont pu se délecter de la vision de quelques modèles automobiles haut de gamme et grand luxe, produits tout droit dans les unités industrielles de la fameuse marque allemande, MERCEDES.

 

 

Une mise en bouche visuelle des plus appétissantes avant de participer au traditionnel échange de cartes de visite, rythmé par le président de l’entité, David de FREITAS.

D’autant que c’est un superbe modèle, roadster, d’un bleu sombre remarquable (un bleu de référence spectral magno pour les puristes) qui attendait les convives, une fois les portes de la concession franchies.

Une splendide MERCEDES AMG SL 63 4MATIC + de la plus belle veine. Des sièges en cuir de couleur beige, très confortables. Des jantes alliage de 21 pouces, impressionnantes. Et au bas mot, 430 kW sous le capot pour ce spécimen nécessitant de l’essence, comme source d’alimentation.

 

 

 

Bref, du bel ouvrage made in Germany et produit dans le nord de l’Allemagne, du côté de Brême qui fit actionner les smartphones des férus de belles mécaniques afin d’immortaliser l’engin. Dommage que les responsables de CARBAO Sens ne purent offrir un exemplaire de cette réussite technologique à l’un de ses invités prospects, potentiellement recrutables au sein de la structure associative. Cela aurait été le clou de la soirée.

Mais, restons raisonnable, tout de même. Un simple coup d’œil sur la fiche caractéristique de la « Belle » aura peut-être refroidi les ardeurs consuméristes des participants. Le prix de base TTC et clés en main de ce sympathique véhicule s’élève à environ…197 750 euros. Auquel on peut ajouter allègrement 12 000 euros d’accessoires optionnels. Le « prix d’un appartement » me confiera une interlocutrice présente sur place, interloquée. Certes, oui. Mais, plutôt que d’être enquiquiné avec les travaux obligatoires et imputables au diagnostic de performance énergétique (DPE) et ses innombrables casse-têtes chinois en termes de compréhension qui rebutent désormais les propriétaires immobiliers, ne vaudrait-il pas mieux se faire plaisir à bord de ce joyau automobile, sorti de son écrin, sur les belles routes de nos prochaines vacances, en profitant du soleil. La question mérite amplement d’être posée…

 

Thierry BRET

 


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La Fédération nationale des Chasseurs a organisé sa troisième édition de l’opération « J’aime la nature propre », du 15 au 17 mars. L’initiative gagne en notoriété chaque année. Elle est vivement soutenue par de nombreux élus, notamment le député de l’Yonne Julien ODOUL.

SENS ; En 2021, la Fédération nationale des Chasseurs lançait une opération participative et citoyenne de ramassage des déchets, baptisée « J’aime la nature propre ». L’événement est organisé en partenariat avec l’Office Français de la Biodiversité (OFB), l’Association nationale pour le Développement durable et responsable du VTT, Mountain Bikers Foundation (MBF), la Fédération Française de Course d’Orientation (FFCO) ainsi que la filière REP (Responsabilité Elargie du Producteur) des mégots ALCOME. Chaque année, l’opération mobilise de plus en plus de bénévoles orientés par les fédérations départementales, 1 344 participants lors de la première édition (6 fédérations), 65 868 participants (32 fédérations) en 2022 et 89 479 participants (41 fédérations) en 2023.

Cette année, 90 fédérations ont pris part au projet. La Fédération nationale de Chasse n’a pas encore recensé le nombre total de participants.

Le département de l’Yonne, qui participait pour la toute première fois à l’opération, prévoyait trois points de collecte, à Paron, Villeneuve-sur-Yonne et Senan. Au total, 130 bénévoles ont collecté 27 m3 de déchets. Présent lors du nettoyage de la commune de Paron, Sébastien DUCARUGE, technicien de la Fédération des Chasseurs de l’Yonne, espère que le nombre de participants sera croissant au fil du temps.

« Au départ, on a cherché tous les sites avec les sociétés de chasse qui étaient d’accord. Et après, on a greffé tous les gens de bonne volonté ».

 

 

Le technicien rappelle que les associations ramassent déjà les déchets depuis plusieurs années lors d’opérations locales, néanmoins « moins bien structurées », ainsi que l’attachement des chasseurs à la nature.

« Nous, on pratique notre loisir dans la nature. Si vous avez des déchets partout qui ne sont pas jetés par les chasseurs, vous imaginez, que nous on l’utilise cette nature. Ce n’est pas agréable de voir des déchets partout ».

Sollicité par la Fédération icaunaise, le député de la troisième circonscription de l’Yonne, le Rassemblement national Julien ODOUL n’avait pas pu les accompagner le jour du grand nettoyage en raison d’un déplacement à Lyon dans le cadre de la campagne des Européennes. L’élu affiche cependant un sincère soutien à l’opération. Il souhaite que « ça puisse se développer ».

« Je considère que c’est bien que ces opérations soient menées par les enfants, par les associations, par les communes. Je pense que c’est important de sensibiliser sur l’écologie du quotidien et du réel, c’est-à-dire le cadre de vie. C’est là où on vit, où on se promène, les paysages que l’on sillonne. Surtout les chasseurs qui sont parmi les premiers écologistes des France. Ils connaissent la nature parfaitement ».

Pour lui, les chasseurs apportent « un semblant de service public ».

 

Floriane BOIVIN

 


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