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Le chiffre, véritable marqueur référentiel, correspond déjà à une première étape symbolique, venant d’être franchie. 2 500 ! C’est le nombre de systèmes de télé-relève (et non pas de simple « compteur » d’eau comme le rappellera fort judicieusement le directeur de l’agence SUEZ Bourgogne-Champagne Fabrice LABALME) qui vient d’être installé dans l’Auxerrois. Un déploiement  technologique devant s’étendre jusqu’à fin 2025 sur les vingt-huit communes de l’agglomération. Avec in fine, un double objectif : préserver la ressource en eau et surtout apporter des services novateurs aux usagers…

 

LINDRY : « On ne touche pas à l’existant, mais on vient se greffer sur le compteur déjà existant… ».  Il n’est pas avare en commentaires techniques lors de sa présentation, le  patron du groupe SUEZ Bourgogne-Champagne Fabrice LABALME. Invité à expliquer les objectifs et enjeux de ce déploiement de systèmes de télé-relève à tout crin (37 000 foyers seront à terme équipés de cet appareil connecté en l’espace de deux ans sur l’Auxerrois), le responsable de l’opérateur régional devait rappeler lors d’une présentation officielle du dispositif technologique que celui-ci correspondait à une engagement fort, pris par SUEZ, lors de la signature de la nouvelle délégation de service public, signé en 2023. Un contrat baptisé « AuxR_Eau ». Un engagement qualifié de « visible » pour les usagers.

« D’ordinaire, on ne voit pas toujours ce que réalise SUEZ au bénéfice des usagers dans la lutte contre les fuites d’eau ou l’entretien des installations, précisa Fabrice LABALME, mais aujourd’hui, c’est différent avec ce nouveau système connecté dont bénéficient déjà les habitants des communes de Lindry, Villefargeau et Saint-Georges-sur-Baulche. Et ce depuis mars 2024… ».

 

 

Une économie de 100 000 m3 d’eau sur le secteur

 

Il est vrai qu’avec l’apport de ce nouvel appareillage, les usagers ont désormais la faculté de pouvoir être maîtres de leur consommation d’eau. Le suivi de cette consommation est possible. En cas de déperdition ou de surconsommation, des alertes sont ainsi lancées auprès des utilisateurs de ce dispositif performant.

« On a également prévu d’envoyer à l’usager des informations lui permettant d’optimiser sa consommation d’eau, ajoute l’orateur, quant à la facturation, elle ne sera plus établie sur de l’estimation mais bel et bien à partir de la consommation réelle… ».

 

 

Un avantage précieux, dans la gestion de son budget. Concrètement, près de 100 000 m3 d’eau seraient économisés annuellement grâce à ce système. Une télé-relève qui offre aussi des avantages pour la partie exploitation du réseau.

« Nous pourrons connaître à l’aide de cet outil le rendement de notre réseau, commune par commune, souligne Fabrice LABALME, et ce au quotidien et non plus une fois par an ! ».

 

Réduire et optimiser son usage de l’eau

 

Un déploiement tous azimuts sur l’Auxerrois qui se veut vertueux et solidaire, en compagnie de la société d’insertion « IDEES 89 ». Celle-ci assure la pose gratuite de ces systèmes chez l’habitant, comme à l’heure actuelle sur la localité de Perrigny.

« Tout ce que l’on fait là, c’est dans le cadre de la préservation de la ressource, insiste Fabrice LABALME, c’est important car malgré les pluies abondantes actuelles, il ne faut pas oublier qu’en octobre dernier nous étions encore en période de sécheresse avec des arrêtés préfectoraux restreignant la consommation…. ».

D’où le fameux slogan, « je réduis, je décale », adaptable à l’électricité qui s’applique également pour la consommation d’eau, dans la version suivante : « je réduis, je réutilise et j’optimise mon usage de l’eau »…

 

Thierry BRET

 

 


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Il est fier d’être bourguignon. Même s’il vante désormais les arts culinaires et la gastronomie du Bugey, du côté de Poncin, à quelques encablures de Pont d’Ain et d’Ambérieu-en-Bugey, Jérôme BUSSET n’en oublie pas ses racines originelles de… Joigny ! Et cette grand-mère, qui jadis lui donna dès sa prime jeunesse le goût des saveurs exquises au fond de l’assiette et du « bien manger » en lui mitonnant de savoureux petits plats ! Jeune quadragénaire talentueux qui a fait ses gammes derrière les pianos du lycée Vauban à Auxerre, le garçon vient d’obtenir sa première étoile au Michelin, confirmant ainsi ses qualités de toque experte à « l’AinTimiste »…

 

PONCIN (Ain) : Son plat signature évoque à lui seul son patrimoine géographique originel. Des escargots délicatement poêlés au jus de bœuf dégraissé avec de la crème fouettée. Symbole séculaire de cette Bourgogne gastronomique que nous envient bon nombre d’épicuriens et de férus de bonne chère de la planète.

La Bourgogne, sa mère patrie ! Et plus particulièrement, Joigny. Là où il vit le jour en juillet 1984. Il le dit fort bien : « cette ville de l’Yonne me prédestinait à la restauration gastronomique car mon enfance fut baignée de gourmandises dans la cuisine de ma grand-mère… ».

Il est vrai que Joigny pourrait être l’épicentre de cette cuisine haut de gamme du territoire le plus septentrional de la Bourgogne. « La Côte Saint-Jacques » de Jean-Michel LORAIN, « Le Rive Gauche » de Jérôme JOUBERT : autant de références gustatives qui ont largement dépassé les frontières de l’Yonne, quand ce n’est pas le « Paris Nice ». Bref, il est dit qu’à Joigny quand on est jeune, on aime prendre du plaisir à cuisiner et à élaborer de nouvelles recettes, même celles transmises par sa grand-mère !

 

 

Un parcours incroyable au cœur de la piste aux étoiles !

 

« Mon nez furetait toujours au niveau du plan de travail quand j’étais môme, explique le nouvel étoilé Michelin 2024, le seul et unique du département de l’Ain à avoir gagné un galon cette année, un terroir qui revendique pourtant un lourd apport qualitatif par le passé à cette cuisine traditionnelle que ne renient pas les adeptes de l’art d’ESCOFFIER, du côté de Bourg-en-Bresse et de ses célèbres et goûteuses volailles, de Vonnas avec l’illustre Georges BLANC ou encore à Nantua, ville étape indiscutable pour s’y sustenter des sublimes quenelles de poisson (ou de volaille) nappées de cette remarquable sauce à la couleur orangée.

Entre les effluves des bons petits plats réalisés de main de maître par la parente et le désir de s’y coller aussi en apprenant toutes les subtilités et techniques permettant de s’épanouir derrière les fourneaux, il n’y a qu’un pas unique que le jeune Jérôme saura vite franchir.

De Joigny, le garçon se déplacera de quelques kilomètres, une trentaine, pour se rendre à Auxerre, dans l’un des saints des saints de ces établissements favorisant l’apprentissage d’un métier de la filière hôtellerie/restauration. Le lycée Vauban et sa curieuse topographie, d’ancienne enceinte militaire. C’est là qu’il apprendra tous les rudiments et un peu plus de cet art culinaire, fleuron de notre Hexagone, afin d’y obtenir un bac technologique hôtelier. Il complétera d’ailleurs cet accessit par un BTS option Art de la table, obtenu à Thonon-les-Bains, sur les bords du Léman, une autre région de Savoie où les recettes régalent les habitants.

D’ailleurs, Jérôme est un peu touche à tout très inspiré. De maître d’hôtel, il devient directeur d’établissement, où il travaille en étroite osmose avec des chefs de cuisine renommés. Ses pérégrinations le conduisent à Lyon, temple de la gastronomie hexagonale si ce n’est mondiale ! L’y accueillent de très belles maisons : Léon de Lyon (double étoilé au Michelin), Mathieu VIANNAY (une étoile), Guy LASSAUSAIE (deux étoiles) et La Rotonde (doublement étoilé également). Une vraie piste aux étoiles qui le conforte encore et encore à gravir les échelons ! L’énergie ? Le garçon en a à revendre ! La volonté, elle accompagne sa vie.

 

 

« Ici, à Poncin, j’ai vraiment lâché les chevaux ! »

 

A l’été 2008, il quitte la capitale des Gaules pour s’installer à quelques encablures de là, de l’autre côté de la frontière départementale, dans ce territoire de l’Ain, propice aux belles sollicitations professionnelles.

« Je voulais vivre un projet à dimension humaine, confie-t-il. Et de manière sous-entendue, ne plus être un « pion » quelconque dans une structuration même bien huilée mais reprendre les rênes de son destin, en devenant un véritable acteur. Bref, vivre enfin pour sa cuisine ?

Là, se plait-il à commenter « tous nos efforts et nos exigences de qualité sont récompensés par l’obtention d’une étoile au Guide Michelin... ». Mais, la COVID changera bientôt la donne.

Cette fois-ci, Jérôme BUSSET (et son épouse, Isabelle) décident de franchir un autre cap en prenant leur envol définitivement sur leur propre patronyme. Ils investissent le joli village médiéval de Poncin, non loin du vignoble de Cerdon, en reprenant à cœur la destinée de « L’AinTimiste ».

« J’étais enfin libre d’exercer ma passion de la cuisine, souligne-t-il, accomplir vraiment mon rêve de gosse… ».

 

 

 

 

Le cadre est splendide. Chargé d’histoire et de souvenirs : c’est aussi la plus ancienne bâtisse médiévale de l’endroit. Toutefois, l’intérieur est résolument moderne. Mieux pour les regards curieux des convives, la cuisine où excelle le chef Jérôme s’ouvre sur la salle. La terrasse dès que revient le soleil est splendide.

« Ici, j’ai vraiment lâché les chevaux, plaisante le nouvel étoilé Michelin, tout y est ! Le cadre d’exception avec son puits de lumière d’une trentaine de mètres de hauteur, la cave voûtée. Cet établissement me correspond. Il est aussi le reflet de ma cuisine… ».

La clientèle le lui rend bien. Cosmopolite, elle fait une étape logique en provenance de la Suisse, de l’Allemagne, de l’Italie, du Luxembourg. Sans omettre les Français qui, venant de l’Isère, des deux Savoie et de Lyon, voire de plus loin, en connaissent un rayon sur la gastronomie haute en couleurs et excellente en bouche !

Créative, changée très régulièrement, intuitive, élaborée à partir de produits du sérail, la cuisine de Jérôme BUSSET se déguste avec délectation en se concentrant sur le sens ; envoûtante au palais, régalant le plaisir des yeux. Ici, les volailles de Bresse sont magnifiées par la toque de Joigny. A l’instar des gibiers (en saison), des morilles et des poissons de rivière. Ne parlons pas des desserts !

Côté vins, on se satisfait à laper de petites gorgées de ces excellents Seyssel, vins du Bugey ou ce rosé et effervescent Cerdon qui pétille avec grande fraîcheur en bouche ! Même les truffes sont les bienvenues pour aromatiser une cuisine pleine de surprises agréables.

 

 

En savoir plus :

L’AinTimiste

4 Rue de la Pompe

01450 PONCIN

Tel : 04.74.38.06.66.

Menus de 80 euros à 145 euros.

Ouverture du mardi au samedi.

 

Thierry BRET

 

 


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A la même adresse, au début du siècle, on connut un restaurant grec. Puis, vint le temps de la famille SAUNIER, au cœur du « Rendez-vous » le bien nommé : Jean-Pierre, l'auguste paternel (ancien parrain de la cuisine auxerroise) y oscillait entre fourneaux et comptoir des copains, tandis que Claire, sa fille (on l’a retrouve désormais avec plaisir au « Rive Gauche » à Joigny) s'occupait de la salle. Œufs en meurette d'anthologie, rognon de veau à l'aligoté et autres pièces de bœuf sauce béarnaise valurent au chef SAUNIER un compliment d'un inspecteur du Michelin, à l'époque, pas si lointaine, où ces derniers avaient un contact avec les chefs. Ce qui est désormais prohibé,  dommage...

 

AUXERRE : Depuis l'automne dernier, le « Rendez-vous » est devenu « Le Sarment ». Il y a toujours un petit clin d'œil bachique, comme une sorte de fil rouge, à ce bel endroit. La façade s'est éclaircie. Bienvenue, rue du Pont, juste en face du « Bistrot des Amis », d'ailleurs !

Le service, c'est l'ADN d'un repas réussi : on l'oublie trop souvent - à tort...- mais le meilleur des repas, servi de façon revêche, est sûrement à table, la plus mauvaise des expériences. Tout le contraire ici, avec une cheffe de rang pro, souriante et aimable, qui connaît son affaire, et gère les tables à l'unisson. Les murs de la salle se sont éclairés de quelques jolis clichés (dont la « Fosse Dionne » tonnerroise entre autres...) ; ce qui donne un coup de neuf à l'ensemble ! La première formule déjeuner est proposée à 24 euros. Il y a aussi un menu à 37 euros.

 

 

Des escargots revisités en mode poitrine de veau et sauce blanquette !


L'apéritif fait maison (blanc et ratafia) est plutôt bien dosé. Il accompagne de bonnes gougères. Mention spéciale pour la mise en bouche : concombre, croûtons croustillants et quinoa, très dans l'air du temps !

En entrée, le tartare de bar, raifort, radis, salicorne en pickles est délicieux : frais et assaisonné à point. Pour saucer,  le pain est de circonstance ! Plus inattendue est la bouchée feuilletée à l'escargot, poitrine de veau, sauce blanquette : une entrée  gourmande qui sort un peu nos escargots de leur trop habituelle liaison beurre persillé. Cela leur fait du bien......et à nous aussi d'ailleurs !

Du monde arrive alors, la jeune cheffe de rang à l'œil à tout  pour accueillir tout un chacun.

 

 

 

 

On se régale avec le plat de résistance !

En plat, l'épaule d'agneau confite, olives, citrons, pois chiches est un plat gourmand, qui fleure bon. Le citron, peut-être tel un invité d'honneur, m'y a semblé quelque peu aux abonnés absents, ou soucieux de retourner dans son pays méditerranéen originel ! C’est un ensemble de belle tenue cependant, avec lequel on se régale.
La jolie assiette de fromages affinés  arrive. Avant de terminer par un parfait dessert de saison : fraise, sablé beurré, thym, citron. Un mets à la sucrosité adaptée qui donne un brin l'impression d'un plat de « grande maison ».
Puis après les cafés, se présente l'addition accompagnée d'une délicate attention : le ratafia de prunes maison.
Mission gourmande accomplie pour « Le Sarment », au cœur de la cité auxerroise. Comme le concluaient antan quelques augustes collègues : maison à suivre avec intérêt !

 

 

En savoir plus :

Les - : un très léger bémol sur l'évanescence citronnée de l'épaule d'agneau confite.

Les + : on applaudit chaleureusement la qualité de service de cette table prometteuse. Pourvu que cela dure !

 

 

Contact :

Le Sarment

37, Rue du Pont

89000 AUXERRE

Tel : 03.86.51.46.36.

Ouverture tous les jours sauf le dimanche et le lundi.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Un renouvellement de partenariat, c’est le plus souvent une simple formalité, certes. Mais, il est toujours bon de le graver dans le marbre mémoriel via une séance photographique à la clé ! C’est ce qu’a cru bon de faire (et il a eu raison !) le nouveau responsable de la CPME de l’Yonne, Didier BARJOT, qui séance tenante a pris soin d’organiser avec la chargée des relations partenariales du groupe VYV, Christelle GOURDIN, cet instant immortalisé par l’objectif…

 

AUXERRE : Cela fait déjà une décennie que la relation partenariale entre la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME) et le groupe assurantiel VYV existe. Pas étonnant, donc, que les sourires s’affichaient sur les visages radieux des signataires de ce document, paraphé à Auxerre, lors d’une réunion de travail à laquelle participaient Didier BARJOT, le nouveau président de la CPME 89 depuis quelques semaines – il a succédé à Baptiste CLERIN qui est en charge aujourd’hui de la cellule Artisanat au sein de l’institution patronale -, la nouvelle secrétaire, Peggy PRINCE et la chargée des relations partenariales du groupe VYV, Christelle GOURDIN.

 

 

Protégeant aujourd’hui près de 11 millions de personnes en France, VYV est un partenaire de poids pour l’entité patronale de l’Yonne en matière de protection sociale. C’est ce qu’est venue rappeler la représentante du groupe de prévoyance et de protection lors de ce déplacement en terre de l’Yonne.

 

Thierry BRET

 


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C’est un cap n’ayant rien de fatidique fort heureusement qui vient de tomber ces jours-ci ! La barre des 300 000 sociétaires a été franchie, fin mars, au sein de la caisse régionale du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne. L’information, divulguée par son président Jean-Yves REMILLET, lui a procuré de la joie. Logique ! « C’est pour nous une très grande fierté ! ». Une belle preuve d’utilité, en tout cas, pour les clients, qui sont ainsi engagés dans le soutien aux actions concrètes menées par la Banque Verte sur le terrain…

 

DIJON (Côte d’Or) : Trois cents mille ! Bing ! Voilà un chiffre qui résonne dans les oreilles ! Un brin abrupt, il a été annoncé par le président de la caisse régionale du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne, Jean-Yves REMILLET, lors d’une rencontre avec la presse il y a quelques jours dans la capitale des ducs de Bourgogne.

Il correspond au nombre de sociétaires qui composent désormais et ce, depuis le mois de mars, l’ossature mutualiste de l’entité bancaire régionale. L’une des premières de sa zone de chalandise puisque finançant 30 % de l’économie locale, à cheval, rappelons-le sur la Champagne avec deux de ses départements (Haute-Marne et Aube) et la Bourgogne, avec la Côte d’Or et l’Yonne.

Toutefois, que l’on ne se méprenne pas ! Trois cents mille sociétaires ne signifient pas systématiquement autant de clients ! Ces derniers sont bien plus élevés encore en nombre, sur les quatre territoires de prédilection travaillés par la structure financière. On en dénombre plus de 605 000 aujourd’hui ! Plutôt révélateur de l’état de bonne santé d’un Crédit Agricole CB en belle progression à l’issue de l’exercice 2023 !

 

Le Crédit Agricole, première coopérative au monde ? Certes !

 

D’ailleurs, ce premier palier franchi de 300 000 sociétaires n’est pas une finalité en soi. Comme devait le rappeler le président de la caisse régionale, très satisfait des résultats et ému par cette mobilisation mutualiste. « Tout client a pour vocation d’être un jour sociétaire de notre établissement, justifia-t-il, nous allons donc continuer sur cette voie… ».

Des sociétaires qui jouent un rôle très important dans ce modèle économique solide que représente la banque. S’ils sont plus de 15 000 nouveaux sociétaires à avoir dépassé le Rubicon au terme de l’exercice 2023, il n’en demeure pas moins que les clients (sociétaires ou non) contribuent à faire vivre l’écosystème de leur contrée à leur manière.

« De cela, ajoute Jean-Yves REMILLET, on ne peut que les remercier ! Une banque comme le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne qui est détenue par 300 000 sociétaires qui en sont les propriétaires, c’est unique ! ».

Pour mémoire, ils sont aujourd’hui, aux quatre coins de l’Hexagone, près de 12 millions (11,8) à être dans la même position stratégique, ce qui fait du Crédit Agricole la première coopérative au monde !

Du côté du nombre de nouveaux venus à avoir choisi le réseau « vert », la tendance est également à la hausse avec 21 834 contacts certifiés de plus à ajouter dans les registres de la clientèle régionale.

« C’est grâce à cette manne de clients, anciens et nouveaux, que l’établissement de Champagne-Bourgogne est aujourd’hui une banque solide, dans un environnement soumis à de nombreux chocs, qu’ils soient climatiques, géopolitiques, économiques, sociétaux… ».

Un environnement néfaste qui se répercute par la hausse de l’inflation et la remontée des taux, comme chacun le sait.

 

 

Une progression du résultat net de + 4,7 % !

 

Nonobstant ces aléas, la caisse régionale affiche pourtant un résultat net de 91,1 millions d’euros, soit une progression de 4,7 % sur un an. Son PNB (produit net bancaire) tutoie les 360 millions d’euros (358,6 exactement), fruits de la vente de produits d’assurance (24,9 %), de services bancaires (19,1 %), de collecte et de crédits (34,9 %), de titres (2,1 %) et de revenus financiers (19 %).

Directeur général de la structure, Emmanuel VEY apporte ensuite des compléments d’information, notamment sur les résultats de l’exercice écoulé.

« La caisse montre sa résilience et voit ses chiffres augmenter, souligne-t-il, grâce à la dynamique commerciale du réseau et de ses équipes, nous avons pu maintenir nos parts de marché dans le domaine de l’habitat et de l’immobilier, à 29,02 % tout en enregistrant une belle progression sur la collecte monétaire pour atteindre 28,93 % ».

Mais, ce n’est pas tout ! Les bonnes nouvelles tombent comme à Gravelotte pour l’établissement ! Du côté des nouveaux financements, le CACB a pu réaliser en 2023 et malgré les contours tarabiscotés de la conjoncture, plus de 2,2 milliards d’euros dans des opérations diverses et variées.

Ce qui permet à Emmanuel VEY de renchérir : « même si l’année a été marquée par le ralentissement du marché immobilier, nous avons réalisé 1,1 milliard d’euros de crédits dans le domaine de l’habitat : l’accès à la propriété occupant une place importante dans la vie de nos clients… ».

Dans les faits, ce sont plus de 22 300 foyers qui ont ainsi financé leur projet de vie en bénéficiant des crédits de la « Banque verte ». Quant à la collecte, elle aussi aura profité de cette poussée haussière, avec une progression de 2,1 %, soit 21,3 milliards d’euros.

 

 

Etre en soutien de « toutes les agricultures »

 

Pourvu de 84 caisses locales et de 930 administrateurs, le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne décline via des pactes territoriaux un certain nombre d’actions où élus de l’institution et collaborateurs (1 755 salariés) agissent en symbiose en se rendant « utile » au territoire. Ce qui en fait la deuxième plus grande caisse régionale de France. Les exemples se multiplient tant dans le domaine de la santé que du tourisme, que celui de la jeunesse ou de l’environnement.

Evoquant le dixième anniversaire de la Fondation AGIR, Jean-Yves REMILLET parla du succès de la structure à travers les 84 projets financés en 2023, soit une enveloppe budgétaire de 380 000 euros et un total de 675 réalisations depuis les débuts de l’entité. Des opérations qui sont de plus en plus axées vers la jeunesse, grâce à des ateliers pédagogiques sur la tenue d’un budget ; une nouvelle génération devenue le cœur de cible prioritaire de la fondation au fil du temps.

La ligne « mécénat » 2023 se traduit, quant à elle, par un soutien de 1,2 million d’euros de la part de la banque régionale, dispatché sur de « très belles choses » dira en substance le président de la caisse régionale.

Il fit une parenthèse, naturellement, sur le volet de l’agriculture. « Au-delà du sociétariat, je souhaitai conclure mes propos sur ce monde agricole avec cette situation complexe où le mal être s’est installé… ».

Principale banque du milieu agricole, l’établissement « vert » finance à l’installation neuf jeunes sur dix qui désirent embrasser la filière. « Nous sommes très attentifs au renouvellement des générations, observe Jean-Yves REMILLET, c’est pourquoi nous avons lancé le prêt à taux zéro pour les jeunes agriculteurs en phase d’installation… ».

Un accompagnement qui concerne aussi la transition énergétique, il va de soi, de « toutes les agricultures » !

Récemment, les premiers Cafés de l’installation et de la transmission agriculture/viticulture ont été lancés dans deux départements de la zone de chalandise de la banque. Un modèle qui s’inspire des fameux Cafés de la Création/Reprise d’entreprises ayant fait florès, avec succès, au sein du groupe bancaire depuis pas mal d’années déjà.

 

Thierry BRET

 


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