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La silhouette dessinée sur le drap blanc comporte deux taches rouges, très significatives. L’une à la tête, l’autre dans le cœur. Les automobiles circulant sur l’avenue Charles-de-Gaulle ne peuvent la manquer. Tout comme les autres banderoles. Aux côtés de ce curieux fétiche, pose, les bras croisés mais le regard très déterminé, un jeune homme. Il se nomme Maël MAIRE. Il n’est autre que le secrétaire adjoint du bureau local de la CGT de la Maison d’arrêt d’Auxerre. Il évoque le pourquoi de la mobilisation de ses collègues devant les portes de l’établissement, entre tristesse et colère…

 

AUXERRE : Un coup de klaxon bref. Peut-être un peu trop rapide pour certains. Avant que d’autres sonorités ne viennent s’ajouter à la première marque de sympathie musicale lorsque plusieurs véhicules passent devant les portes de la maison d’arrêt d’Auxerre. Satisfait, le personnel de l’Administration pénitentiaire salue de la main les automobilistes qui manifestent leur soutien à cette initiative pour le moins insolite, entamée depuis vingt-quatre heures. Les banderoles placées tout autour de l’axe routier affichent le motif de cette présence. Calme et ordonnée.

La tristesse se lit dans les regards de ces personnes. Celles qui exercent leur savoir-faire au sein de la Maison d’arrêt, sise dans la capitale de l’Yonne, ou au centre de détention de Joux-la-Ville. La mort tragique de deux de leurs collègues au péage autoroutier situé près d’Evreux dans l’Eure les affecte. Logique. Cela aurait pu leur arriver à eux aussi. Une attaque cruelle et montée de sang-froid que nul ne digère.

« Cette action nous permet de rendre hommage aux victimes et à leurs familles, explique Maël MAIRE, un jeune homme élancé qui cache ses yeux derrière des lunettes de soleil. Peut-être pour ne pas trop montrer le chagrin qui le touche ?

Il poursuit, « on est également présents pour voir ce que l’administration va nous proposer en termes de sécurité à l’avenir… ».

Le secrétaire adjoint du bureau local de la CGT de la Maison d’arrêt auxerroise l’admet bien volontiers : « nul ne peut prédire ce genre de situation ». Pour lui, « privilégier les visioconférences plutôt que de multiplier le transfèrement de ces individus d’un lieu à un autre est la meilleure chose ».

 

 

Puis, évoquant la dangerosité du métier, le jeune homme n’en oublie pas dans ses commentaires l’apport d’une formation initiale. Une formation, qui toutefois, ne prépare absolument pas à vivre le pire comme ce fut il y a peu sur cette bretelle d’autoroute.

Aujourd’hui, la priorité des priorités pour le personnel de l’Administration pénitentiaire est d’obtenir des réponses concrètes de la part de l’Etat, quant à leur sécurité.

« On ne peut pas rester comme ça, assis ici devant les portes de la maison d’arrêt sans qu’il n’y ait une évolution de manière positive. Aujourd’hui, nous sommes en attente d’un tract de l’intersyndicale pour savoir quelle est la marche à suivre et ce qui s’est dit pendant les discussions entre le Garde des Sceaux et nos représentants nationaux… ».

Mais, déçu, Maël MAIRE confirmera quelques instants après que les premiers éléments de réponse filtrant de cette rencontre à Paris ne porteraient guère leurs fruits en matière de modifications positives. Le laissant perplexe, le représentant de la CGT précisa in fine que le mouvement de contestation allait se poursuivre sur le territoire, et par ricochet dans l’Yonne.

« Tant qu’il n’y aura pas de choses concrètes et favorables sur le papier, nous maintiendrons la pression sur l’Etat… ».

Un service minium est cependant assuré dans les murs de la maison d’arrêt ou du centre de détention. La sécurité des collègues travaillant dans un contexte d’effectifs réduits est primordiale. Une escalade de la violence qui fait mal au cœur de ces professionnels de l’ombre, placés sous la lumière de l’actualité de la manière la plus tragique qu’il soit.

 

Thierry BRET

 


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L’initiative dans sa forme s’est voulue originale. Ce qui est plutôt décalé, chez l’un des ténors du milieu bancaire coopératif aux agissements opérationnels séculaires. Même si la « Vieille Dame » que représente la Caisse d’Epargne n’est jamais à court d’idées dans ses modes de présentation d’activité. On ne dispose pas, en effet via sa Fondation nationale, d’une vitrine de communication aussi expressive et itinérante que peut l’être le « BELEM », un trois-mâts très en phase avec l’actualité olympique ces jours-ci ! Pour évoquer les résultats financiers de 2023 devant la presse, changement de paradigme pour ses dirigeants ! Débuter l’entretien en expliquant la répartition desdits résultats équivalait à une grande première structurelle !

 

DIJON (Côte d’Or) : Ont-ils voulu gagner du temps ? Etaient-ils dans l’obligation de respecter un protocole décliné à la minute près pour cause de timing très serré ? Toujours est-il que les dirigeants de l’entité régionale de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté ont été, on ne peut plus direct, dans leurs approches explicatives, lors du traditionnel rendez-vous avec la presse, accueilli dans la flamboyante salle du conseil de la nouvelle « tour d’ivoire » érigée par l’établissement aux 180 vitrines commerciales : le curieux et très transition écologique bâtiment du VALMY.

Un édifice qui sera très prochainement investi par les collaborateurs travaillant au siège de la banque coopérative, et ce, dès le 01er juin. D’ailleurs, c’est simple : la formule d’un classicisme absolu dans le monde du business (« pendant les travaux, les affaires continuent ») aurait pu être utilisée fort à propos, au vu du nombre d’ouvriers du BTP s’affairant encore dans les étages de ce nouveau vaisseau amiral devant être officialisé en grande pompe vraisemblablement à l’automne prochain. De cela, bien sûr, nous reparlerons !

 

De précieuses réserves de 34 millions pour l’octroi de prêts

 

En guise de préambule, le tandem directionnel de l’établissement bancaire régional (Eric FOUGERE, président du Conseil d’Orientation et de Surveillance et Jérôme BALLET, président du Directoire) a su poser ses jalons d’entrée de jeu en évitant le suspens. Pourquoi, en effet, ne pas parler immédiatement de ce que l’on fait avec l’argent gagné au terme d’une année écoulée, plutôt que de tourner autour du pot et attendre la fin de la conférence de presse pour le dire ! Comme rhétorique, c’est simple comme bonjour et cela évite tous les salamalecs !

Donc, étude de cas appropriée en guise de mise en bouche : sur les 67 millions d’euros de résultats financiers obtenus au terme de décembre 2023 par la CEBFC, 20 millions ont été destinés aux rémunérations des sociétaires – pas mal, pas mal ! -, 5 millions constituent l’intéressement des collaborateurs et 8 millions d’euros auront servi à assurer la rénovation sans omettre la modernisation technologique des agences. Le groupe en possède à date cent-quatre-vingts sur l’ensemble des huit départements de la Bourgogne Franche-Comté. De quinze à vingt vitrines commerciales bénéficient ainsi chaque année d’une sérieuse cure de jouvence grâce à un lifting technique et architectural salvateur. Tout cela représente un total de 33 millions d’euros. Reste le reliquat d’à peu près autant, soit 34 millions d’euros. Une enveloppe intégrée dans les réserves de l’établissement. Des réserves ô combien capitales et essentielles pour la raison d’être de la Caisse d’Epargne en matière d’octroi de crédits, le nerf de la guerre de toute banque qui se respecte et qui désire s’ancrer chaque jour davantage sur son territoire. Une augmentation des fonds propres qui offre l’opportunité à l’établissement, partenaire premium des Jeux de Paris, de proposer encore plus de crédits, notamment à l’immobilier et à la consommation. Quant au résultat net comptable – la véritable boussole des financiers de l’entreprise – il s’élève à l’issue de cet exercice à 48 millions d’euros.

Prolixe dans ses explications, le communicant Eric FOUGERE ne manqua pas de rappeler aux médias en présence le poids joué par la Caisse d’Epargne sur l’attractivité économique territoriale grâce au réinvestissement assuré par la banque coopérative. Jérôme BALLET en profitait, quant à lui, pour glisser que le prochain plan stratégique, prévu fin 2024, se déclinerait toujours dans l’optique d’un fonctionnement durable.

 

Accompagner et financer les projets de tout horizon

 

La politique de crédits, tous types et tous marchés, fut ensuite minutieusement analysée par le quintette de dirigeants s’exprimant au nom de l’ex-banque de l’Ecureuil. « Malgré le contexte économique, nous avons continué d’accompagner nos clients dans leurs projets, insistait Jérôme BALLET, et en particulier sur le crédit immobilier ».

S’il n’y avait qu’un chiffre à retenir dans nos mémoires, ce serait celui-là : 36 700 ! Soit le nombre de dossiers de prêts engagés en 2023, tout confondu. Un équivalent en production d’1,2 milliard d’euros pour le seul crédit immobilier qui représente 15,57 % de parts de marché sur la région Bourgogne Franche-Comté. Une légère hausse de 0,54 % sur un an. A préciser, de manière anecdotique, que le nombre de prêts destinés à la rénovation énergétique des habitations – c’est très dans l’air du temps – a doublé depuis 2022, avec 2 378 dossiers engagés.

Particularisme intéressant, les dirigeants de la CEBFC ont pris soin de communiquer sur le taux de refus des prêts immobiliers en 2023 : 14 % au lieu de 13 % en 2022 ; ce qui est relativement faible contrairement à l’adage habituel qui se répand autour de nos concitoyens, « que les banques ne prêtent pas en ces périodes de crise économique ».

Toutefois, force est de constater que les demandes de crédits connaissent un léger tassement. MM. FOUGERE et BALLET donnent des explications probantes autour de ce recul significatif, imputable à l’inévitable hausse des taux inhérente à la conjoncture et aux complexités techniques applicables aux logements, ne serait-ce que par l’ubuesque DPE et ses dérives technocratiques !

L’évolution de l’encours de la collecte – aspect fondamental pour un établissement bancaire et la pérennité de son fonctionnement ! – fut ensuite abordé. En 2023, la Caisse d’Epargne a collecté un milliard d’euros auprès de ses sociétaires et clients.

« Cela nous permet d’être un acteur de l’économie régionale, observa le président du COS, puisque l’encours évolutif de l’épargne nous offre la possibilité d’accompagner et de financer les projets dans leur globalité : entreprises, collectivités locales, immobilier, établissements de santé, etc. Pour les entreprises, nous sommes attentifs au financement des structures innovantes et des projets de transition énergétique et environnementale… ».

A noter, que le LEP (livret d’épargne populaire rémunéré à 6,10 % et d’un plafond de 6 500 euros, uniquement destiné aux personnes non imposables) a rapporté plus de 150 millions d’euros de collecte l’an passé.

 

Rendre le fonctionnement de l’entreprise plus durable…

 

Fabien CHAUVE, membre du Directoire en charge du Pôle Ressources et Communication, fit un succinct topo sur la qualité et la manière dont elle est appliquée au sein de l’entreprise. Un mot d’ordre qui résonne aux oreilles des dirigeants du groupe, visiblement !

« La Caisse d’Epargne reste la première banque régionale en 2023 sur le taux de satisfaction entreprises, ajoute-t-il, quant aux particuliers, ils nous plébiscitent avec + de 17 NPS (le fameux Net Promoter Score), l’incontestable référence en matière d’indice d’évaluation. Parmi les motifs de ce satisfecit, la disponibilité de la force commerciale – les collaborateurs sont fixés à leur poste a minima sur une période de trois ans dans les agences afin de privilégier la confiance relationnelle – et le professionnalisme des intervenants dans les centres d’affaires. ».

D’ailleurs, chiffres à l’appui, Fabien CHAUVE enfonce le clou : « Dans les 103 bassins de vie de notre région, la Caisse d’Epargne identifie 44 agences or, en termes de classements référentiels… ».

Responsable, l’entreprise l’est aussi. Grâce à sa démarche RSE. « Nous avons un programme dédié, « 1Pact+ », rappelle Eric FOUGERE, l’objectif étant de transformer nos activités de banquier et notre fonctionnement d’entreprise pour les rendre plus durables ». Etre un banquier durable, certes, mais une entreprise responsable, tel est le credo de la structure financière.

Depuis 2019, une démarche (« B-corp ») du nom d’un label international qui répond aux exigences sociétales et environnementales, est mise en pratique. Alors que la certification est espérée pour la fin d’année 2024, la Caisse d’Epargne a pu réduire de 16 % ses émissions de Co2 au sein de ses infrastructures. Ayant opté pour une température ambiante de 19 degrés dans ses points de commercialisation.

Le volet des ressources humaines n’a pas été omis de la présentation. Fidélisation et bien-être au travail correspondent aux « mamelles » idéologiques (et pratico-pratiques) de la société bancaire au quotidien, privilégiant le télétravail, le transport au sein d’un bus connecté de collaborateurs originaires de Franche-Comté, ou de confort du travail en rénovant les agences et le siège social, ce fameux néo-bâtiment VALMY, ultra moderne et ergonomique.

Un personnel aux petits oignons qui bénéficie de solides formations (la CEBFC consacre 7,5 % de sa masse salariale à cet effet, celle-ci s’élevant à 70 millions d’euros) et de parcours pédagogiques appropriés afin de faire monter les compétences sur les différents métiers exercés dans le monde bancaire. Y compris celui de directeurs d’agence.

Bref, rien n’est laissé au hasard au sein de cette entreprise qui n’a de « Vieille Dame » que le nom et qui gagne régulièrement en parts de marché, sachant poser sa griffe inexorablement sur le territoire…

 

Thierry BRET

 


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Il n’y a pas de mots devant une telle horreur. Pas une once de pitié ni de considération circonstancielle à avoir devant les auteurs présumés de ces faits. Graves. Lourds. Pesants. Insoutenables. Des actes de barbarie, d’un autre temps, d’un autre monde, de mœurs que l’on pensait d’autrefois, voire oubliés depuis si longtemps dans notre existence, que ne pourraient renier les pires des terroristes possesseurs de couteaux aux lames si tranchantes et si affûtées. Des actes à proscrire de ce XXIème siècle, pourtant au firmament de la technologie, de l’IA  et des progrès scientifiques…Tu parles !

La nature humaine est ainsi faite : chassez le naturel, il revient au galop à la vitesse de la lumière surtout en matière d’abrutissement, de monstruosité, de vices sans vertus et de « conneries » en tout genre, en veux-tu, en voilà ! Et là, l’humain de ce siècle en totale déliquescence avec lui-même n’est pas mal non plus dans son genre…

Ici, dans le cas présent, c’est l’un de ces faits divers des plus sordides que même les journalistes ont dû mal à expliquer et à narrer dans leurs colonnes, tant l’envie de vomir – pour ne pas dire gerber -  leur remonte dans la gorge, et qui se fait jour au plus grand nombre d’entre nous.

 

Les animaux ont des droits sur cette planète qui est aussi la leur…

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C’est donc un chien, une simple bestiole à quatre pattes – le meilleur et plus fidèle ami et compagnon de l’homme précise l’adage - qui en est devenue la malheureuse et innocente victime. L’expiatoire victime, devrait-on dire, pour on ne sait quel faute impardonnable qui méritait de facto la peine de mort sans jugement aucun et de la manière la plus odieuse qu’il fut. Un acte gratuit, teinté aux relents de cette emprise ordinaire de l’alcool qui fait tant de ravages dans nos campagnes hexagonales, visiblement selon les premiers témoignages. Et alors, est-ce vraiment défendable et excusable en soi ? Que nenni !

Que l’on soit bourré, analphabète, idiot du village, intellectuel ou sain de corps et d’esprit, le respect de l’animal est une règle d’or à ne jamais transgresser.

Eu égard à Dame Nature qui les accueille sur cette planète qui est aussi la leur et où ils possèdent des droits. Eu égard, aussi, à tous ce qu’ils peuvent apporter de bon pour améliorer la triste condition de l’homme dans cette société insipide, incivile, contradictoire dans ses us et coutumes de la vie ordinaire. Faite d’individualisme et de jalousie.

Alors, quand on lit entre les lignes d’une dépêche traitée dans la catégorie « faits divers » par un quotidien régional ce qui va suivre, notre sang ne peut que bouillir à 180 degrés dans notre corps et notre esprit demander justice et réparation – si tant est qu’il soit encore possible de le faire – devant de tels cas, franchement irrécupérables.

 

 

Un monde meilleur où ne vivrait pas cette pitoyable espèce humaine…

 

Les sévices et actes de cruauté envers les animaux sont déjà abominables en tant que tels lorsqu’ils sont perpétrés. Mais, quand ces actions gratuites et sanguinaires se transforment en scénario façon film d’horreur à la Stephen KING juste pour le plaisir de faire mal alors l’irréparable est commis et on ne peut plus grand-chose pour celles et ceux qui les commettent. Circuler de la société, il n’y a vraiment plus rien à voir, n’y à faire pour celles et ceux qui commettent de telles méfaits ! De sinistres personnages à bannir à jamais de notre vie.

Comment s’appelait ce chien déjà ? Médor, Oscar, Pollux, Vegas, Lucky (auquel cas le pauvre, il n’en aurait pas eu beaucoup de chance) ou Maya ? A quelle race appartenait-il ?  Nul ne le sait. Même pas le procureur de la République qui instruit l’affaire, c’est tout dire sur l’état de la pauvre bête quand on a retrouvé ses restes !

Dans les faits, le malheureux animal a reçu suffisamment de coups de couteau dans le flanc, avant d’être décapité avec une tronçonneuse pour qu’il passe de vie à trépas en rejoignant, on l’espère, un monde meilleur où surtout cette pitoyable race qui vit sur Terre, l’espèce humaine, ne viendra plus jamais l’embêter…Le paradis des chiens existe, c’est certain…

 

La mobilisation de tous les adorateurs des animaux !

 

Mais, jusqu’où l’humanité va-t-elle descendre dans les abîmes les plus profondes de la répulsion et de l’effroi ? On pensait avoir tout vu en cette année 2024, comme les précédentes, déjà gorgées d’immondices répugnantes quant au savoir-faire de l’homme en matière de cruauté si finement aiguisée. Et bien non !

Les scènes macabres se succèdent aux scénarii de la peur et de l’épouvante : l’humain est encore loin d’avoir dévoilé toutes ses ressources et ses potentialités en termes d’absurdité et de répugnance. Nimbées de bain de sang et d’hémoglobine à haute dose. Et pour une fois, il n’était pas question de diffuser ces outrages imbéciles sur les réseaux sociaux pour en faire du buzz !

Mais, sincèrement, posez-vous donc la question une bonne fois pour toute en prenant le temps de la réflexion devant une glace : qui oserait découper la tête de son chien à la tronçonneuse parce que celui-ci, selon toute vraisemblance et d’après les aveux des placés en garde à vue, aurait coursé un chat, lui-même victime de maltraitance par ce même couple infernal déjà bien connu de la Justice ?

Il faut être sérieusement dérangé du cerveau, non ? A condition qu’il y en ait un qui soit renfermé dans la boîte crânienne de ces « Ostrogoths » …

Bien sûr, justice devra être rendue à l’issue de la comparution de ces rustres, sortis d’un autre âge, à l’automne prochain devant un tribunal correctionnel. Bien sûr, un avocat assurera leur défense dans les règles de l’art, plaidant les circonstances atténuantes (il faudra nous expliquer lesquelles par ailleurs !) et le mauvais comportement « évident » de l’animal envers ses maîtres.

Mais, tout de même, jusqu’où peut aller l’absence de docilité d’un chien s’il est déjà battu à coups de ceinturon tous les quatre matins par ses maîtres irascibles et qui y prennent un malin plaisir !

Face à ce genre de dossier, de plus en plus récurrent, il est impératif que la Fondation « 30 millions d’amis », la SPA, ainsi que toutes les associations de la protection animale, de la nature et de l’environnement, y compris les politiques et les acteurs engagés de la société civile, prennent partis en faveur de cet animal torturé par ses horribles propriétaires.

Des bourreaux qui, eux, n’y laisseront pas leur vie in fine aux termes de la procédure juridique quel que soit le verdict.

« On n’achève pas bien les chevaux », disait le film ; dorénavant, dans l’Yonne car c’est bien dans ce département déjà bien fourni en affaires criminelles des plus sordides par le passé, que l’« on décapite même les chiens ! ». Ignoble et « dégueulasse »…

 

Thierry BRET

 


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On ne sait pas qui est ce Maxime. Mais, c’est sûr : l’heureux destinataire de ce gâteau à l’estampille de l’AJ Auxerre doit être un fervent supporter du futur pensionnaire de la Ligue 1 ! Une manière de célébrer sa passion footballistique, lors de son anniversaire, jusqu’au fond de l’assiette et de la meilleure manière que ce soit, crème pâtissière et sucrerie à l’appui ! On se lève tous pour déguster les gâteaux de l’AJA, confectionnés dans la seule et unique boulangerie-pâtisserie de Coulanges-sur-Yonne, la très inspirée chez SOYER ! Il fallait y penser…

 

COULANGES-SUR-YONNE : Actualité oblige, et si dorénavant, les professionnels de la filière boulangerie/pâtisserie de l’Yonne s’amusaient à concocter des gâteaux inspirés en termes de créativité selon les soubresauts parfois très denses de l’information ?! Cela ne mangerait pas de pain, bien sûr ! Et cela ne pourrait que vanter les mérites de ces esthètes de l’artisanat qui procurent un réel plaisir aux épicuriens. Une initiative que le président du Syndicat de la Boulangerie-pâtisserie de l’Yonne, Laurent BISSON, devrait encourager, à coup sûr…

En tout cas, cette délicieuse pâtisserie – on ne l’a pas goûtée certes mais les produits confectionnés sur place ont la réputation de satisfaire tous les palais, y compris ceux des plaisanciers qui effectuent une halte salvatrice dans la localité – est une traduction pâtissière en lien direct avec l’actualité footballistique du moment : celui de la remontée parmi l’élite de l’AJ Auxerre, dès la saison prochaine.

 

 

Crémeuse à souhait et onctueuse dans sa texture, elle a dû une fois livrée à son destinataire, prénommé « Maxime » dans le cadre d’un anniversaire sans doute, combler d’un plaisir savoureux un jeune garçon, amateur des exploits sportifs de son équipe vedette. Cette AJ Auxerre qui aura su nous régaler tout au long de cette saison dominée de la tête et des pieds par les protégés de Christophe PELISSIER.

Vous en reprendrez bien une petite tranche, non ?!

 

Thierry BRET

 

 


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Serait-ce parce que le bénévolat n’attire plus autant que jadis au sein des structures associatives que la présidente du CIDFF 89 (Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles) Simone PARIS a fait une légère entorse au protocole habituel d’une assemblée générale statutaire ? En tout cas, la responsable de l’entité icaunaise qui se bat bec et ongles pour protéger les droits de la gent féminine (et de leurs enfants) a voulu récompenser les fidèles de la première heure, leur remettant des médailles honorifiques…Une manière symbolique de commémorer les trente années de l’association.

 

AUXERRE: Les anciens membres du conseil d’administration sont à l’honneur au sein du CIDFF 89 ! Preuve de la longévité de ladite structure, le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles qui, comme sa raison sociale l’indique, œuvre depuis trois décennies au service de celles et de ceux (par extension leurs enfants) qui subissent et souffrent de violences intrafamiliales, puisque telle est désormais l’usage usuel en termes de sémantique de nos jours.

Avant même qu’elle ne présenta le rapport moral de la structure, au cours d’une assemblée générale ordinaire accueillie une fois n’est pas coutume dans les locaux lumineux et ultra modernes de la Maison de la Coiffure, Simone PARIS, présidente en chère, tint à mettre sur un piédestal honorifique quelques valeurs sûres du monde associatif. Des personnes engagées dans la lutte en faveur de la reconnaissance des droits des femmes depuis tant d’années. Vaste programme, par définition !

Si la figure emblématique que représente Monique DESNOYERS – ancienne élue de la Ville d’Auxerre sous l’ère de Guy FEREZ – avait fait part de son absence en s’excusant, il n’en fut rien en revanche de Joël REMY (tiens, tiens, un homme qui est plébiscité pour son engagement et sa sagesse éclairante sur le droit des femmes, cela mérite bien quelques lignes de sympathie !), d’Andrée DEBERT, toujours à l’écoute et de bons conseils (dixit Simone PARIS) et surtout la présidente-fondatrice et présidente d’honneur désormais, Marie-France JEANSON qui étaient tous les trois présents afin de recevoir leurs précieux sésames.

 

Entre congratulations et récompenses en guise de mise en bouche

 

Une présidente-fondatrice qui avait pris sous son aile l’actuelle responsable du CIDFF 89 en lui transmettant tous les arcanes nécessaires afin d’assumer la fonction et par capillarité, sa succession.

« Marie-France, les femmes de l’Yonne te doivent beaucoup avec la mise en place de cette association, souligna avec une pointe d’émotivité dans la voix, Simone PARIS, sous le regard bienveillant de l’intéressée et de son époux, Guy PARIS, président d’AMIDON 89. Au nom de tous et de toutes, je te dis un immense merci… ».

S’en suivie la remise de médailles, avec en guise de hors d’œuvre un homme, Joël REMY qui ouvrit donc le bal, avant les deux autres récipiendaires féminins. Sous le feu nourri des applaudissements du public. Et comme un bonheur ne vient jamais seul, précise l’adage, Simone PARIS fut à son tour saluée pour ses dix années de présidence par les membres de son conseil d’administration.

« Nous connaissons toutes et tous les projets ambitieux que tu portes pour le CIDFF de l’Yonne, et ton implication au sein de la structure… ». Fin du chapitre introductif !

Toujours en marge du bilan de l’année écoulée, Simone PARIS mit l’accent sur le changement d’orientation vécu par les deux juristes de la structure, et surtout leur remplacement en septembre.

 

L’IVG, le caractère fondamental de la liberté des femmes dans la Constitution

 

« C’est dorénavant, Carolane et Julie, qui forment le nouveau binôme de juristes de l’association, apportant avec leur jeunesse et envie de réussir une dynamique ô combien salvatrice pour le travail de l’association, expliqua Mme PARIS. Un regard neuf sur notre fonctionnement et de fortes compétences en droit de la famille… ».

Des éléments que ne manquèrent pas d’apprécier les personnes constituant l’auditoire du jour dont notre ami Serge LE DOUSSAL (ex-président de la Franck Pineau et soutien inconditionnel du droit aux femmes) qui devait les féliciter publiquement après avoir posé quelques questions d’usage, en fervent adepte de la conversation !

Le 08 mars 2024 fut également salué comme une date historique pour la présidente, très à l’aise à son pupitre. Une date importante avec à l’inscription au sein de la constitution de la Vème République (1958) la liberté garantie des femmes pour recourir à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).

« C’est la manière de réaffirmer le caractère fondamental de cette liberté en France, insista Simone PARIS, une avancée pour le droit des femmes… ».   

 

 

 

Pour celles et ceux (surtout ceux évidemment !) qui auraient encore douté de la pertinence et de l’intérêt existentiel d’une telle structure dans le département, les informations qui allaient suivre devaient clore de manière définitive les débats ! Oui, le CIDFF 89 – la structure n’est pas contestée fort heureusement ! – témoigne de la réalité de la situation (celle-ci ne cesse de se détériorer dans l’Yonne pour la population féminine), en étant une référence incontestable des droits et de la défense de ces victimes intrafamiliales. Sujettes aux violences de leurs maris, époux, conjoints et compagnons.

« Si l’accès aux droits demeure une priorité, concède la présidente, les sollicitations pour les questions de violence et la charge de travail induite par la gestion des téléphones « graves dangers » ne cesse d’augmenter… ».

Prouvant, une fois de plus, que le sexisme ne recule pas dans l’Yonne. Il prend sa source dans la famille, se cristallise à l’école et s’amplifie dans les contenus numériques. D’où l’intervention directe des deux juristes de la structure auprès des plus jeunes, dès la maternelle jusqu’au lycée.  

Plusieurs partenariats ont vu le jour en 2023 afin de prêcher la bonne parole aux quatre coins du territoire. Le premier avec « France Services » (Etat), le second avec l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne, structure présidée par Dominique CHAPPUIT.

 

 

Une affaire de famille pour en protéger d’autres…

 

Evoquant les finances, le nerf de la guerre de toute association qui se respecte, Simone PARIS déplora lors de l’assemblée générale 2023 un « financement qui n’était pas à la hauteur des besoins ».

Or, la responsable de la structure pourra toujours brûler un cierge pour honorer la « Bonne Mère » car un financement d’Etat (reçu, certes, trop tardivement au cours de l’exercice) permit in fine de recevoir un salutaire coup de pouce de 70 % de mieux, à l’instar de nombreux autres CIDFF de France !

Conséquence, c’est de manière excédentaire (+ 20 819 euros) que l’association bascula en 2024, avec l’opportunité financière assurée de pouvoir subvenir à un recrutement – il est en cours – sur un poste de chargé d’accueil et de secrétariat. Ce qui fit dire à Simone PARIS : « la trésorerie est bonne, la « boutique » est bien tenue ! ».

Autre chose, plus tendue, c’est le nombre de cas de violences intrafamiliales qui explose dans le département. En 2022, les juristes du CIDFF 89 avaient tenu 1 330 entretiens individuels dont 217 à caractère violences sexistes et sexuelles ! Très inquiétant.

Rien que l’année dernière, ce sont 183 femmes de notre territoire qui ont évoqué lors de ces contacts privilégiés et confidentiels avec les juristes du CIDFF 89 leur situation de violences. Si la plupart ont été subies dans le couple, que penser de celles qui surviennent sur le lieu de travail ?!

Cette année, Simone PARIS, outre les rapprochements avec le dispositif « France Services » - il existe 33 espaces dans l’Yonne – et l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne, entend bien lancer de nouvelles initiatives préventives.

Notamment dans le Sénonais, avec l’opération « Angela », une action de formation auprès des commerçants réalisée avec le Grand Sénonais visant à éduquer les professionnels pour porter assistance aux personnes victimes de harcèlements ou se sentant en danger dans les espaces publics.

En parallèle, le nombre de permanences devrait progresser également au sein de la Mission Locale d’Auxerre ou chez le partenaire historique, spécialiste de l’insertion, AMIDON 89.  

Logique, me direz-vous puisque c’est l’époux de la présidente, Guy, qui en est le responsable ?! Oui, mais, informer, orienter, accompagner sur tous les sujets de droits aux femmes et des familles n’est-il pas le propre de tous ? Alors, dans le jeu des sept familles usuel, je voudrais le mari après la femme – un PARIS peut en cacher un autre ! – au service de la solidarité et de l’altruisme ! Qui s’en plaindra ? Personne, assurément…

 

Thierry BRET

 


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