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L’U2P tire la sonnette d’alarme au nom des TPE qui ne bénéficient pas du bouclier tarifaire sur l’énergie
octobre 26, 2022Il y a le feu dans la maison, c’est sûr, pour bon nombre de TPE et de PME hexagonales depuis plusieurs semaines sur la question de l’énergie. Dernière structure à tirer le signal d’alarme pour mettre un ola à cette dérive inflationniste exacerbée qui est appliquée par certains fournisseurs, l’U2P ! L’organisme demande de revoir de toute urgence les conditions proposées par les offres contractuelles, jugées trop abusives…
DIJON (Côte d’Or) : Rien ne va plus pour le monde de l’entrepreneuriat, côté factures énergétiques ! Surtout pour les TPE (Toutes petites entreprises) exclues du bouclier tarifaire mis en place par l’Etat, du fait de leur niveau de consommation.
Ces entités se retrouvent aujourd’hui confrontées à un mur, avec un prix de l’énergie qui a été multiplié par dix, voire par quinze, dans le cadre du renouvellement de leur contrat.
Malgré les initiatives prises par le gouvernement pour endiguer ce flux de mauvaises nouvelles – la signature avec les principaux fournisseurs d’énergie il y a quelques semaines -, ces structures professionnelles ne sont pas éligibles au dispositif de soutien « ENERGO » qui vise à compenser les coûts énergétiques des entreprises consommant beaucoup de gaz et d’électricité.
Revoir les modalités d’application du bouclier tarifaire…
C’est là qu’entre dans la danse l’Union des Entreprises de Proximité de Bourgogne Franche-Comté (U2P) qui réclame en toute urgence de revoir les conditions et l’articulation de ces différents outils dont ne profitent guère les TPE régionales.
Secrétaire général de l’organisme, Jean-Marc THIRION est on ne peut plus clair sur les intentions de l’U2P, même si l’organisme reconnaît à sa juste valeur les mesures gouvernementales qui visent à limiter l’impact de la hausse des tarifs du gaz et de l’électricité, au nom de la sobriété énergétique.
« Le bouclier tarifaire doit être ouvert aux entreprises de moins de vingt salariés, explique-t-il, et accessible aux entreprises qui, en raison de leur activité fortement consommatrice d’énergie dépassent aujourd’hui la puissance maximale autorisée pour être éligible à ce bouclier tarifaire (36KVa). Je pense notamment à celles qui utilisent des fours ou des chambres froides… ».
En second lieu, il estime que « les aides « ENERGO » doivent prendre le relais et être simplifiées ». Rappel : il existe un simulateur (https://www.impots.gouv.fr/simulateur-aide-gaz-electricite) permettant d’obtenir un aperçu de ce dispositif.
Inquiet, le secrétaire général de l’U2P Bourgogne Franche-Comté se demande ce qu’il adviendra de nombreux chefs d’entreprise de proximité si la situation n’évolue pas. Sans doute, seront-ils contraints de réduire leur activité, voire de l’arrêter de manière définitive car la clientèle ne sera plus en mesure de supporter les hausses successives de tarifs permettant de préserver la rentabilité de leur activité.
L’U2P appelle au dialogue afin d’optimiser et de simplifier les dispositifs de compensation ou de protection des entreprises, avant qu’il ne soit trop tard…
Thierry BRET
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Le cancer du sein dédramatisé en se mettant à nu : Silvana VUCIC dévoile l’expo « Femme en Corps » par des femmes encore…
octobre 26, 2022Sortir d’une « pseudo » zone de confort la personne touchée par la maladie. En n’hésitant pas à lui faire prendre des risques, parfaitement maîtrisées, en terme d’image pour qu’elle puisse réaffirmer son goût en la vie. Oser, aussi, dévoiler une partie de son anatomie, abîmée par la pathologie en la sublimant de couleurs vives et chatoyantes. De cette rencontre puissante et ô combien riche en chaleur humaine, l’artiste peintre-photographe et plasticienne Silvana VUCIC ressortira totalement chamboulée. Le fruit de son travail illustre l’exposition « Femme au Corps », dévoilée ce vendredi à Sens…
SENS : Au-delà de l’incommensurable tristesse qui se lit dans la profondeur des yeux de ce modèle qui prend la pose, subsiste une lueur d’espérance. Une sensibilité à fleur de peau qui ne peut que nous faire dresser les poils de l’épiderme. Fragile, certes, mais toujours combattive pour mieux lutter contre ce fléau qui pourrit l’existence !
Du courage, il en aura fallu pour ces femmes, au nombre de six, qui se sont livrées volontairement à cette expérience si originale et résolument artistique.
Unique et presque irréelle, en somme : devenir elles-mêmes, au-delà des souffrances physiques et psychiques endurées au fil des mois par leurs corps et dans leurs âmes, des êtres de beauté, à l’esthétisme affirmé par les coups de pinceaux judicieux de l’artiste et la mise en lumière toute en finesse de la photographe.
Se mettre à nue pour montrer une autre facette de soi-même…
Au total, ce sont vingt-quatre prises de vue, aux lignes épurées, tellement naturelles qui vont être soumises à l’appréciation curieuse des visiteurs de cette exposition dont le vernissage officiel se déroulera ce vendredi 28 octobre au terme de l’après-midi, dans le bel espace de la salle de la Poterne à Sens.
Vingt-quatre clichés qui confèrent de la magnificence à ces femmes de tout âge et de toute condition, égales face à l’adversité et à la maladie. Des femmes qui ont osé transgresser les règles coutumières de la pudeur. Se mettant à nues pour renvoyer une autre facette d’elles-mêmes. Pas à la manière de Narcisse se contemplant altière devant le miroir mais différemment, comme si elles voulaient se montrer dans la plus simple des expressions corporelles. Renvoyant au passage ce message fort de l’espérance et de la victoire sur le mal…
Une renaissance vécue de l’intérieur qui s’étale sur les clichés…
L’expérience a été vécue intensément par l’artiste elle-même. Une Silvana VUCIC, d’ordinaire adepte de l’esthétisme magnifié par la pratique du body painting (la peinture sur les corps) et de la photographie « underground » où parfois brûle dans ses œuvres décalées l’impétuosité tangible d’une libération sexuelle établie, bien loin des convenances pudibondes habituelles.
Ici, dans le cas présent, le résultat fait fi d’un quelconque voyeurisme de mauvais aloi, laissant la place à la rêverie, à l’émotion, à la sensibilité, à une renaissance, en somme vécue de l’intérieur.
On sent la bienveillance attentionnée de l’artiste qui aura travaillé patiemment avec ses mannequins en y mettant les formes et le fond. En les bousculant gentiment, afin de leur extraire la peur indicible qu’elles pouvaient avoir en elles, lorsqu’il fallait prendre la pose et être enduites de ces peintures si salvatrices pour le moral.
Une fresque de huit mètres carrés pour tirer un trait sur la « dictature des beaux seins »…
Créer des capsules de joie et des pépites de bonheur au détour de différentes thématiques (florale, exotique…) était la vocation première de cette expérience visuelle très forte à vivre émotionnellement pour Silvana. Un ressenti partagé par les autres acteurs de ce concept si décapant.
Quatre personnes se sont en effet investies dans cette action de sensibilisation du dépistage du cancer du sein portée par la Ligue contre le Cancer de l’Yonne.
Outre l’artiste auxerroise qui aime aussi jouer avec le feu dans sa déclinaison concrète de l’art, on notera la participation d’une photographe – l’excellente Séverine CANESTRARO originaire de Sens qui aura usé de ses objectifs pour immortaliser les plus belles expressions de ces sujets -, une coiffeuse ainsi qu’une esthéticienne.
En sus de ces portraits éblouissants de vie, le public aura l’opportunité de (re)découvrir la fresque de huit mètres carrés, baptisée « Stand’Art », composée d’une série de soixante visuels captés en 2019.
Ce sont des images de femmes dévoilant leurs poitrines afin de couper court à la « dictature des beaux seins » - clin d’œil malicieux en lien avec la maladie- comme se plaît à le préciser l’artiste d’origine serbe. Une fresque de seins anonymes qui donne du sens à cette exposition éphémère.
En savoir plus :
Exposition Photographique « Femme au Corps »
Soirée événementielle dans le cadre d’Octobre Rose avec la Ligue contre le Cancer de l’Yonne
Salle de la Poterne
19, boulevard du 14 juillet
89100 Sens
Vernissage à 18 heures.
Thierry BRET
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Des bulles dans les yeux, du soleil dans les verres : la 74ème Fête des Vins de Chablis a tenu toutes ses promesses
octobre 25, 2022Elle porte bien ses 74 printemps et sait distribuer du bonheur à ses visiteurs. Ils étaient nombreux à déambuler dans les rues de Chablis ce dimanche, verre en main, venus faire la fête et honorer de belle manière les trésors de l’appellation.
CHABLIS : Flambée des prix, guerre en Ukraine, réchauffement climatique, avenir incertain…l’actualité anxiogène de ces derniers mois pèse lourd dans les esprits et les occasions de faire la fête sont, suffisamment rares, pour ne pas en manquer une. Tous les éléments étaient réunis ce week-end à Chablis pour qu’elle soit belle et elle le fut !
Températures printanières, soleil radieux, vins d’excellence et bonne humeur généralisée ont marqué cette 74ème Fête des vins, d’autant que le millésime 2022 s’annonce déjà des plus prometteurs, tant en quantité qu’en qualité, conjuguant un bel équilibre entre richesse en sucre et acidité. De quoi redonner le sourire aux vignerons échaudés par les multiples aléas climatiques de ces dernières années.
De nouvelles perspectives avec la Cité des Climats des Vins de Bourgogne et le domaine de Pontigny…
Après le traditionnel défilé dominical dans les rues sous les cuivres de l'harmonie des « Enfants de Chablis » s’est tenue la non moins traditionnelle cérémonie d’intronisation de nouveaux impétrants au sein de la confrérie des « Piliers Chablisiens » en ce lieu d’exception que sont les jardins du Domaine Long-Depaquit.
L’occasion pour le président de l’Office de Chablis Patrice VOCORET de dévoiler d’autres bonnes nouvelles, en dépit de difficultés d’approvisionnement et de hausse des prix des matières premières : « le vignoble exporte les deux tiers de sa production et grâce à ce millésime 2022, nous allons pouvoir repartir sur les marchés, avec un chiffre d’affaires toujours en augmentation… ».
D’autres raisons d’espérer, avec un retour des touristes tant attendu et la mise en place de nouvelles structures : « le rachat récent du Domaine de Pontigny ainsi que l’ouverture prochaine de la Cité des Climats des Vins de Bourgogne nous ouvrent de nouvelles perspectives… ».
Que la fête continue et qu’elle dure longtemps, très longtemps !
Propos entendus…
Marie-José VAILLANT, maire de Chablis : « mon petit doigt m’a soufflé tout doucement, mais il m’a soufflé quand même, que la flamme olympique pourrait bien passer par Chablis… ».
Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental : « Ici à Chablis, on sait recevoir, il pleut la nuit et il fait beau le jour… ».
André VILLIERS, député de l’Yonne : « le mot Chablis à l’étranger est un sésame, comme l’est Vézelay, je ne veux pas oublier l’endroit d’où je viens et fait s’éclairer les visages, c’est dire combien il participe à l’attractivité du territoire… ».
Yvon VOCORET, grand architrave des « Piliers Chablisiens » :
« Monsieur le Préfet, on vous a dit qu’on allait vous passer sur le gril, mais comme y’a pas longtemps que vous êtes là, il nous manque du bois ! On verra ça un peu plus tard quand on vous montera en grade, si vous nous aidez bien pour nos manifestations… ».
En savoir plus :
Parmi la quarantaine de stands, celui de l’association « Chablis terre d’Histoire », qui pour l’occasion a présenté aux visiteurs une superbe exposition d’anciennes cartes postales chablisiennes, toutes dédiées à la vigne et au vin. Le viticulteur Jean-Paul DROUIN, y a même retrouvé sur l’une d’elles sa grand-mère et son arrière-grand-mère en vendanges…
Dominique BERNERD
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Ils imaginent l’Auxerrois de demain : 130 étudiants de l’ENSA Nancy planchent sur la valorisation du patrimoine
octobre 25, 2022La rencontre sera ouverte au public. Profitant du confortable complexe cinématographique d’Auxerre – le CGR -, elle permettra à ses participants de se projeter dans le futur patrimonial de l’Auxerrois. Il y sera présenté, en effet, cinq projections dessinées de ce que pourrait être le futur de la ville et de son agglomération, en version architecturale et urbanistique. Des esquisses nées de l’imaginaire et de la créativité des 130 étudiants de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nancy en résidence cette semaine dans l’Yonne…
AUXERRE: Intéressante initiative pédagogique et prospectiviste que celle-ci ! Mêlant matière grise et imagination débridée ! Avec en toile de fond, la Ville d’Auxerre qui sera passée à la moulinette intellectuelle de la fine fleur des futurs architectes diplômés devant sortir de l’ENSA, la fameuse Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nancy. Ils sont cent-trente étudiants de troisième année au total à être du voyage en terre icaunaise, accueillis durant une semaine dans la capitale de l’Yonne, afin de prendre part à cette étude de cas proposée en format grandeur nature.
Issus d’un établissement de prestige – l’ENSA est l’une des vingt écoles supérieures hexagonales de France à délivrer le diplôme d’architecture d’Etat -, ces jeunes gens à la tête bien faite ont été reçus à l’abbaye Saint-Germain (une excellente manière de rentrer dans le vif du sujet côté édifice patrimonial local !) ce lundi par l’élu en charge de l’Urbanisme, l’adjoint Nordine BOUCHROU.
Il était accompagné de la responsable municipale du pôle jeunesse, de la formation professionnelle et de l’attractivité, l’adjointe Emmanuelle MIREDIN, et de Francis HEURLEY, vice-président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois, et maire de Quenne.
Un projet qui conjugue la créativité et la pédagogie…
Une semaine d’immersion qui ne se limitera pas à admirer les vieilles pierres de l’ancien bâtiment religieux, symbole de l’attractivité culturelle et touristique de la cité de Paul BERT. Bien au contraire !
Ces spécialistes de la règle, l’équerre et le compas – aujourd’hui, les logiciels en 3 D se sont substitués à ces éléments de base de la filière ! – auront pour tâche d’imaginer l’Auxerrois de demain.
Chemin faisant, ces étudiants vont donc aller à la découverte des sites les plus emblématiques de la ville et de ses alentours ainsi que des sites « projets » en compagnie des services de la direction Stratégie et Aménagement du territoire. Il en ressortira nécessairement tout un tas d’idées et de préconisations esquissées sur des plans qui constitueront le socle de la présentation du samedi.
Un exercice plutôt astucieux qui offre la possibilité à la créativité de s’exprimer tout en stimulant les aspects formatifs de l’initiative.
In fine, les étudiants devront gérer cinq projets de valorisation du patrimoine et de l’urbanisme, dont l’un se rapportera à la commune de Saint-Bris-le-Vineux. Il s’agira de travailler à la transformation du cœur de village en lien avec l’église, l’école et la mairie. Du concret, rien que du concret !
Du côté d’Auxerre, les architectes en devenir s’intéresseront à des endroits névralgiques de la ville : le quartier de l’Abbaye Saint-Germain, la place de l’Arquebuse, celle des Cordeliers, et évidemment compte tenu de la récente actualité la concernant la « Maison de l’Eau » ainsi que le quartier Batardeau-Montardoins.
Cerise sur le gâteau : les cent-trente universitaires auront aussi la faculté de participer à une conférence grand public sur l’architecture, assurée par le parrain de cette opération, Grichka MARTINETTI, membre de l’agence PNG à Paris et lauréat de l’Equerre d’argent 2021.
En savoir plus :
La semaine d’accueil des étudiants de l’ENSA Nancy à Auxerre comprend deux évènements ouverts au public :
Le mercredi 26 octobre à 19 heures à l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre : conférence ouverte au public en présence du parrain de l’opération Grichka MARTINETTI.
Samedi 29 octobre à partir de 9h00 (Cinéma CGR Auxerre) : présentation publique des cinq projections dessinées par les étudiants durant la semaine en présence des élus municipaux et communautaires ainsi que des enseignants de l’ENSA.
Thierry BRET
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L’excellence n’a plus de limite : Léa ROUGIER (CIFA) sacrée « Meilleure apprentie de France » des arts de la table
octobre 25, 2022La nouvelle est jubilatoire pour Marcel FONTBONNE, directeur du CIFA de l’Yonne, le centre interprofessionnel de formation d’apprentis localisé à Auxerre. L’une de ses protégées, Léa ROUGIER, dix-huit printemps au compteur, vient de décrocher le sésame suprême en s’octroyant le titre de « Meilleure apprentie de France » dans la catégorie service et arts de la table. L’une des disciplines phare de ces métiers de bouche qui ont su faire la réputation de l’Hexagone à l’international.
AUXERRE : Il se frotte les mains, Marcel FONTBONNE ! Lui, le chantre de l’excellence à tout crin en jubile d’aise ! D’ailleurs, il n’est pas le seul. A ses côtés, Michel TONNELLIER, président du CIFA de l’Yonne – les deux esthètes de l’apprentissage et de l’alternance en mode excellence sur ce territoire assistent à la remise des prix du concours régional des « MAF » pâtisserie dans leur antre pédagogique – est satisfait lui aussi de l’information qui leur a été communiquée en fin d’après-midi de ce lundi.
Le titre de « Meilleure apprentie de France » a été attribué à la juvénile et gracieuse, Léa ROUGIER, fréquentant le CIFA, et qui a su vaincre l’adversité ainsi que les autres concurrents venus des quatre coins de France en triomphant dans ce difficile concours, catégorie service et arts de la table. L’un des atouts majeurs de la profession hôtelière et de la restauration.
Un titre obtenu à force d’abnégation et de travail…
Suivant un cursus en « Bac Pro commercialisation et service en restauration », en alternant sa présence au sein du CIFA de l’Yonne et dans l’un des plus beaux fleurons de la gastronomie hexagonale, « La Côte Saint-Jacques » à Joigny, la demoiselle n’a pas volé son succès, préparant de longue date cette épreuve de très haut niveau.
Une finale nationale – elle se disputait dans le saint des saints de l’art culinaire à la française, l’hôtel MEURICE du fameux Alain DUCASSE – à laquelle elle s’était qualifiée au printemps dernier après son succès au terme de la sélection régionale.
Depuis l’annonce de ce titre aux relents de « cocorico », Léa a reçu pléthore de messages de sympathie et de félicitations sur les réseaux sociaux, à commencer par celui de « La Côte Saint-Jacques » et de sa célèbre toque, Jean-Michel LORAIN : « quel bonheur, bravo à Léa, c’est un concours remporté grâce à ton travail et ta motivation à toute épreuve ! ».
Le CIFA en fera de même en n’oubliant pas de remercier l’une des enseignantes de la maison, Mme CHATELAIN pour son accompagnement durant toute la préparation.
De leur côté, Magali et David HOUZE, propriétaires de « La Pause Gourmande » à Auxerre, n’ont pas omis de saluer avec énormément de plaisir le résultat obtenu par leur ancienne apprentie de jadis.
Une victoire qui revient par ricochet à tous ces acteurs professionnels de la filière des arts de la table et de la gastronomie de l’Yonne qui ont su porter la jeune fille vers le firmament et…les étoiles.
Thierry BRET
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