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Paru le 23 septembre : le « Routard Oenotourisme en Bourgogne et Jura », un millésime de belle facture !
septembre 30, 2020Il était attendu depuis fort longtemps par les épicuriens. Désormais, l’opus trône en tête de gondole dans toutes les librairies dignes de cette appellation. Et ce, depuis le 23 septembre, date de sa publication officielle. C’est dans un lieu chargé d’histoire, l’Abbaye de Cîteaux, qu’a été dévoilée il y a quelques jours la première mouture de ce condensé de bonnes adresses et de plans sympas. Un ouvrage, certes, à destination des amateurs de nectars et de grands crus. Mais, aussi pour celles et ceux qui privilégient l’oenotourisme parmi leurs priorités ludiques et culturelles…
SAINT-NICOLAS-LES-CITEAUX (Côte d’Or) : Après les vignobles du sud de la France et ceux, mythiques, de la Gironde, le Routard pose enfin ses valises en Bourgogne et dans le prolongement vers le Jura limitrophe pour y consacrer le troisième coup de cœur scriptural de sa nouvelle collection, faisant référence aux nobles produits de la viticulture.
Une agréable opportunité pour passer au crible et dans ses moindres détails ce qui se fait de mieux dans l’une des filières économiques prégnantes de ce territoire : le vin.
En 224 pages, et pour la modique somme de 14 euros, « Le Routard Oenotourisme en Bourgogne/Jura » offre l’excellente occasion à son lectorat de s’immerger dans l’un des terroirs les plus connus et reconnus au monde. Grâce à des adresses soigneusement sélectionnées sur le terrain, le plus souvent labellisées « Vignobles & Découvertes ».
Le projet est né d’un fructueux partenariat concocté avec le soutien de plusieurs acteurs prépondérants de ce tourisme vert qui ne cesse de croître d’année en année.
Soit Bourgogne Franche-Comté Tourisme et les agences de développement touristique issus des cinq départements concernés par ce guide pédagogique : la Côte d’Or, le Jura, la Nièvre, la Saône-et-Loire, et l’Yonne.
Découvrir la diversité de ces vignobles reconnus dans le monde
Labellisés au patrimoine de l’UNESCO avec ses « Climats de Bourgogne », notre contrée possède des noms de prestige qui font miroiter les yeux parfois embués de plaisir des oenophiles, à l’instar de Chambertin, Romanée-Conti, Clos de Vougeot, Côte de Nuits, etc.
Mais, ces belles références ne doivent pas faire oublier la diversité de ces vignobles qui s’étirent du nord au sud et d’est en ouest. Depuis l’an 1098, et l’édification de l’Abbaye de Cîteaux d’où est partie cette soif inextinguible autour du vin grâce au labeur passionné des moines, la Bourgogne de la viticulture brille de mille feux aux quatre coins du globe.
On aura donc apprécié le symbole fort de ce lancement, dans les murs séculaires de la salle de l’Oratoire, en présence de l’économe des lieux, Frère Benoît et de l’édile de la commune. Mais, aussi de Loïc NIEPCERON, président de BFC Tourisme et des responsables des agences touristiques départementales.
A travers ses dix vignobles labellisés « Vignobles & Découvertes », l’ouvrage nous invite à la compréhension millimétrée et complexe de cette mosaïque de terroirs aux arômes et saveurs incomparables. Mettant en valeur le travail des vignerons, la visite de leurs caves, mais aussi de balades dans leurs vignes et de visites patrimoniales et culturelles alentour…
La présentation des cépages et les clés offertes pour mieux s’imprégner des appellations font de ce guide millésimé 2020 un grand cru à mettre entre toutes les mains.
Au nom de cet art de vivre à la française où on l’aime se retrouver autour d’un verre pour en déguster le contenu, humer son parfum, en apprécier ses couleurs, avant de l’avaler doucement avec précaution et le comparer en guise de partage avec un autre de ces nectars dont les vignerons ont le secret…
En savoir plus :
Le Guide du Routard Oenotourisme en Bourgogne et Jura
Editions Hachette
224 pages,
14 euros
Paru depuis le 23 septembre 2020
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L’animal se découvre en Puisaye à la Pyramide : les Icaunais se jettent dans la gueule du loup…
septembre 28, 2020Trois jours durant, ces mammifères qui se réintroduisent petit à petit dans les forêts françaises ont été mis à l’honneur à la Pyramide du Loup, le complexe pédagogique et culturel de Puisaye. Entre conférences, expositions artistiques et présence animalière, les amoureux de la nature s’en sont donné à cœur joie pour suivre pas à pas les péripéties de leur animal fétiche…
TOUCY: Cette année, ce sont trois journées qui ont été consacrées au fameux mammifère ce dernier week-end. Dès vendredi, trognes et agroforesteries étaient à l’honneur. Avec la présence de quarante spécialistes français et étrangers. Pour mémoire, les trognes sont ces arbres à la forme si caractéristique qui résulte d'un mode d'exploitation spécifique.
L’animation était organisée en partenariat avec la SRPM (Station de Recherche Pluridisciplinaire des Metz), association située près de Saint-Sauveur-en-Puisaye qui a permis une mise en commun et des réflexions, sur l’état des lieux des connaissances des trognes et de la biodiversité. Le site de la Pyramide possède un spot exceptionnel avec entre autres des charmes.
Une projection de film, suivi d’un débat…
Le lendemain, environ 600 personnes sont venues observer les loups. Les enfants pouvaient participer aux ateliers de chasse au trésor, ou ceux plus créatifs de fabrication de masque de loup gentil ou méchant !
Quant aux adultes, ils ont pu assister à plusieurs conférences. Celle de Pierre RIGAUX, expert naturaliste sur le loup et son territoire, une question de survie. Celle d’Olivier GUDER, vice-président de l’association Férus (les grands prédateurs en France : ours, loup et lynx). En soirée, une projection de film, assortie d’un débat avec son réalisateur Jean-Michel BERTRAND, « Marche avec les loups », rassembla plus de cent-trente personnes.
Divers exposants étaient présents pour présenter leurs activités : WWF, LPO (Ligue de la protection des oiseaux), association « Sur les traces des loups », la ferme itinérante du Chaîneau, les associations « Romarin », « A Petit’s pas c’est moi que voilà », la société d’horticulture de l’Yonne, la Cagnole ou APCE 89. Signalons une belle exposition photographique avec les clichés d’Yves NECKER sur les animaux de Bourgogne.
Une meute de sept loups pour mieux comprendre…
La journée dominicale connut le succès avec deux cents visiteurs courageux devant braver la pluie pour venir écouter Pierre CADEAC. Ce dernier présenta sa meute de sept loups, originaires de l’Arctique et du Canada.
Après une présentation rapide auprès de l’enclos, il a invité le public sous le dôme de la pyramide pour une conférence consacrée aux activités du mammifère (voire son interview en parallèle).
On pouvait découvrir également les dessins de Xavier TE, illustrateur naturaliste. A base de photos, l’artiste dessine loups, ours, oiseaux, putois…. Basé vers Orléans, il était encore présent cette année pour présenter ses illustrations.
En savoir plus : https://naturae-illustrations.fr/
Maryline GANDON
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Il a auréolé de son talent la gastronomie française : l’au revoir au Chef Pierre TROISGROS…
septembre 26, 2020La place de la gare de Roanne est triste. Le « Dernier des Mohicans » de la gastronomie française, dont le célèbre patronyme honora l'endroit plus de quatre-vingts ans durant, vient de nous quitter : Pierre TROISGROS nous a quittés. Hommage…
TRIBUNE : Comme ses parents Marie et Jean-Baptiste, Pierre est né en Bourgogne en 1928. A Chalon-sur-Saône où ils tenaient un bistrot. L'ambiance y est aussi fumeuse que vineuse !
Sa maman souhaite un autre cadre pour ses rejetons. Les recherches familiales s'orientent vers Dole, puis Moulin - pas trop loin de Chalon !- et finalement, ce sera Roanne en 1930. Bienvenue dans la saga TROISGROS !
L'hôtel-restaurant des Platanes est rebaptisé « Moderne »....car l'on y trouvait l'eau chaude à tous les étages ! Marie cuisine des mets simples et bons comme la blanquette de veau. Jean-Baptiste accueille les clients, déniche de bons producteurs locaux.
C'est dans cette belle ambiance aux effluves culinaires, que les deux frangins Jean et Pierre seront élevés, marqués par la présence allemande dont les soldats occupent toutes leurs chambres.
C'est tout naturellement que les deux frères, véritables siamois deviennent cuisiniers dans l'immédiat après-guerre. Pierre travailla à Paris - où il rencontra Olympe, sa future épouse- au « Maxim's » du réputé chef Alex HUMBERT. Puis il exerça chez Lucas CARTON où il se lia avec Paul BOCUSE, puis à la « Pyramide de Mado » et chez Fernand POINT à Vienne, étape qui marqua durablement Pierre.
Leur père se fait un rien insistant : « Dépêchez-vous de revenir à Roanne les gamins ! ». Pierre se serait bien vu à Paris, mais......va pour Roanne et sa place de la gare. Entre-temps, l'hôtel Moderne devient l'hôtel des Frères Troisgros. A Jean, les perspectives culinaires et à Pierre, la délicate gestion, entre autres, du garde-manger.
Trois étoiles au Michelin : la consécration planétaire…
En 1955, le Michelin étoile la maison pour la sole tante Marie, la fricassée de poulet à la crème et le steak charolais au Fleurie, longtemps demeuré un plat repère de la maison. Celle-ci est réputée : les VRP d'alors sont nombreux à y faire étape. Chez les frères Troisgros, on se régale !
En 1966, quelques mois après la réélection du Général de Gaulle et du titre de MOF du talentueux Jean, Michelin double la mise pour le homard grillé cancalaise, le steak à la moelle et au Fleurie, ainsi que « LEUR » plat emblématique récemment créé symbole de cette cuisine nouvelle et traditionnelle : l'escalope de saumon à l'oseille, qui dès lors fera le tour de la Terre.
En mars 1968, quelques jours après les succès de Jean-Claude KILLY aux Jeux Olympiques de Grenoble, c'est en allant acheter le Michelin chez le buraliste local que Pierre découvre que la maison rejoint le Parthénon de la gastronomie française, valant le voyage désormais en décrochant les convoitées trois étoiles pour la mousse de grive au genièvre, la belle escalope de saumon, et l'irremplaçable pièce de bœuf, toujours baignée au Fleurie !
On imagine aisément la joie des parents de ces frangins talentueux. En cuisine, un jeune apprenti motivé n'en perd pas une miette : Bernard LOISEAU.
Jamais avare d’un soutien aux jeunes confrères…
La gare de Roanne devient donc la plaque tournante des gourmets de France et de Navarre qui rappliquent ici pour se régaler, motivés aussi par les articles dithyrambiques de Robert COURTINE ou des duettistes GAULT et MILLAU.
Quelques années plus tard, un drame vient troubler la belle histoire familiale. En 1983, Jean décède prématurément d'un infarctus lors d'une partie de tennis. Pierre se retrouve quelque peu désemparé, et demande donc à Michel l'un de ses trois enfants, de le rejoindre en cuisine, tandis que ce dernier s'apprêtait à partir en Australie avec Marie-Pierre sa jeune épouse.
Une décennie durant, père et fils vont œuvrer de concert, avant qu'une dizaine d'années plus tard, Pierre ne quitte, avec cette bonhomie qui lui était coutumière, les fourneaux de la maison familiale.
Transmettant son savoir-faire à son entreprenant fiston tandis que ses deux autres enfants exercent eux-aussi dans le métier : Anne-Marie à Bordeaux et Claude au Brésil !
Pierre demeura alors dans sa petite maison de Coteau, proche de cette place de la gare, intimement liée à son patronyme. Il soutenait dès que possible les initiatives de jeunes et entreprenants collègues.
Il y a deux ans, c'est très ému qu'il prononça un émouvant discours lors de l'enterrement de Paul BOCUSE son vieux copain, farceur comme lui !
Au revoir chef Pierre ! Votre famille et vous-même, avec votre talent, modestie et gentillesse ont marqué la belle histoire de la cuisine française qui continue encore de perdurer à Roanne ou juste à côté.
Gauthier PAJONA
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VAOVERT sous les ailes des « anges des affaires » : la start-up a bénéficié du soutien du réseau BFC ANGELS
septembre 25, 2020Le projet a su séduire les investisseurs du réseau régional BFC ANGELS. Fondatrice d’une plateforme d’hébergements touristiques éco responsables unique dans l’Hexagone, Mélanie MAMBRE a apporté un témoignage réaliste sur la bienveillance de ces « business angels » qui lui ont permis de boucler le budget de deux cents mille euros dont elle avait besoin au lancement de sa start-up. Un accompagnement qui l’aura placée sur de bons rails : ceux de la réussite…
VENOY: Onze années de son existence vécues dans le domaine bancaire et financier, à sillonner le globe par monts et par vaux. Et puis un jour, le déclic ! Celui qui vous impose de ne pas regarder en arrière tellement la décision à prendre pour se construire un avenir est importante.
L’idée germait depuis longtemps sous les cheveux blonds de la jeune femme. Développer un concept novateur dans le secteur du tourisme. Mais, attention, pas n’importe lequel : celui issu de l’économie durable. Plus en phase avec ses convictions personnelles.
Invitée à venir s’exprimer jeudi soir lors d’une manifestation spécifique consacrée aux « business angels », la PDG fondatrice de VAOVERT n’aura pas eu assez de mots pour saluer la bienveillance et le professionnalisme de ses partenaires financiers qui l’ont accompagnée dans ce chantier devant la conduire à créer cette start-up.
Le concept nécessitait une levée de fonds évaluée à 200 000 euros. En suivant le protocole très bien ficelé du réseau d’investisseurs régional, la jeune entrepreneuse en obtiendra 80 000. Le reliquat étant complété par des fonds d’investissement.
Aujourd’hui, VAOVERT peut s’enorgueillir d’être le premier portail sur les hébergements touristiques éco responsables de France. Plaçant le tourisme durable sur une orbite haute d’où la structure n’est pas prête de retomber dans l’atmosphère. Elle met en relation des voyageurs soucieux de leur impact sur l’environnement avec des hébergeurs durables. Par le biais de gîtes pour une escapade familiale, des chambres d’hôtes pour un week-end complice, des lieux insolites pour prolonger le dépaysement, voire des campings où il est judicieux de s’évader en phase directe avec la nature.
La jeune dijonnaise développe son concept en s’inspirant de destinations authentiques de notre patrimoine. Sa structure porte plusieurs emplois qui l’entourent dans ses bureaux de Côte d’Or. A ce jour, une centaine d’hébergeurs inféodés au supplément d’âme de la société l’ont rejointe dans l’aventure.
Un témoignage qui aura suscité de longs applaudissements de la part de la soixantaine de chefs d’entreprise et investisseurs potentiels qui avaient été réunis par l’association économique INITIACTIVE 89 et sa présidente, Malika OUNES, pour mieux s’imprégner des valeurs de ces réseaux pouvant soutenir de jolis projets.
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Le dossier du Haut-Folin était en léthargie : un réveil au quart de tour pour bénéficier des aides de la Région !
septembre 22, 2020Le projet de construction d’une tour panoramique haute d’une quarantaine de mètres au sommet du point culminant de la Bourgogne (901 mètres) est loin d’être enterré. En marge de la signature d’une convention de partenariat avec le Département de l’Yonne, le président du Parc naturel régional du Morvan Sylvain MATHIEU a réitéré son désir de voir sortir de terre cet édifice qui boosterait l’attractivité touristique…
AUXERRE: A l’époque, l’idée d’ériger une tour panoramique sur la plus haute montagne de Bourgogne avait provoqué l’ire de personnes réfractaires au projet. Soit une poignée de récalcitrants, selon les auteurs du projet, qui s’étaient formellement opposés à la démarche du Parc naturel régional du Morvan et de ses partenaires institutionnels.
Pourtant, à l’issue d’une réunion publique proposée sur ce thème en novembre 2019, près de 90 % de l’assistance avait manifesté positivement leur intérêt pour cette initiative originale.
De quoi conforter le président quadragénaire du parc Sylvain MATHIEU qui profita de la conférence de presse organisée ce mardi dans les Celliers de l’hôtel du Département pour apporter de l’eau fraîche au moulin de la connaissance informative.
Malgré l’échec de la première tentative, un projet qui devait capoter à la suite du renoncement financier du partenaire entrepreneurial allemand, la société EAK, l’idée de construire ce long parcours piétonnier de six cents mètres sur une palissade de bois placée à vingt mètres du sol trotte toujours dans la tête du vice-président de la Région en charge de la forêt et des parcs.
Lors de l’étude initiale, le budget de l’opération qui devait trouver son but ultime dans l’édification de cette tour panoramique haute d’une quarantaine de mètres s’élevait à six millions d’euros. De son sommet, sur la commune de Saint-Prix, la vue serait imprenable à cinquante kilomètres à la ronde sur les paysages du sud Morvan. Ceux de la Saône-et-Loire et de la Nièvre. D’où un vif intérêt pour attirer les touristes et les férus de nature.
La Région devrait donner sa réponse avant la fin de l’année…
« Après le retrait des anciens partenaires allemands, fallait-il capituler en baissant les bras ou rebondir en reprenant le projet à zéro ?, s’interroge Sylvain MATHIEU, nous avons opté pour la seconde solution… ».
Programmé dans le cadre du plan de relance économique initié par la Région, le projet pourrait bien cette fois-ci aller à son terme. La recherche d’investisseurs est en cours de tractation. Quant aux départements où s’étend le Parc naturel régional, au nombre de quatre, ils soutiennent le projet. Confiant, Sylvain MATHIEU espère même inscrire le dossier parmi le plan de relance national. Afin de bénéficier de mannes qui n’auraient rien de providentielles !
Le verdict de ce retour en grâce après plusieurs mois d’abandon devrait être connu d’ici la fin de l’année. Une décision qui donnerait du baume au cœur à celles et ceux qui se battent pour développer l’attractivité touristique et économique du territoire.
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