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ADVANSEEZ accentue le management collaboratif des entreprises à l’aide de son logiciel…
juin 30, 2018Quelques mois seulement après le lancement de son application collaborative en 2012, la start-up des frères HERVE, Christophe et Philippe, séduisait déjà plus d’un millier d’utilisateurs en France. Pour la plupart des consultants, dirigeants et responsables de projets. L’outil connaît même une dimension à l’international très attrayante, y compris aux Etats-Unis. Localisée en Bretagne, mais aussi en Bourgogne Franche-Comté et en Ile de France, ADVANSEEZ a noué des liens depuis deux ans avec la société coopérative de production de Sens, CHEVILLON Imprimeur, en apportant sa méthode conceptuelle d’aide à la prise de décision…
SENS : Seuls 44 % des utilisateurs au sein de l’entreprise trouvent les fichiers internes qu’ils recherchent. Quant aux managers, ils passent environ deux heures quotidiennes à collecter de l’information dont ils n’ont pas besoin à 50 %. Convaincus que les dirigeants, managers et consultants pourraient passer davantage de temps avec leurs équipes et leurs clients s’ils disposaient d’un outil simple, les frères Christophe et Philippe HERVE ont imaginé en 2012 une application collaborative simple, pratique et intuitive de planification stratégique et de gestion de projets en mode plan d’action. Quelques mois plus tard, ADVANSEEZ voyait le jour…
Application collaborative de management par les objectifs, le système préconisé par cette start-up permet à des dirigeants et leurs équipes de co-construire leurs objectifs. Avant de partager le pilotage de leurs plans d'actions.
Ils peuvent ainsi définir ensemble leurs priorités sur les sujets stratégiques de l'entreprise et les piloter. Grâce à ce procédé, le dirigeant s'appuie sur l'intelligence collective tout en la mettant en valeur. Il agit ainsi sur le niveau d'engagement de son équipe par l'implication de ses membres, dans une démarche de management collaboratif.
Un logiciel qui accompagne toutes les étapes décisionnelles…
Dans l’absolu, ce logiciel est accessible depuis un navigateur Internet. Proposé en français et en anglais, il ne requiert pas de besoin de téléchargement ou d’installation sur un ordinateur. Il ne nécessite, en outre, aucun paramétrage. Son utilisation est simple et intuitive. Il s'adresse aux entreprises quel que soit leur taille et leurs activités.
Le concept se décline autour de deux modules complémentaires et indépendants. D’une part, structurer et partager les décisions grâce à la méthodologie éprouvée SWOT et d’autre part de construire, partager et piloter les plans d’actions.
« Qu’il s’agisse de construire l’analyse stratégique d’un business-plan, de déployer une stratégie digitale commerciale ou marketing, voire de concevoir la réponse à un appel d’offre, mais aussi de lancer des études d’opportunités, des cas de prospective et de concertation en interne, ADVANSEEZ s’adapte à toutes les situations pour gagner en efficacité dans la réalisation des projets, explique Philippe HERVE, l’un des fondateurs de la société éponyme avec son frère, Christophe, président-directeur-général de l’entité. Les utilisateurs se montrent unanimes dans leurs commentaires. Le temps consacré au pilotage diminue de 20 % quant au phénomène de la réunionite, il se divise par deux !
« Ce qui est plus important à retenir au niveau des statistiques, ajoute Philippe HERVE, c’est le taux de succès observé au niveau de la faisabilité des plans d’actions qui est en progression de 30 % ! Sachant aussi que le nombre de mails baisse d’autant… ».
ADVANSEEZ possèdent de très belles structures dans sa besace de clientèle. Des sociétés telles que le Crédit agricole de Bretagne, la SNCF, les laboratoires KLORANE ou encore Saint-Gobain se sont ajoutées aux utilisateurs de ce logiciel, proprement révolutionnaire.
Un système de management éprouvé dans le Sénonais…
Depuis 2016, ADVANSEEZ travaille sur le territoire de l’Yonne avec l'imprimerie CHEVILLON. Le dirigeant de la société coopérative de production, Damien FOULON, utilise le module d'analyse stratégique pour écrire sa stratégie et la partager avec ses collaborateurs. Les objectifs étant définis, le responsable de la PME de Sens a mis en œuvre un plan d'actions. Il le pilote depuis son ordinateur portable. En outre, le système ADVANSEEZ est aujourd’hui référencé « DATADOCKE ». C’est-à-dire qu’il est reconnu par les organismes de financement de la formation professionnelle. Les concepteurs de ce logiciel ont fait inscrire le parcours certifiant (le management collaboratif par les objectifs) à l'inventaire de la CNCP, la Commission nationale des certifications professionnelles. Il est même possible d'essayer gratuitement l'application depuis le site www.advanseez.com...
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Elodie MARTIN (BEEGRAPH) : deux challenges professionnels à mener de front sinon rien !
juin 25, 2018Opérationnelle depuis le 01er juillet 2017, la dirigeante de la structure spécialisée sur le marché très concurrentiel de la communication identitaire et visuelle poursuit son petit bonhomme de chemin. A 33 ans, la jeune femme ne cesse de développer ses activités dans la région. Mais aussi vers l’Ile de France dont elle est originaire. L’ancienne pensionnaire de la BGE Nièvre Yonne (elle y a suivi le cursus préparatif à la découverte de l’entrepreneuriat), vole désormais de ses propres ailes avec succès et ambitions. En intégrant, en parallèle de son entité, la coopérative de production CHEVILLON Imprimeur à Sens, Elodie MARTIN s’accorde de nouvelles perspectives professionnelles en phase avec l’accomplissement de ses projets…
SENS : Depuis le 01er juin, l’entrepreneuse remplace Isaac SANTOS au poste de responsable du service prépresse de la société CHEVILLON Imprimeur à Sens. Même si elle forme un binôme complémentaire durant encore quelques jours avec celui qui occupa ce poste durant 17 ans, Elodie MARTIN profite des connaissances de son aîné pour découvrir les fils d’Ariane de cette structure vieille de soixante-dix ans.
A 33 ans, la souriante gérante de « BEEGRAPH » continuera néanmoins à développer ses activités de free-lance. Elle n’a pas éprouvé de crainte à relever le défi. Celui de deux challenges professionnels, certes distincts, mais ô combien complémentaires de son cœur de métier. Ce pari audacieux, la diplômée d’un BTS communication visuelle obtenu à EFFICOM Paris, compte bien le mettre à profit pour se projeter plus en avant.
« Je vis cette situation de manière très sereine, explique-t-elle, en me familiarisant avec l’ensemble des outils du prépresse. Je possède une réelle expérience sur la filière PAO. Tout en étant une vraie commerciale dans l’âme… ».
Une créative de talent qui s’est déjà fait les griffes…
En somme, Elodie MARTIN disposera de tous les ingrédients nécessaires pour mener brillamment sa tâche. A la tête d’une structure de trois collaborateurs, elle y ajoutera le management.
Dans l’absolu, la responsable du service dynamisera le poste en apportant un supplément d’âme novateur au niveau de la création des supports magazines piqués. L’une des grandes spécialités de la PME sénonaise.
Pour autant, Elodie MARTIN ne laissera pas de côté les objectifs de développement qu’elle est fixée avec BEEGRAPH.
Créative, elle continuera à proposer ses services auprès de partenaires issus du monde des entreprises en créant logos et identité visuelle. Mais aussi de la PLV et du packaging comme elle a su le faire dans les domaines de l’alimentaire, de la santé, du bricolage, de la pharmacie ou de l’industrie. A l’instar de partenaires de poids : SCHWARZKOPF, THONON, VERNIERE, SAVONA ou THALES…
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Le chef cuisinier de l’ambassade du Japon découvre les étonnantes saveurs des viandes maturées par Jean DENAUX
juin 20, 2018Eiryo KUDO, jeune prodige de la cuisine nipponne, en poste à l’ambassade de l’Empire du Soleil Levant à Paris, a eu la divine surprise de découvrir, aux côtés du Premier secrétaire aux affaires économiques de l’archipel et de son attaché agricole, les méthodes d’affinage d’une viande bovine labellisée qui ont établi la notoriété de l’artisan sénonais à travers la planète. Aujourd’hui, les plus belles références des arts culinaires et de la gastronomie française, dans l’Hexagone comme dans leurs établissements à l’international, se fournissent chez ce virtuose du goût et de l’authenticité. Ce long et délicat travail de maturation a conquis les officiels japonais en visite dans l’unité de production de Sens. Ils n’oublieront pas de sitôt cette immersion surprenante dans cet univers du savoir-faire, poussé à son paroxysme et à sa maîtrise absolue…
SENS : Moins 21 degrés. Les espaces frigorifiques où sont entreposées les carcasses de bœufs ne se visitent pas. Furtivement, le maître de cet antre atrophié par le froid daigne ouvrir le temps d’une courte séance photographique l’une des zones d’affinage de cette viande succulente au palais qui fait désormais le bonheur gustatif des esthètes et la renommée planétaire de l’artisan icaunais.
Bienvenue au cœur des établissements DENAUX ! Munis de leurs smartphones, les membres de la délégation nippone immortalisent ces instants, très cordiaux et chaleureux, menés dans une langue de Shakespeare parfaite. Répondant de manière positive à l’invitation de l’entrepreneur, les personnels de l’ambassade, accompagnés de Karine BERTHOLON, chargée de mission Asie de l’Est à la Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises, au sein du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, et de Nadège PALANDRI, chef du service régional de l’économie agricole au sein de la DRAAF (Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Bourgogne Franche-Comté), furent accueillis en fin de matinée de ce vendredi 15 juin par le chef d’entreprise et son épouse.
Des liens déjà privilégiés entre la société DENAUX et le Japon…
Une présence asiatique qui n’avait rien de surprenante dans cette structure moderne dont l’histoire fut narrée par le dirigeant avec moult précisions. Depuis cinq ans, les établissements DENAUX distribuent leurs produits au Japon. Cibles privilégiées : les restaurants gastronomiques. Certes, il y a ceux tenus par les grandes signatures françaises de la gastronomie dont les noms illustres tutoient toujours les sommets (Pierre GAGNAIRE, Joël ROBUCHON…). Mais, l’appétence des jeunes chefs nippons pour la gastronomie de qualité n’est plus à démontrer. Nombreuses sont les tables qui ont fleuri au cours de cette dernière décade avec de jeunes chefs ambitieux et respectueux du goût et des saveurs.
A l’image d’Eiryo KUDO, un talent à l’état pur, qui est au service de l’ambassadeur de son pays en France, et qui agrémente avec maestria les délices sucrés et salés à l’envie, essence même de cette cuisine d’Extrême Orient à redécouvrir sans modération.
Avec ses deux compagnons de voyage, Hideki YAZAWA, Premier secrétaire aux affaires économiques à l’ambassade et le responsable du volet agricole de cette même délégation, Kensuke ASAHI, le chef cuisinier aura pris soin de découvrir avec beaucoup d’intérêt les méthodes d’affinage de la viande de bœuf travaillée par l’entrepreneur sénonais.
Présentation de la société familiale, de ses effectifs, de sa stratégie à l’export mais aussi de sa modernité avec un site à l’ergonomie éprouvée, Jean DENAUX déroula avec conviction et sens du détail les objectifs mis en place depuis une vingtaine d’années au sein de la structure.
« Le Japon a toujours été ouvert à la découverte de la viande française de qualité, glisse l’entrepreneur, désireux d’optimiser cette visite courtoise en potentialité économique réelle. D’ailleurs, depuis cinq ans, je livre des produits carnés pour les besoins de l’ambassade à Paris ».
L’affinage de la viande : un discours comparable à la vinification et à l’élevage du vin…
S’en suivit un échange passionnant sur la perception de la nourriture française vue par le prisme du consommateur nippon. Et les moyens de l’accommoder. Puis, séance tenante, Jean DENAUX fit goûter à ses hôtes une variété de plante avec laquelle il aime préparer ses produits, le fenouil des Alpes, mieux connu sous l’appellation de cistre.
« Le processus de maturation de la viande requiert de la patience et un goût immodéré pour le travail approfondi du produit, stipula le chef d’entreprise de l’Yonne, la viande du Charolais, connue et reconnue à travers le monde, se prête idéalement bien à ces techniques naturelles… ».
Ce procédé a été développé au cours de cette décennie par l’établissement artisanal qui possède même une boutique intégrée à son lieu de production. Là, les aficionados de la viande de grande qualité y découvrent des pièces de bœuf mais aussi de porc et d’agneau à la saveur et la tendreté exceptionnelles.
« L’affinage de la viande courant sur des périodes de plusieurs semaines peut se comparer à la vinification d’un vin, explique Jean DENAUX, voire celle de charcuteries ou de fromages. Aujourd’hui, cette technique est devenue la signature de notre enseigne ».
Affineur exclusif de la viande de bœuf de Charolles et de viandes d’appellation aux origines certifiées (AOC, Label Rouge, IGP…), l’artisan a conçu en 2013 un site de production exceptionnel de 1 400 mètres carrés à l’image de son talent et de ses ambitions.
Pour la réalisation de ce site hors normes, il s’est appuyé sur les conseils avisés d’experts en salaison et affinage de fromages. La présence de chambres froides, destinées à préserver une température, l’hygrométrie et la ventilation idoines à la maturation allant jusqu’à six mois, justifiait ces choix. En développant pour la première fois en France cette méthodologie, Jean DENAUX, avec son âme et tempérament de précurseur, a pu ainsi améliorer la tendreté de ses viandes de 40 %, tout en évitant la perte de poids du produit et en restant respectueux des qualités microbiologiques naturelles.
Une quarantaine de pays dont ceux de l’Asie du Sud-Est apprécient cette viande qui confine à l’excellence. Gageons que les représentants du Japon se feront les ambassadeurs de ce produit made in France bien au-delà de la représentation diplomatique de leur instance à Paris. La vingtaine de kilos de produits maturés, acquise par le jeune chef nippon au terme de cette visite, atteste que les Japonais y ont trouvé le plus grand intérêt…
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AUXERRE : Le spécialiste de la maîtrise des risques techniques, humains et environnementaux dans les milieux professionnels procède à l’heure actuelle au renforcement de son effectif dans l’Yonne.
Implantée à Auxerre, l’agence départementale APAVE vient de recruter deux nouvelles personnes afin de grossir les rangs de ses équipes de techniciens. La première des deux embauches concerne un poste en électricité et mécanique.
La seconde offre d’emploi se rapporte à une fonction d’ingénieur susceptible d’intervenir sur des machines qualifiées de « dangereuses ».
Les deux nouveaux postes à pourvoir de suite seront complétés dès le mois de septembre par une arrivée supplémentaire au sein de l’entreprise.
En effet, Jean-Luc VIET, chef d’agence d’APAVE Auxerre, a confirmé son besoin d’une assistante commerciale. Cette dernière viendrait compenser un départ à la retraite survenue dans cet intervalle.
Enfin, le quatrième emploi est, quant à lui, programmé au cours de l’automne. Il s’agira d’un poste d’électricien qui lui aussi se substituera à un départ volontaire d’un collaborateur désireux de profiter de son inactivité légitime.
L’effectif se renforcera à l’amorce de la nouvelle saison. Cela permettra au nouveau responsable de l’agence icaunaise de décliner une politique stratégique efficiente. Celle-ci s’articule entre le contrôle et la vérification des risques parmi les milieux professionnels mais aussi le développement de cycles de formation.
Rappelons que l’entité APAVE Auxerre s’est dotée d’un centre spécifique, créé il y a trois ans. Un investissement que le dirigeant de la société qualifie d’opportun car très opérationnel depuis sa mise en service.
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Conforter son rôle d’entrepreneur du territoire. C’est ainsi que se définit cet acteur majeur de la transition énergétique à l’issue de la présentation de son bilan d’activités 2017. Alors que le groupe aux 749 collaborateurs (hors ENEDIS) poursuit le développement tous azimuts d’une énergie 100 % renouvelable et bas-carbone, des perspectives importantes se présentent à lui, comme devait l’énoncer lors de la conférence de presse sa déléguée régionale Christine HEURAUX. L’année 2018 s’annonce particulièrement intense pour EDF Bourgogne Franche-Comté avec des dossiers novateurs comme l’essor de la transition énergétique en milieu rural, la mobilité électrique, et un anniversaire haut en symbole à célébrer : les cinquante ans du fameux barrage de Vouglans (Jura), érigé sur la rivière de l’Ain.
DIJON (Côte d’Or) : Jean-Bernard LEVY avait parfaitement analysé le contexte économique vers lequel évoluerait en 2018 le leader mondial des énergies bas carbone lors de la présentation annuelle des résultats de l’entreprise. L’année en cours se présentait de manière particulièrement intense et intéressante de l’avis du président-directeur-général du groupe EDF.
Cette similitude d’esprit analytique devait être partagée tout récemment par la déléguée régionale d’EDF Bourgogne Franche-Comté, Christine HEURAUX, au cours de sa rencontre avec la presse dans le cadre de la présentation du bilan d’activités 2017.
Un ancrage territorial très prégnant…
Qualifiant l’exercice en cours « d’année de rebond », la présidente et directrice générale d’EDF Bourgogne Franche-Comté a salué la vocation primordiale de son groupe de s’inscrire durablement dans une mission d’entrepreneur au service des territoires. Il est vrai que la lecture des données statistiques qui étayent ces propos se révèle très flatteur pour l’énergéticien.
L’investissement d’EDF Bourgogne Franche-Comté dans le soutien à l’optimisation territoriale se renforce chaque année. Vingt-cinq sites de production d’énergies renouvelables sont ainsi opérationnels dans ce grand bassin régional. Le nombre de chantiers se rapportant à la rénovation énergétique dans l’habitat flirte avec les dix mille réalisations. Soucieux de favoriser l’altruisme, en direction des ménages à faible revenu, la délégation régionale d’EDF a distribué 143 200 ampoules LED.
Côté financement, EDF Bourgogne Franche-Comté a reversé une coquette enveloppe de 707 700 euros au Fonds social solidarité. Quant aux subsides orientés vers le développement de l’emploi via le FAPE, le Fonds agir pour l’emploi, ils s’élèvent à 212 500 euros !
Un engagement efficient en faveur de la formation et de l’emploi…
Très impliqué dans l’innovation ouverte, favorable à l’éclosion de start-ups françaises notamment dans les sphères du numérique (sa participation au premier « Big Up for Start-up » de Besançon l’atteste), EDF continue son engagement en faveur de la formation et de l’emploi, notamment auprès des jeunes. Le groupe aux 6 000 emplois induits a procédé en 2017 à la signature d’une convention de partenariat, à l’échelle de la région, avec le Rectorat et l’Ecole de production de Chalon sur Saône.
Evoquant un autre volet des ressources humaines et de l’emploi au niveau du groupe, Christine HEURAUX a rappelé que « des évolutions étaient engagées à la suite de l’intégration en début d’année de FRAMATOME, devenue filiale à 75,5 % du groupe EDF, et dont l’implantation en Saône et Loire est fondamentale pour l’activité régionale ».
Produire une électricité 100 % renouvelable et bas carbone : l’objectif prioritaire…
Quant aux projets liés au développement de la transition énergétique, ils se poursuivent. En Bourgogne Franche-Comté, EDF produit une électricité 100 % renouvelable en valorisant les ressources naturelles de la région : l’hydraulique, l’éolien, le solaire et la biomasse.
Portées par la filiale EDF Energies Nouvelles, de nouvelles perspectives de développement, notamment pour le solaire photovoltaïque et l’éolien, vont progressivement émerger sous l’impulsion du vaste plan solaire lancé par le groupe en 2017.
L’énergéticien exploite vingt-cinq sites dans sa zone de prédilection. Dont 23 centrales hydrauliques qui ont produit 462 millions de KWh l’année dernière. L’un des parcs solaire photovoltaïque les plus puissants de l’Hexagone, installé dans l’Yonne à Massangis, comprend environ 700 000 panneaux. Le rendu énergétique en matière de production équivaut à la consommation électrique de 26 000 habitants !
Quant au parc éolien implanté en Franche-Comté, celui du Parc de Lomont dans le Doubs, il permet une production énergétique de 20 MW.
Christine HEURAUX a aussi parlé de la valorisation apportée par les quatorze réseaux de chaleur d’une autre filiale du groupe, DALKIA. Ceux-ci étant principalement alimentés par la biomasse, dont l’entité poursuit le développement avec une nouvelle unité de cogénération opérationnelle à la chaufferie de Péjoces de Dijon Métropole. Nevers dispose également d’une nouvelle chaudière biomasse tandis que Montbéliard a vu son réseau se moderniser.
Précisons que l’usine biomasse ECOCEA, exploitée par la filiale de DALKIA, TIRU, à Chagny a traité en 2017 64 563 tonnes d’ordures ménagères résiduelles et de déchets verts. Soit l’équivalent de 21 millions de KWh injecté sur le réseau.
Toujours plus de projets innovants…
L’an passé, avec le concours des équipes EDF, le groupement BOUYGUES Energies & Services et CITELUM, filiale de l’énergéticien, ont remporté le projet novateur de ville intelligente et connectée (smart city) de la métropole de Dijon. Ce concept de gestion connectée de l’espace public prévoit la création fin 2018 d’un poste de pilotage pour gérer à distance l’éclairage public et les équipements urbains de vingt-quatre communes de la métropole dijonnaise. Les économies d’énergie seront très importantes de l’avis des experts : de l’ordre de 65 % au terme du contrat. Sachant que la rénovation de l’éclairage public sera réalisée avec des solutions 100 % LED…
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