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La page professionnelle se tourne pour Nadine BETHERY (Groupe JEANNIN), grande dame de l'automobile…
janvier 08, 2019L’une des rares femmes à la tête de concessions automobiles en France tire un trait définitif sur une carrière professionnelle accomplie et performante. Ayant mis un terme à sa relation qualitative avec son employeur, le Groupe JEANNIN Automobiles, Nadine BETHERY peut dorénavant consacrer son emploi du temps à d’autres activités et faire valoir ses droits à une retraite amplement méritée...
AUXERRE : Une larme à l’œil, la responsable du développement commercial et des concessions de la marque AUDI sur le territoire de l’Yonne a clôt ses activités professionnelles de manière définitive au terme de l’année écoulée.
Et de facto, elle a donc quitté l’entreprise qui l’employait depuis plusieurs années et où elle exerçait avec brio et professionnalisme ses talents de dirigeante d’équipes.
Ce retrait du Groupe JEANNIN Automobiles correspond ainsi à la fin de carrière d’une vie professionnelle riche et intense dans laquelle Nadine BETHERY, figure emblématique dans le milieu de l’entrepreneuriat régional, excellait.
« C'est avec beaucoup d'émotions et de souvenirs plein la tête que je pars aujourd’hui vers de nouveaux horizons. Je souhaite exprimer toute ma gratitude pour le plaisir et la chance que j'ai eus au contact de ces très nombreuses rencontres qui ont forgé mon quotidien professionnel… ».
Une spécialiste des réseaux et de la communication…
Intégrée parmi les milieux d’affaires de notre territoire, la silhouette de Nadine BETHERY était coutumière d’apparitions fréquentes dans les manifestations publiques portées par les syndicats patronaux et les représentations institutionnelles du département.
Très investie localement, elle a su apporter avec un sourire rayonnant une touche de féminité détonante au monde parfois hermétique de l’automobile, devenant l’une des rares représentantes de la gent féminine en France à occuper le poste de responsable de concession.
Jamais à court d’idées, elle a su concourir grâce à ses talents communicatifs et bienveillants au développement de la marque AUDI, à laquelle elle était très attachée, multipliant les initiatives relationnelles et marketing lors de lancements de nouveaux modèles.
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Yann NUNES : le nouvel homme fort de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté prend ses marques dans l’Yonne…
janvier 07, 2019Originaire de Dijon, l’ancien directeur de l’accompagnement commercial de l’établissement bancaire régional découvre depuis quelques semaines les contours pragmatiques de ses nouvelles responsabilités. Détenteur d’un Master en droit des affaires, ce diplômé de l’Institut technique de banque de Paris vit cette perspective de carrière comme un passionnant challenge et une véritable opportunité. Celle de pouvoir dynamiser l’approche commerciale de ce réseau bancaire qu’il connaît sur le bout des doigts, depuis vingt ans de présence…
AUXERRE : Les trois précédentes saisons, Yann NUNES les a vécues à accroître les parts de marché de son établissement fétiche, dans le département du Jura. Un territoire qui est loin d’être anodin pour la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté.
Ici, le développement de la gestion patrimoniale privée y est en pleine expansion. Quant aux relations entretenues par les conseillers commerciaux auprès de leurs clientèles de particuliers et de professionnels, elle frise un beau fixe à la limite de l’insolence !
Le territoire de Franche-Comté, seconde région nationale au plan industriel, représente un fort ancrage pour l’établissement mutualiste qui y possède de sérieuses attaches.
Ses parts de marché ne cessent de progresser vers ses cibles premiums et auprès d’une clientèle de frontaliers. Les chefs d’entreprises ne sont pas avares en besoin de préconisations concrètes pour leur développement.
Relever un nouveau défi aux côtés de ses collaborateurs…
C’est en possession de tous ces atouts et de cette accumulation d’expériences riches et nourries que Yann NUNES, adjoint de la direction départementale jurassienne mais aussi ex-directeur de l’accompagnement commercial du réseau, est arrivé sur le territoire de l’Yonne. Quelques jours seulement avant les fêtes. Histoire de se familiariser au plus vite avec les outils fonctionnels qui lui sont proposés et de connaître les collaborateurs qui l’aideront à accomplir son projet de management.
A 42 ans, ce père de trois enfants n’a hésité un seul instant pour relever un nouveau défi. Celui de piloter, aux côtés de son numéro deux, Mickael BOUTEILLER, la stratégie applicative de l’organisme financier dans le département le plus septentrional de la Bourgogne Franche-Comté.
Pourvue de 23 agences, dont quelques-unes représentent le fleuron technologique et ergonomique de l’établissement grâce au concept « E-Nov » (Saint-Georges-sur-Baulche, Sens, et désormais Auxerre), l’entité icaunaise accueille 130 collaborateurs. La jeunesse représente l’une des vertus affirmées de cette équipe opiniâtre qui travaille dans la stabilité et l’enthousiasme.
Adepte de la savate (la fameuse boxe française) dont il est un digne pratiquant, Yann NUNES puise dans cette discipline, chère à l’illustre Georges CLEMENCEAU, la maîtrise de soi et la canalisation de son énergie. Une énergie qu’il a à revendre et qu’il mettra assurément au service des résultats de son entreprise…
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La révolte des « Gilets jaunes » a conduit le gouvernement à ouvrir son portefeuille : personne ne peut l’en blâmer. On ne sait pas encore très bien ce que cela représentera au total. Selon certains économistes, l’enveloppe s’inscrit dans la fourchette de 10 à 15 milliards d’euros. Il y a quelques mois, le gouvernement a débloqué 8 milliards d’euros pour son plan de lutte contre la pauvreté. Là encore, on ne peut qu’approuver.
TRIBUNE : Néanmoins, une fois que l’on a enregistré ce montant de 8 milliards, il n’est pas interdit de faire ce petit calcul : selon l’INSEE, 9 millions de personnes sont considérées comme pauvres. Cela fait donc 888,88 euros par personne. Comme le plan porte sur le quinquennat et qu’il reste encore quatre ans à courir, cela fait 222,22 euros par an et par personne, soit 18,52 euros par personne et par mois. C’est bien. Mais personne ne pense sérieusement que l’on va réduire la pauvreté avec une subvention de 18,52 € allouée par personne et par mois. En revanche, du côté de la Société du Grand Paris, les milliards s’envolent beaucoup plus haut. Selon un rapport de la Cour des Comptes, le dérapage des coûts par rapport aux prévisions est considérable. On se situe déjà à 12,4 milliards d’euros. Comme l’écureuil du blason du surintendant Fouquet, on se demande « jusqu’où ne monterai-je point ? ». Ainsi en est-il des dérapages des coûts : « jusqu’où monteront-ils ? ».
Une facture de l’ordre de 25 milliards d’euros pour les citoyens Français…
Comme nous avons encore quatre ans de travaux devant nous, on peut imaginer que cette somme rondelette va continuer de progresser comme le fameux écureuil de Fouquet. Sans être d’un noir pessimisme, on peut imaginer que la facture finale de cette belle opération s’élèvera au double du budget prévisionnel et donc, que le dérapage sera de l’ordre de 25 milliards d’euros. C’est le montant de la facture que les Français devront acquitter. C’est le même montant qui a été alloué à une partie des Français qui ne peuvent pas boucler leurs fins de mois au plan de lutte contre la pauvreté.
La Cour des Comptes, toujours très méticuleuse, explique que les travaux supplémentaires, notamment pour le traitement des déblais, ainsi que les provisions pour aléas, ont été très largement sous-évalués. Cela n’étonne personne. Espérons que cette affaire de la Société du Grand Paris ne nous jouera pas le tour du beau musée des Confluences à Lyon. Dont le budget initial s’élevait à 120 millions d’euros et le coût final aura dépassé 400 millions d’euros !
Fiscalité : chassez le naturel, il revient au galop !
Alors que faire ? Vous l’avez deviné : on va créer une taxe nouvelle. Chassez le naturel, il revient au galop ! Donc le gouvernement, peut-être en concertation avec les dirigeants du Conseil régional d’Île-de-France, sans oublier nos experts de Bercy, a imaginé une nouvelle taxe sur les parkings commerciaux pour combler le trou financier. C’est une variante amusante du sapeur Camembert : on creuse des trous et on obtient des déblais dont on ne sait plus que faire. Et, pour combler les trous, on met des taxes. Des taxes, encore des taxes, toujours des taxes. Depuis des siècles, c’est le seul outil de gestion utilisé par les dirigeants politiques de la France.
Alexis de Tocqueville, dans son livre « L’Ancien Régime et la Révolution », a mis en évidence la multitude de taxes qui frappaient le paysan français. Il a eu cette phrase prophétique concernant ce paysan : « On comprend la haine qui s’est accumulée au cœur de cet homme pendant des siècles ». Les excès monstrueux de la Révolution française n’ont pas d’autres explications : la haine accumulée au cours des siècles et les scandaleux avantages des privilégiés. L’explosion des « Gilets jaunes » s’inscrit dans la même exaspération, celle du manant écrasé d’impôts, de taxes à l’infini et de droits payés sur tout acte de la vie quotidienne.
L’exorbitant loyer du dirigeant de la Société du Grand Paris…
Et les dirigeants ? Ne vous inquiétez pas pour eux, ils vont bien. Ainsi « Le Canard enchaîné » a dénoncé le coût énorme du logement de fonction alloué au dirigeant de la société du Grand Paris : 6 400 euros par mois, dépassant de 70 % le plafond fixé par l’encadrement des loyers de ce secteur de Paris, qui s’élève pour l’appartement de ce dirigeant à 3 816 euros…
Si l’on ajoute toutes les charges annexes au loyer d’un appartement, le coût du logement de fonction de ce grand dirigeant est de l’ordre de 8 000 euros par mois.
Encore une fois, nous pouvons établir une comparaison significative avec ce qui a été accordé aux bénéficiaires du SMIC et à ceux du plan de pauvreté : 100 euros par mois pour les salariés au SMIC et 18,52 euros pour les bénéficiaires du plan contre la pauvreté.
Des révolutionnaires aux « Gilets jaunes », les mêmes causes produisent les mêmes effets. Jusqu’où ce mouvement va-t-il aller ?
Emmanuel RACINE
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Claire GENET : les pieds sur terre et la tête dans les étoiles grâce aux projets de la Ferme d’Ulteria !
janvier 07, 2019Favorable au développement de la recherche, dans le but d’élaborer un fromage de chèvre bien ancré dans le territoire, le premier prix du concours « Initiative au Féminin » réagit après l’obtention de cette récompense régionale. L’agricultrice de Saint-Bris-le-Vineux a su convaincre le jury de cette treizième édition, de la pertinence de son concept, porteur de belles espérances pour la jeune femme. Il ne reste plus que quelques jours aux internautes soutiens de l’initiative pour parrainer et tester les produits de la ferme d’Ultéria…
SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Quelles sont vos premières impressions après avoir été nommée lauréate au concours Initiative au féminin ?
C’est une immense surprise. C’est une très belle reconnaissance et un encouragement dans la mise en place de ce projet. La raison d’être de la ferme d’ULTERIA est de proposer une alimentation bio, saine et pleine de goût grâce à une ferme moderne, technique et respectueuse de l’environnement au sein de l’écosystème en permaculture Ulteria (école Montessori, Mobil Wood, centre de formation, maison citoyenne…).
Quelles sont les perspectives évolutives au plan professionnel avec ce prix empoché et cette notoriété nouvellement acquise ?
Cela consolide le projet et renforce sa vision. Ce prix va permettre de faire de la recherche. Par exemple, il y aura la mise au point d’un formage totalement innovant et ancré dans son territoire
Pourquoi avoir choisi de développer une contribution participative via une plateforme de crowdfunding ?
Via la plateforme « Miimosa », je propose de soutenir et suivre la création et le développement de la ferme d’Ulteria. Ainsi, nous proposons aux internautes de parrainer une chèvre, une poule, des préventes de fromages, des savons… et surtout de tester en priorité nos fromages et spécialités ! Il suffit d’aller sur ce lien : https://www.miimosa.com/fr/projets/la-ferme-d-ulteria-des-chevres-au-coeur-de-notre-ecosysteme. Mais, attention, il ne reste plus que quelques jours pour pouvoir le faire…L’objectif est de pouvoir partager avec des personnes passionnées et d’avoir leurs avis. Il est important pour moi que ce lieu soit vivant et ouvert sur son territoire. Il nous faut pour cela organiser régulièrement des événements. Par exemple, créer un réseau pour animer la ferme et organiser un événement dès que le bâtiment sera terminé…
Quelles sont vos attentes par rapport à ce dossier de financement ?
La collecte via la plateforme Miimosa va permettre de financer l’achat des chevrettes pour démarrer la ferme d’Ulteria. Nous avons choisis la race Alpine pour la qualité de son lait. Le public pourra les voir dès que la ferme sera ouverte.
Comment envisagez-vous les perspectives de votre société à cinq ans et les profils des futurs emplois ?
L’idée est de créer des emplois en local, polyvalents (chèvrerie et fromagerie) pour des collaborateurs qui souhaitent s’impliquer dans la réussite de la ferme d’Ulteria. C’est-à-dire avoir les pieds dans la terre de Saint-Bris le Vineux et la tête dans les étoiles !
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Yosra BOUGHATTAS : « L’entrepreneur qui a le nez dans le guidon ne peut aspirer à la pérennité de son entreprise… »
janvier 02, 2019Chercheure renommée, après une expérience solide de l'entreprise, Yosra BOUGHATTAS mène ses recherches sur la notion de compétence en France, au Canada et dans de nombreux pays. Elle nous livre un point de vue qui nous concerne tout particulièrement : quelle est la compétence spécifique d'un manager ? Une lecture d’une experte en la matière, proposée par les auteurs de « 16h44, la Minute du manager », partenaires de PRESSE EVASION, afin de vous faire progresser davantage et vous permettre de bien débuter la nouvelle année…
TRIBUNE : Intervenante de l’Université d’Artois, en qualité de chercheure, enseignante et consultante en entreprise après une expérience vécue dans de grandes sociétés privées telles que Orange ou le groupe ZANNIER, Yosra BOUGHATTAS fait autorité sur le thème du management des compétences de l'entrepreneur. A travers ces lignes, accordées lors de son interview, elle nous montre que, contrairement à nos intuitions, « la performance de l'entreprise dépend directement de la compétence de l'entrepreneur. Sa motivation ne fait que modérer ou accélérer sa performance… ».
Vous pensez que la notion de compétence entrepreneuriale est une clé du management des organisations modernes encore sous-exploitée au sein des PME ?
Oui, plusieurs études l'ont démontré. Le concept de compétence est essentiel pour les PME que ce soit pour assurer un développement solide à moyen terme ou pour prévenir des failles importantes.
Les études ont démontré que la performance d'une PME est intimement liée à la compétence de l'entrepreneur. Sa compétence est centrale pour la réussite de son entreprise. La motivation de l'entrepreneur modère la performance mais la clé est sa compétence.
Même si c’est contre-intuitif, la motivation de l'entrepreneur n'impacte que l'intensité d'apprentissage (plus ou moins vite, plus ou moins fort). Une des conséquences est que devenir un entrepreneur performant se travaille.
Comment se crée et se construit la compétence chez l'entrepreneur (et donc par ricochet la performance de l'entreprise) ?
Pour bien comprendre la compétence, il faut l'analyser dans le contexte de l'entreprise et de son projet.
Par exemple, la compétence en « prise de risque » n'est pas la même pour un entrepreneur en bâtiment que pour un start-upper dans l’informatique. Alors qu'il s'agit de deux entreprises de même taille confrontées à la même problématique de management.
Il faut ensuite faire la différence entre les compétences génériques et les compétences spécifiques : les compétences spécifiques sont liées au secteur d'activité (par exemple pour identifier une opportunité de marché dans l'immobilier, faire un choix judicieux de logiciel dans une société informatique...). Elles sont déterminantes.
Les compétences génériques (recruter, assurer la gestion...) sont moins critiques. Elles doivent donc faire l'objet d'un processus conscient et proactif de la part de l'entrepreneur. Ce processus s'appuie sur un système d'évaluation permanent.
Cela explique que l'entrepreneur qui a le « nez dans le guidon » ne peut pas aspirer à la pérennité de son entreprise et à un développement structuré.
Comment l'entrepreneur doit-il s’y prendre pour structurer un développement durable ?
L'objectif consiste pour lui à « checker », à partir des compétences génériques, celles déjà acquises et surtout les compétences manquantes nécessaires dans le cadre du développement ou de l'évolution à venir de son entreprise. L'aide de mentors, de conseils extérieurs, de coachs publics ou privés lui sera bien sûr d'un appui certain. Cette aide peut provenir aussi de collègues, à condition qu'elle s'installe dans un processus structuré à une cadence régulière, chaque trimestre.
Les compétences manquantes (par exemple acquérir une nouvelle compétence en recherche de fonds de croissance, ou développer un réseau de franchises...), une fois identifiées, pourront s'acquérir : en valorisant des compétences préexistantes chez certains collaborateurs, en recrutant de nouveaux talents sur cette compétence stratégique et en formant spécifiquement certains collaborateurs, voire en le formant lui-même.
Il s’agit vraiment d'un processus d'apprentissage entrepreneurial, très différent du processus d'apprentissage scolaire. Il demande une certaine discipline mais son impact sur la performance de l'entreprise rend cet effort vraiment payant !
On le constate dans de nombreuses PME canadiennes, habituées à ce mode de fonctionnement.
Comment mettre en œuvre ce processus dans ma PME dès demain ?
La compétence entrepreneuriale pour les nuls se définit en quatre étapes :
1° Je repère et formalise mes compétences fortes et mes besoins par rapport au développement à mon entreprise, et mon projet à moyen terme,
2° J'identifie les compétences clés à acquérir (devenir présent sur les réseaux sociaux, développer de nouvelles capacités en e-commerce, me construire un réseau en Chine...),
3° Confronter cette liste à mon entourage de confiance (associés, collaborateurs clé, accompagnateurs…),
4° Mettre en action un programme pour compléter le « chaînon manquant »
- Recruter un chinois pour supporter mon développement export dans cette zone,
Intégrer un jeune expert des réseaux sociaux,
- Former mes managers au coaching, mon contrôleur de gestion à de nouvelles techniques de reporting, etc.
Philippe CARPENTIER
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