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Les CCI régionales créent un nouvel espace numérique : la relance économique comme seul mot d’ordre…
juin 05, 2020Initié par le réseau régional de la chambre consulaire, le nouvel outil multimédia (www.relancermonentreprise.fr) offre l’accès à un ensemble de ressources très utiles aux entrepreneurs en reprise de leur activité. Il est aussi un espace de contribution astucieux où chacun des utilisateurs peut y déposer une idée ou une suggestion profitable à la relance économique…
AUXERRE : L’après confinement est une étape à ne pas prendre à la légère après les nombreuses semaines d’inertie économique. Fort de cela, les Chambres de Commerce et d’Industrie de Bourgogne Franche-Comté qui ont multiplié les cellules d’appui en soutien des milliers d’entreprises dans le besoin durant les moments les plus cruciaux, poursuivent leur mission sociétale en créant un nouveau site numérique.
Baptisé sobrement (www.relancermonentreprise.fr), l’outil respecte le credo coutumier qui guide les services des CCI au quotidien depuis le début de la crise sanitaire : accompagner à la reprise d’activité des entreprises grâce au redémarrage de l’économie.
Opérationnel depuis peu, ce site présente les diverses solutions préconisées par l’organisme consulaire dans le cadre de la relance, les dispositifs d’aides mobilisables, le cadre réglementaire en matière de réouverture d’activité (on pense volontiers à la filière de l’hôtellerie/restauration/loisirs) ou encore une liste des fournisseurs régionaux d’équipements de protection. On y trouve également la fameuse bourse régionale d’entraide.
Facile à manipuler, l’outil encourage les recherches par mots clés, par tags, par thématiques selon les appétences des chefs d’entreprises. Il est aussi un espace contributif puisqu’il recueille les idées et autres suggestions émises par chacun des acteurs de l’économie en vue d’optimiser la relance ô combien nécessaire.
Il suffit d’activer le bouton ad hoc, placé en haut à droite de la page de garde pour que ces éléments à partager transitent par les services des CCI de la région. Ces derniers pourront alors enrichir ces propositions en matière d’accompagnement d’entreprises.
En savoir plus :
Les entreprises peuvent aussi contacter le correspondant relance de leur CCI territoriale pour toute précision et accompagnement sur le référent suivant :
www.relancermonentreprise.fr/contactez-votre-cci
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La CPME de l’Yonne souhaite revivre très vite un aussi bon cru que l’excellente année 2019…
juin 04, 2020L’exercice ne s’avérait pas aussi simple que cela à organiser de prime abord. Comment dérouler le fil conducteur d’une assemblée générale sans la présence physique des membres de l’association par le seul intermédiaire d’une visioconférence au débit plus ou moins défectueux ? C’est ce qu’a vécu la vingtaine d’adhérents de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME) ce jeudi en fin d’après-midi avec plus ou moins d’enthousiasme quant à la pertinence de ce mode de communication…
AUXERRE : De l’avis des membres de la CPME scotchés derrière l’écran de leur ordinateur : rien ne vaut une véritable réunion statutaire en présentiel pour faire le point sur le devenir d’une structure associative !
Le trio d’animation de cette assemblée générale ordinaire ne put que corroborer ces impressions unanimes. La technologie possède certes ses atouts avantageux mais aussi ses défaillances techniques, parfois.
Serait-ce la présence de vagues orageuses successives qui traversent le département de l’Yonne depuis vingt-quatre heures, toujours est-il que les liaisons visuelles et sonores entre les adhérents de la CPME flirtaient avec la quasi-impossibilité de pouvoir communiquer de manière convenable et audible lors de ce rendez-vous qualifié d’important.
Stoïques, tentant vaille que vaille de faire fi des altérations technologiques qui brouillèrent quelque peu les pistes d’une saine compréhension, le président Olivier TRICON, son trésorier Roger DELINGETTE et la secrétaire générale Emmanuelle MIREDIN firent du mieux possible pour que les messages adressés à leurs ouailles soient perceptibles haut et clair.
Bref, même si l’on était loin du cinq sur cinq côté qualitatif sonore, la réunion déroula son fil sans que l’ordre du jour initial soit respecté formellement dans sa légitime logique.
D’entrée de jeu, Olivier TRICON annonça que le quorum n’était pas atteint. Une vingtaine de membres seulement osaient l’aventure, sans filet à vrai dire, du suivi de cette statutaire par voie numérique interposée. Cela n’empêcha pas le bureau de la CPME de l’Yonne de procéder derechef à une seconde assemblée ordinaire conformément au respect de leurs statuts. Un dérivatif autorisé comme devaient le préciser les juristes de l’assistance.
Ensuite, il fut question de compresser un ordre du jour déjà malmené par les conjonctures techniques. L’approbation du procès-verbal de la précédente assemblée générale, bien physique celle-là le 21 mars 2019, fut une simple formalité. Puis, Olivier TRICON fit une synthèse exhaustive de son rapport moral couvrant l’exercice 2019.
2019 : une année excellente en tout point pour la CPME…
Un bon cru comme il les aime que cette année 2019 avec sa cinquantaine de nouvelles adhésions (de quoi mettre du beurre dans les épinards de la trésorerie chère à l’inoxydable Roger DELINGETTE) et le dynamisme des activités. On s’en souvient : la saison dernière fut organisée un événementiel exceptionnel au plan émotivité avec la présence sur scène de la figure sportive Philippe CROIZON.
Mais, la CPME réussit également le tour de force de placer quatre-vingts de ses coreligionnaires parmi les instances institutionnelles à la tête de mandats de premier choix dont ceux du Tribunal de Commerce ou le conseil des prud’hommes.
2019 fut aussi synonyme de féminisation avec la création d’un pôle spécifique, un club CPME 100 % féminin qui accueille près d’une trentaine de cadres et dirigeantes d’entreprises désormais.
Au terme d’un exercice oratoire où il excelle, Roger DELINGETTE fit adopter sans l’ombre d’une voix contraire le rapport financier attestant de la bonne santé de la CPME de la Bourgogne septentrionale.
A contrario, l’élection des membres sortants du Conseil d’administration a été différée d’une année. Question d’éthique : on choisit ses représentants en mode présentiel uniquement. Conséquence : tous les mandats en cours se poursuivent avec les mêmes personnes une année supplémentaire.
Une prolongation des postes qui a été acceptée à l’unanimité par les présents. Quant aux personnes qui avaient fait acte de candidature pensant que ce vote serait possible, elles se verront invitées à participer en qualité d’observateur aux travaux du conseil d’administration.
Dès que celui-ci pourra se réunir de manière physique (ce serait mieux) plutôt que virtuelle (on a vu les failles du système) !
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Les recettes de poulet made in Kentucky vont faire des heureux dans l’Yonne : KFC pose enfin ses jalons à Sens
juin 02, 2020L’enseigne de restauration rapide accueille ses premiers consommateurs ce mercredi dès 11 heures dans la ville la plus septentrionale du département. A peine le confinement levé ! De quoi réjouir les aficionados de recettes de poulet cuisinées à la sauce du Kentucky, l’état de naissance de ce pionnier opérationnel à travers le monde depuis 1939. Une cinquantaine d’emplois ont été créés. Une petite bouffée d’oxygène après cette période de disette où plus personne n’osait sortir…
SENS : Le restaurant est flambant neuf. Il recevra ses premiers clients en cette belle journée de mercredi à partir de 11 heures. Une ouverture espérée, attendue et enfin concrétisée pour de nombreux férus de l’emblématique « Bucket » et ses délicieuses recettes de poulet élaborées sur place. Ils semblaient perdre patience. La faute à ce satané coronavirus qui aura quelque peu retardé l’évènement…
Localisée dans la zone commerciale de Champbertrand, l’enseigne ne se présente plus. Elle possède une aura internationale. Son symbole, image de l’archétype Amérique à la réussite si affriolante, est représenté par ce charismatique personnage du colonel SANDERS. L’homme providentiel par qui le succès culinaire est arrivé : il a, dit-on, inventé les recettes de ce poulet qui ne possède pas la même succulence qu’ailleurs.
Filiale du groupe YUM, KFC est l’une des marques vedette que compte cette holding de la restauration de niveau mondial. Pizza Hut et Taco Bell en sont les deux autres composantes.
Avec plus de 48 000 restaurants thématiques implantés dans 145 pays, le groupe YUM surfe irrésistiblement sur la vague de la réussite : l’entité KFC possède à elle seule plus de 23 000 établissements à service rapide dans cent-quarante états.
La neuvième boutique en Bourgogne Franche-Comté…
Dans l’Hexagone, la marque est plutôt bien lotie. Elle y a développé un maillage façon puzzle où s’imbriquent 266 commerces sous franchise. Le propriétaire de la nouvelle vitrine sénonaise n’est autre que Gian-Marco AMENDOLA. Déjà gestionnaire d’un autre KFC à Bourges.
Précision : la Bourgogne Franche-Comté comprend déjà un petit réseau d’une dizaine de points de vente. Il n’est pas exclu qu’Auxerre soit un jour la cible privilégiée d’une future implantation.
Mickael PINTA, directeur de l’établissement, se dit très enthousiaste à l’idée d’ouvrir ce concept autour d’une équipe forte de cinquante collaborateurs très motivés.
Pour cette nouvelle ouverture, KFC a travaillé en partenariat avec les services locaux de Pôle Emploi afin de recruter ses employés. Un plan de carrière existe pour les salariés qui bénéficient d’une formation adaptée afin d’acquérir les compétences nécessaires à leur progression.
L’un des objectifs avoués de l’enseigne sera d’atteindre les cinq cents restaurants à horizon 2025 sur le sol français.
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Sécurité routière : l’Yonne s’enfonce un peu plus dans le rouge après le week-end de Pentecôte
juin 02, 2020Le bilan n’est certes que provisoire. Mais, à la lecture des premiers résultats communiqués par les services de la préfecture et de la Gendarmerie nationale, le week-end de Pentecôte n’aura guère été fameux avec son lot d’infractions qui a fait florès. Par rapport à la même période de la saison dernière, le nombre de victimes à déplorer est plus mauvais. Soit douze tués au lieu de onze depuis le début de l’année.
AUXERRE : Une fois encore, l’Yonne caracole parmi le peloton de tête des territoires de l’Hexagone où le nombre d’accidents de la circulation routière est élevé. Plusieurs faits divers à l’issue tragique sont venus endeuillés des familles au cours de ces dernières semaines de mai.
De sinistre augure avant que ne débute juin, un mois réputé très délicat par les services de la préfecture et le Groupement de la Gendarmerie nationale. En règle générale, cette période annonciatrice de l’été voit fleurir un nombre important d’accidents.
Mais, avant de connaître le rush des futures vacances estivales, les forces de l’ordre étaient mobilisées sur les routes et autoroutes lors de ce long week-end.
Les pelotons mobiles d’Avallon, d’Auxerre, de Joigny et de Sens n’ont guère eu le temps de chômer. Ils ont relevé en effet plus de trois cents infractions entre vendredi et lundi soir. Sachant que ces résultats s’arrêtent au soir du 01er juin vers 22 heures.
Dans le détail, sur 301 infractions observées, 186 ont pour origine la vitesse excessive des automobilistes. Dont cinq cas sont supérieurs à un écart de cinquante km/h avec la vitesse autorisée.
Les représentants des forces de l’ordre dirigés par le colonel Rénald BOISMOREAU ont enregistré trois non-respects au stop, deux défauts d’assurance, et même quatre cas de conduite sans permis !
L’absence du port de la ceinture aura été réprimandée à cinq reprises durant ces trois jours. Pour l’anecdote, il y eut aussi deux cas de conduite sous stupéfiant.
Bref, autant d’incivilités qui ont conduit les forces de l’ordre à se montrer répressives envers leurs auteurs avec vingt-trois rétentions de permis à la clé.
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Privée de livraisons avec la Chine, GRAVIBAG conçoit ses produits avec des partenaires dans l’Hexagone
mai 31, 2020Industrialiser de nouveau la France pour que notre territoire puisse fabriquer davantage à l’avenir en brisant le cycle infernal de sa dépendance envers la Chine et les pays d’Asie du Sud-Est représente une idée qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Refroidi parce qu’il vient de vivre après plusieurs mois d’inactivité faute de production assurée en Extrême-Orient, Mohammed ERRAFI se met en quête de trouver des partenaires français. Pour assurer la conception de ses sacs à dos brevetés aux particularismes si révolutionnaires…
SENS : En l’espace de quelques mois, la start-up de l’Yonne a acquis ses lettres de noblesse dans le giron de la technologie grâce à la conception révolutionnaire d’un sac à dos pour le moins singulier qui lui permet de réduire le poids de charge de son produit de 92 % ! Nom de la marque : GRAVIPACK !
Distinguée lors du fameux Concours Lépine édition 2018 où elle décrochera la médaille d’argent, la structure dirigée par Mohammed ERRAFI écoulera plus de trois mille de ses modèles insolites au premier trimestre.
Réalisant en substance un joli bénéfice de trente mille euros dès le lancement de sa gamme de produits avec la vente de mille six cents sacs en à peine vingt jours !
Mais, un coup d’arrêt brutal est venu perturber la belle mécanique si bien huilée. Il a eu pour cause le coronavirus et la suspension immédiate de toutes les livraisons des produits fabriqués avec le concours des partenaires chinois.
Travailler avec les industriels de l’ex-Empire du Milieu ne représentait pourtant pas la priorité numéro un du jeune entrepreneur à ses débuts. Mais, constatant avec certaine amertume qu’aucun professionnel de l’Hexagone ne s’intéressait à son ambitieux projet à l’envergure internationale, le chef d’entreprise n’eut pas d’autres alternatives que de jeter son dévolu vers des partenaires moins exigeants et prêts à soutenir son projet novateur.
Prévenu dès le 14 décembre des risques liés au coronavirus…
Les Chinois n’ont alors pas hésité à prendre en charge l’ensemble des frais liés à la conception du projet, depuis le coût de la matière première jusqu’aux tests scientifiques et médicaux à l’aide d’un bureau d’étude composé d’une dizaine d’ingénieurs afin de fabriquer les cent mille unités prévues. Chaque prototype ayant coûté la bagatelle de trente mille euros !
Toutefois, le 14 décembre 2019, son correspondant local lui présente les problématiques inhérentes à la propagation du virus parti de Wuhan qui inquiète beaucoup les autorités de Pékin. Avec une recommandation destinée à son interlocuteur : celle de ne plus adresser d’argent en Chine puisque l’usine y est à l’arrêt.
Refroidi parce qu’il entend à l’autre bout de la ligne, le chef d’entreprise espère trouver une chaîne de production française. Mais, il le sait : ce n’est guère aisé dans un pays qui est désindustrialisé.
Une idée de génie germe en lui : Mohammed ERRAFI se rapproche alors de l’Association des Paralysés de France (APF), lui-même très sensible à la cause du handicap. Il trouve un accord avec la structure afin que la production puisse se faire par leur intermédiaire avec l’usage de matériaux écoresponsables. La Croix-Rouge entre également dans le jeu, interpellée par la démarche.
De quoi se préparer pour la période estivale où des milliers de sacs devraient être vendus. Et étoffer la gamme de nouveaux modèles.
Le dirigeant de la SAS GRAVIBAG espère atteindre un chiffre d’affaires de plus de 9 millions d’euros d’ici cinq ans. Soutenu par de nombreux financeurs, il aura démontré avec cette crise qu’il savait rebondir et s’adapter aux situations même les plus complexes…
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