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La flambée des matières premières contraint la mairie de Sens à différer certaines rénovations de groupes scolaires
septembre 04, 2021La ville de Sens se retrouve indirectement confrontée à la hausse des prix des matières premières. Mais en dépit de quelques déconvenues, elle a pu mettre en œuvre une bonne partie de ses projets de rénovation estivaux. Les élus ont présenté un bilan des travaux réalisés cet été dans et aux abords des écoles pour un montant total de 309 802,97 euros, quelque peu inférieur, de fait, au budget prévisionnel…
SENS : Après un ralentissement forcé pendant la crise sanitaire, l’investissement dans la réfection du patrimoine de la ville commence à retrouver un rythme normal.
« On est vigilant à ce que toutes les écoles puissent bénéficier de rénovations-travaux. Surtout on s’assure que les petites choses, qui ne sont pas forcément très chères mais qui sont indispensables, par exemple un petit endroit pour les vélos, vérifier que les fenêtres s’ouvrent bien et sont sécurisées, un nid de guêpe à enlever, ont été vérifiées avant la rentrée. Il y a eu vraiment un travail minutieux de la part des services pour que toutes ces petites anomalies puissent être réparées avant la reprise des élèves » déclare Paul-Antoine de CARVILLE, premier adjoint au maire chargé de l'Urbanisme, des grands projets structurants et de la gestion patrimoniale.
De nombreuses installations nécessitaient une rénovation, parfois importante comme le remplacement du Système de Sécurité Incendie (SSI) de l’école Gaston Marnot (28 562 euros). Le service Espaces Verts a réalisé en régie, le nettoyage (5 733 euros) et la révision des jeux (1 228,50 euros) pour l’ensemble des écoles.
L’une des plus grosses enveloppes est dédiée au désamiantage et la pose d’un sol souple dans les salles de classe et un bureau du groupe scolaire Aristide Briand, soit un montant de 82 186,44 euros.
Autre gros chantier : la réfection des faux plafonds, installation de placo acoustique, électricité, plomberie et peinture en salle élémentaire et mixte du restaurant scolaire Maxime Courtis. Des travaux qui ont duré environ six semaines et coûté au total 60 028,17 euros.
La hausse des matières premières freine la mise en œuvre des projets de rénovation...
Des chantiers, notamment la réfection des sanitaires de l’école élémentaire Paul Bert et de l’école maternelle Cours Tarbé, n’ont pas pu être réalisés. Entre une absence de candidature aux appels d’offres et des prix exorbitants, la mairie de Sens s’est vue contrainte de les reporter à l’été 2022.
« Parfois, on n’était à trois fois le prix initial. Du coup, c’est impossible de prendre raisonnablement ces tarifs-là. Même d’un point de vue marché public, c’est dangereux parce que c’est anormalement haut. C’est lié au fait que, certes, il y a l’augmentation des matériaux » explique Paul-Antoine de CARVILLE.
Accablées par la crise sanitaire depuis de nombreux mois, les entreprises en ont-elles profité pour gonfler leurs tarifs comme le soupçonne également l’élu ?
Difficile de s’avancer sur ce point. Mais ce qui est certain, c’est que les entreprises du bâtiment et des travaux publics assistent à une hausse inédite du coût des matériaux et des matières premières. Le prix du bois a doublé, tout comme celui du PVC, et l’acier a augmenté de 60 à 70 %.
La Fédération Française du Bâtiment estime d’ailleurs que 15 % des entreprises ont peiné à continuer au moins un chantier durant cet été.
En cause, une pénurie de matières premières à l’échelle mondiale en raison de la reprise des activités de la Chine et des Etats-Unis qui a entraîné une forte demande. Certaines tensions entre des pays, notamment les Etats-Unis et le Canada, auraient limité les exportations de certaines matières premières comme le bois ou l’acier.
Cependant, selon la plupart des économistes comme Philippe CHALMIN, président fondateur de l’Institut de recherches européen sur les marchés des matières premières CyclOpe, ce phénomène d’inflation ne devrait pas s’inscrire dans la durée.
Floriane BOIVIN
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33 millions d’euros de budget sont consacrés à l’avenir des collégiens, la mère des priorités pour le Département
août 31, 2021Investir en faveur de l’éducation et miser sur le devenir de la jeune génération : tel est le credo de l’institution départementale avant la rentrée scolaire qui frappera ses trois coups ce mercredi. Dans un exercice oratoire dont il est coutumier à pareille époque, le Conseil départemental par la voix de son président, Patrick GENDRAUD, a brossé dans le détail les grandes lignes de son projet 2021/2022…
AUXERRE: L’avenir de la jeunesse et la pérennité de son éducation scolaire ? Ce n’est pas un leurre au Conseil départemental de l’Yonne ! Rien que pour cette nouvelle saison qui s’amorce à grand pas, c’est un budget destiné à la réalisation de travaux et pour le fonctionnement des établissements de trente-trois millions d’euros qui a été inscrit sur les lignes budgétaires du vénérable organisme ! Une enveloppe en hausse, il va de soi, votée à la quasi-unanimité.
Côté réfections, réaménagements et adaptations en tout genre, le Département a sensiblement augmenté sa manne financière, accordée à ce poste clé pour valider une pédagogie probante qui doit s’exercer dans un cadre propice, moderne et accueillant.
Quinze millions d’euros en lieu et place de la petite dizaine de millions d’euros qui étaient jusque-là consentis d’ordinaire les années antérieures. D’ailleurs, ce n’est qu’un début.
La progressivité de cette enveloppe vitale à l’enseignement du second degré ne devrait pas se cantonner à la seule saison nouvelle qui nous incombe. Une moyenne de 20 millions d’euros de budget destinés aux travaux de rénovation de la trentaine de collèges sous la coupe du Département serait allouée à l’avenir.
Une logique implacable pour le président de l’exécutif. Celui-ci veille à l’optimisation qualitative de l’accueil des 14 043 collégiens, répartis parmi les différents établissements publics implantés sur le territoire et la constante modernisation de ces derniers. Rappelons que les deux mille élèves fréquentant le privé intègrent également ce choix politique.
L’aide au fonctionnement entre groupes scolaires issus du public et du privé s’effectue de la manière suivante : 4,5 millions d’euros sont ainsi attribués aux établissements publics, tandis que ceux à l’estampille du privé perçoivent plus d’1,6 million d’euros.
Un ticket repas au prix modéré de 3,82 euros…
Une autre caractéristique de cette stratégie favorable à l’épanouissement des élèves prend forme avec la restauration. 1,6 million de repas ont été distribués au cours de l’exercice précédent dans les restaurants scolaires de notre territoire. Sachant que dix mille élèves bénéficient de la demi-pension. Quant au prix du ticket journalier, il n’est que de 3,82 euros à la charge des familles alors que le coût de revient s’élève à 8 euros.
Mais, comme devait le rappeler le président GENDRAUD face à la presse ce mardi en milieu de matinée, « il n’y a pas que l’aspect financier de la restauration qui nous interpelle, la qualité des repas que nous devons servir à nos enfants reste primordiale… ».
Et de citer la relation avec les producteurs du cru en phase de développement, identifiée par la plateforme AGRILOCALE. Un outil qualitatif se situant tout à fait dans l’esprit du bien mangé, cher à l’esprit de l’ancien maire de Chablis, pour nourrir les jeunes ouailles de l’enseignement.
« Nous sommes une collectivité de proximité, justifie le président de l’organe départemental, donc à ce titre, il faut en tirer les avantages… ».
Au-delà du simple contenu au fond de l’assiette, le bien mangé puise ses bienfaits dans la volonté de décliner des actions purement éducatives.
Cent mille euros par an consacrés au volet du numérique…
C’est d’ailleurs le fruit d’un partenariat entre la Région, le rectorat et le Département qui est à l’origine de la mise en exergue de l’ENT, l’environnement numérique de travail. Conséquence : une ligne budgétaire de 100 000 euros est dédiée annuellement à l’essor de ces technologies au sein des collèges de l’Yonne. Des sites devant être raccordés à la fibre optique qui ne cesse son déploiement.
Exprimant sa reconnaissance envers les 315 agents départementaux qui exercent leurs activités au service de l’éducation, Patrick GENDRAUD leur tire son chapeau, selon la formule consacrée.
« Ces travailleurs de l’ombre ont droit à la lumière, devait-il ajouter avant que ne soit projetée une courte vidéo conçue par le service communication traduisant le travail de ce personnel ô combien capital.
Avant de clore son intervention, Patrick GENDRAUD mit l’accent sur la réalisation de quelques opérations majeures sur 2020/201 dont la livraison du nouveau gymnase au collège Albert-Camus à Auxerre (1,8 million d’euros) ; le programme d’amélioration thermique de deux bâtiments et projet de modernisation de la demi-pension au collège des Champs-Plaisants à Sens (une enveloppe de 2,4 millions d’euros pour un chantier qui débutera en 2022) ; la restructuration du collège Restif de la Bretonne à Pont-sur-Yonne en 2023 (du petit lait pour le premier vice-président et maire de la localité Grégory DORTE attentif aux propos) ; l’inauguration prochaine de la demi-pension du collège de Villeneuve-la-Guyard pour 3 millions d’euros ; celle du collège d’Avallon pour 6,5 millions d’euros ; les travaux énergétiques du collège Châteaubriand de Villeneuve-sur-Yonne (2,5 millions d’euros), etc.
Autant d’éléments tangibles démontrant que le Conseil départemental de l’Yonne a vraiment fait de l’avenir de la jeunesse et de la pérennité de son éducation l’une de ses principales priorités.
Thierry BRET
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« Allers vers » : la préfecture déploie une nouvelle stratégie incitative à davantage de vaccinations…
août 27, 2021Au 25 août, le taux d’incidence dans le département de l’Yonne s’élevait à 102 personnes contaminées pour cent mille habitants. Parallèlement, le territoire le plus septentrional de Bourgogne recensait au 17 août plus de 231 000 personnes ayant reçu la première dose d’injection. Soucieux que la mobilisation demeure entière, la préfecture déploie une nouvelle campagne de sensibilisation, baptisée sobrement « aller vers »…
AUXERRE: Le chiffre est limpide : au terme de ce mois d’août, le nombre de personnes primo-vaccinées devra atteindre 240 000 dans l’Yonne. Quant aux bénéficiaires de la vaccination complète, ils devront avoisiner 220 000 dans le même laps de temps.
Pour se faire, il n’y a pas d’autres moyens que de mobiliser une population qui a certainement encore la tête ailleurs, du côté des plages de sable blanc, des pics enneigés de la montagne ou plus proche de nous de la rentrée scolaire.
Aussi, le lancement d’une opération mobile de sensibilisation s’inscrit parmi les priorités du côté de la préfecture de l’Yonne. Elle n’est in fine que le relais de l’action développée par le gouvernement depuis quelques jours afin de promouvoir cette vaccination, contestée par une petite frange de nos concitoyens.
Localement, c’est-à-dire à Auxerre, Joigny et Sens, les centres commerciaux à l’instar de celui des Clairions en zone nord de la capitale de l’Yonne disposent de stands de vaccination. Leur rôle est primordial dans cet accès facile à l’antidote contre la COVID puisque situés sur des lieux de passage à fort potentiel de fréquentation. Surtout le week-end.
Samedi 28 août, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST se rendra sur place, dans la galerie marchande des Clairions à Auxerre, pour prendre le pouls de cette opération en sa qualité de représentant de l’Etat.
Un état qui a envie manifestement d’accélérer la cadence des vaccinations avant le retour des élèves la semaine prochaine en cours…
Thierry BRET
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Le président va dévoiler la stratégie éducative : l’heure de la rentrée scolaire a sonné pour Patrick GENDRAUD (CD 89)
août 26, 2021L’exercice est habituel. Il revient en amont de chaque rentrée scolaire. Notamment celle qui concerne les collèges, niveau pédagogique du domaine de compétence du Département. Avant de visiter plusieurs établissements, Patrick GENDRAUD, président de l’institution, dévoilera les enjeux et nouveautés d’une rentrée toujours entachée par la présence du virus…
AUXERRE : L’heure de la rentrée a sonné pour le président de l’exécutif départemental. Il se prêtera au jeu de la conférence de presse, mardi 31 août depuis son bureau, place de la préfecture à Auxerre, en milieu de matinée. Une rencontre officielle avec les journalistes du cru. Objectif : leur présenter la politique du Conseil départemental en matière d’éducation. Un thème cher aux yeux de l’ancien maire de Chablis.
Lors de ce rituel oratoire dont il a la maîtrise, Patrick GENDRAUD expliquera les grandes lignes stratégiques et budgétaires de ce poste, l’un des plus importants gérés par l’organisme.
Dès l’après-midi, il entamera une série de visites lui permettant de sillonner le territoire, allant à la rencontre des équipes éducatives, en présence des élus départementaux et locaux.
Une série de six visites programmée jusqu’au 08 septembre…
Parmi les temps forts de ce copieux programme, réparti sur la semaine à venir, on notera notamment l'inauguration du gymnase Albert-Camus à Auxerre, le mardi 31 août à 14h30. La visite à Avallon, le 02 septembre du collège Jeanne d'Arc. Ou encore le déplacement effectué à Migennes, le vendredi 03 septembre, en présence de Nathalie ALBERT-MORETTI, rectrice de l'Académie de Dijon, au collège Jacques-Prévert.
Notons, pour être tout à fait complet, que Patrick GENDRAUD ira au collège Le Gâtinais-en-Bourogne le 03 septembre à Saint-Valérien. Avant de poursuivre sa tournée, le 08 septembre, au collège des Champs-Plaisants à Sens.
Enfin, il terminera cette immersion au cœur de l’institution pédagogique le mercredi 08 septembre à 14 heures, avec l'inauguration de la demi-pension du collège Claude-Debussy, à Villeneuve-la-Guyard.
Thierry BRET
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Un régulateur électronique au top de ses fonctionnalités : un sérieux plus pour le chiffre d’affaires de CHAROT
août 21, 2021Trois années de développement ont été nécessaires pour en peaufiner toutes les subtilités technologiques. Au plan budgétaire, plusieurs centaines de milliers d’euros auront été injectées. Mais, in fine, le jeu en valait bien la chandelle pour l’industriel de Sens. Son régulateur électronique de dernière génération, le « Pack Control 4 » propose une centaine de fonctionnalités qui devrait révolutionner le segment du ballon d’eau chaude sanitaire…
SENS : Voilà une belle entreprise qui ne connaît pas la crise ! Encore moins le manque d’inspiration quant aux trouvailles technologiques à exploiter qui permettent de faire évoluer les concepts et les rendre pérennes dans leur environnement.
Synthèse réussie de nouvelles opportunités techniques et de quarante années d’expérience en matière de gestion de l’eau chaude sanitaire collective, le nouveau régulateur électronique commercialisé par CHAROT l’atteste amplement.
Trois ans après le début de la réflexion initiale, nécessitant plusieurs centaines de milliers d’euros en R & D, le « Pack Control 4 » fait figure d’OVNI sur ce marché devant équiper les grands ensembles et les bâtiments du tertiaire.
Muni d’un écran tactile couleur de sept pouces, cet appareil offre l’accès à de nombreuses fonctionnalités de manière simple et intuitive pour ses utilisateurs.
Un concept dont la cinquième version est déjà dans les tuyaux…
Concrètement, en moins de trois clics, l’usager peut facilement paramétrer l’installation, visualiser les températures en un seul coup d’œil et s’assurer du fonctionnement optimal des principaux éléments raccordés : pompes, vannes ou appareils de mesure vérifiant le débit.
Bref, c’est un véritable dispositif ergonomique que CHAROT propose désormais sur le marché. Les premiers modèles ont été vendus dès le mois de janvier. On se souvient de la sensation que ce régulateur avait occasionné dans le landerneau lors de sa présentation officielle au Salon INTERMAT de Paris, organisé en 2019.
Destiné à réguler et à surveiller la production et la distribution de l’eau chaude sanitaire, assurée par tous les systèmes existants, ce produit devrait se convertir en au moins 30 % d’optimisation sur le chiffre d’affaires de l’entreprise du Sénonais. Une estimation qui devrait évoluer à la hausse au cours de ce second semestre selon les prévisions de Pascal CHAROT, PDG de la société, très satisfait du potentiel de son concept.
Non seulement, ce régulateur dernier cri devrait rencontrer le succès dans l’Hexagone ; mais il pourrait également intéresser les utilisateurs de Belgique où il s’est déjà vendu plusieurs spécimens.
Thierry BRET
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