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Ses résultats seront dévoilés le 02 février : SKF et le projet de fermeture à Avallon interpellent les élus de la nation…
janvier 30, 2021Le ministre délégué aux PME est monté au créneau il y a peu. Alain GRISET n’est d’ailleurs pas le seul à avoir montré de l’appétence à la défense de ce dossier. Son homologue secrétaire d’Etat en charge du tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE, l’est tout autant. Son de cloches similaire en provenance de l’opposition régionale avec Julien ODOUL. Décidément, le projet de fermeture du site avallonnais de SKF ne laisse personne dans l’indifférence…
AVALLON: La sphère politique s’engouffre de plain-pied dans la brèche. Celle, béante, qui a succédé à l’annonce il y a déjà plusieurs semaines du projet de fermeture du site industriel avallonnais géré par la société scandinave SKF.
Un plan social, qui s’il était adopté en l’état viendrait à condamner l’employabilité de 141 salariés. Et de clore de manière définitive la présence de cet acteur économique sur ce secteur du Morvan depuis soixante ans.
Prévue fin 2022, cette fermeture ne trouve pas de réelles motivations économiques aux yeux des syndicats. Rappelons que l’unité de production de l’Yonne conçoit des roulements pour les tunneliers et le secteur militaire. Deux domaines qui ne sont guère impactés par la crise économique du moment.
La nouvelle provoque donc des ronds dans l’eau qui se répercute auprès du sérail politique. Localement, où les réunions de travail se sont multipliées ces dernières semaines à la préfecture de l’Yonne afin de trouver une amorce de sortie favorable. Soit en renégociant le PSE, soit en explorant la piste d’un repreneur potentiel du site.
Mais, aussi à l’échelon de l’Hexagone puisque le ministre délégué aux PME Alain GRISET a assuré que « l’Etat rechercherait avec le plus grand sérieux un repreneur industriel solide ». Une déclaration faite à l’Assemblée nationale.
Le secrétaire d’Etat en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE prête également une oreille très attentive à la moindre évolution de ce dossier un tantinet placé sur le fil du rasoir.
Les résultats du groupe seront dévoilés le 02 février en Suède…
Quant à la visite récente en terre icaunaise du directeur de la filiale française Philippe PEROZ, elle aura surtout permis de temporiser ce contexte incertain. Option hypothétique : la réévaluation du plan social qui pourrait en subir à termes des modifications.
L’opposition réagit de son côté. A l’instar du Rassemblement national et de son chef de file Julien ODOUL qui regrette que « la société suédoise décroche le pactole du plan de relance dans le cadre de l’appel à projets du fonds de modernisation aéronautique via sa filiale SKF Aerospace ».
Surtout après s’être prononcé en faveur du licenciement de 211 collaborateurs qui exercent leurs activités sur les sites d’Avallon et de Lons-le-Saunier.
Cette semaine est importante. La multinationale de Göteborg publiera ses résultats annuels pour l’année 2020 ; ce sera mercredi 02 février. Ses dirigeants expliqueront lors d’une conférence de presse la stratégie à venir pour ces cinq grandes plateformes de compétences qui lui permettent d’atteindre le milliard d’euros de chiffre d’affaires.
L’industriel scandinave accueille plus de trois mille collaborateurs parmi ses différentes unités de production. Mais, la question qui trotte dans toutes les têtes des collaborateurs du groupe dans l’Yonne est la suivante : combien en restera-t-il réellement sur le site d’Avallon fin 2022 ?
Thierry BRET
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Concours des Vins de Chablis : un jury d’épicuriens trop heureux de se retrouver en présentiel !
janvier 30, 2021Au-delà de l’enjeu, celui de décerner des médailles à une riche sélection de millésimes du terroir chablisien, il y avait ce plaisir immense de se retrouver enfin dans un esprit de convivialité. Intense, à faire pétiller les regards même si le port du masque et la distanciation physique devaient être respectés stricto sensu. Le 35ème Concours des Vins de Chablis aura donc offert dans un contexte totalement inédit une aération unique pour des épicuriens en quête d’un meilleur à venir…
BEINE : Les frissons sur le derme. En se prenant à rêver d’un retour à la vie ordinaire. Celle d’avant la COVID et son lot de restrictions liberticides ! Les retrouvailles en présentiel offertes par les organisateurs de ce traditionnel concours des vins ont su procurer un bien fou aux quarante-six membres du jury, devant s’atteler à la noble tâche gustative de millésimes issus du terroir local.
D’autant que les rendez-vous festifs concoctés autour de la gastronomie et de la viticulture sont devenus de la denrée rare depuis plusieurs mois dans l’Hexagone. Et que les manifestations vineuses populaires, à l’instar des célébrations de la Saint-Vincent, s’annulent les unes après les autres, obligations sanitaires faisant foi.
Avoir maintenu cette trente-cinquième édition du Concours des Vins de Chablis fut donc vécu comme une vraie bénédiction pour celles et ceux des épicuriens devant s’asseoir, solitaire, à la table de dégustation pour un exercice matinal hors du commun.
321 échantillons représentatifs de 77 domaines et maisons…
Sérieux, appliqués, silencieux (une véritable ambiance monacale planait dans la salle des fêtes de la bourgade périphérique de Chablis), les jurés ne boudaient pas leur plaisir.
Observant la robe jaune pâle de ces précieux liquides servis au verre par des sommeliers chevronnés, humant la moindre note olfactive afin d’en extraire les principales caractéristiques, s’humectant le palais pour y déceler les indices subtils donnant la profondeur au breuvage : ce fut un vrai travail d’artistes et de connaisseurs qui occupa les esprits trop désireux d’oublier la conjoncture et ses conséquences.
Même s’il fut organisé sans président officiel (une première pour l’Office du Chablis et le Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne), du fait de l’incertitude qui aura longtemps persisté quant au déroulement de l’animation, ce concours permit d’analyser 321 échantillons issus de 77 domaines et maisons viticoles.
Œnologues, restaurateurs, courtiers, journalistes, vignerons, amateurs éclairés : les jurés se répartissaient les échantillons de ces millésimes 2019 pour les appellations Petit chablis, Chablis, Chablis Premier Cru et Chablis Grand Cru (2018). Une première sélection détermina les premières notes. Avant qu’un « super » jury ne livre ensuite les véritables accessits.
In fine, ce sont vingt-sept médailles qui seront ainsi été délivrées au terme de ces retrouvailles heureuses. Honorant les domaines et les maisons viticoles du Chablisien, elles leur offrent une vitrine incomparable à la promotion de leurs crus grâce aux actions entreprises, en France comme à l’international, par le BIVB durant l’année.
Thierry BRET
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La filière bâtiment résiste mieux à la crise : la CAPEB se satisfait de ce curieux paradoxe
janvier 30, 2021Malgré le contexte délétère, il a décidé d’être heureux. « C’est bon pour la santé ! » philosophait à son époque VOLTAIRE ! Optimiste de nature, le président de la Confédération départementale de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) supporte plutôt bien les soubresauts intempestifs de la conjoncture actuelle. La filière semble être épargnée par l’âpreté économique que d’autres secteurs vivent de plein fouet. Jusqu’à s’en étonner…
AUXERRE : Dubitatif, Jean-Pierre RICHARD ne saisit pas tout de la configuration de la crise sanitaire et de ses répercussions économiques. Dans l’expectative, le président de la CAPEB de l’Yonne s’interroge : où sont les réels effets de la conjoncture sur l’activité quotidienne des entreprises du bâtiment ?
Les carnets de commande sont bel et bien remplis ; la filière n’a procédé à aucun placement de ses salariés en chômage partiel. Les licenciements ne sont pas à l’ordre du jour. Quant aux dépôts de bilan annoncés avec moult craintes, ils sont à date demeurés lettre morte. Un calme peut-être trop relatif qui préfigure un véritable tsunami ?
« Ce qui cloche, concède-t-il un brin amusé, c’est que justement rien ne cloche ! ».
Certes, les artisans ont su s’adapter dès qu’ils l’ont pu aux mesures protectionnistes d’usage afin de continuer à exercer. En cela, le syndicat patronal aura fourbi ses armes dans la lutte contre la propagation de l’épidémie, distribuant gel hydro-alcoolique et masques pour les visages. Nonobstant, le résultat est là : les entreprises du secteur maintiennent le cap, même si elles ont grandement besoin d’aides.
Autre observation émise par le chef d’entreprise qui siège également au Conseil d’administration confédéral aux côtés de vingt-huit de ses homologues, 2020 aura été marquée par la croissance du nombre de créations de nouvelles entreprises. La plupart du temps, elles sont l’œuvre de jeunes professionnels en reconversion. Un signe encourageant dans cette atonie ambiante de la sphère économique.
Des dispositifs incitatifs et une bulle francilienne pour doper le marché…
Mais, le regain d’intérêt des investisseurs franciliens pour l’immobilier dans l’Yonne, tant pour les résidences secondaires que principales, ne trompe pas. Une bulle d’activité s’est réellement créée dans le landerneau avec une conséquence directe qui impacte le chiffre d’affaires des sociétés artisanales de la filière. Les plus-values sont au rendez-vous et personne ne s’en plaindra !
D’autant que les conditions d’octroi des crédits ont été quelque peu assouplies à destination des néo-propriétaires. Grâce à l’application d’un taux d’emprunt qui s’est raffermi, passant de 33 % à 35 % dans les négociations avec les milieux bancaires.
Les mesures d’accompagnement nationales visant à soutenir le secteur n’ont pas été vaines. Jean-Pierre RICHARD le reconnaît volontiers : « Il n’y a qu’en France que les coups de pouce aux entreprises ont été aussi importants en Europe… ».
Le droit à la prime RENOV, dispositif qui favorise l’engagement de travaux dans la réhabilitation énergétique des bâtiments, se veut très incitatif pour le consommateur qui, s’il en est bénéficiaire, peut déclencher un CEE, un crédit d’économie d’énergie.
Serein, le président de la CAPEB de l’Yonne dispose aussi de solides soutiens partenariaux qu’ils soient bancaires comme institutionnels (GROUPAMA, MAAF, Crédit Agricole, BDS ou KPMG) pour préserver l’employabilité et le développement de ses adhérents.
Si la sortie de crise n’est pas encore pour demain, le responsable patronal sait cependant que 2021 sera une année charnière à plus d’un titre. Notamment à l’automne, avec la redistribution des cartes représentatives à pourvoir dans les chambres consulaires du fait des élections.
A moins que celles-ci soient différées à l’année suivante ?
Thierry BRET
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Une atteinte aux libertés des citoyens : APA dénonce les changements d’itinéraires des manifestations
janvier 29, 2021Pas facile de s’y retrouver pour les organisateurs de manifestations revendicatives dans les rues de la capitale de l’Yonne à l’heure actuelle ! De quoi y perdre son latin. A défaut de ses libertés ! Preuve à l’appui, pour la énième fois, Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) qui propose une marche des Libertés à Auxerre ce samedi 30 janvier dès 13 H30 a dû modifier à la dernière minute son parcours à travers la ville…
AUXERRE : Entre ras-le-bol et désarroi ! Alors que les manifestations protestataires se peaufinent de longue date dans les têtes de ses organisateurs, le schéma pratico-pratique de son application s’en trouve systématiquement chamboulé à quelques heures du jour J. Du fait d’un changement d’itinéraire de dernière minute qui vient perturber toute la logistique de l’édifice.
Samedi 30 janvier, l’organisation d’une marche des Libertés, proposée par le collectif Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) sera une nouvelle fois contrariée par ces volte-face imputable aux derniers échanges avec les services de la préfecture.
Ainsi, l’itinérance de ce rassemblement citoyen en faveur des libertés (les Français en sont sevrés en ces moments délicats de pandémie) aurait dû partir depuis le parking des syndicats. Soit à l’intersection entre le boulevard Vaulabelle et le quai de la République à 13 heures.
Si l’horaire initial est maintenu, c’est bien le lieu qui s’en trouve désormais changé. La manifestation prendra son envol depuis le parking de l’Arquebuse. Occasionnant ainsi une sérieuse remise en question du travail préparatoire effectué en amont par ses auteurs.
Déjà le 21 novembre, APA avait choisi une déambulation en centre-ville dans le but de marquer un soutien aux commerces et aux lieux culturels impactés par la crise sanitaire. Au lieu de ce programme plutôt explicite dans les intentions, le cortège avait été déplacé sur les boulevards extérieurs, beaucoup plus anecdotiques quant à la présence de commerces et de sites culturels. Une déception, évidente.
Aujourd’hui, Assemblée Populaire d’Auxerre considère qu’il est problématique de pouvoir organiser une manifestation de nature à satisfaire ses représentants. D’autant que d’autres organisations syndicales pâtissent aussi des mêmes méthodes.
Ce fut le cas de l’association ONE VOICE le 23 janvier qui a vu son rassemblement être déplacé de la Place Surugue au début de la rue du Temple.
Ces nuisances créent de réelles difficultés pour informer au plus juste les citoyens quant au côté pratique des choses. Des entraves supplémentaires au droit à manifester et aux libertés des citoyens qui ne font qu’accentuer les motivations des protestataires !
Thierry BRET
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Cyrille CARRE chantre de l’éthanol : le champion du monde de kayak joue les ambassadeurs pour FORD RENT !
janvier 29, 2021A ses moments perdus, s’improvise-t-il en qualité de testeur de véhicule le champion du monde de canoë-kayak ? Son partenariat avec FORD RENT date de 2011. Il lui permet chaque année de bénéficier d’une automobile de courtoisie. Un précieux auxiliaire motorisé qui l’aide à transporter le matériel adéquat à sa préparation physique en vue de conquérir de nouveaux titres de gloire…
AUXERRE : On connaissait l’appétence de Cyrille CARRE pour le domaine aquatique et ses sports de glisse. Eu égard à son brillant palmarès qui en ferait pâmer plus d’un qui manie en dilettante la pagaie sur un plan d’eau au titre de la distraction oisive. Mais, là où ce toujours fringuant trentenaire, athlète bien dans sa peau, bien sa tête, nous épate ; c’est son intérêt qu’il accorde volontiers à l’univers automobile.
Cyrille CARRE est un connaisseur des moyens de locomotion. Voire de leur carburant ! Visiblement, l’éthanol ne possède plus de secrets pour le charismatique sportif auxerrois qui commente volubile les prouesses techniques de sa nouvelle voiture. Le KUGA de 150 chevaux à la motorisation hybride dont on vient de lui remettre les clés !
Une réduction de 15 % de sa consommation de carburant…
Avalant les kilomètres sur les bassins d’entraînement comme il le fait sur l’asphalte (plus de vingt mille kilomètres au compteur sur la seule année 2020) pour se rendre sur les lieux de stages de l’équipe de France, le futur sélectionné pour les Jeux Olympiques de Tokyo s’est dit très satisfait de cette approche liminaire avec ce véhicule, fruit d’une convention de partenariat nourrie avec FORD RENT.
Le sociétaire de l’OCKA s’est vu remettre ce modèle flambant neuf à la concession auxerroise du groupe AMPLITUDE où l’attendait son responsable Olivier LANSIAUX. Un chef d’entreprise heureux de rappeler les bases de ce partenariat dont il se satisfait en termes d’image et de communication.
Circulant à bord de ce pur produit de l’enseigne américaine à l’estampille 2020, Cyrille CARRE devrait également réaliser une très belle affaire sur le plan des économies budgétaires en réduisant de près de 15 %, selon les estimations du constructeur, sa facture de carburant par rapport à un moteur Diesel traditionnel. Moyennant quoi : un bonheur ne vient donc jamais seul, en somme, pour celui des conducteurs qui sait choisir sa monture !
Thierry BRET
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