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L’école Sainte-Thérèse gagne en amplitude : Saint-Joseph-la-Salle bénéficie du savoir-faire des architectes d’ATRIA…
octobre 23, 2019Du bois, judicieusement assorti au béton. Telle se présente visuellement la nouvelle configuration de l’édifice ajouté dans son prolongement à l’école maternelle du groupe scolaire privé. Pouvant accueillir quatorze classes de tout-petits et de primaire, soit 371 bambins, l’école Sainte-Thérèse, l’une des options pédagogiques déclinée par le groupe Saint-Joseph-la-Salle, se dote d’une salle de classe supplémentaire ainsi que d’une salle de vie. Celle-ci ayant pour vocation d’optimiser les activités de bien-être des jeunes « têtes blondes »…
AUXERRE : Soucieux de contribuer à sa manière à la préservation de la planète, le cabinet ATRIA aime allier la matière noble et naturelle, le bois, à l’emploi de matériaux d’inspiration plus traditionnelle, le béton, à ses réalisations architecturales.
Un mariage, non pas de raison, mais de pure nécessité environnementale que les architectes auxerrois développent depuis plusieurs années sur bon nombre de leurs chantiers. Avec réalisme et bonheur, au vu de l’appréciation de leurs résultats.
Déjà sollicités par la direction du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle lors de précédents aménagements survenus en 2012, les spécialistes du cabinet ATRIA ont pu proposer un fil conducteur dans leur approche conceptuelle, visant à agrandir grâce à une extension accolée au bâtiment existant l’école maternelle et primaire, Sainte-Thérèse.
Plus de deux cents mètres carrés supplémentaires offriront à l’établissement la possibilité de se doter d’une salle de classe permettant de mieux rééquilibrer les effectifs des scolaires, une opportunité heureuse pour le corps enseignant, saluée par la direction du groupe.
Le bois et le béton soulignent le trait esthétique de la construction qui n’en demeure pas moins ergonomique et très fonctionnelle dans son utilisation. Une salle de vie, un nom un peu passe-partout donné à cet endroit, garantit une meilleure approche pédagogique des activités bien-être qui viennent nourrir les enfants.
Un travail esthétique au service du pragmatisme...
Le temps de l’inauguration, assortie d’une visite rapide des lieux favorisant la vue des nouvelles modifications (sanitaires, agrandissement du self-service avec 135 mètres carrés qui induit une meilleure déambulation des enfants munis de leurs plateaux repas…), aura suffi à l’architecte Annick WOROBEL pour expliquer succinctement la philosophie architecturale recherchée avec cette conception. Un travail d’esthète qui n’en oublie pas les fondamentaux de la bio-construction.
On notera pour les puristes, férus de nouveautés, que l’une des cours principales de l’établissement se pare désormais d’une énorme fresque représentant le portrait de Saint-Jean Baptiste La Salle. Une esquisse artistique d’une dimension appréciable de 225 mètres carrés de surface, à même le sol.
Soutenu par l’ensemble des acteurs de la sphère institutionnelle (Etat, Région, Département, Ville), l’un des premiers établissements scolaires en termes de présence (1 850 élèves toutes catégories confondues, de la maternelle aux sections d’enseignement supérieur – BTS -), ne devrait pas s’arrêter en si bon chemin dans sa quête, non pas spirituelle, il va de soi, mais matérielle.
D’autres travaux devraient étayés les précédents durant l’année 2020 comme l’effleura Marc BESANCENEZ, responsable de cette divine maison, où les jeunes peuvent suivre leur parcours pédagogique avec moult orientations dès l’âge de 3 ans jusqu’à leur majorité, voire un peu plus !
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Robert BIDEAU l’évoque aux Assises du SDEY : une unité de production photovoltaïque est à l'étude à MONETEAU…
octobre 22, 2019Validé de manière unanime lors d’un conseil municipal en novembre 2018, le projet d’installation d’une centrale photovoltaïque est toujours d’actualité dans la commune périphérique d’Auxerre…
MONETEAU : Procédant à l’ouverture officielle des neuvièmes Assises du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) qui se déroulaient dans sa commune, l’édile de MONETEAU a profité de la tribune qui lui était offerte pour rappeler à l’auditoire qu’un projet de création d’une unité de production photovoltaïque était à l’étude.
Sans déflorer les détails de cette future installation, Robert BIDEAU a simplement rappelé que celle-ci pourrait être effective sur le site de l’ancienne décharge de la localité.
S’interrogeant sur les pratiques énergétiques de certains de nos voisins européens, en particulier l’Allemagne qui autorise toujours l’exploitation intensive du charbon, le vice-président du Conseil départemental de l’Yonne s’est dit un fervent adepte de l’énergie propre.
Pour mémoire, le conseil municipal local a validé le principe de cette unité de production énergétique via le solaire en novembre 2018. S’il devait voir le jour, ce site serait développé par la société ENGIE GREEN. Sa capacité de production pourrait s’élever à plus de 5 600 MWh annuellement ; ce qui permettrait d’assurer l’alimentation de 2 200 foyers.
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Le site de GERMIGNY devrait être opérationnel en 2020 : CERES a le vent en poupe pour promouvoir le gaz propre…
octobre 21, 2019Intervention remarquée lors du dîner de gala, proposé par le réseau Entreprendre à Auxerre en milieu de semaine dernière. Celle d’un jeune dirigeant de société, Maxime VIAUT, dont le projet CERES (Centrale d’énergie renouvelable écologique et solidaire) prend forme à Germigny avec les bases d’une première unité. Expert de la méthanisation de déchets organiques depuis une quinzaine d’années, cet ingénieur agronome entend bien apporter sa pierre à l’édifice de la transition énergétique dans le microcosme icaunais. Avant de conquérir l’Hexagone. Explications…
AUXERRE : Fruit d’une réflexion parfaitement mûrie il y a deux ans à peine, le projet CERES arrive à mi-parcours de sa conceptualisation définitive aux dires de son instigateur, Maxime VIAUT.
Alors que son usine de méthanisation est en phase de construction à quelques kilomètres de Saint-Florentin, le porteur de projet a précisé devant un parterre d’une quarantaine d’entrepreneurs réunis par le réseau Entreprendre que le bio-méthane y sera injecté dès le début de 2020.
L’objectif de la SAS est de promouvoir très largement cette énergie propre, issue de la transformation des cultures agricoles, dans le but de baisser l’empreinte écologique totale.
Soutenue depuis 2006 par l’Etat, la filière enregistre un bel essor depuis plusieurs années. En l’espace de quinze ans, ce sont plus de cinq cents centrales de méthanisation qui ont ainsi éclos à travers l’Hexagone.
Toutefois, les chiffres sont à relativiser car ils demeurent encore faibles et très éloignés de la réalité que connaissent depuis longtemps nos voisins allemands. Ils ont déjà installé plus de dix mille centrales de méthanisation !
Mais, qu’importe ! Le souhait de Maxime VIAUT est précisément de pouvoir développer autant que se peut des structures analogues à CERES dans la majeure partie de l’Hexagone, Yonne et Bourgogne Franche-Comté comprises.
Un projet bénéficiant de précieux auxiliaires…
Le jeune entrepreneur ne s’aventure à la légère sur ce chemin. Le projet a été créé en lien avec plusieurs partenaires issus de l’agriculture locale. Cette alliance favorisera la production du biogaz qui sera ensuite injecté dans le réseau de GRDF.
Son rapprochement avec la Chambre de Commerce et d’Industrie, mais aussi les pouvoirs publics et surtout le réseau Entreprendre lui aura donné des ailes. Cornaqué par l’un des stratèges de cette structure, l’expérimenté Alain BOUNON, le dirigeant de la SAS a pu faire une formation de cédant repreneur d’affaires profitables pour parfaire ses connaissances en matière de gestion.
Au passage, il aura pu glaner auprès d’une douzaine de chefs d’entreprise, membres du réseau bourguignon, de précieux renseignements lui permettant de garder le cap et de conserver toute l’humilité requise pour mener à terme la feuille de route.
Sa rencontre avec Christophe CHARBONNIER, patron de la société de transport PICQ ET CHARBONNIER, aura été déterminante à plus d’un titre.
Ce dernier est déjà très investi dans l’approche de la transition énergétique des poids lourds, de la mobilité et de la sauvegarde de l’environnement. Avec son appui (Christophe est associé au projet), Maxime VIAUT a espoir de développer à brève échéance une filière de biocarburant spécifique pour alimenter les camions.
D’autres soutiens, et de taille, sont déjà dans les starting-blocks : TOTAL, ENGIE, AIR LIQUIDE, GRDF/GRT.
Pour produire ce gaz, CERES mobilise environ 700 hectares de terrain et, nous l’avons dit, une vingtaine d’agriculteurs, inféodés au concept. Séduits, ils ne pouvaient que répondre par l’affirmative devant l’ingéniosité de ce programme, similaire au commerce équitable, et réalisé en circuit-court. Cette opportunité heureuse représente à leur échelle de pouvoir valoriser leurs terres à faibles rendements. Tous les ingrédients sont donc réunis pour couronner de succès ce concept CERES qui devrait faire parler de lui dans les mois à venir…
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L’occasion était trop belle pour le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, Olivier TRICON, de célébrer le mariage gustatif entre la fameuse boisson extraite de ses vignes et l’un des fruits préférés des consommateurs de l’Hexagone. Le parterre d’invités (plus de 80 convives) ayant investi son domaine viticole aura pu profiter à bon escient de ce coup de projecteur judicieux décliné avec le concours d’une jeune structure agricole, EARL BETHERY, productrice de fraises 100 % locales…
CHABLIS : Effervescence sympathique au Domaine de VAUROUX pour l’un des rendez-vous incontournables de la saison qui est perpétré chaque année à pareille époque. La dégustation du bourru, vieille tradition locale, s’inscrit parmi les animations conviviales célébrées par la CPME, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne.
Logique quand on sait que le président du syndicat patronal n’est autre que le responsable de ce domaine viticole, Olivier TRICON qui ceci dit est toujours en quête d’un successeur comme il se plaît à le formuler !
Plus de quatre-vingt personnes, adhérentes de la CPME mais également personnalités de la sphère politique (la conseillère départementale Isabelle JOAQUINA, le député André VILLIERS…) participèrent à ces retrouvailles festives où il fut question de découvrir les productions du cru. Dans une ambiance conviviale.
La Fraise d’Enfer, vedette de la soirée…
Olivier TRICON rappela en quelques mots pour les profanes ce que représente aujourd’hui la confédération départementale au niveau de ses mandats électifs. Avant d’accueillir à ses côtés, le jeune céréalier Antoine BETHERY, qui dans un souci de diversification de ses activités produit depuis peu au sein de sa ferme à Aigremont des fraises made in Yonne aux variétés multiples et savoureuses sous la marque, « La Fraise d’enfer ». Une appellation aux accents insolites, convenons-en !
Chantre de la production locale et des circuits courts de la distribution, le président de la CPME invita ensuite ses hôtes à déguster le contenu de succulentes barquettes de fruits qui circulaient parmi l’assistance.
Il proposa aussi à ses invités quelques crus de sa production dont il a le secret de fabrication, notamment un chablis Premier cru Montmains et un chablis Montée de Tonnerre des plus agréables en bouche…
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Le maire d’Auxerre tente la passe de quatre pour proroger son mandat : Guy FEREZ siffle la fin de la récréation…
octobre 18, 2019Sans se réclamer ni d’un parti – il a rompu les amarres avec le bateau socialiste en juin – ni d’un quelconque mouvement politique, l’édile de la capitale de l’Yonne, en poste depuis 2001, s’est donc officiellement déclaré candidat à sa propre succession ce vendredi 18 octobre. Juste à la veille des vacances de la Toussaint, enterrant ainsi les vaines illusions de celles et ceux de ses contradicteurs qui ne croyaient pas en la pugnacité et le volontarisme de l’actuel président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. C’est donc sans étiquette, mais avec 60 % de colistiers, néophytes dans la gestion d’une collectivité, que Guy FEREZ entend décrocher un nouvel accessit le 22 mars prochain. Tirant un trait définitif sur un secret de Polichinelle qui n’en était finalement pas un !
AUXERRE : « Je suis candidat à ma succession ». Le propos liminaire aura permis d’ôter d’entrée de jeu le moindre doute qui pouvait encore subsister sur les réelles intentions du maire d’Auxerre. Et sur son désir de repartir en campagne en vue d’une quatrième victoire.
Se mettant en scène, aux côtés de quelques-uns de ses colistiers, une garde rapprochée quasi prétorienne, où figuraient, parité oblige, les élues Isabelle POIFOL-FERREIRA et Elodie ROY (Radical), ainsi que deux jeunes pousses du sérail politique en devenir, Mathieu DEBAIN (LREM, représentant Renaissance - AGIR La Droite constructive et le MoDem) et Mani CAMBEFORT (PS), Guy FEREZ n’aura pas tergiversé très longtemps avant de clarifier la situation au cours de la conférence de presse accordée dans l’antre du Silex.
Celle-ci a le mérite d’être d’une rare limpidité. L’actuel édile de la ville phare de l’Yonne se lance à la conquête d’un nouveau sésame. Un bâton de maréchal électoral qui le prolongerait de six années supplémentaires dans le fauteuil de maire. Une déclaration emplie de solennité aux antipodes d’une réelle surprise, en vérité. N’en déplaise aux férus de suspense et autres adorateurs d’Alfred HITCHCOK !
Même s’il s’était tu sur le sujet depuis le début de l’année, balayant d’un revers de la main toute allusion directe à ce scrutin ô combien capital pour notre ville, Guy FEREZ mûrissait patiemment son projet en prenant soin de vérifier, tel un contrôleur de gestion, la pertinence de son envie. Et de ses capacités à rassembler.
Alors que bon nombre de ses adversaires s’extrayaient avec plus ou moins de bonheur des starting-blocks de cette compétition digne d’une course d’endurance dès le premier trimestre, lui, en renard des surfaces à qui on ne la fait plus, minimisait les choses, se contentant de regarder gesticuler à cor et à cri les prétendants à sa succession.
La liste et le projet seront dévoilés le 18 janvier prochain…
Désormais, avec l’officialisation de sa candidature, Guy FEREZ remet les pendules à l’heure. Avec la précision rigoriste d’un horloger helvétique ! Coupant court à toutes les supputations qui ont pu secouer le microcosme politique local au fil de ces derniers mois.
Le message adressé à la concurrence est, on ne peut plus clair en somme : l’élu de l’Yonne a décidé de siffler la fin de la récréation et de signifier sa présence haut et fort à l’ensemble des prétendants qui devront composer avec.
Se qualifiant d’homme d’ouverture – il a favorisé l’accès à son équipe municipale dès 2008 à des obédiences politiques qui n’étaient pas forcément les siennes -, Guy FEREZ prône plus que jamais le rassemblement et la polyvalence des horizons idéologiques.
Sachant que les négociations sont closes dans l’arbitrage des répartitions des premiers rôles. Bref, le chef d’orchestre tient fermement la baguette. Il entend faire jouer une partition identique à toutes celles et ceux qui vont le rejoindre dans la constitution de ce « philharmonique » municipal, à l’écoute et au service des Auxerrois.
Toutefois, la liste n’aura pas été dévoilée lors de ce rendez-vous avec les médias. Elle ne sera connue qu’en date symbolique du 18 janvier, début de la campagne officielle.
L’incarnation d’une stratégie profitable à la ville…
On sait, que plusieurs personnalités devraient s’exprimer dans les prochains jours pour annoncer leur soutien au candidat-maire. Quant au rajeunissement et l’intégration de nouveaux visages, ils constituent l’originalité de cette équipe qui ira se soumettre aux votes des Auxerrois, au mois de mars 2020. Avec 60 % de nouvelles têtes !
« Ce sera une véritable liste de rassemblement, souligne Guy FEREZ, avec l’expérience qui est la mienne pour la conduire au succès. Aujourd’hui, personne ne conteste ma capacité à défendre bec et ongles mes dossiers et à les travailler. Cette liste portera une réelle vision de ce que seront les projets à appliquer pour améliorer la qualité de vie de nos concitoyens auxerrois… ».
Soucieux de partager avec ses expériences d’élu, Guy FEREZ l’est aussi dans ce besoin de transmettre à de nouvelles générations ces notions viscérales qui l’habitent dans la manière de pratiquer la politique.
« Certes, je représente l’incarnation en ma qualité de maire d’un concept à décliner pour l’essor de la ville, mais je le fais en dépassant le cadre de ma personne. Aujourd’hui, je raisonne bien au-delà de ces considérations en devenant un transmetteur de responsabilité auprès des plus jeunes, en y mêlant l’autorité et l’expérience. Toutes les conditions requises pour présenter ce projet à travers cette liste étaient donc réunies… ».
S’inscrire dans la continuité en y injectant de nouvelles pierres à l’édifice n’est-il pas le propre de ces bâtisseurs qui veulent laisser leurs empreintes immuables une fois que leur temps sera révolu ?
C’est peut-être que ce désire le chef de l’exécutif auxerrois depuis 2001. Un homme qui prend le temps de lire trois ouvrages à la fois en passionné de lecture qu’il est et qui n’a absolument pas envie de passer la main au niveau de sa passion première : la politique…
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