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TER, lycées et RH : il n’y aura pas d’effet ciseau dans le budget 2020 de la Région pour Marie-Guite DUFAY
décembre 11, 2019En marge de l’assemblée plénière consacrée au budget primitif 2020 qui s’échelonne lors de ces trois prochaines journées à Dijon, la présidente de la Région a défendu avec conviction ses choix stratégiques, justifiant ainsi ses engagements prioritaires alors que son mandat entre dans son ultime ligne droite. Le plus gros investisseur public qui agit sur le territoire ne procèdera donc pas aux vingt millions d’euros d’économies exigées par l’opposition. Des économies qui porteraient atteintes forcément aux nécessaires dépenses d’intervention…
DIJON (Côte d’Or) : Ses contradicteurs lui ont expressément demandé de réduire la voilure côté dépenses à la veille de l’assemblée plénière qui doit se prononcer sur l’adoption du budget primitif pour l’exercice 2020. C’est donc une fin de non-recevoir, en bonne et due forme, que leur proposera en guise de réponse, et ce dès l’ouverture de la session la présidente de l’exécutif régional.
Durant la conférence de presse qui faisait office de préambule à ce rendez-vous qualifié d’extrême importance pour le devenir de notre contrée, mardi après-midi, l’élue de Bourgogne Franche-Comté n’a nullement tergiversé pour apporter des éclaircissements précis et détaillés sur la ligne politique qu’elle a choisie de mener au cours des douze prochains mois de son mandat.
Une année charnière à bien des égards pour la maîtresse femme de la Région qui correspond à celle d’une fin de mandat (2021). Un terme de présidence qui surviendra après six années passées à la tête de l’organe institutionnel mais qui ne signifie pas pour autant la fin de règne dans l’absolue de l’élue franc-comtoise…
Faisant fi des rodomontades coutumières qui viseraient à ternir son action, Marie-Guite DUFAY aborde cette séance, ô demeurant capitale, avec une certaine sérénité.
« Quel que soit la famille politique qui apporte un regard sur notre travail, délivre-t-elle en guise de hors d’œuvre oratoire, on nous dit bravo pour tout ce que nous avons réalisé depuis cinq ans sur le territoire car nous sommes bien présents au rendez-vous… ».
Pas d’économies substantielles sur des postes névralgiques de la Région…
Alors, ce budget primitif 2020 qui se caractérise comme très ambitieux (il est d’un montant total d’1,631 milliard d’euros – hors gestion active de la dette -) semble conforme aux priorités régionales de l’équipe en place. Afin d’en connaître la substantifique moelle, nous le présenterons par ailleurs plus en détail dans une prochaine publication.
Toutefois, on peut dire que son articulation s’avère être en cohérence avec les aspirations budgétaires habituelles, mobilisant l’ensemble des politiques régionales pour répondre à l’urgence du changement climatique ainsi qu’aux enjeux de l’emploi et de la formation sur le territoire.
Mais, là où l’intervenante s’est montrée intransigeante dans ses formulations, c’est sur le refus de faire des économies substantielles applicables à des postes névralgiques dont ne peut se départir la Région.
Trois catégories de postes bénéficient précisément de ses faveurs : les lycées, les TER (pour les transports ferroviaires) et les ressources humaines.
« J’ai pu observer ce que certaines entités régionales avaient pratiqué en ponctionnant les budgets dédiés à la formation, explique-t-elle, je ne baisserai la ligne budgétaire de ce poste d’un iota : c’est fondamental à mes yeux… ».
Puis, Marie-Guite DUFAY apporte de l’eau au moulin de la justification de ses actes.
« Je ne ferai pas de coupes sombres sur les lycées. Notre territoire possède la densité la plus importante d’établissements secondaires de l’Hexagone. L’argent que nous leur versons favorise la rénovation des bâtiments, le plan d’évolution des sites, encourage le personnel. D’ailleurs, des phases de mutualisation s’exercent naturellement entre établissements, engendrant de facto des économies… ».
En est-il de même dans son raisonnement pour le transport ferroviaire à bord des TER ?
« Nous avons entrepris des négociations avec la SNCF pour aboutir à une offre de transport en augmentation de cadencements. Les tarifs ont suivi une courbe baissière. Certes, aujourd’hui, les trains ont la cote et sont bondés. Mais, c’est la rançon de notre succès et un problème de riches ! La Région est très sensible au développement des mobilités nouvelles. Je rappellerai que la première expérience unique en France de covoiturage conventionnée par la puissance publique est fonctionnelle chez nous ! ».
Reste pour clore ce tour d’horizon le troisième point de ses préférences, se rapportant aux ressources humaines.
« Si je pouvais augmenter davantage les salaires des fonctionnaires de la région qui sont loin de dormir, je le ferai ! Nous sommes d’ailleurs en flux tendu sur toutes les politiques que l’on mène ; il faudrait même recruter tellement les besoins sont importants… ».
Le pacte financier est respecté en Bourgogne Franche-Comté…
Donc, in fine, il n’y aura pas de réduction budgétaire sur ces postes, véritables clés de voûte de l’arborescence architecturale du Conseil régional.
« D’ailleurs, renchérit la présidente un brin goguenarde dans son propos, quand j’invite l’opposition à me citer les postes sur lesquels je devrais amenuiser les financements, je n’obtiens aucune réponse de sa part… ».
Et la présidente de conclure : « je sais que je rendrai l’exécutif au terme de ce mandat dans le bon état financier que je l’ai trouvé. Disposant à l’heure actuelle d’une situation saine, cela nous permet de nous endetter davantage… ».
Marie-Guite DUFAY profita de sa prise de parole de bon aloi pour saluer le travail de l’ancien Premier ministre, Manuel VALLS, parti depuis à la conquête de Barcelone avec plus ou moins de réussite : « il avait la fibre régionaliste et a su attribuer des recettes dynamiques afin de remplacer la dotation que verse l’Etat par un versement d’une fraction de la taxe sur la valeur ajoutée. Un mécanisme financier qui nous a considérablement aidés… ».
Observant que le pacte financier, soucieux du respect du non-dépassement des dépenses de plus de 1 %, était appliqué en Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY insista sur le fait qu’il n’y aura pas d’effet ciseau sur ces postes, fondements de la politique appliquée depuis sa prise de fonction.
Un message clair adressé à l’opposition qui, durant ces trois jours d’assemblée plénière, contestera ces décisions…
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Patrimoine public : Charny-Orée-de-Puisaye n’a qu’un seul credo en tête, les bâtiments à énergie positive !
décembre 09, 2019Lors d’une récente prise de parole en public, l’édile de la commune nouvelle de Puisaye-Forterre Michel COURTOIS n’a pas manqué de rappeler que sa localité était fortement engagée en faveur du développement durable au travers de la maîtrise des consommations d’énergie du patrimoine public. Avec des exemples de réalisation à la clé…
CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Le maire de la commune nouvelle Michel COURTOIS croit dur comme du fer aux vertus positives et économes inhérentes aux énergies renouvelables.
Preuves à l’appui, il a énuméré lors d’une intervention publique, donnée récemment dans le cadre des « Ateliers de l’Yonne », la liste des bâtiments que la collectivité a réalisée en un laps de temps très court ce sens. Des édifices qui avaient bénéficié au préalable d’un diagnostic énergétique en prime.
Portant des projets novateurs dans ce domaine (la commune nouvelle a intégré le label de territoire TEPos en 2014), Charny dispose de quelques atouts indéniables dans sa besace.
Ainsi, la cuisine centrale, construite en l’espace de dix mois, accueillie dans un bâtiment à énergie positive (BEPos). L’infrastructure est unique en France pour ce type d’usage.
D’une surface de 110 mètres carrés, le complexe atteint de très hautes performances énergétiques en étant doté d’équipements modernes, conçus pour le travail des produits bruts.
Ouverte depuis mai 2017, la cuisine centrale fournit aujourd’hui six cents couverts journaliers aux services de restauration collective de la localité : EPHAD, établissements scolaires, crèche.
Pour l’édification de ce bâtiment, la collectivité a obtenu une subvention de l’Etat sur les fonds TEPCV (Territoire à énergie positive pour la croissance verte). Le coût global s’élevait à 1,2 million d’euros.
Conçues dans un ancien groupe scolaire d’environ 1 530 mètres carrés, la maison de santé et la Maison France Services sont opérationnelles depuis décembre 2012.
L’édifice a été réalisé en basse consommation d’énergie. Précisons que les architectes ont préconisé l’emploi de matériaux bio-sourcés innovants. Ceux-ci ont permis de réaliser des économies d’énergie.
Mais, ce n’est pas tout. Prolixe sur la question, Michel COURTOIS ajouta à son panégyrique énergétique la salle d’évolution de Villefranche. Sa particularité réside dans le système utilisant les échanges thermiques avec le sol pour réchauffer l’air en hiver et le refroidir dès la belle saison revenue.
La fondation facilite la récupération de l’énergie géothermique du sol ; elle a été conçue de manière creuse afin de faire circuler l’air librement. Conséquence : cela permet de diminuer notablement la consommation énergétique du bâtiment.
De nouveaux aménagements déjà programmés en 2020…
Quant aux nouvelles réalisations, elles ne dérogent pas à la règle de ce code déontologique voulu par le maire. En phase de construction, le restaurant scolaire et la garderie périscolaire bénéficieront eux-aussi de ces avantages tels qu’un bâtiment de basse consommation énergétique peut les concevoir.
Son ouverture est prévue courant 2020. Le projet de création d’une nouvelle bibliothèque/médiathèque devrait s’effectuer de la même manière.
Cette volonté énergétique durable se retrouve dans un tout autre prolongement dans la commune. Pour l’entretien des espaces publics où un plan de gestion différenciée est en cours de définition avec en exergue une expérimentation de végétalisation des cimetières.
« Dans les deux cas, précisa Michel COURTOIS derrière son pupitre, il s’agit de s’adapter à l’interdiction d’utilisation des produits phytosanitaires et de limiter le recours à l’intervention mécanique… ».
Sollicité, le Syndicat départemental d’énergie de l’Yonne (SDEY) étudie la possibilité de remplacer l’éclairage public conventionnel par des LED. A l’instar de ce qui est fait sur le terrain de football.
Pour conclure, l’édile de Charny expliqua qu’un projet de réseau de chaleur bois se profilait dans les tuyaux pour chauffer l’ensemble des bâtiments du patrimoine public.
Ainsi, la mairie, le collège, les écoles, l’EHPAD, la crèche et le gymnase sont concernés par ce projet tout comme les bâtiments collectifs gérés par DOMANYS.
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Le volley-ball s’affiche désormais sur les routes : le Sens Olympique Club ajoute de l’itinérance à sa communication
décembre 09, 2019Principal club sportif de portée nationale de la ville la plus septentrionale de Bourgogne, le SOC met de la couleur et de l’image sur son mode de locomotion le plus usuel : le bus. Jusqu’au mois de septembre prochain, et dans le cadre de son partenariat avec TRANSDEV, le véhicule affiche les couleurs, voire ses prétentions grâce à des visuels dynamiques d’un groupe qui évolue en élite féminine nationale. L’équivalent de la seconde division…
SENS: Bien ancré dans la vie locale, le SOC (Sens Olympique Club) a su démocratiser l’art et la manière de pratiquer le volley-ball depuis son accession en 2013 en ligue élite. Un championnat qui rassemble des formations tutoyant les sommets.
Vendredi 06 décembre, il a vécu une nouvelle étape qui concerne sa stratégie de communication. Un petit évènement à l’importance peu anodine en termes de visibilité qui a réuni dirigeants et joueuses autour d’un bus estampillé aux couleurs du club.
Customisé par les soins de l’un de ses partenaires, la société de transport TRANSDEV, l’autocar circulera dans les rues de Sens et à sa périphérie afin d’assurer la promotion de club qui gagne à chaque saison en popularité.
Une tactique nécessaire pour assurer le maintien au niveau actuel, voire pour viser plus haut dans les ambitions sportives.
Les filles de l’équipe première n’avaient pas encore eu connaissance de l’information. Les choses avaient été tenues secrètes entre le président du SOC, Bernard PLISSET, et Pierre BALCON, directeur de TRANSDEV.
C’est à l’occasion d’une réception cocktail des plus sympathiques organisée au gymnase habituel (René Binet) que ce joli cadeau de Noël a été dévoilé en présence du groupe.
Précisions que la société de transport est partenaire de l’association sportive et la soutient financièrement depuis six ans.
Au plan sportif, et après huit journées de compétition, le SOC occupe une méritoire seconde place de sa poule (A) derrière Quimper mais devant Evreux…
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Ce n’était nullement prémédité. Mais, les choses se sont accélérées à grande vitesse ces dernières semaines. La nomination de Sébastien FUENTES à la direction du complexe structurel d’AUXERREXPO deviendra effective au 01er décembre. A 43 ans, l’ex-cadre commercial de l’Yonne Républicaine qui avait rejoint la filiale évènementielle du groupe en 2015 peut entrevoir l’avenir avec ambition…d’autant que plusieurs projets de développement se profilent à moyen terme.
AUXERRE: Jeu de chaise musicale pour le moins inattendu à la tête de Centre France Parc Expo. Alors que le renouvellement de la D.S.P. (délégation de service public) rendra son verdict le 12 décembre prochain, à la suite des décisions prises par la Ville pour une durée de huit ans, la direction du parc des expositions aura, quant à elle, changé de main, entre-temps.
C’est en effet au 01er décembre que Sébastien FUENTES, présent dans la structure depuis 2015, endossera de manière factuelle le rôle de nouveau responsable du complexe auxerrois. En qualité de directeur. Lui qui officiait jusqu’à présent comme adjoint responsable de l’infrastructure, en charge de la promotion et du développement commercial.
Intégré au sein du groupe Centre France depuis 2000, Sébastien FUENTES poursuit ainsi son ascension professionnelle. Coïncidence ou pas, le chiffre d’affaires de la filiale du média régional double au cours de ces quatre dernières années. Pour atteindre aujourd’hui 1,6 million d’euros. Ne serait-ce que la saison antérieure, le développement de Centre France Parc Expo à Auxerre a enregistré une progression de plus de 25 %.
Très en verve à la manœuvre lors de grosses opérations évènementielles (foire exposition, salons professionnels), Sébastien FUENTES a su très vite imposer sa marque de fabrique dès la prise en main de ses dossiers.
Interrogé sur la ligne de conduite qu’il désire impulser à l’édifice à brève échéance, le quadragénaire entend accentuer les axes de communication pour que ceux-ci deviennent encore plus pertinents. Notamment sur la réception de congrès et de colloques touchant le domaine des entreprises. La création de nouveaux projets s’inscrit également parmi ses objectifs prioritaires.
Des embauches à prévoir notamment sur la communication…
Si une dizaine de collaborateurs travaillent déjà à ses côtés à l’optimisation du site, plusieurs embauches pourraient se concevoir après sa prise de fonction. Un chargé de projet et un technicien avaient déjà rejoint les rangs du personnel cette saison.
Mais, c’est bel et bien un poste de responsable de communication, considéré comme indispensable, qui devrait voir le jour au sein de l’équipe en 2020.
De profil gestionnaire de projets marketing, de plan de communication, de relations publiques et de création d’outils à destination des médias, le ou la nouvel(le) élu(e) aura pour objectif de dynamiser les liens avec exposants, journalistes, institutionnels et visiteurs.
Des initiatives qui corroborent l’engagement pris par Centre France d’adresser un message fort à la Ville d’Auxerre avant que ne soit connu le verdict de la D.S.P.
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Il construit un bateau et veut développer de la maintenance : Auxerre, port d’attache de Laurent BOUQUET DES CHAUX
novembre 24, 2019Eternel créatif – il peut faire valoir une expérience de trois décennies en qualité d’entrepreneur dans la filière des télécommunications -, ce visionnaire de talent s’est installé dans l’Yonne il y a deux ans à peine. En provenance de la capitale, Laurent BOUQUET DES CHAUX est à 57 ans à la croisée des chemins. Passionné de voile et de bateaux, c’est précisément vers ce domaine qui était jusque-là son jardin secret qu’il dirige depuis peu ses réflexions professionnelles et articule son emploi du temps en conséquence. Avec un projet bien amarré dans sa tête…
AUXERRE : Fin observateur du microcosme économique local, Laurent BOUQUET DES CHAUX possède de la suite dans les idées. Et un dynamisme détonant à revendre !
Soucieux d’apporter sa pierre à l’édifice territorial en matière de progrès et de développement, ce personnage au sens oratoire maîtrisé souhaite capitaliser sur la présence du port de plaisance, remis au goût du jour grâce au réaménagement des quais du cœur de ville, et devenu une source inépuisable de valeurs ajoutées touristiques.
Le fluvial, à l’instar de bon nombre de villes de l’Hexagone qui disposent d’un fleuve ou d’une rivière, représente l’un des enjeux essentiels de l’activité économique de demain.
Concepteur d’embarcations, le garçon est parti d’un simple postulat. Si les services du port de plaisance bénéficiaient de davantage d’opportunités, les plaisanciers de passage dans notre ville resteraient plus longtemps sur site. Peut-être pourrait-on y développer aussi l’hivernage de leurs biens flottants.
Or, selon cet homme avisé, et rompu à l’exercice de l’entrepreneuriat, tous les voyants sont au vert.
Laurent BOUQUET DES CHAUX entend bien s’allier les services de toutes les composantes économiques et institutionnelles du landerneau pour arriver à son but ultime : assurer des prestations de maintenance fluviale à Auxerre.
Le choix de partenaires belges parce que les industriels français étaient trop frileux…
Actionnaire de la société belge TWINSAIL avec laquelle il réalise la conception d’un premier bateau de belle envergure, l’ex-Parisien considère que sa démarche est novatrice, voire unique en France.
Primo, il espère que le premier bateau dont il a dessiné les plans sera livré à Auxerre d’ici l’été 2020. Secundo, il envisage de modéliser la structure de maintenance au port de plaisance auxerrois peu de temps après.
Bref, des arguments tangibles pour changer les paradigmes économiques du cru car ce double projet est porteur de création d’emplois. Une dizaine de postes seraient déjà nécessaires pour couvrir les besoins du futur concept professionnel qui s’installerait d’ici quelques mois dans le paysage.
Présent au Salon du nautisme de Paris (la manifestation se déroulera du 07 au 15 décembre), Laurent BOUQUET DES CHAUX ne compte pas s’y rendre pour y faire de la figuration.
Lui qui a conçu les esquisses de cette embarcation initiale, anticipe désormais sur la commercialisation de ce produit destiné à assurer des prestations touristiques fluviales et maritimes.
Lors de cet évènementiel, l’entrepreneur tentera de convaincre des investisseurs et armateurs du bien-fondé de ce modèle original, à la faible consommation énergétique et bâti de plain-pied.
A contrario, il a choisi de construire ses produits en pays d’Outre-Quiévrain du fait de l’absence de contacts sérieux avec les industriels de la filière, trop hermétiques aux exigences requises de son cahier des charges. Voire un tantinet trop gourmands sur leurs prétentions financières pour concevoir ces moyens de locomotion.
En revanche, avec son partenaire du plat pays, Laurent BOUQUET DES CHAUX espère construire trois bateaux chaque année.
Des besoins à assouvir pour développer le projet…
Poussant les portes de futurs partenaires, s’armant de patience tout en prenant son bâton de pèlerin pour prêcher la bonne parole, celle de l’entrepreneuriat bienveillant, notre homme doit trouver des ressources foncières pour créer et développer sa future entité.
Ses besoins immédiats se résument ainsi : il lui faut disposer d’un bief et d’une partie terrestre appropriée, d’environ mille mètres carrés, afin de pouvoir faire transiter les bateaux à l’eau.
Dans l’absolu, et sachant qu’il souhaite aussi proposer l’activité maintenance à d’autres embarcations de passage à Auxerre, le premier bateau finalisé devrait être à quai d’ici le 01er juillet 2020. Selon les objectifs couchés dans son cahier des charges.
De belle taille, près de vingt mètres de long, ce bateau fera ensuite le bonheur d’acquéreurs privés ou collectifs au service du développement d’un tourisme fluvial en forte expansion sur notre territoire.
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