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La Caisse d’Epargne a relooké sa vitrine commerciale à Toucy : une cure de jouvence bénéfique à son essor
avril 07, 2022Etre au cœur du bassin de vie. Plus proche de sa clientèle, qu’elle soit issue du segment des particuliers. Comme des milieux professionnels, artisans et commerçants en tête. C’est tout l’enjeu de la présence de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté sur ce carrefour ô combien stratégique de la Puisaye. Inaugurée le 25 mars dernier, à la suite d’un sérieux lifting lui permettant de retrouver une nouvelle jeunesse opérationnelle, l’agence de la rue Philippe Verger répond ainsi à ses ambitions.
TOUCY : Le sas d’accueil de la vitrine commerciale apporte une impeccable flamboyance dans l’appréciation des couleurs. Un joli rouge vermillon, nullement agressif qui confère une touche de modernité et de dynamisme à l’ensemble de la pièce. Au sol, un revêtement imitation parquet qui est du plus bel effet. Deux automates destinés aux dépôts des chèques et des espèces (l’un pour les commerçants, un premier indice sur la volonté d’être au service de la clientèle professionnelle, l’autre pour le commun des mortels) sont positionnés au beau milieu de la surface murale. Le coloris gris métallique contraste avec le ton chromatique principal. Pas mal, la première impression de cet espace !
Un concept réalisé par des entreprises artisanales du sérail…
Bienvenue dans la nouvelle configuration esthétique de ce point d’ancrage de la Caisse d’Epargne au cœur de la Puisaye. A Toucy, cité au charme bucolique qui partage le titre de capitale de l’entité territoriale avec la plus lointaine Saint-Fargeau !
L’ouvrage, vu sous son nouveau prisme ergonomique et structurel, traduit la qualité de travail élaboré par des entreprises artisanales du cru qui, cinq mois durant, se sont adaptées au cahier des charges initial afin d’aboutir à ce résultat. Une surface totale de cent vingt mètres carrés, entièrement réhabilitée au concept de la « mobil bank » imaginé par le donneur d’ordre, l’établissement bancaire régional.
A l’extérieur, la façade de l’agence bancaire a reçu un salvateur nettoyage avant de se voir recouverte de nouvelles couches de peinture. Dedans, l’aménagement est remarquable. Certes, à l’instant « t » de ce reportage, peu de clients pouvaient réellement en témoigner. Mais, selon les commentaires enthousiastes de la jeune Kelly PAYET, responsable de la petite cellule de trois collaboratrices qui officient in situ : « la clientèle se dit satisfaite des nouveaux atours pratico-pratiques » de ce site commercial ».
Les services et la convivialité en prime !
Il est vrai que l’apport de services supplémentaires explique sans doute cela. Dépôt de valeurs, zone de libre-service assurant une prestation 7j/7 entre 06 et 22 heures, dépôt de chèque possible toute la semaine… : voilà ce qui attend la clientèle de l’établissement côté réjouissances ! La convivialité n’est jamais éloignée, non plus avec le salvateur café servi à la clientèle.
Ouverte du mardi au samedi (l’après-midi uniquement sur rendez-vous afin de pouvoir bénéficier du flux occasionné par le marché), la vitrine de la Caisse d’Epargne ne peut pas être mieux située. Sur un axe stratégique où convergent les habitants qui fréquentent le cœur de ville.
A l’intérieur, outre les bureaux privatifs qui facilitent les échanges confidentiels lors des rendez-vous, on découvre un autre aspect de ce site. L’ouverture sur l’art. Des photographies locales (certaines ont été réalisées par Kelly PAYET décidément au four et au moulin dans son agence au détour de balades dans la cité de Puisaye) ornementent les surfaces murales de l’endroit. Des clichés, parfois en noir et blanc, subtils.
Un réel potentiel de développement qui ne demande qu’à croître…
Toucy, comme le confie Florence FORZINETTI, directrice du groupe bancaire dans l’Yonne, occupe une place importante sur l’Auxerrois et la Puisaye-Forterre, premier secteur en termes de résultats de la Bourgogne Franche-Comté.
« Ici, ajoute-t-elle, le potentiel de développement est réel. Tant en termes de crédits immobiliers qu’au niveau des aides fournies auprès des entreprises… ».
Sans omettre, l’aspect un peu haut de gamme de la clientèle francilienne qui séjourne avec régularité constante sur le territoire depuis la crise sanitaire. Une pépite parmi par les 152 agences que compte le groupe sur sa prégnance régionale ? Directrice du secteur Auxerrois/Puisaye, Nathalie TOUSSAINT acquiesce.
Cela méritait bien d’injecter 300 000 euros pour rénover de fonds en comble cette boutique. Celle qui donne pignon sur rue à la Caisse d’Epargne dans le cœur de ville de Toucy, plus que jamais établissement de proximité.
Thierry BRET
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Présidentielle : « Mesdames, Messieurs les candidats, vous en faites quoi de nos vraies préoccupations ? »
avril 06, 2022Pour certains, comme Michel ONFRAY, le vainqueur de l’élection présidentielle sera obligatoirement « Maastrichtien ». Cette position exclut de facto Marine LE PEN et Eric ZEMMOUR. Pour l’égérie du RN, c’est plus flou. Elle est comme Emmanuel MACRON pour l’espace Schengen, pour l’euro, pour l’Europe, même si elle souhaite revoir les contours… En résumé dans cette configuration, les sondages donnent torts à notre philosophe. Quelles promesses dans les déclarations des candidats à la présidentielle ?
TRIBUNE : On ne le répétera jamais assez, les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. Comme dans l’enfer, on peut lire une litanie de bonnes intentions.
Tous veulent une France hégémonique, leader en Europe et dans le monde, pour certains redonner le pouvoir au peuple, défendre la ruralité, rétablir la sécurité, lutter contre les discriminations,… on pourrait poursuivre à l’infini les promesses de nos candidats. Les plus cohérents restent, Philippe POUTOU, Fabien ROUSSEL et Nathalie ARTHAUD : ils nous proposent le « grand soir » et la fin du capitalisme, rien de moins !
Quelles sont les erreurs de nos candidats ?
D’abord juste la forme : sans doute très mal conseillé par quelque McKinsey, notre candidat de Président commet deux erreurs dans sa présentation. Il écrit en gros sur une photo peu convaincante, « Nous tous », traduire : « Personne ». Le plus grave, le début de chaque paragraphe débute par : « en me faisant confiance ». C’est le B-A BA dans les écoles de commerce : tout appel à la confiance est traduit immédiatement par « méfiance » !
Bref, sur le fond tous les thèmes ou presque, sont survolés en pure démagogie mais sur les préoccupations les plus importantes, quoi de neuf ? Quelle créativité ? Quel facteur clé de succès ?
Mesdames, Messieurs les candidats demain matin vous faites quoi pour améliorer le sort des français et de la France ? Quelles actions immédiates et prioritaires ? Le régalien est effleuré et nous allons vers des lendemains qui fâchent. Les pleurs et grincements de dents sont inévitables quel que soit le vainqueur. Nous sommes dans l’immédiateté et les citoyens souhaitent que l’on s’intéresse à eux au-delà même des enjeux politiques, des idéologies anti droite et anti gauche !
De grandes absences parmi les programmes…
La cause animale : des catalogues truffés de « y’a » « qu’a » « faut qu’on ». La lecture des propositions est édifiante : modérer, interdire, organiser des rencontres, lutter, alourdir… La palme revient au candidat Emmanuel MACRON (décidément !) qui, pour la cause animale ne propose qu’une seule action : « mieux assurer le recueil des animaux de compagnie abandonnés »…
Demain matin, vous faites quoi pour la cause animale ?
Du côté des handicapés, le handicap n'a pas trouvé sa place dans la campagne, au-delà d'une polémique sur l'inclusion des élèves handicapés. Dans les programmes officiels, les propositions des candidats sont plutôt floues. Dans leur majorité ils proposent une société plus inclusive, la création d’un service public ou un ministère intégrant le handicap. On reste vague, on noie le poisson et nos politiques ignorent, quand ça les arrange, les minorités… Bon, mais demain matin, vous faites quoi pour les handicapés ?
La tarte à la crème de cette élection : l’écologie dans toute sa splendeur !
Le dossier de la famille à présent. Éric ZEMMOUR et Nicolas DUPONT-AIGNAN veulent rétablir l'universalité des allocations, sans conditions de revenus. Valérie PECRESSE désire, quant à elle, instaurer une allocation de 900 euros par an dès le premier enfant. Éric ZEMMOUR souhaite favoriser les familles en milieu rural avec une bourse de naissance de 10 000 euros, attribuée aux familles françaises. Jean-Luc MELENCHON veut revaloriser l'allocation des familles monoparentales et Emmanuel MACRON veut l'augmenter de 50 %. Marine LE PEN propose de la doubler, seulement pour les familles françaises. Anne HIDALGO, Yannick JADOT et Fabien ROUSSEL souhaitent, quant à eux, augmenter la durée du congé parental et créer un congé paternité, afin de réduire les inégalités hommes-femmes. La baisse de la natalité en France questionne les politiques en campagne. Du saupoudrage, du clivage, de la démagogie, du « wokisme », de l’électoralisme, encore et toujours des intentions plus idéologiques qu’engageantes. Bon et demain matin on fait quoi pour anticiper la dénatalité en France ?
Quant à l’écologie, c’est véritablement la « tarte à la crème » des élections et le reflet des positions très clivantes au niveau national. Les français, surtout les jeunes, sont très sensibles à l’écologie, priorisent souvent l’écologie mais détestent de plus en plus les « écolos ».
A part les « Verts », tout le monde veut relancer la construction des centrales nucléaires, y compris le locataire de l’Elysée. Quelles anticipations pour permettre aux voitures des particuliers, aux véhicules professionnels (taxis, personnels soignants, artisans…) de recharger les voitures électriques ?
Les « Verts » en Allemagne participent au gouvernement et peuvent donc agir, voire peser sur la politique énergétique. Là où les Verts d’outre-Rhin voient de la participation active ; nos « Verts » français soulignent des compromis inacceptables. Le parti écologique français, ou plutôt l’égologie aura du mal à se remettre de ces élections.
Au final, il n’y a pas grand-chose de neuf dans ces élections. Les candidats sont les mêmes que la précédente édition de 2017 à l’exception d’Eric ZEMMOUR. Quant aux propositions, elles demeurent sur le même mode démagogique, sur la non-prise en compte de nos préoccupations… !
Alors ? Dimanche matin sera l’heure du choix ! « Bon choix Madame, bon choix Monsieur ! » comme le disait si bien le regretté GISCARD…
Jean-Paul ALLOU
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Rendre plus attractive l’Yonne en levant les obstacles : Pascal JAN livre la feuille de match de ses futures actions
avril 06, 2022Serait-ce la résurgence de souvenirs sportifs, issus de sa jeunesse lorsqu’il se destinait à un cursus de sport étude, dans sa discipline de prédilection, à savoir le football ? Où est-ce le tempérament bien construit de ce personnage affable et communicatif de vouloir faire évoluer les lignes en y apportant son savoir-faire, ses expériences et ses envies ? Toujours est-il que le nouveau préfet de l’Yonne a d’ores et déjà affiché ses intentions dès sa prise de parole initiale avec la presse. Celles de rendre encore plus attractive l’Yonne à travers ses atouts. En éradiquant tous les obstacles !
AUXERRE : Sportif dans l’âme, c’est en compétiteur de l’attractivité du territoire et en soutien inconditionnel à l’économie que s’est présenté le successeur d’Henri PREVOST lors de sa première prise de contact formelle avec la presse, mardi en fin de matinée. Accueillant avec cordialité et sens de la communication parfaitement bien huilé les représentants médiatiques du département, Pascal JAN s’est offert un exercice oratoire d’une trentaine de minutes façon « livre ouvert » dans son vaste bureau, la tasse de café à la main. Balayant les uns après les autres les grands dossiers sur lesquels il devra très vite plancher une fois le temps d’installation passé.
Un entretien prolixe où le haut fonctionnaire aura pu narrer en le résumant son parcours éclectique et riche qui devait conduire ce natif de Tours successivement à Bordeaux (notamment à Sciences Po où il officia es qualité de professeur agrégé des universités en droit public) et à Fort-de-France, où il fut encore il y a peu le recteur de la région académique de la Martinique.
Un premier poste au sein de la préfectorale pour ce quinquagénaire à l’allure sportive…
Troquant la touffeur humide de l’île exotique pour des températures printanières nettement moins clémentes en Bourgogne, ce sagittaire, ayant convolé en justes noces et père de trois enfants, est arrivé depuis quelques jours à Auxerre, découvrant ainsi son premier poste au sein de la préfectorale. Une prometteuse promotion pour ce quinquagénaire (il est âgé de 54 ans) à l’allure svelte et sportive, féru du ballon rond et désolé de voir se morfondre dans les limbes de la Ligue 1, des Girondins de Bordeaux (l’un de ses clubs fétiches) aux portes de la division inférieure. Sans doute, se consolera-t-il très vite avec la possible accession de l’AJ Auxerre parmi l’élite ?
Naturellement, ce n’est pas de football ni des plaisirs gourmands que cet épicurien aura à cœur de découvrir au détour de ses nombreuses pérégrinations durant ces deux prochaines années de présence en terre icaunaise dont il fut question !
Répondant aux interrogations de la palette journalistique qui se présentait à lui, Pascal JAN aura abordé avec franchise et en nourrissant ses propos de ressentis personnels inhérents à sa nouvelle fonction un panel de sujets qui fait le lit de l’actualité icaunaise habituelle.
« L’Yonne n’a pas de faiblesses, elle subit seulement des contraintes qu’il faut éradiquer… »…
Des difficultés quotidiennes des milieux agri/viticoles aux problématiques de la sous-traitance industrielle (le volet automobile) avec l’emploi, de la sécurité routière (vaste fléau que celui-ci dans l’Yonne, territoire remportant le pompon de l’accidentologie au plan hexagonal) à la présence des forces de l’ordre au plus près des concitoyens, rien ne manquera in fine dans cet inventaire à la Prévert des missions régaliennes qui incombent au représentant de l’Etat.
D’ailleurs, lorsqu’on lui pose la question d’identifier les « forces et les faiblesses » de l’Yonne, en matière d’attractivité, Pascal JAN répond péremptoire que le terme de « faiblesse » n’est pas du tout adapté à la réalité de ce département. « Disons qu’il existe des contraintes extérieures dont il faudra tout mettre en œuvre pour les supprimer… ».
Un positionnement combattif et impliqué pour le nouveau venu qui défend déjà bec et ongles les atouts du territoire le plus septentrional de la Bourgogne, du fait de sa ruralité et de sa proximité avec l’Ile-de-France limitrophe. Déjà un bon point dans sa besace et une attitude ambitieuse qui devrait plaire aux milieux économiques du sérail.
Les milieux agri/viticoles, cibles de ses premières visites sur le terrain…
Car, de l’appétence à l’économie, il en aura été beaucoup question durant ces courtes trente minutes de conversation où Pascal JAN déflora la feuille de route de ses futures actions sans trop en détailler la substantifique moelle. Une manière goûteuse de mettre les médias en appétit et d’attendre avec impatience les premières apparitions du haut fonctionnaire sur le terrain.
Ses primes visites seront justement destinées au monde agricole d’ici la fin de la semaine. D’autant qu’un épisode gélif d’importance a occasionné de sérieux dégâts tant dans l’arboriculture que chez les vignerons.
Ayant bénéficié lui-même d’une expérience d’élu municipal dans une vie antérieure – entre 2008 et 2014 en Gironde sur la localité de Saint-Morillon – le nouveau préfet ne pourra rencontrer pour l’heure les personnalités de la sphère politique, devant respecter le principe de réserve imputable à la présidentielle.
Poursuivant sur la continuité de ses prédécesseurs, Pascal JAN semble posséder la sagesse analytique et induite des représentants de l’Education Nationale à laquelle il a appartenu durant tant d’années. Son trop court vécu de footballeur étudiant lui a sans aucun doute conféré aussi cette insatiable volonté de bien faire, de se projeter en avant, droit au but même s’il portait jadis le maillot d’arrière gauche.
Un volontarisme qui pourrait peut-être l’aider à « tacler » toutes les aspérités et les freins qui peuvent ralentir l’attractivité économique de notre département…
Thierry BRET
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Ils en ont voulu. Ils ont bossé. Parfois à la limite du doute. En connaissant les affres du trac qui étrangle la parole, face à un jury. Un exercice oratoire qui n’est jamais facile à appréhender. Mais, in fine, l’objectif est atteint. L’obtention du diplôme de REAB. Traduction littérale : « Responsable de l’Entreprise Artisanale du Bâtiment ». Un titre qui au-delà de la gloriole personnelle (« ils l’ont fait ! ») accompagne les ambitions de ces jeunes entrepreneurs du bâtiment…
AUXERRE : C’est la pleine maîtrise de soi, au plan managérial, lorsque l’on peut s’enorgueillir de posséder dans sa besace personnelle le diplôme correspondant à cette formation. Le « REAB » : un précieux sésame que tout chef d’entreprise du bâtiment tente de conquérir après moult difficultés car l’exercice n’est guère aisé à appréhender. On l’aura encore constaté, ce 05 avril au siège de la CAPEB de l’Yonne, où trois récipiendaires du fameux trophée ont reçu leur titre distinctif.
Un peu timide, ces trois gaillards ! Ils masquent sans doute leur émotion. D’autant que l’un d’entre eux, Benjamin ASSIMON, plombier chauffagiste de son état, est accompagné de ses parents. Logique : il a repris la société familiale. Donc, au-delà des mots de félicitation qui lui sont adressés par Eric GUYOU, le futur successeur de Jean-Pierre RICHARD, inamovible président de la CAPEB excusé pour la circonstance, c’est un sentiment de fierté qui brille dans le regard du jeune homme.
Les parents savourent. Cela crépite de photos afin d’immortaliser l’instant…
Son voisin de gauche, René MAGOTOE, électricien de base mais touche-à-tout expérimenté en climatisation et en…plomberie car il s’aventure vers le large éclectisme potentiel des métiers de cette corporation, est, quant à lui, nettement plus volubile. Manifestement très heureux de se retrouver là, sans que ce soit vraiment le fruit du hasard.
« Construire Demain » : le sens pédagogique idéal à ce cursus…
Enfin, Dimitri MORIN exerce l’activité de peintre. On dirait, du fait de son apparence juvénile, un jeune étudiant qui vient de toucher le Graal à l’issue de son cursus universitaire sanctionné d’un examen. Se dandinant sur une jambe, puis l’autre. Ce fut parfois très complexe mais il a réussi. Sa gratitude va immédiatement au formateur, Jacky LECURET, de la société Construire Demain, qui a suivi ce trio d’apprenants plusieurs mois durant malgré les soubresauts intempestifs de la crise sanitaire. Jamais facile de transmettre le savoir derrière un écran d’ordinateur !
« Construire Demain » : la noble appellation ! Une structure de formation qui depuis trois décennies déploie à l’aide de ses formateurs chevronnés toute son énergie sur le terrain du bâtiment pour accompagner les gestionnaires de ces TPE/PME et leurs conjoints vers le rendez-vous avec le succès.
Une maîtrise approfondie de la gestion d’une entreprise…
Celui de faire progresser l’outil qui est leur appartenance et dont ils ont pris les rênes de la destinée : leur entreprise. C’est clair : à date, plus de dix mille structures implantées aux quatre coins de l’Hexagone leur ont déjà fait confiance. D’où cette collaboration naturelle avec les services de la CAPEB. C’est ce que devait rappeler Christophe BERTEAU, le coordinateur du syndicat professionnel dans l’Yonne, lors de sa prise de parole, plutôt enjouée.
Une formation utile pour René MAGOTOE qui a la tête de son entité, « Phoenix Conception », a su renaître de ses cendres alors qu’il ne savait pas s’il allait pouvoir surmonter la crise de la COVID et son tombereau d’incertitudes pesant sur son chiffre d’affaires.
Des hommes de l’art, pas forcément spécialistes de la gestion d’une structure professionnelle, voilà ce qu’étaient auparavant les trois lauréats comme devait le stipuler Dimitri MORIN. Chose aujourd’hui révolue grâce à ce « REAB » obtenu en deux ans dont ils en redemanderaient presque une prolongation…
Thierry BRET
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Eric ZEMMOUR se rendra-t-il à Vézelay le 07 avril ? Pas l’ombre d’une certitude mais de vraies polémiques !
avril 04, 2022Annoncé par notre confrère, « Le Parisien » dans son édition du 22 mars, le déplacement du chef de file de « Reconquête ! » sur la Colline Eternelle le jeudi 07 avril n’est toujours pas confirmé par les instances officielles du mouvement souverainiste. Rien n’apparaît formellement au calendrier du candidat. Ce dernier a peut-être revu sa copie initiale ? L’opposition à sa venue est telle qu’elle a engendré l’ire des habitants…
VEZELAY: Une chose est concrète dans cette histoire : c’est la constitution d’un collectif fédérant près d’une centaine d’habitants opposés à la visite de l’ancien polémiste dans leur ville.
Déterminés à ne pas rester les bras croisés devant ce qu’ils considèrent comme « une offense faite à tout ce en quoi ils ont foi », les membres de ce collectif, sans appellation spécifique, invitent celles et ceux qui pensent comme eux à signer la pétition mise en ligne depuis plusieurs jours. Une pétition qui ne cesse de croître, côté signatures.
Pourtant, à l’heure où se rédige cet article, aucun élément nouveau n’est venu corroborer l’information lâchée sous la forme de supputations par le quotidien « Le Parisien » le 22 mars.
Rappelons les faits : il était écrit dans les colonnes du média que le trublion de la présidentielle « envisageait d’achever sa campagne électorale par une venue à Vézelay le jeudi 07 avril ».
Une visite en forme de symbole, on l’aura compris avec l’ascension à pied vers la basilique Marie-Madeleine, haut lieu de l’art roman, et départ de pèlerinages pour les férus de spiritualité. L
Le patronyme de Marion MARECHAL et de quelques autres lieutenants du chantre de l’union des droites étaient même évoqués à l’occasion de cette journée, rappelant la montée vers la roche de Solutré d’un certain François MITTERRAND dans les temps immémoriaux.
Interrogés, les responsables et soutiens départementaux du candidat Eric ZEMMOUR dans l’Yonne n’ont pu confirmer la venue de leur leader d’ici quelques jours sur le site le plus touristique et emblématique de notre territoire.
L’évènement s’il est réellement organisé serait de toute façon gérer par les instances nationales, sans qu’il n’y ait la moindre décision prise au niveau régional. Donc, pour l’heure, on en reste au stade de supputations. Qui ont pour conséquence d’irriter une frange de la population du cru !
Thierry BRET
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