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Déviation sud d’Auxerre : Guillaume LARRIVE (LR) dénonce le jeu de poker menteur autour du financement
mai 10, 2021Le dossier du contournement sud de la ville d’Auxerre irrite au plus haut degré, le parlementaire de l’Yonne. A cause du temps perdu dans sa phase de réalisation. « On nous mène en bateau depuis 2012, claironne le député Les Républicains. Ce dernier est excédé par cette situation d’attentisme où l’Etat et la Région se renvoient l’ascenseur sans que les choses n’évoluent vraiment…
AUXERRE : Celles et ceux des observateurs qui ont pu assister la semaine dernière à la conférence de presse du candidat de la droite républicaine aux régionales, l’édile de Chalon-sur-Saône Gilles PLATRET, de passage à l’abbaye Saint-Germain, ont pu le constater de visu : Guillaume LARRIVE était un brin irrité à l’évocation du fameux projet de contournement de la zone sud de la ville.
Un projet qui s’éternise depuis des lustres et qui ne semble pas encore bien calé dans la répartition de son financement par ses instigateurs. En l’occurrence, l’Etat, la Région, le Département et la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois !
Selon le schéma originel de l’enveloppe budgétaire consacrée au projet, l’équation la plus plausible serait la suivante : l’Etat prendrait à sa charge 27,5 % du montant des travaux, la Région Bourgogne Franche-Comté et le Conseil départemental en assureraient 25 % tandis que le reliquat s’élevant à 22,5 % incomberait à l’organe communautaire auxerrois. Mais, derrière cette répartition exprimée en pourcentages, rien ne serait encore définitivement tranché par ces organismes.
Ce qui a provoqué le courroux du député de la première circonscription, qui debout face à un auditoire attentif à ses propos, est parti bille en tête lors de sa prise de parole en dénonçant l’aspect saugrenu de la situation.
« J’en ai marre, a précisé avec véhémence Guillaume LARRIVE, il aura fallu l’alternance à la municipalité d’Auxerre pour que ce projet remonte enfin à la surface. Que de temps perdu ! On le sait : le sujet clé de ce dossier, c’est le financement. Et aujourd’hui, les services de l’Etat et ceux de la Région rechignent à financer une partie de ce contournement… ».
Que l’Etat et la Région versent 35 millions d’euros !
Réclamant davantage de clarté dans ce dossier de plus en plus ambigu, le parlementaire de l’Yonne souhaite du concret dans les actes.
« Ne parlons plus de pourcentages mais exprimons-nous en valeur absolue, en millions d’euros ! ».
Les 9,9 kilomètres de tronçon à réaliser au sud de la capitale de l’Yonne afin d’assurer cette déviation supposeraient une enveloppe budgétaire de 125 millions d’euros. Peut-être un peu plus, à hauteur de 130 millions.
« Je demande à l’Etat de débloquer 35 millions d’euros pour la réalisation de cet ouvrage, ajouta Guillaume LARRIVE, et que la Région Bourgogne Franche-Comté en fasse autant ! ».
Une somme que Gilles PLATRET s’engagerait à reverser au nom de la collectivité territoriale s’il était élu au soir du 27 juin. Histoire de noyer de manière définitive cet antépénultième serpent de mer qui caractérise depuis bientôt dix ans ce fameux dossier de contournement !
Thierry BRET
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Expérimenter le sticker « Oui Pub », autorisant la dépose de documents à vocation publicitaires, à la place du traditionnel « Stop Pub » qui en interdit toute réception dans les boîtes aux lettres, est l’une des 150 préconisations issues de la Convention Climatique Citoyenne. Une idée qui ne fait pas que des heureux si cet alinéa de la loi Climat était adopté par les parlementaires. Chez MEDIAPOST, beaucoup d’opérateurs s’inquiètent de perdre leur emploi à l’avenir…Acte deux de notre enquête.
AUXERRE : Quatorze années de bons et loyaux services s’inscrivent déjà au compteur. Malgré cela, Sandrine LE GOFF ne rechigne jamais pour assurer la distribution par tous les temps de ces prospectus et autres dépliants à vocation commerciale qui sont aujourd’hui au cœur d’une sérieuse polémique. Une parmi tant d’autres, pourrait-on dire qui affecte les rouages opérationnels de cette belle société qui est la nôtre !
La stigmatisation récurrente de l’imprimé publicitaire telle qu’est vécue à l’heure actuelle ne fait pas la une des grands médias nationaux. Dommage, à vrai dire. Il y a pourtant péril en la demeure pour environ dix mille salariés de ces filières évoluant sur ce secteur qui risquent bientôt de pointer à Pôle Emploi si rien n’est fait dans le sens de la préservation de leur métier. Celui qu’exercent les collaborateurs de MEDIAPOST, une des filiales du groupe La POSTE appartenant à la branche service, courrier et colis.
Car, proscrire la distribution de ces informations commerciales de nos boîtes aux lettres telle qu’elle est suggérée par la Convention Climatique Citoyenne conduira à licencier à terme ces personnes. Dont certaines remplissent la tâche depuis fort longtemps avec des contrats aux horaires adaptés.
Le respect des distributeurs face aux autocollants « Stop Pub »…
Pour l’heure, l’expérience de l’autocollant « Oui Pub » à apposer sur les boîtes aux lettres n’est pas encore adoubée par le parlement. Mais, nous n’en sommes pas très loin. Il suffit que les députés la valident. Prendront-ils alors réellement conscience des enjeux économiques et sociétaux qui résulteront de leurs votes ?
Sur l’Auxerrois, sur les 47 076 boîtes aux lettres répertoriées, seules un peu plus de quatre mille d’entre elles disposent d’un autocollant « Stop Pub » sur leur couvercle latéral. Une signalétique que respectent scrupuleusement les employés de MEDIAPOST lors de leurs pérégrinations sur le terrain. Enfreindre la volonté du possesseur de la boîte à l’estampille de ce sticker très explicite est passible d’amendes.
« Le montant peut s’élever jusqu’à 1 500 euros, concède Hubert PREVOT, responsable de la plateforme de distribution à Auxerre.
Depuis plusieurs mois, les autocollants interdisant l’accueil de la promotion commerciale par dépliants dans les boîtes aux lettres sont en augmentation sur ce secteur de l’Yonne. Les zones rurales sont nettement moins touchées par cette tendance. Sans doute parce que moins destinataires de la publicité. Toutefois, annuellement, ce sont près de 50 à 70 kg de ces documents imprimés qui arrivent dans nos boîtes. D’où l’ire de certains réfractaires à ce mode de communication qui rejettent l’idée de recevoir de manière hebdomadaire ce monceau de papier.
A Auxerre comme à Sens, les distributeurs de MEDIAPOST tremblent pour leur avenir…
En France, 30 % de nos concitoyens ont déjà posé le fameux sticker informatif sur leurs boîtes aux lettres. Douze points de mieux qu’en 2015…
Supprimer la distribution de ces imprimés publicitaires déstabiliserait à coup sûr toute une filière. Celle de la distribution, en particulier. Le métier que pratique avec tant de passion Sandrine.
Travaillé au moins six fois, le papier utilisé à la conception de ces prospectus nourrit également tous les emplois du recyclage. Sans parler des transporteurs, des imprimeurs, des publicistes, des graphistes, des commerciaux de la presse et diffusion.
Mais, ce qui perturbe le plus Sandrine LE GOFF, c’est de priver d’un lien social toute une frange de la population, généralement des seniors, qui se procurent de l’information en parcourant ces flyers une fois installé dans un fauteuil. Une source de renseignements vitale pour celles et ceux qui ne comprennent que couic à la technologie du digital.
Aujourd’hui, les vingt-six personnes qui exercent leurs activités au sein de la plateforme MEDIAPOST d’Auxerre (elles sont 21 à Sens) tremblent pour leur avenir. Si la décision encouragée par les écologistes était acceptée par la voie parlementaire, ce serait 50 % des effectifs qui seraient ainsi rayés de l’organigramme.
Un étrange paradoxe alors que six Français sur dix disent consulter dès qu’ils les réceptionnent ces documents aujourd’hui voués au rebut.
25 millions de ces imprimés publicitaires transitent par le centre auxerrois à date. Combien en restera-t-il si cet alinéa de la loi Climat venait à être promulgué demain ?
Thierry BRET
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Des avantages comme s’il en pleuvait pour ses membres : DYNABUY le réseau adepte de philanthropie ?
mai 06, 2021Se retrouver en présentiel, c’est le propre de tout réseau d’affaires digne de cette appellation ! Un sentiment de profonde liberté que les adhérents et invités de DYNABUY 89 ont pu partager ce jeudi 06 mai à la Maison de l’Entreprise. Une quinzaine de décideurs ont redécouvert la kyrielle d’avantages vertueux proposés par une entité qui fait son petit bonhomme de chemin sur notre territoire…
AUXERRE : Un énième réseau de plus à officier sur le département de l’Yonne, DYNABUY ? Réponse de normand à la clé : oui et non en version simultanée. Du pur « en même temps » pour mieux rester connecter avec l’actualité politique !
Mais de politique au sens politicienne du terme, au sein de cette structure nationale qui a posé ses jalons il y a environ cinq ans dans le nord de la Bourgogne, il n’en est aucunement question.
La seule stratégie qui fait foi lorsque l’on choisit l’intégration volontariste au sein de cet organe est le développement du chiffre d’affaires (logique, me direz-vous) en y ajoutant un autre argument de poids que seul ce réseau sait proposer à ses pratiquants dans son catalogue : la réalisation de bénéfices par le biais d’économies.
Et celles-ci ne se résument pas à la simple portion congrue ! De substantielles sur le papier, elles peuvent très vite représentées un sacré enjeu pour les adeptes de ce cercle qui en assimilent toutes les ficelles.
A la base, existent le réseau et l’essor naturel des relations publiques qui y sont agrémentées. Dans l’Hexagone, DYNABUY équivaut à fédérer sous la férule de ce concept originaire de Nantes plus de 100 000 entreprises. Soit un poids d’un million de salariés qui en connaissent les principes. Celui de la réduction des coûts inhérents à la bonne fonctionnalité d’une entreprise : un sacré budget en somme !
La présence participative de cent trente fournisseurs d’envergure nationale (des référents dans tous les secteurs couverts par l’activité économique) n’est pas étrangère au succès de ce système qui ne demande qu’à croître. Ces partenaires accordent des remises plutôt alléchantes aux adhérents du réseau qui profitent allègrement de l’aubaine. Qui s’en offusquerait d’ailleurs !
Le MEDEF comme partenaire idoine du réseau…
Comités d’entreprise (le chiffre de 546 est avancé au plan national) et bénéficiaires d’avantages privés (une jauge de plus de 272 000 personnes) contribuent au succès de ce réseau, moins médiatisé que les autres certes, mais terriblement efficace de par sa pertinence stratégique et son offre de suggestions déclinées sur le terrain.
Dans l’Yonne, son essor repose sur un entrepreneur qui en a adopté les principes il y a quelques années. Son nom : Alain VIMPIERRE. Son objectif : élargir le cercle pour en faire une noria de ronds dans l’eau se reproduisant à l’infini.
Proposant un cycle de réunions régulières en présence physique tant à Sens qu’à Auxerre, l’animateur a su trouver avec le MEDEF de l’Yonne le partenaire idoine pour propager la bonne parole auprès des chefs d’entreprise et des dirigeants.
C’est précisément dans la salle de conférence de la Maison de l’Entreprise que l’instigateur de ces retrouvailles positives agissait ce jeudi en début de matinée pour prodiguer ses conseils aux seize participants présents. Aux côtés de l’une des pièces maitresses de la sphère du milieu patronal, Florence POULAIN qui expliqua les raisons de ce rapprochement avec le syndicat du patronat.
En Côte d’Or, le MEDEF a également adoubé ce réseau qui veut marquer son territoire par ses différences. Une motivation qui s’appuie sur de « belles valeurs qui y sont appliquées », mais aussi sa « transparence » et la pratique de tarifs peu prohibitifs pour ses futurs adhérents.
Pour deux rendez-vous pris, le réseau offre avec son schéma applicatif quatre contacts qualifiés. L’argument est-il suffisamment convaincant pour convertir les invités de la séance à devenir membres à part entière ?
Thierry BRET
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Une aide à 1,5 million d’euros : 110 BOURGOGNE va allier la qualité des blés à l’optimisation des contrats filières
mai 04, 2021Le projet a séduit parmi les hautes sphères étatiques où se prennent les décisions. Logique, quand il s’agit de valoriser la production des agriculteurs locaux. Surtout après les périodes de disette, synonymes de gel ou de sécheresse. Alors dès que le dossier de candidature constitué dans le cadre de l’appel à projets structuration de filières agroalimentaires et agricoles a été déposé par 110 BOURGOGNE, il avait toutes les chances d’aboutir et de toucher le jackpot. Banco ! La subvention accordée par l’Etat s’élève à 1,5 million d’euros…
NITRY : C’est presque à une finale olympique, l’épreuve reine des Jeux, celle du cent mètres à laquelle a pris part la coopérative agricole de Bourgogne-Franche-Comté ! Le tour de force est à la hauteur de l’évènement : se qualifier parmi les huit prétendants nationaux au titre suprême pour tenter de décrocher la timbale. Identifiée dans le cas présent par une généreuse obole qui est versée par l’Etat dans le cadre du plan France Relance.
Au bout du compte, Gérard DELAGNEAU, le toujours vaillant président de la vénérable institution et son directeur, Jean-Marc KREBS, ne regrettent pas une seule seconde le temps consacré par leur service administratif au montage de ce que l’on suppose être un volumineux dossier.
Grâce à cela, 110 BOURGOGNE est l’un des huit premiers lauréats nationaux à bénéficier d’une subvention délivrée à point nommé pour encourager la filière agricole à repartir du bon pied après la sortie de crise. Au total, ce sont plus de sept millions qui vont être ainsi répartis sur ces huit structures dont 1,5 million attribués à la seule coopérative régionale.
Une aubaine qui se convertira en financement d’une partie des investissements indispensable à la réalisation d’un ambitieux projet en lien avec les contrats filières. D’ici douze mois, la structure souhaite développer une filière blé misant tout sur la qualité du produit. Un audacieux projet qui répond à de nouveaux impératifs d’ordre économique.
Pour se faire, la sécurité de la production doit être garantie : c’est la condition sine qua non de la réussite de ce nouveau cheval de bataille. Cela passe nécessairement par l’apport de nouvelles techniques de stockage, occultant toute présence d’insecticides.
Quatorze silos sont concernés par l’application de cette feuille de route stratégique de belle envergure. Ils sont neuf dans l’Yonne dont celui de Nitry, trois en Côte d’Or et deux en Seine-et-Marne. Réhabilités, ils permettront à terme d’accroître la capacité de stockage destinée aux productions en filière de cent mille tonnes. Les travaux ont été planifiés pour les cinq mois à venir. Ils ont démarré le 02 février dernier.
Une genèse débutée il y a sept mois…
Peut-être que la crise sanitaire y est pour quelque chose dans ce choix stratégique. C’est en tout cas ce que laissent entendre les dirigeants de la coopérative ayant observé un regain d’intérêt des consommateurs pour la qualité et l’origine des aliments dégustés dans leur assiette.
Côté ventes, il est vrai que les produits tracés Origine France ont connu une réelle progression de la part des professionnels. Encourageant les têtes pensantes de 110 Bourgogne à revoir quelque peu leur ligne stratégique. Ils ont décidé de donner une impulsion fortement prononcée au développement des contrats filières à destination de leurs adhérents.
But avoué de la manœuvre : la satisfaction des attentes du marché sans oublier de valoriser au passage les productions des agriculteurs.
Ensuite, le processus va s’accélérer. Dès octobre, la recherche de nouveaux débouchés s’inscrit parmi les priorités pour les équipes de l’union SeineYonne. Notamment pour des contrats de production en CRC, acronyme signifiant « culture raisonnée contrôlée ».Ceux de la célèbre enseigne transalpine, BARILLA, entrent également en ligne de compte.
En toute logique, la coopérative régionale étudie alors la faisabilité de ce projet bien ficelé, tant au niveau des infrastructures existantes que des matériels pouvant accueillir ces productions.
Faisant montre de réactivité, les dirigeants de 110 Bourgogne ne tergiversent pas. En novembre 2020, les contrats filières en CRC et BARILLA sont proposés à de nombreux adhérents de l’entité.
Résultat des courses : en l’espace de six semaines, ce sont seize entreprises qui seront contactées. A l’issue, 74 devis seront établis.
On connaît la suite : le fameux dossier de candidature à l’appel à projets sera adressé à Paris en janvier. Avec bonheur, quant à ses retombées financières !
In fine, ce sont 45 % des blés de la coopérative en filière qualité tracés qui sont attendus pour la récolte 2021.
Quant au gain de valeur ajoutée, il est évalué à 1,1 million d’euros qui seront distribués aux adhérents. Elle n’est pas belle la vie ?
Thierry BRET
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LECLERC remet un chèque de 1 500 euros à la Ligue 89 : les enfants victimes du cancer leur disent merci !
mai 04, 2021Chaque année, il meurt dans les services de cancérologie des centres hospitaliers de l’Hexagone près d’un millier d’enfants et d’adolescents. Un trop lourd tribut à l’existence, insupportable pour les praticiens et les parents. Depuis 18 ans, la Ligue contre le cancer et les centres Edouard LECLERC se mobilisent dans le cadre d’une opération baptisée sobrement, « Tous unis contre le cancer ». Le magasin d’Auxerre n’a pas dérogé à cette règle mobilisatrice et généreuse…
AUXERRE : Indispensables à la recherche, les dons collectés auprès des 486 vitrines commerciales de l’enseigne et autant de drives (494) implantés en France vont alimenter en partie le programme « Enfants, adolescents, jeunes adultes et cancer ». Un dispositif piloté par la Ligue nationale contre ce fléau qui concerne chacun d’entre nous.
Mardi dès potron-minet, et avant l’ouverture de la grande surface, le directeur du centre E.LECLERC Jérôme CHAUFOURNAIS devait procéder à une remise symbolique de chèque.
D’un montant de 1 500 euros (750 euros de dons issus de la collecte réalisée auprès de la clientèle du magasin en mars et un abondement de la somme équivalente par la vitrine commerciale), ce précieux subside a été remis au président de la Ligue contre le cancer de l’Yonne, le docteur Serge TCHERAKIAN.
Pour promouvoir le bien-fondé de cette opération altruiste, plusieurs possibilités s’offraient aux généreux donateurs. Soit de réaliser un don en payant directement par carte bancaire via le terminal de paiement en arrondissant leur panier à l’euro supérieur ; soit pour les clients fidèles de la pratique des courses avec le service drive, de pouvoir envisager le don en ligne.
Une politique de recherche articulée en quatre grands axes…
Muni de son imposant fac-similé qui identifiait la valeur de la somme offerte, le docteur Serge TCHERAKIAN expliqua juste avant d’immortaliser la scène avec l’ensemble du personnel du magasin auxerrois que ce don serait converti à la recherche selon quatre grands axes : la compréhension de la maladie, l’accès aux traitements innovants, l’accompagnement des enfants et de leurs proches et l’éducation en milieu scolaire.
Aujourd’hui, l’enseigne E. LECLERC reste le premier soutien financier intervenant sur la recherche pour lutter contre ces pathologies dans l’Hexagone. Une volonté qui n’est pas prête de s’altérer comme devait le réaffirmer il y a peu au début de cette dix-huitième campagne de sensibilisation Michel-Edouard LECLERC, président du Comité stratégique des centres E.LECLERC lui-même.
Thierry BRET
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