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Le Groupe 123 Immobilier inaugure sa nouvelle agence à Montholon : la « cinquième symphonie » est achevée !
septembre 28, 2023Les petits plats dans les grands. Sans fioritures et surtout avec réelle gourmandise, pour celles et ceux qui aiment se sustenter lors d’un cocktail avec les délicieux canapés concoctés chez FESTINS ! Voilà ce qui attendait les trois cents cinquante invités du groupe 123 Immobilier qui eurent tout à loisir de mieux appréhender la philosophie et la stratégie de l’un des leaders icaunais de la transaction, venant s’implanter dans l’Aillantais. Une cinquième vitrine commerciale, ouverte depuis janvier, inaugurée dans la convivialité, ce qui n’était pas pour déplaire aux nombreuses personnalités, venues des quatre coins du département…
MONTHOLON : Il n’y a pas à dire : on possède le sens de l’accueil dans la commune dirigée par le maire Fernando DIAS GONCALVES ! Surtout lorsqu’il s’agit en substance de célébrer l’arrivée d’une nouvelle enseigne, permettant de renforcer l’attractivité économique du territoire, tout en créant de nouveaux emplois !
Certes, et selon sa date fétiche (le 02 janvier afin de mieux marquer le début de la nouvelle année peut-être au plan comptable !), le dirigeant du groupe 123 Immobilier, Baptiste CHAPUIS, dispose déjà d’un certain recul, vieux de quelques mois à peine, pour jauger de la pertinence d’une telle implantation dans la nouvelle localité de Montholon.
Au vu des premiers résultats en matière de transactions immobilières, le patron du groupe icaunais ne regrette nullement son choix, mûrement réfléchi au préalable comme le furent bien avant celui-ci ceux de l’ouverture des points de vente d’Appoigny, de Migennes et des deux boutiques auxerroises.
Une belle pépite de plus sur sa zone de prédilection : Mahfoud AOMAR jubile !
Nouvel acteur de l’immobilier sur ce secteur occidental du département, le groupe 123 ne s’est pas implanté ici pour y faire de la figuration. Tout cela résulte d’une fine appréciation territoriale de son dirigeant et des maillages potentiellement réalisables à développer sur cet axe compris entre Toucy, Joigny, Migennes et Auxerre.
Une vraie aubaine stratégique qui ravit à merveille le président de la communauté de communes, un Mahfoud AOMAR, toujours aux aguets lorsqu’il s’agit de flairer la belle pépite économique qui pourrait apporter davantage d’eau au moulin de la prospérité et de l’essor de son secteur géographique préféré ! Il n’est pas président de l’agence Yonne Développement pour rien !
Porte-étendard de la structure icaunaise de l’Association des Maires de France (AMF), Mahfoud AOMAR ne s’est pas privé de réagir à chaud à cette installation.
« C’est super, s’enthousiasme-t-il, c’est une entreprise de plus dans l’Aillantais, avec des emplois et une dynamique, et comme cette équipe est intelligente, ils vont nous ramener que des personnes au potentiel immobilier évident sur ce territoire – un clin d’œil appuyé aux Franciliens de plus en plus nombreux à accéder à la propriété dans le nord de la Bourgogne - ; c’est fabuleux ! ».
Entre Baptiste CHAPUIS et le maire de Valravillon, c’est l’osmose parfaite. Leur credo qui résonne tel un dénominateur commun repose sur l’attractivité !
« L’attractivité, explique Mahfoud AOMAR, cela s’applique à un territoire où l’on peut travailler sans avoir trop de problèmes, où l’on peut avoir une vie tranquille, et où l’on mange bien ! Je pense que ce dirigeant a fait le bon choix en venant s’installer ici ! ».
Bref, le portrait idéal de l’Yonne, non ?
Accueillir le plus de Parisiens possible en résidences principales
Quant à Baptiste CHAPUIS, il s’est dit très satisfait de l’accueil des élus, des commerçants et des habitants de la localité.
« Cette cinquième agence que nous ouvrons dans l’Yonne permet d’apporter deux choses : la première, c’est la résidence principale pour toutes les personnes qui quittent Paris et l’Ile-de-France vers davantage de qualité de vie, la seconde c’est pour répondre aux gens du cru qui recherchent de l’accession à la propriété mais aussi de la location qui est très demandée… ».
Hectares de terrain autour des maisons, fermettes à vendre, maisons de caractère et très atypiques qui se négocient entre 300 et 500 000 euros, sont des biens que le groupe possède en nombre beaucoup plus restreint sur Migennes ou à Auxerre. D’où l’intérêt pour son responsable d’avoir optimisé sa présence sur cette partie sectorielle de notre département.
Autre motif de satisfaction pour le président communautaire : l’emménagement du groupe 123 Immobilier dans un local qui était jusque-là vacant. « Et en plus, il y a des salariés, se réjouit-il la malice dans le regard !
Quant à l’hypothétique afflux trop massif de Parisiens dans le secteur, Mahfoud AOMAR balaie l’argument d’un revers de la main : « On ne craint pas de genre de situation, au contraire, ce qui nous intéresse c’est d’avoir le plus de Franciliens possible en résidence principale ! ».
Consolider le capital acquis par la société
Dans les faits, l’apport de cette nouvelle boutique commerciale se convertit en quatre postes à taux plein. En outre, dans la partie supérieure de l’édifice, des bureaux sont loués à des professionnels, notamment à une sophrologue qui vient de s’y installer. Une spécialiste de l’hypnose a fait de même dans ce business center. Deux autres locaux sont encore à louer, l’un situé au rez-de-chaussée et le second à l’étage de ce bâtiment. Tout cela dans un esprit bien-être et cocooning, tel que le souhaite Baptiste CHAPUIS.
Avec le site de Montholon, le groupe immobilier dispose désormais de cinq entités, toutes opérationnelles et aux résultats prometteurs malgré les soubresauts imputables au marché. Une cinquième agence, telle une symphonie de Beethoven, parfaitement achevée !
« Cinq vitrines commerciales, je qualifierai cela de très très bien, souligne le jeune dirigeant, il faut savoir demeurer à ce niveau et le consolider avant de penser continuer à augmenter le nombre de ses points de vente… ».
Une manière d’éradiquer avec élégance la sempiternelle question posée à l’entrepreneur, « et à quand la sixième agence ?! ».
Thierry BRET
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Face aux ravages des sangliers, les agriculteurs veulent obtenir plus de moyens pour protéger leurs cultures
septembre 28, 2023Fléau à l’origine de la destruction massive des récoltes – des centaines d’hectares sont retournés chaque année sur le territoire hexagonal -, le sanglier s’est donc invité au cours de la session de rentrée de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, jeudi matin. Malgré les prélèvements assurés par les chasseurs, les professionnels du monde agricole veulent davantage de moyens pour protéger leurs champs des ravages commis par ces prolifiques mammifères…
AUXERRE : Haro sur les sangliers dans les campagnes icaunaises ! Le phénomène ne date pas d’hier mais il semblerait que les prélèvements assurés par les sociétés de chasse ne soient pas suffisants pour en réduire le nombre, la bestiole prolifère à la vitesse du son dans les bois et sous-bois de nos forêts. Et mieux se nourrir au beau milieu des champs de tournesol, de blé ou de maïs des agriculteurs qui déconfits n’ont plus que leurs yeux pour pleurer !
Selon une estimation fournie par la Fédération nationale des Chasseurs, les dégâts occasionnés par ces puissants mammifères aux cultures et aux terres agricoles représentent entre 30 et 50 millions d’euros par an dans l’Hexagone. Par chez nous, les destructions des récoltes sont légion. Les céréaliers ne cessent de signaler les méfaits de ces animaux à leur instance officielle, la Chambre départementale d’Agriculture.
Profitant de la présence du préfet de l’Yonne, Pascal JAN, lors de la séance automnale de l’organisme consulaire réuni en plénière, plusieurs agriculteurs ont exprimé le souhait d’obtenir le droit de protéger leurs cultures. Comble du comble : certains propriétaires ne peuvent pas entrer dans leurs champs en période de chasse !
Les loups et les sangliers : même prédation !
Un sujet qui est devenu récurrent à chaque session de la chambre agricole et que le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, connaît sur le bout des doigts ! Les témoignages de quelques-uns des adhérents de la Chambre d’Agriculture sont accablants : « Après le passage des sangliers dans nos récoltes, c’est catastrophique, confie Walter HURE, président de la coopérative 110 Bourgogne, on ne peut plus pénétrer dans les champs car il faut attendre le passage des experts. Des délais qui sont parfois longs où l’on ne peut pas récolter… ».
L’une des solutions pour endiguer ces dégâts repose sur l’accès facilité au permis de chasse pour les agriculteurs. Tous, c’est le cas de Walter HURE, n’y accèdent pas, d’ailleurs. Bref, après la prédation occasionnée par le loup et les grands canidés – le sujet fera l’objet d’une réunion organisée par la Chambre d’Agriculture et les services de l’Etat le jeudi 05 octobre à Avallon -, ce sont les sangliers qui posent de sérieux problèmes à l’existence quotidienne des professionnels. Pas facile d’être agriculteur, aujourd’hui !
Thierry BRET
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Une formation de 3 mois pour 15 demandeurs d’emploi au CNPFT : tout connaître du poste de secrétaire de mairie…
septembre 27, 2023Il est copieux, le menu pédagogique proposé par le CNFPT, le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale de l’Yonne ! Se déclinant dans ses versions théorique et pratique, il se compose de 400 heures de formation à assurer auprès des collectivités locales. Celles et ceux des demandeurs d’emploi qui souhaitaient embrasser un jour le métier de secrétaire de mairie en commune rurale sont donc servis. Royalement, au vu des seize modules du cursus ! Gare à l’indigestion !
AUXERRE : Elles et ils écoutent en silence les propos liminaires tenus par le président de la vénérable institution, Jean-Pierre GERARDIN, lors de la phase de présentation. La nouvelle promotion des quinze demandeurs d’emploi, débutant ce cycle de formation au métier de secrétaire de mairie en commune rurale, assise autour de tables placées en U, est donc dans les starting-blocks, prête à en découdre avec le volumineux programme didactique qui l’attend.
Au bas mot, ce sont seize modules de formation qui permettent de préparer les stagiaires aux arcanes du poste de secrétaire de mairie, une fonction essentielle par excellence, dans les rouages d’une collectivité rurale.
Pêle-mêle, on y trouve dans le contenu (très bien ordonné, quant à lui !), la connaissance du milieu territorial, celle de la fonction publique qui s’y rapporte, la gestion des rémunérations, la comptabilité et les budgets – le nerf de la guerre de toute collectivité qui se respecte ! -, la rédaction administrative, l’état civil, les élections, l’urbanisme, les marchés publics ou encore la gestion des archives. Il y a même un chapitre pédagogique concernant la gestion du stress en situation d’accueil. A croire que les secrétaires de mairie sont exposées à la vindicte populaire ! Plus sérieusement, ce métier aux multiples tâches n’est pas si facile à exercer car en première ligne face aux revendications parfois agressives de quelques citoyens réfractaires au respect du droit et de la loi !
Répondre aux besoins des localités rurales
Souvent, le secrétaire de mairie – seul collaborateur de l’élu parfois dans certaines communes – est un précieux auxiliaire qui ne ménage pas sa peine. Son absence, même temporaire, peut engendrer des dysfonctionnements importants en raison de la diversité et multiplicité des tâches. Quant à la réglementation, sa complexité aurait pu en rebuter plus d’un : ce qui ne fut pas le cas, lundi matin, dans l’une des salles municipales auxerroises où le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale (CNFPT) a pris habitude de recevoir lors de ses sessions de recrutement régulières.
Pour ces demandeurs d’emploi, c’est donc une excellente opportunité de pouvoir transformer l’essai – ils seront des agents de remplacement dans un premier temps – mais ils peuvent avoir l’opportunité de pérenniser leur poste par voie de concours ou par recrutement direct. D’autre part, l’initiative, judicieuse, du CNFPT est aussi de répondre aux besoins des territoires, plus particulièrement ceux des zones rurales.
Lors de cette prise de contact, ce fut le temps des explications dans le détail avec la présentation du cursus aux stagiaires et du métier de secrétaire de mairie. Etaient présents les tuteurs qui ont évoqué leur métier avec moult témoignages, les élus et les candidats. Un échange nourri et constructif pour faire toute la lumière sur ce métier indispensable où les pré-acquis sont la loyauté, la discrétion, la disponibilité et…les compétences pour tenir le poste, tout de même !
Thierry BRET
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Il se fait pédagogue sur la filière forêt/bois : Thierry CADEVILLE (CCI) relève les incohérences de la ZAN
septembre 26, 2023Il ne pouvait pas en faire abstraction lors de sa prise de parole. Evoquer la forêt hexagonale, ses potentialités économiques et sociétales – un poumon vert très important en termes de surface qui est à préserver pour mieux réguler le trop plein de carbone – fut l’angle d’attaque de Thierry CADEVILLE à l’issue de la visite des Pépinières NAUDET, concoctée par la CCI de l’Yonne, sous l’égide des « Positives Entreprises »…
CHEU : Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne aime profiter des tribunes qui se présentent à lui, au gré de son calendrier évènementiel, pour y marteler quelques évidences, apportant ainsi son lot de réflexion nourrissant les esprits.
En l’occurrence, à la fin de la découverte des sites de productions des Pépinières NAUDET, proposées dans le cadre des « Brunchs des Positives Entreprises », un focus non exhaustif fut proposé sur l’état de la forêt française et de la filière bois/sylviculture en France.
Quatrième plus grande zone boisée d’Europe avec ses 17 millions d’hectares – cela représente 30 % de notre territoire -, la forêt française offre en cela de belles opportunités pour les professionnels qui en assurent l’exploitation, la transformation et l’entretien.
Avec un accroissement annuel de 85 000 ha par an (l’équivalent de cent mille terrains de football, tout de même !), elle dépasse même – cela semble très curieux ! – la surface qui existait jadis au Moyen-Age !
Trois quarts de cette forêt appartiennent au domaine privé et sont exploités par plus de 3,5 millions propriétaires particuliers. Des chiffres qui sont distillés par Thierry CADEVILLE, ce dernier s’étant appuyé sur les données officielles d’une enquête réalisée par un site numérique forêt/bois en France.
Trente forêts de la planète se consument chaque jour
Micro à la main et devant un auditoire d’entrepreneurs tout ouïe, réceptifs aux propos du président consulaire, le patron de la CCI de l’Yonne bifurqua ensuite tout naturellement vers les effets du changement climatique, la plaie de ce vingt-et-unième siècle dont on observe au quotidien les effets nocifs sur notre environnement.
« 62 000 hectares de forêts ont été détruits par les incendies en France, sur la seule année 2022, constate Thierry CADEVILLE se référant de temps à autre à ses notes, un triste record que nous n’avions pas connu depuis l’année 1976, certains parmi vous s’en souviennent peut-être encore… ».
Plus stupéfiant : plus de trente sinistres forestiers se déclarent à la surface du globe au quotidien et sont observables par les satellites de la NASA. De quoi dramatiser davantage une situation déjà précaire, comme cela a été démontré au Brésil ou au Canada au fil de ces dernières semaines.
Entre ZAN et réindustrialiser, il y a une antinomie…
Quant à la croissance de la forêt, Thierry CADEVILLE est formel : elle s’effectue par sa régénération plutôt que par le biais de l’artificialisation. Néanmoins, bon nombre de professionnels sont aussi très sollicités pour assurer des campagnes de plantation en masse.
Pour autant, la filière forêt/bois est fondamentale, de l’avis du président de la CCI Yonne. « Elle propose une régénération raisonnée des forêts, explique-t-il, n’oublions jamais que la forêt absorbe le carbone par photosynthèse, tout en rejetant l’oxygène et que les arbres agissent comme de véritables poumons de la planète… ».
Toutefois, le président de la chambre consulaire ne pouvait occulter de ses propos la démarche « ZAN », pour « Zéro Artificialisation Nette ». Démarche pour le moins contradictoire, à bien l’écouter.
L’objectif fixé pour 2050 est de réduire de 50 % le rythme d’artificialisation et de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers, bien avant cette date butoir.
« C’est paradoxal : on manque de foncier dans le pays, précise Thierry CADEVILLE, à titre d’exemple, pour le PETR du nord de l’Yonne, on dispose de 150 hectares qui sont accessibles sachant que chaque commune en possède 120 et ont droit d’utiliser un hectare. C’est pratiquement rien ! A côté de cela, le gouvernement nous demande de réindustrialiser la France coûte que coûte ! Il y a donc une antinomie manifeste entre les deux mesures et cela va être très compliqué à réaliser. C’est un débat qu’il faut avoir à l’esprit, quand même… ».
Un président CADEVILLE qui aura fait mouche avec sa conclusion en jetant le doute dans les esprits des entrepreneurs, conscients de cette énième incohérence…
Thierry BRET
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Solidaire jusque dans l’assiette : le « Rive Gauche » régale les épicuriens pour ses 30 ans au profit de PRADER WILLI
septembre 25, 2023Duo de sandre, cuit vapeur et sa quenelle aux petits légumes, servis sur un coulis d’écrevisses. De quoi faire saliver les gourmets qui entameront avec appétit le premier plat ! Une fois la pause rafraîchissante avalée, que l’on se rassure : il y aura encore de la place pour déguster le tournedos de veau aux champignons sauvages, sur la mousseline de panais confit et sa tuile de noisette ! Concocté par la Fondation GROUPAMA, le repas du trentenaire du « Rive Gauche » réservera d’onctueuses surprises. Au profit d’une œuvre caritative, celle menée par l’association PRADER WILLI…
JOIGNY : L’âge de la maturité. Plutôt, tendance, aussi. Trente ans, « l’âge mûr » chantait si bien Alain SOUCHON en 1978 dans son album « Toto, 30 ans, rien que du malheur ». On est encore jeune pour mieux pouvoir profiter de la vie. Sans avoir pris trop de rides ! Trente ans, l’âge de l’une des belles tables de l’Yonne : « Le Rive Gauche ».
Anne-Claire et Jérôme JOUBERT en président la destinée avec maestria et grande succulence sur la table. Ce 01er octobre, dans ce cadre chatoyant en bordure d’Yonne, ils régaleront les convives d’une soirée gourmande d’exception. Un anniversaire, pas comme les autres. Honoré différemment, grâce à un repas caritatif. Il est porté par la Fondation GROUPAMA. Un organe au service des actions sociales de l’assureur mutualiste qui s’engage au quotidien dans les valeurs de proximité et de solidarité. L’altruisme jusqu’au fond de l’assiette, en somme, dans le cas présent. C’est simple : ce repas anniversaire ne se cantonnera pas à souffler les trente bougies du lieu ; il permettra d’offrir à l’issue de la soirée la coquette somme de 1 500 euros, reversées à l’association PRADER WILLI.
Dix millions d’euros collectés pour les maladies rares en France
De quoi parle-t-on, précisément ? La structure associative aide les familles confrontées à cette pathologie orpheline – il en existe plus de 8 000 ! -, une maladie neurologique rare qui provient de l’absence ou de la perte de fonction de gènes au niveau du chromosome 15. Dans les faits, les jeunes malades – cela touche des enfants en bas âge – subissent des difficultés d’alimentation, une absence de réflexe de succion, voire une quête permanente de nourriture, sans observer de sensation de satiété. Aujourd’hui, une naissance sur vingt mille est touchée par cette maladie génétique, non héréditaire et très mal connue du grand public.
Soucieuse de faire progresser la recherche et améliorer le parcours de vie des malades et de leurs familles, la Fondation GROUPAMA – elle soutient plus de 2 000 projets portés par près de 250 associations de maladies rares dont celle de PRADER WILLI – a imaginé ce repas caritatif au « Rive Gauche », à l’occasion du trentième anniversaire de la vénérable maison. Grâce à ce type d’action – celle-ci-joint aisément l’utile à l’agréable – ce sont plus de dix millions d’euros qui ont ainsi apportés à la lutte contre les maladies rares. Grâce à vous !
En savoir plus :
Les 30 ans du Rive Gauche
Dimanche 01er octobre 2023
De 19h00 à 22h00
Chemin du Port au Bois
89300 JOIGNY
Tel : 03.86.91.46.66.
Pour toute réservation (obligatoire et acompte demandé sur le site : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ).
Thierry BRET
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