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Les élus ont-ils toujours confiance en eux ? Leur relation avec les citoyens s’est complexifiée…
juin 29, 2020Les élus auraient-ils perdu confiance en eux puisqu’ils n’ont plus la confiance des citoyens, vu le nombre croissant d’abstentionnistes ! Au congrès des maires de novembre 2019, 49 % des édiles souhaitaient abandonner tout mandat électif et ne pas se représenter. Les raisons sont multiples : manque de moyens financiers, relation complexe qui est devenue celle des citoyens contribuables face au maire fournisseur de services au fil du temps…
TRIBUNE : Difficile d’être un élu dans la société d’aujourd’hui ! La dépossession progressive de sa capacité d’action, du fait du développement des Communautés de Communes, a réduit les espérances de certains à néant.
Ministres, députés, conseillers départementaux et régionaux, maires sont soumis à des pressions constantes. En premier lieu, de la part de l’Etat, qui en permanence change les règles du jeu. Par exemple, il a fallu imposer une parité femme/homme dans les structures.
Si on suit l’évolution de la société, pourquoi ne pas étendre alors l’égalité parfaite des élus entre homme-femme-gay-handicapé-couleur de peau-âge… Ne souriez-pas, on y arrive doucement !
De plus, l’évolution de la fiscalité restreint la marge de manœuvre avec des budgets possibles réduits à une peau de chagrin. Cela limite de plus en plus les actions envisagées ! Quant aux échanges entre élus et citoyens, on frôle souvent l’écœurement de nombreux de nos représentants !
Le débat parlementaire est court-circuité par le pouvoir de l’Etat à grand renfort d’ordonnances, prémices d’une société qui se durcit de manière inexorable.
La limitation du nombre d’amendements possibles, la contrainte du temps de parole de l’élu, la possibilité de couper le micro à celui qui parle ne sont en fait que des atteintes à la démocratie.
L’influence néfaste des réseaux sociaux qui perturbe les débats…
Toujours parmi les sujets d’écœurement de nos élus : les réseaux sociaux. Ils interviennent pour tout et rien, en commentant méchamment un mot, un bâillement, la couleur de la cravate ou du costume de l’élu (e)…
Les intervenants sur ces réseaux insultent et dénigrent sous couvert d’anonymat (le courage des lâches…).
N’oublions pas les « fake news », et plus rares, les « sextapes ». Benjamin GRIVEAUX en est la dernière victime !
La fausse information touche chaque élu jusqu’au niveau présidentiel. Le doute ainsi instillé perdurera…
« Calomnier, calomnier, il en restera toujours quelques chose ». Francis BACON a hélas toujours raison.
Les débats publics sont sans cesse perturbés par des agitateurs. Les invectives sont parfois violentes, et cela peut aller jusqu’au pillage et au vandalisme des locaux syndicaux et des partis politiques !
Alors, quand on éprouve de plus en plus la peur à exercer une quelconque fonction élective, on a raison d’arrêter !
L’élu (e), objectivement, peut craindre pour sa vie, craindre pour l’étalage de son existence personnelle sur la place publique, craindre la diffusion de fausses informations le concernant… On comprend mieux quand il ou elle souhaite remiser sa bannière tricolore au placard !
Ils et elles passent alors de l’état de mandataire du peuple à celui de martyrs ! Tout cela, ne serait-il que la faute aux réseaux sociaux, dites-vous ? Pourquoi pas ! Et en plus, s’il n’y avait pas de voitures, il n’y aurait plus d’accidents de la route !
Une récente étude révèle que nos braves élu(e) veulent se recentrer sur leur vie familiale et leur travail : tout espoir n’est donc pas perdu…pour gagner un peu de paix et de sérénité…
Comme le disait avec ironie le regretté COLUCHE : « Etre un homme politique, c’est cinq ans de droit et tout le reste de travers…».
Jean-Paul ALLOU
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Offrir les clés du bonheur aux quartiers : Auxerre Ecologie priorise leur valorisation grâce à l’emploi et au participatif
juin 26, 2020Le soutien de Mourad YOUBI à la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie » est tout sauf une réelle surprise. Il se situe dans la logique des choses. Tant les points de convergence entre ces trois figures de l’opposition à la gouvernance actuelle (LOURY, ROYCOURT et lui-même) sont similaires. C’est aussi l’histoire d’une belle rencontre entre les deux ex-conseillers municipaux qui se sont trop peu côtoyés durant la dernière mandature. Inversion de tendance en cas de succès dimanche soir ?
AUXERRE: Ils se sont promis de travailler ensemble quoi qu’il advienne au soir du 28 juin. Elus ou battus. Florence LOURY, Denis ROYCOURT et Mourad YOUBI affûtent pour l’heure leur stratégie commune après la signification officielle de ce dernier d’appuyer la candidature du tandem écologiste en lice pour l’ultime round des municipales.
Certes, constateraient les observateurs avisés : ce n’est ni une alliance de circonstance ni un ralliement en pure et bonne forme. Seulement un soutien. Net, précis et sans contrepartie ! Il n’a pas été formulé du bout des lèvres par l’ancienne tête de liste d’ « Auxerre, ensemble pour un avenir meilleur ». Son projet n’aura peut-être recueilli que près de 3 % des suffrages après le premier tour de scrutin, mais ses colistiers suivent l’initiative. Après tout, chaque voix sera déterminante au moment du décompte final…
Cet appui représente juste l’envie velléitaire de développer des idées partagées depuis longue date entre ses signataires. Dans le seul but d’améliorer la qualité de vie des habitants de la capitale de l’Yonne et surtout de placer les quartiers dits « sensibles » au centre des valorisations tant attendues.
Réunis le temps d’un point presse où toute la lumière sera faite sur les raisons de ce nouvel assemblage, ces trois-là se sont donc découverts une philosophie commune. Avec ce qu’il faut d’empathie et de dynamisme pour que le travail puisse s’effectuer sans aucune prise de tête. Ni guerre des chefs.
Le conseil de quartier n’est pas une chambre d’enregistrement…
D’ailleurs, que l’on ne s’y méprenne pas : certaines propositions du candidat Mourad YOUBI figurent désormais en bonne et due place sur le nouveau tract électoral distribué par Auxerre Ecologie. Notamment les nombreux additifs qui visent à renforcer le poids et la prégnance des quartiers dans ce vote si incertain.
Prôner l’ouverture du conseil de quartier au plus grand nombre traduit ce désir d’instaurer davantage de confiance entre les diverses populations qui y habitent. Cet élan de démocratie participative est nécessaire pour Mourad YOUBI : il ne veut plus voir des personnes se sentir exclues de cet organe représentatif.
« Le conseil de quartier n’est pas une chambre d’enregistrement réservée au seul et unique noyau dur qui en phagocyte son fonctionnement depuis sa création, souligne-t-il, cet outil possède un pouvoir qui agit dans l’intérêt constructif général. Il n’est pas à l’apanage de la même vingtaine de membres qui y exercent leurs prérogatives depuis trop longtemps… ».
Donner des moyens aux quartiers, c’est aussi légitimer leur rôle pour les sortir de leur isolement par rapport au cœur de ville. Des axes complémentaires dont se nourrissent volontiers Florence LOURY et Denis ROYCOURT.
Un salon de l’emploi envisagé dans les quartiers…
L’une des suggestions importantes à cette nouvelle feuille de route se rapporte à l’emploi. Et par ricochet à la formation. Le projet de porter un évènementiel en ce sens trouve une place qui n’a rien d’incongrue dans ce flux de propositions favorables à l’éducation et aux quartiers.
« Je suis toujours choqué d’entendre dire qu’il y a pénurie d’emplois, affirme Mourad YOUBI, alors que des personnes de bonne volonté qui ne connaissent pas les métiers en tension sont prêtes à postuler afin de combler le manque… ».
Des clauses d’insertion dans le cahier des charges des entreprises du BTP verraient aussi le jour : vertueuses, elles faciliteraient l’employabilité de ces jeunes gens sur les chantiers de la ville. Des orientations suffisantes pour épanouir les jeunes de ces quartiers ?
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Mourad YOUBI soutient le tandem vert Loury/Roycourt : sa préférence à lui se nomme Auxerre Ecologie !
juin 24, 2020Obtenant 2,97 % au soir du premier tour du scrutin, la tête de liste « Auxerre, ensemble pour un avenir meilleur » a pris soin de se manifester quelques jours avant le terme définitif de cette échéance municipale qui n’en finit plus. Son soutien au tandem écologiste, Florence LOURY/Denis ROYCOURT, ne sous-entend aucune contrepartie. Si ce n’est de ne pas oublier les quartiers d’Auxerre délaissés depuis trop longtemps selon lui…
AUXERRE : Sa décision était mûre dans sa tête depuis fort longtemps. Un choix sans équivoque possible car il n’y a pas de demande spécifique de sa part. Si ce n’est celui d’améliorer le sort des Auxerroises et des Auxerrois dans leur quotidien. Et à ce jeu-là, pas de doute pour Mourad YOUBI, sa préférence va incontestablement vers le duo Florence LOURY/Denis ROYCOURT, de la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie ».
D’autant que plusieurs propositions complémentaires à celles des deux porte-voix de l’écologie avaient été défendues par le candidat malheureux du premier tour. Développement de l’offre de soins, cohésion sociale, accompagnement éducatif, accès à la culture et aux activités sportives, création et prévention dans les quartiers qui doivent prendre tout leur relief dans le projet municipal : il est vrai que sur le papier de nombreuses convergences existent entre ces deux courants de pensée.
Souhaitant joindre l’utile à l’agréable, Mourad YOUBI s’est donc fendu d’un communiqué de presse suffisamment explicite pour que les doutes soient levés sur ces intentions. Il en appelle à un vote massif pour la liste bicéphale le 28 juin. Rappelons que 237 électeurs lui avaient accordé leurs suffrages.
Conseiller municipal démissionnaire, Mourad YOUBI sait qu’il peut ramener dans son sillage les indécis et les déçus de la sphère politicienne qui croient davantage aux vertus pragmatiques des représentants de la société civile.
S’insurgeant contre les arrangements politiciens qui « mettent à mal la relation de confiance avec les concitoyens », Mourad YOUBI s’engage avec le ticket écologiste pour apporter un avenir meilleur aux habitants de la capitale de l’Yonne.
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Sennevoy-le-Bas fait face à une situation atypique faute d’élus : la préfecture reprend les choses en main…
juin 21, 2020Le contexte n’est pas ordinaire. Elus au soir du premier tour des élections le 15 mars dernier, six des sept conseillers municipaux de cette bourgade aux 62 votants annonçaient leur démission sine die. En cause un nombre de bulletins nuls sujets à interrogation. Le septième candidat, seul à assurer la fonction de maire Gaël RAOUX, décédait de manière soudaine le 02 juin. Plaçant la commune dans une position très inconfortable…
SENNEVOY-LE-BAS : Il y aura un nouveau scrutin pour désigner une équipe municipale dans cette petite commune implantée aux confins du Tonnerrois et de l’Avallonnais. Si la date n’a pas encore été arrêtée par les services de la préfecture, tout porte à croire que ce retour aux urnes se déroulera dès les premières semaines de septembre.
Même si la durée de vie de la délégation spéciale ayant à sa charge la gestion communale ne peut excéder deux mois. On envisage mal en effet que la préfecture autorise un vote au cœur du mois d’août…
D’ici là, la gestion des affaires courantes de la bourgade, forte de sa centaine de citoyens, est confiée à cette délégation adoubée par le corps préfectoral.
Articulée autour de trois personnes, cette micro-entité organisera la future élection devant ensuite porter l’un des élus dans le fauteuil de maire. En parallèle, lors de la période estivale, ses membres seront en droit mais sous certaines conditions très limitatives de procéder au suivi des dossiers en cours. Heureusement pour ces derniers, hormis la continuité du service public, il ne devrait pas y avoir de prérogatives trop importantes à s’occuper d’ici là.
Procédant à l’installation de cette délégation avec le choix de son président et vice-président après un vote en bonne et due forme, la sous-préfète de l’arrondissement d’Avallon, Cécile RACKETTE, rappela en préambule le champ d’action de cette structure spécifique.
Un champ qui se cantonne à peu de choses en vérité puisque la délégation n’est pas en capacité de réaliser un emprunt, ni d’inscrire au budget le lancement de nouveaux travaux et encore moins de siéger au conseil communautaire, en l’occurrence celui de la CC Le Tonnerrois en Bourgogne. D’ailleurs, la désignation immédiate de l’exécutif de l’organe institutionnel devrait en pâtir du fait de ce retard à l’allumage bien malgré lui…
Des bulletins considérés comme nuls à l’origine du conflit
A l’origine de ces démissions successives : le décompte de six bulletins. Ceux-ci avaient été considérés à tort comme nuls par l’ancien maire Jacques GILBERT, crédité de 26 voix contre 32 pour le vainqueur du scrutin Gaël RAOUX. Le dépôt d’un recours s’en suivra.
Le décès du seul élu de façon subite le 02 juin alors qu’il assurait le mandat de maire obligera la préfecture de l’Yonne à annuler le résultat de l’élection aux accents très cornéliens.
L’installation de la délégation spéciale (Jean-Luc CECILE, président, délégué du Défenseur des droits pour l’arrondissement d’Avallon, Denise ORSINI, vice-présidente, ancienne inspectrice divisionnaire des Finances publiques et Gérard GUILLAUDIN, ex-conseiller municipal de STIGNY et retraité de la fonction hospitalière) s’effectue dans un climat quelque peu délétère dans la commune.
Entre deux clans, plutôt opposés visiblement.
« Le consensus s’impose entre toutes les composantes de ce village, a déclaré Jean-Luc CECILE, en prenant conscience de la lourde tâche qui lui était confiée, nous allons à présent contacter les personnes susceptibles d’être candidates à cette prochaine élection ».
Il faudra trouver sept volontaires, voire plus, pour répondre aux exigences de la charge du conseil municipal local. Pas si simple dans un tel paysage placé sous le signe de la discorde…
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Il y a 80 ans l’appel du 18 juin : pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne jamais…
juin 20, 2020Le devoir de mémoire, toujours et encore. Mais il est si important à nos yeux pour ne pas oublier. Oublier celles et ceux qui sont tombés pour la France en défenseurs de nos libertés ; oublier celles et ceux qui ont sacrifié leur existence pour que vivent dans un esprit démocratique les peuples d’aujourd’hui. L’homme de Londres, homme de l’ombre, s’est exposé à la lumière de l’Histoire ce 18 juin 1940. Son appel fut le catalyseur d’un souffle de patriotisme inouï qui changea la face du monde. Et celle de la France…
AUXERRE : « Etre inerte, c’est être battu ». La citation est entrée dans la postérité. Elle fut prononcée par Charles de GAULLE en janvier 1940. Quelques mois plus tard, le général allait s’illustrer par l’élocution de son fameux discours adressé aux Français sur les ondes de la BBC. L’appel du 18 juin 1940 !
Quatre-vingts ans plus tard, la France, l’Europe et le monde entier se sont souvenus de ces quelques minutes d’enregistrement ponctué de grésillements audibles sur le média radiophonique anglais.
Le général français en appelle à toutes les femmes et les hommes de bonne volonté, à toutes les forces armées qu’elles soient terrestres, aériennes et maritimes de prendre les armes contre l’occupant. Un soulèvement qui a pour nom de référence : la Résistance. Contre le diktat de l’hégémonie allemande qui grandit dans toute l’Europe. Contre le joug de ces nazis qui ont vaincu en peu de semaines ce qui était pourtant supposé à l’époque être la première armée au monde. Celle de la France, un pays en plein désarroi qui aura signé par le biais de l’armistice sa capitulation…
De GAULLE aura eu cette intelligence d’esprit, cette force mentale inaliénable de ne jamais baisser les bras face à l’adversité. Pas de servitude envers l’ennemi ! Tout est une question d’honneur et de patriotisme : la France sous son impulsion, née de ce discours homérique, va petit à petit redresser la tête et bouter hors de ses frontières, grâce à l’appui de ses indispensables alliés, les forces de l’obscurantisme et du malheur.
Alors quand la voix de l’ancien chef de l’Etat, père fondateur de la Vème République et figure éternelle de la réussite hexagonale, retentit dans les enceintes de la place auxerroise qui honorait sa mémoire en ce jour de recueillement, un frisson ne pouvait que parcourir le derme de celles et ceux qui assistaient à cette cérémonie. Les autorités officielles comme les anonymes qui, malheureusement peu nombreux, vivaient ces instants dans le souvenir mémoriel. Chacun aura écouté cette allocution solennelle de plusieurs minutes en soupesant chaque mot, en analysant chaque intonation dans le timbre de voix. Celle si caractéristique de l’auguste résidant de Colombey-les-Deux-Eglises.
« Ici Londres, les Français parlent aux Français ! ».
Le gimmick de la BBC ponctua ce discours qui aura profondément modifié le cours de l’histoire. Avant qu’un silence de plomb ne s’abatte sur la place du monument aux morts.
En parfait maître de cérémonie qui excelle dans l’approche de cet exercice, le directeur adjoint du cabinet du maire à la Ville d’Auxerre, Floris JANSSENS prit ensuite la parole pour associer à cet évènement deux autres faits marquants de cette période trouble : le massacre du petit village d’Oradour-sur-Glane, survenu le 10 juin 1944 où 642 victimes furent exécutées par des Allemands aux abois, et le début du Débarquement sur les plages normandes le 06 juin 1944.
S’en suivit une série de trois interventions. Celle dédiée au devoir de mémoire qui fut assurée par l’adjoint au maire et délégué communautaire Jean-Paul SOURY en charge des ressources humaines, du dialogue social, des jumelages et des anciens combattants.
La lecture de l’appel aux forces françaises libres et à la résistance permit à Elie PARATTE, représentant les anciens combattants, d’expliquer la symbolique de la croix de Lorraine.
Quant au préfet de l’Yonne Henri PREVOST, il devait clore ce chapitre oral en lisant le message officiel adressé aux Français par la secrétaire d’Etat au ministre des Armées, Geneviève DARRIEUSSECQ.
Des minutes de recueillement devant le portrait du Général…
Plusieurs dépôts de gerbes concluaient cette cérémonie. Les anciens combattants se recueillirent quelques instants face au portrait du Général de GAULLE ainsi que les représentants de l’association de la Légion d’Honneur de l’Yonne (Baudouin DELFORGE, le président départemental et le président de la section auxerroise, le docteur Serge TCHERAKIAN).
Puis ce fut le tour successivement des élus : le maire d’Auxerre Guy FEREZ, accompagné de son adjoint Jean-Paul SOURY, déposèrent une croix de Lorraine fleurie devant le portrait du Général ; le député de la première circonscription Guillaume LARRIVE s’inclina devant le monument aux morts avant que le représentant du Conseil départemental, en la personne de l’un de ses vice-présidents, Christophe BONNEFOND, ne procède aux mêmes gestes.
Serviteur de l’Etat, Henri PREVOST, vêtu de ses apparats de préfet, exécuta le salut militaire un court instant avant de regagner les rangs des officiels.
Une fois « La Marseillaise » interprétée, les autorités saluèrent les porte-drapeaux sans leur serrer la main pour cause de gestes barrières avant que la cérémonie protocolaire ne s’achève…
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