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La défense de la dignité animale : l’autre combat du Rassemblement national…
septembre 14, 2019Boudée par l’ensemble des médias régionaux, la conférence de presse, concoctée en marge des manifestations populaires contre le fonctionnement de l’élevage canin des Souches, aurait pu tourner court pour le Rassemblement national la semaine dernière. Faute de combattants ou presque ! Malgré la présence d’un trio d’élus, plutôt communicatif, composé de la députée européenne, Aurélia BEIGNEUX, d’un membre du bureau national et adjoint au maire d’Hénin-Beaumont, Christopher SZCZUREK et du président RN au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL. Nonobstant cet état de fait anecdotique, ces trois jeunes loups de la politique hexagonale avaient néanmoins des arguments à faire valoir sur cet épineux sujet de la maltraitance animale. Une thématique qui s’appréhende telle une priorité essentielle pour le mouvement « bleu marine »…
MEZILLES : Visiblement, le Rassemblement national ne fait pas recette lorsque ses représentants organisent un entretien spécifique avec la presse régionale. Surtout si l’objet de cet exercice oratoire participatif fait état de la maltraitance animalière, comme item principal.
Profitant de la grande manifestation unitaire organisée le 07 septembre à MEZILLES contre le fonctionnement de l’élevage canin des Souches, des élus du parti « bleu marine » ont dénoncé à leur manière ce qu’ils considèrent comme une « honte » locale. Dont ils demandent l’arrêt sine die.
D’une part, en se greffant, à cette opération revendicative publique à laquelle participait une forte concentration de de mouvements associatifs défendant les droits et la protection des animaux. Sans y être nécessairement les bienvenus. D’autre part, en capitalisant sur cette vitrine de communication pour y rencontrer les représentants des médias du terroir.
Or, force est de constater que dans un cas comme dans l’autre, l’exercice fut assez complexe pour le Rassemblement national. Hormis votre serviteur numérique, la conférence de presse fit chou blanc sur toute la ligne. Les journalistes répondaient aux abonnés absents. Alors que certains d’entre eux arpentaient les ruelles du village en quête d’informations croustillantes à mettre dans leur escarcelle sur la thématique du jour.
Faisant fi de ces pratiques déontologiques pour le moins surprenantes, les élus du RN décidèrent après de longues minutes de patience de débuter enfin un exercice introspectif qui se mua en un tête-à-tête circonstancié !
« Nous sommes là sans aucun parti pris ni quelconque sectarisme, introduisit le régional de l’étape, le très médiatique porte-voix Julien ODOUL, à propos de la présence du RN sur cette manifestation, il n’y a pas de volonté de récupération de notre part car la cause animalière est l’un de nos sujets de préoccupation depuis fort longtemps… ».
Une proposition de loi pour protéger les animaux domestiques
D’ailleurs, l’élu régional d’affirmer qu’il a à maintes reprises, notamment lors des assemblées plénières du 25 mai 2018 et du 29 mars 2019, fait connaître l’opposition de son groupe à l’élevage d’animaux à des fins expérimentales.
« Nous avons demandé explicitement au préfet de l’Yonne de s’engager en faveur de la fermeture du centre de MEZILLES… ». En vain.
Quant à la volonté des organisateurs de la manifestation de ne pas voir l’ombre d’un membre du RN dans les parages, Christopher SZCZUREK s’est montré très catégorique : « c’est une opération unitaire, nous n’avons pas à nous exclure de tous les clivages…La cause animale mérite la mobilisation de chacun : il était donc évident que nous participerions à la manifestation… ».
Dès 2007, le leader historique du Front national Jean-Marie LE PEN affichait ses convictions en faveur de la cause animale. Ses héritiers, aujourd’hui réunis sous le vocable de Rassemblement national, continuent sur cette lancée. Même si les grands dossiers abordés en règle générale par le parti d’extrême-droite se situent parfois aux antipodes de celui-ci…
« Nous observons la recrudescence des actes de malveillance vis-à-vis des animaux, constate Aurélia BEIGNEUX, nous sommes favorables au principe d’identification devant s’appliquer aux animaux domestiques. Une proposition d’un texte de loi du député RN Bruno BILDE vient d’être déposé afin de mieux encadrer la possession des animaux domestiques et d’éradiquer le plus possible les actes de nuisance envers nos compagnons… ».
Privilégier les procédés de substitutions…
Quant au délicat dossier de la vivisection, les choses apparaissent encore plus évidentes pour les lieutenants de Marine LE PEN.
« En 2014, nous avons soutenu plusieurs initiatives contre cette pratique odieuse d’un autre temps, précise la députée européenne du groupe Identité et Démocratie au Parlement européen, personne ne possède le monopole de la protection animale en France, c’est pourquoi nous prenons à cœur de défendre cette cause oubliée par la gouvernance actuelle… ».
Evoquant leur présence en terre icaunaise, les deux élus d’Hénin-Beaumont s’en expliquent : « Le centre des Souches de MEZILLES est le plus important élevage de chiens destinés aux laboratoires de France avec un effectif de 1 500 beagles et golden retriever dont deux cents chiots. Ces animaux de compagnie, les meilleurs amis de l’homme, sont élevés dans des conditions épouvantables pour la vivisection. C’est-à-dire servir de chair vivante aux expérimentations… ».
Précisons que la capacité du centre et son agrandissement jusqu’à 3 200 têtes ont été validés par un arrêté préfectoral d’octobre 2018, actuellement contesté devant le Tribunal administratif de Dijon.
« Conformément à la législation européenne, enchaîne Julien ODOUL, l’usage des animaux pour l’expérimentation médicale doit se réduire, se raffiner et être remplacée par des méthodes de substitution telles que les simulations par ordinateur, le croisement des résultats d’autres expériences passées, les tests in vitro sur des cellules souches. Il est devenu urgent d’interdire de telles méthodes dans l’ensemble des programmes de recherches financées par l’Etat et les collectivités… ».
Sur un tout autre registre, et dans les villes où leurs élus occupent le poste de maire, le RN a interdit la présence de spectacles de cirque mettant en scène des animaux. Quant aux accords de libre-échange avec le Canada (CETA) ou le continent sud-américain (MERCOSUR), le Rassemblement national les conspue pour les mêmes raisons, servant la cause animale.
« On veut nous faire manger de la viande en provenance du Brésil produite dans des conditions d’élevage calamiteuses. Il nous faut refuser cela à tout prix… ».
Naturellement, l’entretien ne put se conclure sans le couplet sur l’opposition à l’abattage rituel et à la présence du ministre de l’Agriculture, Didier GUILLAUME, à une corrida lors de ses vacances.
Avant de poursuivre sur les activités cynégétiques pratiquées en France : « la chasse est nécessaire à la régulation des populations animales. Il est judicieux de la contrôler pour prévenir des désastres écologiques qui peuvent exister après le passage d’une horde de sangliers dans les cultures. Arrêtons de caricaturer les chasseurs : ce sont les premiers écologistes qui vivent la nature comme des passionnés… ».
Clap de fin ! Et pas un mot de Julien ODOUL sur ces velléités électorales dans sa ville de prédilection : Sens. On devrait y voir plus clair d’ici peu sur ses intentions de chasser ou pas sur les terres de la Républicaine Marie-Louise FORT.
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Julia CAPEL-DUNN s’en va : un vendredi 13 synonyme de chance pour la directrice de cabinet de la préfecture !
septembre 14, 2019Partira ? Ne partira pas ? La réponse à cette interrogation qui taraudait les esprits les plus aiguisés des observateurs du microcosme institutionnel de l’Yonne depuis plusieurs semaines est enfin tombée. Sous la forme d’un bref message émanant du cabinet de la préfecture ce vendredi 13 septembre sous le coup des dix-huit heures. La pièce jointe de cet e-mail contenait en effet le carton d’invitation de la future cérémonie de départ de l’une des pièces maîtresses de l’échiquier préfectoral, sa directrice de cabinet…
AUXERRE : Les rumeurs allaient bon train dès le début de la période estivale. Elles devaient petit à petit se transformer en réelles certitudes au gré des jours qui se sont écoulés depuis. Ce n’était donc plus un secret de Polichinelle pour personne dans le landerneau institutionnel : Julia CAPEL-DUNN, directrice de cabinet de la préfecture de l’Yonne devait quitter tôt ou tard le poste qu’elle occupait avec brillance et professionnalisme depuis le 28 août 2017.
Interrogée à ce propos, et ce pas plus tard que la semaine dernière au détour d’une manifestation qu’elle présidait dans le cadre de la Semaine de la Sécurité concoctée avec le concours de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris-Val-de-Loire, la diplômée de l’Institut régional d’administration (IRA) de Dijon (ville dont elle est originaire) confirma qu’elle attendait de découvrir sa prochaine lettre de mission imputable à sa nouvelle affectation. Bref : ce n’était donc qu’une simple question de jours…
Installée dans sa fonction peu de temps après l’arrivée du préfet Patrice LATRON, Julia CAPEL-DUNN avait remplacé Emmanuelle FRESNAY au poste de directrice de cabinet ; cette dernière étant nommée au ministère de l’Intérieur à Paris.
Précédemment, elle avait exercé des fonctions de sous-préfète dans l’une des villes emblématiques des Ardennes, non loin de la frontière belge, à Sedan. Une agglomération ayant comme point commun avec la capitale de l’Yonne d’avoir eu une équipe de football qui a évolué jadis dans les hautes sphères du championnat de France.
Le départ de la jeune femme correspond à une promotion répondant à ses appétences professionnelles. Aux côtés du préfet Patrice LATRON, Julia CAPEL-DUNN composait un solide binôme à disposition et à l’écoute des concitoyens, des entreprises et des milieux associatifs. Un duo qui ne sera plus opérationnel d’ici quelques jours, et laissera alors la place aux lointains souvenirs. Ainsi va la vie du corps préfectoral…
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ESCALIA déploie ses ailes : l’organisme de conseil et formation ajoute la gestion des paies à son savoir-faire…
septembre 12, 2019A compter du 01er janvier, l’entité offrira une nouvelle mais ô combien importante prestation supplémentaire à sa clientèle. La toujours délicate et complexe gestion des salaires. Une diversification stratégique qui traduit la volonté de déploiement de cette structure opérationnelle depuis novembre 2011 sur le territoire de l’Yonne. Elle supposera la création d’outils de communication…
AUXERRE : On connaissait jusque-là les diverses orientations professionnelles de la société. Depuis sa création, ESCALIA combinait astucieusement conseil en entreprise, b to b, management, organisation et optimisation budgétaire.
Au 01er janvier 2020, il sera de bon ton de rajouter une ligne complémentaire à ce panel déjà très éclectique de services et prestations, destinés à répondre aux besoins de sa clientèle.
Positionnée également en qualité de référent sur l’évaluation interne/externe et la formation au sein des EHPAD et autres établissements médicaux, ESCALIA développera d’ici peu l’activité de la gestion des paies.
Un conglomérat de possibilités supplémentaires qui englobera les démarches de ressources humaines simples et complexes, les procédures administratives dédiées, depuis l’embauche d’un collaborateur jusqu’à son départ de l’entreprise. En sus, la structure icaunaise apportera une cerise sur le gâteau, sous la forme de la gestion des carrières.
L’élargissement de ces appétences figure dans la logique des choses pour la directrice de la société, Sonia MOUFFOK. ESCALIA souhaite ainsi englober toutes les facettes de ce vaste kaléidoscope que représentent les métiers de la filière des R.H. De fait, la gestion de la paie s’inscrit parmi les évidences les plus naturelles qu’il soit.
« Nous voulons être un auxiliaire à l’aide décisionnelle aux entreprises, commente Sonia MOUFFOK, tout secteur confondu. L’objectif serait de débuter la prochaine année avec un portefeuille assez conséquent. Nous sommes capables de faire le pont entre l’analyse du risque entreprise et l’apport d’éléments indispensables à l’optimisation de la gestion interne… ».
Une première présence aux RIDY, assortie d’une campagne de communication…
Locataire d’un siège social au cœur du centre-ville, ESCALIA a eu recours à deux inconditionnels de la communication auxerroise pour moderniser le site multimédia et maîtriser sa future campagne publicitaire.
PROXILOG s’est penché sur la création d’un site évolutif dont la fonctionnalité sera opérante avant la fin septembre.
« Ce site contiendra un vrai contenu informatif transcris sous la forme d’un blog à terme, précise Sonia MOUFFOK, y seront édités des articles de fonds sur les ressources humaines et les éléments clés que doivent savoir les chefs d’entreprise, bref que de l’utile en vérité… ».
De son côté, l’agence BEES COM a peaufiné le plan média qui découlera de différentes actions de marketing qui seront à déployer afin d’élargir le champ des possibles de l’entreprise de service en matière de visibilité.
En outre, ESCALIA a fait le choix de participer cette année, et ce pour la première fois, aux Rencontres régionales de l’Industrie (RIDY), portées par la Chambre de Commerce le 03 octobre à Auxerre.
L’absorption de cette charge de travail supplémentaire se concrétiserait peut-être par l’embauche d’une personne en contrat à durée déterminée au cours du premier semestre 2020. Une première expérience dans l’entreprise avant de transformer l’essai ?
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Education : une note de 20/20 pour le Conseil départemental qui réussit sa conférence de rentrée…
septembre 07, 2019Une petite phrase résume à elle seule l’état des lieux de la rentrée scolaire 2019 vécue dans l’enseignement secondaire de notre territoire. « La rentrée se passe bien… ». Prononcée au terme du copieux et long exposé fourni par le président du Département, Patrick GENDRAUD, elle renseigne sur la physionomie exacte de cette reprise d’activité pour les 14 150 collégiens qui fréquentent les trente établissements publics de l’Yonne.
COURSON-LES-CARRIERES : L’exercice se veut traditionnel. Il nous revient chaque année comme tombent avec la régularité d’un métronome les feuilles mortes aux premiers jours de septembre.
L’exécutif départemental aime tâter le pouls du terrain. Et tirer ainsi les premiers enseignements de la rentrée scolaire. Ponctuant celle-ci de visites ciblées aux établissements pédagogiques qui sont déjà fins prêts dans les starting-blocks.
2019 n’aura donc pas dérogé à la règle. Permettant à l’agenda déjà bien rempli du président Patrick GENDRAUD de se garnir davantage au fil des jours. Avec une étape initiale qui fut organisée à une trentaine de kilomètres à l’ouest d’Auxerre, en Puisaye-Forterre, propice à la tenue d’une conférence de presse révélatrice de la situation.
Observation faisant office de préambule, le nombre des collégiens a connu une sensible érosion entre les deux exercices les plus comparables, celui de 2018 et l’actuel. Soit une baisse de 97 élèves sur l’ensemble des collèges publics icaunais. Rien que sur l’Auxerrois, cela représente une cinquantaine d’élèves en moins. Toutefois, cet état de fait n’érode pas la capacité d’accueil globale offert par les quatre établissements fonctionnels dans la capitale de l’Yonne avec 700 places supplémentaires.
Le numérique : une place prépondérante dans le secondaire…
Aux côtés de l’inspectrice d’Académie, Annie PARTOUCHE, Patrick GENDRAUD évoqua ensuite les aspects financiers. Rappelant que 30 millions d’euros étaient consacrés à l’amélioration de la vie scolaire des collégiens de notre département. Dont vingt millions pour le poste « fonctionnement ». Une somme qui se répartit entre les huit millions d’euros destinés au fonctionnement à proprement parlé de l’institution collégiale et douze millions servant à alimenter la masse salariale des 315 professionnels (des agents départementaux) exerçant leur savoir-faire sur les trente sites répertoriés.
Dix millions d’euros constituent l’enveloppe nécessaire aux travaux de réhabilitation et d’équipements. En synthèse, un collégien icaunais suivant sa scolarité dans le public coûte annuellement en moyenne 1 857 euros.
Le volet numérique rappela à l’assistance (un aéropage de personnalités institutionnelles et politiques ayant suivi le chef de file de l’Yonne dans ses pérégrinations dont la sénatrice Dominique VERIEN et le président de la Communauté de Puisaye Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI) le poids de cet auxiliaire pédagogique très précieux dans l’Yonne.
« Tous les collèges bénéficient d’un équipement approprié, ajouta le président avant d’énumérer la liste des dotations. Ce sont 3 520 ordinateurs mis à la disposition des collégiens, 1 500 tablettes numériques, 86 vidéo projecteurs interactifs, 770 appareils du même acabit mais plus simples et une imprimante 3 D par établissement… ».
Un échantillonnage exhaustif de ce que l’institution départementale décline pour démocratiser l’usage du multimédia auprès des plus jeunes de ses concitoyens.
Autres chiffres à retenir dans ce catalogue très précis des dépenses octroyées par le Département à l’enseignement : ceux relatifs à la restauration scolaire. L’Yonne compte dans ces collèges publics 10 162 demi-pensionnaires. Vingt-neuf restaurants scolaires gérés par le Département, tous en production directe, sont opérationnels.
« Ce qui représente au bas mot, précisa l’ancien élu de Chablis, 1,6 million de repas confectionnés par an ! ».
La solidarité demeure prioritaire aux yeux du président…
Sachant que le prix du repas au ticket revient à 3,70 euros pour les familles, le coût réel s’élevant, lui, à 8,50 euros à la charge du Conseil départemental.
Le volet « social » mit l’accent sur l’octroi des bourses. Plus de deux milles élèves (2 121 avec exactitude) les perçoivent. Globalement, cela représente un montant total de 225 666 euros.
Très attaché à l’amélioration des conditions d’existence des personnes à mobilité réduite, Patrick GENDRAUD n’oublia pas de mentionner qu’une centaine de collégiens vivaient cette situation sur le territoire. Ils sont pris en charge pour le transport scolaire par l’institution.
Précisons que plus de 500 élèves sont accompagnés dans le premier et le second degré dans l’Yonne.
Nous aborderons dans un prochain article un aspect complémentaire à l’intervention du Conseil départemental de l’Yonne. Il est avant tout un constructeur aménageur des collèges et équipements qui leur sont liés. Notamment les gymnases. A ce titre, les projets de rénovation ne manquent pas pour cette nouvelle saison qui débute déjà sur les chapeaux de roue pour l’exécutif…
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Sébastien FUENTES : « L’application d’une politique tarifaire douce paie à la foire d’Auxerre… »
septembre 07, 2019L’accessibilité de la Foire d’Auxerre au plus grand nombre de commerces indépendants constitue l’une des priorités essentielles des organisateurs de la nouvelle édition qui débute le 11 septembre. Pour se faire : une seule recette s’applique. Un prix d’appel relativement bas pour inciter les plus petits des exposants à participer à la manifestation. Une stratégie qui s’avère payante au plan quantitatif ?
AUXERRE : Bénéficiant d’un taux de renouvellement qui dépasse les 90 %, la Foire d’Auxerre ne connaît pas de disette au niveau de ses exposants pour remplir les travées du parc AUXERREXPO.
Mieux : un vrai tour de force a été réalisé avec cette 89ème édition qui se profile. Les organisateurs de Centre France Evènements ont enregistré une hausse significative du nombre des professionnels inscrits !
Comme le confirme le directeur-adjoint de la structure porteuse du concept, Sébastien FUENTES, « une vingtaine d’artisans et de commerces supplémentaires accueilleront les visiteurs en quête de bonnes affaires cette année. Ils étaient près de 130 participants lors de la précédente édition. Cette fois-ci, la foire franchit un nouveau cap en termes de fréquentation, au-delà des cent cinquante exposants… ».
L’explication de cet engouement inattendu tient en quelques mots : la politique tarifaire exercée par le donneur d’ordre.
« Les prix d’appel que nous proposons sont très bas pour ce type de manifestation populaire, commente Sébastien FUENTES, avec un budget compris entre 300 et 400 euros, un professionnel peut être accueilli sans problème sur notre évènementiel et être pourvu d’un emplacement…».
Un budget de fonctionnement en progression de 15 %...
Une opportunité dont auraient pu profiter davantage d’autoentrepreneurs de l’Yonne à ce tarif-là. Or, curieusement, leur nombre représente la portion congrue des exposants sur cet évènement qui fleure bon le retour de l’automne. Pourquoi n’ont-ils pas su saisir la balle au bond ?
« C’est simple, estime Sébastien FUENTES, les artisans et commerçants à la tête de micro structure ne travaillent pas de la même manière que les professionnels plus aguerris. Venir sur un lieu public comme une foire suppose une autre approche relationnelle à la clientèle. Il ne faut pas hésiter à aller de l’avant en l’alpaguant afin de lui proposer ses services ou ses produits… ».
Etre à l’aise face à un prospect reste, on le sait, une saine vertu dans l’approche commerciale de notre société consumériste. Une manière de faire que l’on acquiert au fil du temps et de l’expérience…
Un mot, en dernier lieu, sur le budget consacré à l’animation commerciale. Sans qu’il soit déflorer au chiffre près : il est en progrès de + 15 % cette année par rapport à celui de 2018.
Deux postes ont requis un plus gros effort financier : la sécurité (celle-ci doit être optimale pour les organisateurs) et la part dédiée aux animations culturelles et de loisirs, en vue de satisfaire tous les publics. Vu le copieux programme de réjouissances, les suiveurs de la foire 2019 ne devraient pas être déçus !
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