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La seconde phase des travaux respecte les délais : la déviation sud de Sens sera accessible fin 2022
septembre 11, 2020Construite dans le prolongement de la section Sens-Est-Maillot et de la rocade Nord-Ouest, la déviation sud de Sens poursuit sa phase deux sans encombre depuis la reprise du chantier le 15 avril. Cette voie de 14 kilomètres permettra d’assurer la liaison de la RD 660 entre les giratoires de Gron et en sortie de l’A19. Elle sera mise en service en 2022…
SENS : Plus trente ans plus tard, le projet poursuit sa route. Le projet de déviation de la RD 660, initié à la fin des années 80, avait pour objectif de soulager le centre-ville de Sens et de réduire le bruit à l’intérieur de la ville et dans les traversées des bourgs de Paron et de Subligny.
Une entreprise de longue haleine dont une bonne partie a été dédiée aux négociations avec les propriétaires pour l’acquisition des terrains ainsi qu’au réaménagement des parcelles.
« Je suis arrivé à Gron en 2000. Le maire adjoint de l’époque M. GUIBELIN m’avait dit : d’ici 2005, on aura la déviation. Elle a vingt ans de retard, mais elle va bien arriver » plaisante Gauthier PAJONA, adjoint à la mairie de Gron en charge des travaux, de l’urbanisme et de la voirie.
Cette rocade fut déclarée d’utilité publique le 18 septembre 1996 et la construction de la première section reliant la RD 606 à la RD 72 à Gron, alors pris en charge par l’Etat, s’est achevée en 2002. Mais en 2006, la RN 60 est déclassée par décret du 05 décembre 2005. Cela entraîne un transfert de la maîtrise d’ouvrage et du financement des travaux au département de l’Yonne. Ce que déplore Patrick GENDRAUD, président du Conseil Départemental, vue l’ampleur de l’ouvrage.
L’un des projets les plus lourds supportés par le département
Hormis les procédures foncières et le temps alloué aux sondages archéologiques, le montant des travaux pris en charge par le département en raison du désengagement de l’Etat a été particulièrement contraignant. Mais ces travaux, qui doivent relier la RD 660 et la sortie de l'A19, devenaient une nécessité.
« Quand on a été conduit à prévoir les investissements routiers, j’ai tout de suite pensé à la déviation de Sens pour diverses raisons » explique Patrick GENDRAUD. Des ouvrages d’art construits en amont, dont le pont de Collemiers, qui se dégradent, une bande de roulement inutile, « c’était un peu ce que j’appelle du gâchis » estime le président qui souhaitait « une utilisation plus rationnelle des deniers publics ». Il s’agissait tout bonnement de terminer la déviation.
D’un montant total de 30 millions d’euros, dont plus de 11 767 067 euros dédiés à la phase II, la construction de la déviation sud est un chantier de très grande envergure à l’échelle locale et même nationale.
« Le chantier global représente plus qu’une année de budget » précise Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil Départemental de l'Yonne (9 millions en 2019 et 26 millions en 2020).
Le Département a financé ce chantier pour un montant de 16,5 millions d’euros. La Région Bourgogne-Franche-Comté et le Grand Sénonais ont contribué financièrement à sa réalisation à hauteur de 22,5 % chacun.
Une seconde phase dans les délais
Lancée au début de l’année 2020, la seconde phase de construction de la déviation sud trouve son rythme de croisière en dépit de la période de confinement pendant l’épidémie de SRAS CoV-2.
« On a avancé dans le rythme prévu initialement, on est même allé un peu plus vite grâce à l’entreprise et aux partenaires mais aussi grâce à l’implication des maires » affirme Vincent JUNG, directeur de l’ingénierie routière au Conseil départemental.
Les travaux sur cette portion de 7,2 kilomètres, menés par l’entreprise EUROVIA, ont démarré par le terrassement. Aujourd’hui, la société assure la création de 14 kilomètres de tranchées drainantes larges de 50 cm. Le planning prévoit également l’exécution de la couche de forme traitée dès le 15 septembre. La couche de grave bitume (couche de structure) sera posée dans la foulée. Puis, la réalisation de l’ouvrage d’art n°6, un pont qui permettra le franchissement de la RD 660 par le rétablissement du chemin d'exploitation, débutera en novembre et durera environ six mois.
Les travaux se poursuivront en 2021 toujours dans le respect de l’environnement. Vincent JUNG a précisé que l’extraction de plusieurs dizaines de milliers de tonnes avait été évitée par respect pour l’environnement. L’excédent de matériaux est un maximum réutilisé sur place ainsi que sur d’autres projets locaux. Une nouvelle couche de roulement, les marquages, la signalisation et la pose d’autres équipements, la rocade sera finalisée en fonction des conditions météorologiques. Le giratoire de Gron sera également refait.
Floriane BOIVIN
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La Maison de l’Entreprise renoue avec les évènements économiques : the show must go on !
septembre 10, 2020En accueillant le premier colloque d’envergure consacré à la mobilité électrique, la Maison de l’Entreprise a entamé la nouvelle saison sous de très bons auspices. D’une part, le public, composé d’industriels et décideurs, a répondu favorablement à cette invitation (180 inscrits). D’autre part, le plateau d’intervenants était de tout premier choix autour d’une thématique capitale de l’avenir automobile…
AUXERRE : Initialement prévue au mois d’avril, la manifestation dût être reportée en dernière minute aux calendes grecques pour cause de coronavirus. Au grand dam du trio d’organisateurs, les chevilles ouvrières de ce concept : Florence POULAIN, Jean-Marc DENIS et Claude VAUCOULOUX.
La mort dans l’âme, l’ossature directionnelle de la Maison de l’Entreprise avait dû ronger son frein en annulant sine die l’événementiel, espérant un horizon meilleur et dégagé de toutes ses aspérités sanitaires pour remettre l’ouvrage sur la table.
Cela fut chose faite ce jeudi 10 septembre dès 8h30 sur le site auxerrois. Où il régnait une certaine fébrilité quelques minutes avant d’officialiser ce rendez-vous d’importance sur le parvis.
Réfléchir ensemble à la transition de la mobilité…
Signe de réussite : l’animation aura été très mobilisatrice auprès des chefs d’entreprise qui s’inscrivaient en nombre pour suivre son déroulé.
Il est vrai que le sujet concernait réellement celles et ceux qui entreprennent. La place de la mobilité professionnelle n’étant pas une mince affaire à gérer dans les entreprises. Sans omettre les flux financiers qu’elle peut engendrer dans la constitution d’une flotte à titre d’exemple.
Alors, forcément réfléchir de manière participative et collective aux rêves et aux réalités offerts par ces automobiles d’aujourd’hui et de demain (électrique, hybride, hydrogène…) ne pouvait que faire mouche auprès de ce public très ciblé : les entrepreneurs.
Micro en main, le délégué général de l’UIMM/MEDEF de l’Yonne Claude VAUCOULOUX pouvait lâcher les chevaux à bride abattue avec la verve habituelle qu’on lui connaît en ouvrant de manière officielle ce colloque. Un rendez-vous auquel prenait part en qualité d’observateur le président de l’Agglomération et maire d’Auxerre Crescent MARAULT, sensibilisé par ces items.
Après métro/boulot/dodo, place à écolo/bobo/vélo ?
Pléthore d’interrogations étayaient les propos introductifs du délégué général de la Maison de l’Entreprise. Comment les sociétés feront-elles face à ces enjeux inéluctables que représente la transition énergétique ?
Les solutions sans carbone préconisées avec l’usage de l’électrique, de l’hybride et de l’hydrogène n’apparaissent-elles pas déjà trop obsolètes ? Voire « ringardes » comme le soulignera avec un zeste d’humour Claude VAUCOULOUX en faisant référence à une possible téléportation et ses risques éventuels en mentionnant le film « La Mouche » !
Lui succédant sur la scène de l’amphithéâtre, Jean-Marc DENIS insista sur les raisons de ce colloque de rentrée. Une réunion qui raviva les souvenirs d’autrefois (ce n’est pas si loin que cela !) où les animations à l’air libre et sans à avoir à supporter les contraintes des masques protecteurs égayaient les calendriers évènementiels de notre territoire. Avec accolades et embrassades de surcroît !
Néanmoins, le désir de valoriser le territoire mais aussi une filière automobile en plein tsunami post-COVID (référence à la sous-traitance) supposait une réaction visible et palpable de la part des trois organismes ayant décidé de porter ce projet : l’UIMM, le MEDEF et le groupement aéronautique GISAéro.
Avoir maintenu la manifestation et la proposer après moult atermoiements en cette période de rentrée est déjà une réussite en soi…
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La Banque Populaire BFC proroge sa convention avec BSB Dijon : un partenariat au bénéfice des étudiants !
septembre 09, 2020Et trois années supplémentaires à la clé ! C’est la durée de renouvellement de cette convention paraphée par l’établissement bancaire régional et la Burgundy School of Business (BSB). Un partenariat fécond à bien des égards entre ces deux entités. Il permet d’accompagner les jeunes gens dans leurs parcours pédagogiques supérieurs par le prisme de l’alternance en les immergeant dans les rouages de l’entreprise…
QUETIGNY (Côte d’Or) : De larges sourires étaient affichés par les deux signataires de cette convention lors de la prise de vue qui a immortalisé le prolongement de ce partenariat entre la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté-Pays de l’Ain et la BSB !
Des sourires qui n’avaient rien de circonstanciel tant la réussite de cet accord se révèle probante depuis ses origines. Entre les deux structures, c’est une histoire sérieuse qui vire désormais au durable.
A l’instar des nombreux partenariats qui ont déjà été initiés par la banque mutualiste auprès des écoles de son territoire pour nouer de nouvelles collaborations. On pense en particulier aux accords signés avec l’IFAG à Auxerre, l’ESEM de Besançon, voire des établissements implantés dans la Nièvre.
Dans le cas présent, ce partenariat reconduit avec la BSB Dijon évoque une longue antériorité de confiance et de réciprocité. Un vrai « mariage » dédié à la cause estudiantine ayant débuté il y a déjà une décennie. Grâce à une chaire de microfinances, un item de pointe qui avait placé sur la même orbite les deux futurs partenaires à l’époque.
De ces relations fructueuses naîtra une étroite osmose entre ces deux structures qui privilégient le marché de l’emploi et de l’alternance. Profitant de l’ouverture de la gouvernance de l’école à d’autres acteurs hors de son sérail, Bruno DUCHESNE, directeur général de la Banque Populaire BFC Pays de l’Ain a eu l’opportunité de pouvoir y siéger en qualité d’administrateur.
Renforcer sa marque employeur auprès des étudiants : le challenge de la banque
Autant dire que son soutien à ce partenaire majeur de l’éducation et de la vie étudiante régionale (BSB dispose également d’une antenne pédagogique à Lyon) lui est acquis.
Considéré comme un acteur historique de la BSB, l’établissement bancaire régional gagne ainsi en visibilité pour placer sous la lumière ses nombreuses offres d’alternance (une cinquantaine pour cette rentrée 2020) et d’emplois qui sont proposées au terme de cette expérience dans le milieu de la finance. Sans omettre ses prêts étudiants, il va de soi !
Outre cette première intégration dans la vie active par le biais des études, les jeunes apprenants de niveau Bac + 3 et Bac + 5 bénéficient d’une sérieuse formation pratico-pratique qui vaut toutes les études de cas réalisées parmi les salles obscures de l’enseignement. Une réalité professionnelle « augmentée » au contact de l’ingénierie financière, des services commerciaux, des ressources humaines, de la communication, de l’audit !
Le Graal se révèle dans toute sa splendeur peu de temps après pour les étudiants. Avec la transformation de ces stages immersifs de six mois en emploi qui devienne pérenne dans la plupart des cas.
Ainsi, sur la cinquantaine d’alternants accueillis sur les pôles bancaires de Chalon-sur-Saône et de Besançon la saison écoulée, une vingtaine d’entre eux ont pu trouver chaussure à leurs pieds en venant gonfler les effectifs de l’un des plus gros employeurs du territoire avec près de deux mille collaborateurs.
Leur profil : ils sont chargés d’affaires, conseillés en patrimoine, intervenants sur les marchés.
Il n’est donc pas étonnant que 96 % des étudiants qui fréquentent les cours de la BSB trouvent un emploi dans les six mois après l’obtention de leurs diplômes !
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En attendant le World Clean Up Day, la fameuse opération de ramassage des déchets qui se déclinera le 19 septembre prochain, les membres auxerrois de la Jeune Chambre Economique ont pu enfin tenir une assemblée générale en présentiel. Une opportunité pour étoffer leur effectif…
AUXERRE : Elle se nomme Laurianne BELLIER. Dynamique dans la vie professionnelle comme dans la sphère associative, la jeune femme s’est vue remettre de manière officielle son insigne de nouvelle adhérente à part entière de la Jeune Chambre Economique. Elle qui avait rejoint le club auxerrois par le biais d’une visioconférence durant la période de confinement a pu enfin assister à une réunion en présentiel ! L’occasion était trop belle pour le président de l’antenne auxerroise Clément BAILLY de lui épingler son insigne au revers de sa veste ! Le club prévoit par ailleurs d’introniser deux autres personnes dans les semaines à venir.
Seule contrainte pour la nouvelle impétrante : le port du masque ! Conformément aux dispositifs sanitaires en vigueur, le récipiendaire n’a pu se soustraire à cette mesure peu engageante il est vrai au niveau de la convivialité.
Qu’elle se rassure, les autres adhérents de la JCE n’eurent guère d’autres alternatives que de supporter le masque protecteur durant cette assemblée générale accueillie dans l’un des salons de l’hôtel Le Maxime.
Une réunion qui permit surtout de faire le point sur l’actualité du mouvement et d’évoquer la future journée de ramassage des déchets proposée dans le cadre de l’action internationale World Clean Up Day, le 19 septembre.
Opportunité aussi de savourer les délicieuses confiseries de Bille de Sucre et de Sophie BILLON qui aime régaler de ses créations ses amis de la JCE !
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Les travaux publics optent pour la relance verte : construire différemment les infrastructures de demain…
septembre 05, 2020L’enjeu est de taille pour ce segment essentiel de l’activité économique de notre pays. En adoptant un plan de sortie de crise, assorti à une feuille de route qui vise la transformation écologique optimale, les professionnels de la filière entendent bien occuper les rôles de choix en matière de relance verte. Une stratégie dont a fait sienne le président régional de la FRTP Bourgogne Franche-Comté Vincent MARTIN…
DIJON (Côte d’Or) : Se réinventer, sans cesse. Prendre conscience des enjeux sociétaux, propres à la protection de la nature et à la sauvegarde de l’environnement, et s’adapter coûte que coûte à ces évolutions.
Désormais, ces items majeurs de notre existence intègrent les lignes stratégiques d’une puissante corporation professionnelle, celle des travaux publics. Une filière de poids en Bourgogne Franche-Comté qui possède de multiples atouts avec ses 1 100 entreprises générant onze mille emplois et près de 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires (1,8 précisément).
La FRTP vient de donner le cap à suivre pour les années à venir. Un horizon précis lui permettant de tenir une place prépondérante en sa qualité d’actrice de la relance verte.
Profitant d’un récent exercice oratoire face à la presse régionale, le président de la fédération des travaux public Vincent MARTIN a détaillé les deux étapes d’un plan de sortie de crise et de relance ô combien nécessaire pour remettre les entreprises du secteur sur de bons rails. D’autant que la longue crise sanitaire a laissé des traces parmi les trésoreries de certaines entreprises.
La double orientation de ce plan jouera à la fois sur le court terme (une action d’urgence biannuelle se déclinant entre 2020 et 2021) afin de booster très rapidement l’économie en créant de la valeur et des emplois ; et sur une échéance plus ou moins longue sur la décennie quant à la transformation en profondeur des états d’esprit menant vers une économie sans carbone.
Quatre milliards d’euros consacrés au plan d’urgence…
Côté financements, les petits plats seront mis dans les grands. La déclinaison de ce plan d’urgence a pour vocation d’accélérer les investissements en faisant évoluer les dispositifs en place. Il nécessite une enveloppe conséquente de quatre milliards d’euros. Une paille !
Un premier milliard émanera de l’Agence de Financement des Infrastructures (AFITF). L’affectation en sera l’entretien des réseaux et le développement de nouvelles mobilités.
A titre d’exemples, on peut citer la mise en 2X2 voies de la RN 109 aux abords de Montpellier ou de la fameuse RCEA, cette Route Centre Europe Atlantique qui traverse dans sa partie médiane la Saône-et-Loire. Elle reste de sinistre mémoire pour beaucoup d’automobilistes, figurant parmi les voies de circulation où le taux d’accidentologie est le plus élevé de France.
Sur le registre ferroviaire, il est question également de moderniser la ligne reliant Epinal à Lure ou de favoriser l’interconnexion entre TER et TGV à Montchanin (Saône-et-Loire).
Un autre milliard (1,3 pour être précis) soutiendra l’investissement public local et permettra ainsi aux collectivités territoriales d’être le moteur de la relance économique par le lancement de nouveaux appels d’offre. Le levier du FCTVA (Fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée) serait boosté afin de l’obtenir.
Le troisième milliard issu des dotations de la DETR (Dotations d’Equipement des Territoires Ruraux) et des DSIL (Dotations de Soutien à l’Investissement Local) sera destiné à la modernisation des réseaux.
Grâce aux Agences de l’Eau, la FRTP obtiendrait un demi-milliard d’euros pour moderniser et entretenir les réseaux d’eau. Enfin, un reliquat de 0,2 milliard facilitera l’accélération au Très Haut Débit afin d’en accroître les usages pratiques (télétravail, télémédecine, e-commerce…) à l’aide du plan France TDH.
Dix ans et dix milliards d’euros pour raisonner écologie…
Le second volet primordial de ce plan de relance s’appuie sur la transition écologique. Une priorité majeure pour la FRTP. Dix milliards d’euros par an sur dix ans seront ainsi débloqués pour tenir la feuille de route explicitée par Vincent MARTIN. Celle-ci s’articule autour de cinq propositions.
La première concerne le développement des infrastructures qui favorisent les mobilités sans carbone. On pense aux pistes cyclables et à la construction de « véloroutes ». Mais, l’essor progressif des bornes de recharge électrique et l’édification de stations hydrogène intègrent en parallèle cette déclinaison stratégique.
Second aspect : les énergies et réseaux de chaleur renouvelables. Ce sera le cas en Côte d’Or où Dijon Métropole prévoit la conception d’un futur centre de production d’hydrogène.
Troisième point : la préservation des ressources. La FRTP déploie ses entreprises sur des chantiers qui facilitent les interconnexions des réseaux, le stockage et le réemploi des eaux non conventionnelles (eaux usées, eaux de pluie…). Sans omettre la méthanisation des boues d’épuration.
Le quatrième alinéa concerne l’accélération des grands projets consacrés à la transition écologique. A l’instar de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) entre Rhin et Rhône.
Reste enfin l’ultime élément de ce plan à cinq entrées : l’accompagnement des territoires au changement climatique. La fédération apporte sa pierre à ce vaste édifice sociétal et environnemental en préservant la biodiversité (restauration des écosystèmes) ou en aménageant des espaces verts et de bien-être au cœur des villes.
Précisons, pour conclure, par une excellente nouvelle. La FRTP BFC envisage via ses entreprises adhérentes la création de deux mille emplois ne pouvant être délocalisés au cours de ces deux prochaines années. Toutefois, un léger bémol est à prendre en compte : il faudra que la commande publique, nerf de la guerre inéluctable pour bon nombre de sociétés, soit favorable aux PME régionales !
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