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Acteur culturel sur le Grand Sénonais : le conservatoire envisage d’élargir son enseignement artistique
septembre 15, 2020La crise sanitaire n’a pas entaché le dynamisme du conservatoire du Grand Sénonais dont la rentrée s’annonce sous les meilleurs auspices. L’établissement intercommunal ouvrait ses portes en grand au public ce mercredi 09 septembre. Permettant un échange convivial avec les enseignants, loin des démarches administratives dédiées à l’inscription ou la réinscription.
SENS: La notion de « journée portes ouvertes » est à exclure, comme le souligne Marc JAMOND, le directeur du conservatoire depuis juillet 2018. « Ce n’est pas à ce point une politique volontariste et de recrutement de nouveaux élèves ». Le but était de faire découvrir l’école et ses multiples disciplines mais, avant tout, de renseigner et d’échanger avec les visiteurs, y compris avec les élèves déjà inscrits.
Une rentrée artistique renforcée par un protocole sanitaire
Le conservatoire vient de recevoir les prérogatives sanitaires de l’Etat, très similaires à celles du milieu scolaire. Port du masque obligatoire pour les enseignants, interdiction d’entrer dans l’enceinte des équipements pour les parents, sauf pour les plus jeunes, jusqu’à sept ans, qui peuvent être accompagnés jusqu’à la salle de cours. Des mesures qui seront appliquées jusqu’à nouvel ordre.
Cette journée a permis de rassurer les gens sur les conditions d’accès au conservatoire dans ce contexte particulier.
Un conservatoire qui a le vent en poupe
L’école artistique du Grand Sénonais, officiellement reconnue comme « conservatoire à rayonnement intercommunal » depuis juillet dernier, accueille aujourd’hui environ 650 élèves sur les trois sites (Sens, Paron et Villeneuve-sur-Yonne). Soit 300 élèves en musique, 300 élèves en danse et à peu près 50 élèves en théâtre. Un effectif quasiment au complet hormis quelques places restantes pour des cours de musique. Ce conservatoire n’avait donc pas particulièrement besoin de publicité.
En revanche, il subsistait une nécessité d’en améliorer l’image, surtout depuis cette fusion des différentes écoles de l’agglomération en une seule entité. « Aujourd’hui, ce qu’on essaie de faire, c’est de regrouper les forces en présence, de tendre vers une unité » comme l’explique Marc JAMOND. Selon lui, l’étape la plus difficile a sans doute été de « modifier sensiblement, et très humblement, la représentation que les gens avaient d’un lieu d’enseignement artistique », « de faire admettre l’enjeu de l’intercommunalité ».
Le directeur estime que l’objectif est atteint au terme, tout de même, d’une période d’adaptation.
Le label « conservatoire » ne rend pas pour autant l’école plus élitiste
L’obtention de cette dénomination est le fruit d’un travail mené depuis environ deux ans. L’une des conditions à remplir était une pleine collaboration avec les établissements scolaires. Un projet qui se concrétise par un enseignement artistique toute l’année et pendant le temps scolaire, confié à des professeurs diplômés en musique, en danse ou en art dramatique.
Aujourd’hui, dix-neuf classes du cycle 3 (CM1, CM2 et 6e) du Grand Sénonais bénéficient de ce dispositif.
Un effort nécessaire mais qui s’inscrit dans le projet plus global d’un élargissement de l’enseignement artistique. Marc JAMOND et les élus impliqués dans cette tâche, notamment Simone MANGEON, vice-président de la CAGS chargée des infrastructures et politiques intercommunales culturelles, sportives et de loisirs, prônent un partage des valeurs et de la richesse artistiques du conservatoire au-delà de ses murs ainsi qu’un rapprochement de la jeunesse.
Même la culture urbaine se trouve désormais dans le viseur de l’établissement. Street art, hip-hop, deejing, des disciplines d’ordinaire en marge des offres des écoles d’art, plus dans la lignée d’une culture populaire, vont pouvoir s’exprimer pleinement au sein de cet univers plus classique.
« J’ai vraiment envie d’engager un travail avec ces artistes qui sont moins institutionnels mais dont on a beaucoup à apprendre » confie le directeur désireux de moderniser la structure. « C’est vraiment jouer notre rôle d’acteur culturel sur l’ensemble du territoire ».
Floriane BOIVIN
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Pas d’autre alternative pour Mani CAMBEFORT (PS) : seule l’union des forces de gauche trouve grâce à ses yeux…
septembre 14, 2020L’heure du bilan a sonné. C’est un retour logique à la vie publique en cette période de rentrée. Riche en échéances électorales avec les sénatoriales qui pointent déjà le bout de leur nez fin septembre, le 27. L’occasion était trop belle pour vouloir s’exprimer. Le premier secrétaire fédéral du Parti Socialiste de l’Yonne, prolixe en la matière, est en ce sens un orateur volubile. Il manie le verbe avec aisance et sans langue de bois pour mieux affirmer ses prétentions…
AUXERRE: Certes, ce n’est pas la question existentielle de la rentrée ! Et pourtant, elle mérite que l’on y accorde un intérêt très particulier, compte tenu de l’urgence du calendrier. Alors que se profilent dans le viseur les premiers rendez-vous électoraux de la saison avec les sénatoriales. Elles seront suivies en mars 2021 par les départementales et régionales, couplées sur la même journée de scrutin.
Où en est réellement le PS en ce mois de septembre déjà crucial pour certains états-majors de notre territoire qui fourbissent leurs armes et multiplient leurs stratégies politiques ?
Une interrogation louable après la victoire de la droite aux municipales qui supposait à l’évidence des réponses claires de la part des intéressés. Jamais avare en commentaires analytiques, Mani CAMBEFORT s’est donc prêté au jeu de la conférence de presse, pour faire connaître sa position.
Le premier secrétaire fédéral de la formation à la rose profita de la phase introductive pour rappeler que le PS demeure la première force de gauche nationale. Même si la présence écologiste est indéniable. « Il y a une réelle poussée, constate-t-il, toutefois, il ne faut pas la surestimer… ». De là à parler d’une véritable vague, il ne faudrait pas exagérer !
Dans l’Hexagone, le parti d’Olivier FAURE à l’instar de l’ensemble de la gauche conserve de la prestance et surtout de la présence avec 42 villes de plus de cent mille habitants dans leur escarcelle. Un résultat confirmé pour les villes de trente mille habitants où le PS et ses alliés ont renoué avec le succès.
Dans l’Yonne, le PS a su maintenir ses positions en plaçant l’un de ses jokers emblématiques dès le premier tour du scrutin sur un piédestal à Joigny, le conseiller départemental et président de la CC Nicolas SORET. Plusieurs communes rurales connurent une réussite similaire avec des édiles encartés au PS reconduits pour un bail supplémentaire de six ans.
Rassembler à gauche pour aller à la victoire…
Reste le cas des deux agglomérations phare de notre département : Auxerre et Sens. Dans la ville septentrionale de l’Yonne, le Parti Socialiste progresse en disposant de deux élus, membres du conseil municipal. Idéal pour s’immerger au plus près des décisions de la gouvernance. Sera-ce suffisant néanmoins pour espérer tôt ou tard une alternance à moyen terme ?
Dans la capitale de l’Yonne où les résultats définitifs se sont soldés par un échec cuisant de la liste de progrès conduite par le maire sortant Guy FEREZ (ancien socialiste), Mani CAMBEFORT se montre lucide et réaliste.
« Nous avons eu à faire à une droite très unie du fait de l’absence d’une liste RN, souligne-t-il, avec une gauche divisée comme jamais ! ».
Mani CAMBEFORT ne s’attardera pas trop sur l’union à l’emporte-pièce, apparue entre les deux tours : elle n’eut pas les effets escomptés, loin s’en faut !
Regardant devant lui, le jeune loup de la gauche départementale se projette désormais sur les rendez-vous à venir. Un avenir qui passe par trois échéances importantes dont le premier acte se joue le 27 septembre où il faudra convaincre les grands électeurs.
La position du PS est claire. Tout est en faveur de l’union des forces progressistes ! Un rapprochement déjà inscrit dans le marbre avec la présentation de la double candidature de Gilles SACKEPEY et de Florence LOURY, deux candidats issus de ces accords, aux sénatoriales.
« J’en appelle au rassemblement et à l’union des forces de gauche, déclare-t-il, c’est une stratégie que nous allons mettre en place pour les trois prochaines élections… ».
Trop tôt pour juger la nouvelle gouvernance à Auxerre…
Commentant la situation de l’Agglomération de l’Auxerrois et de la capitale de l’Yonne, Mani CAMBEFORT reste circonspect quant à l’attitude du nouvel homme fort qui incarne le pouvoir, Crescent MARAULT.
Certes, les cent jours d’après élection ne sont pas encore atteints pour porter un premier jugement. Pourtant, des signaux déjà perceptibles sur les intentions du leader de la droite et du centre droit élu en juillet l’inquiètent.
« La composition de l’équipe est révélatrice de certaines pratiques contraires à nos principes. Certains intitulés fonctionnels, à l’instar de la démocratie participative, n’apparaissent plus dans les délégations de service des adjoints. En outre, j’observe que la parité n’est pas à l’ordre du jour de la nouvelle gouvernance : peu de femmes (quatre sur dix-huit) occupent des positions stratégiques dans ce bureau. Or, on était en droit de s’attendre à tout autre chose en la matière… ».
Reprochant à la nouvelle équipe son absence de vision au niveau de l’Agglo, le premier secrétaire fédéral du PS ne comprend pas les priorisations faites au cours de ce prochain semestre.
« J’espérais un programme précis et arrêté de l’exécutif, or c’est le flou artistique à l’heure actuelle sur les réelles intentions de la gouvernance. Même si, on entend parler de projet de territoire auquel je souscris volontiers mais pour y parvenir cela nécessite du temps. Or, nous n’en avons pas et dans l’attente, on se doit de gérer au mieux la crise et ses effets coûte que coûte… ».
Constat similaire sur le dossier de l’hydrogène où l’Etat a décidé d’amorcer la pompe en injectant sept milliards d’euros à sa faisabilité.
« C’est une énergie de demain, martèle Mani CAMBEFORT convaincu par la pertinence de cette thématique, donc, il ne faut pas que cela prenne trop de temps pour souscrire à son adoption… ».
Beau joueur, le leader du socialisme dans l’Yonne reconnaît toutefois l’esprit d’ouverture du président de la Communauté d’Agglomération. Citant les exemples du PETR et de l’agence de développement économique, Yonne Développement où l’opposition est davantage dans la concertation.
Mani CAMBEFORT le rappelle sans ambages en évoquant les règles du jeu : « nous souhaitons être une opposition constructive et dire quand cela ne va pas ! ».
La première conférence de presse de la nouvelle saison aura permis de remettre les pendules à l’heure. C’était bien là, la moindre des choses…
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Une pointure de VALEO au colloque de la mobilité : Michel FORISSIER séduit par l’engagement de l’Yonne !
septembre 12, 2020Fil rouge de la Journée spéciale consacrée à la mobilité électrique et à ses enjeux environnementaux, cette figure charismatique de l’univers automobile (RENAULT, MATRA, VALEO) s’est dit conquis par les potentialités existantes sur notre territoire en matière de transition énergétique. Qualifiant au passage la capitale de l’Yonne de « La Mecque du GNV ! ». Une citation faisant référence à la station de Gaz Naturel Véhicule opérationnelle depuis plusieurs années…
AUXERRE : C’est un ambassadeur de tout premier choix, fidèle à la cause automobile qui était l’éminence grise de cette manifestation concoctée par l’UIMM, le MEDEF et le groupement aéronautique GISAéro cette semaine. Débutant sa carrière chez RENAULT, Michel FORISSIER, exégète des systèmes thermiques et de la sécurité automobiles, a bifurqué par la suite chez l’industriel VALEO où il occupe une fonction de « Chief Technology Officier » au sein du pôle Systèmes de propulsion.
Un titre de haute volée qui n’altère nullement la jovialité et le sens du relationnel de ce personnage qui avait la lourde tâche d’incarner le rôle de fil d’Ariane de ce premier évènementiel consacré à la mobilité électrique dans l’Yonne.
Introduisant la manifestation par une conférence où il exposa sa propre vision de l’évolution de la voiture dans le monde, Michel FORISSIER eut ensuite l’opportunité de répondre aux questions pertinentes du journaliste automobile, Laurent MEILLAUD.
La station de GNV focalise les intérêts…
Découvrant la capitale de l’Yonne, l’orateur, une « vieille » connaissance de Jean-Marc DENIS de la Maison de l’Entreprise, fut convié au terme de cette journée à proposer la synthèse finale de l’animation, étayée de trois tables rondes (le coût de la mobilité électrique pour l’entreprise, les enjeux de l’hydrogène et les retours d’expérience…).
Michel FORISSIER a fait part de son agréable surprise autour des potentialités et des engagements pris en Bourgogne Franche-Comté, et plus spécifiquement ceux qui sont tangibles sur le territoire de l’Yonne et de sa capitale, qualifiée de « La Mecque du GNV ! ». Une allusion non dissimulée à la station de Gaz Naturel Véhicule, à l’initiative de la société de transport PICQ et CHARBONNIER.
Quant à la présence d’autant de concessionnaires sur le parvis de la Maison de l’Entreprise (une trentaine de modèles électriques et hybrides y était exposé), elle aura satisfait l’ingénieur de l’école centrale de Lyon. Ce dernier pouvait regagner Paris avec le sourire après cette belle journée…
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La répartition du plan de relance pose question : pourquoi ne pas doter davantage l’économie verte ?
septembre 11, 2020L’humanité paie un lourd tribut en termes de vies humaines. L’impact social, économique et financier de la pandémie marquera, pour longtemps, notre époque. Les décès annoncés représentent pour une part, des catastrophes humaines à venir. La pandémie n’est pas jugulée mais surtout, on oublie toujours les morts qui accompagnent les faillites économiques et la misère des peuples en souffrance !
TRIBUNE : L’Afrique bien sûr. Mais aussi l’Inde et la Chine. N’oublions pas l’Occident et son cortège d’indigents qui meurent dans la rue (600 décès enregistrés en France en 2018). Le plan de relance du locataire de Matignon a oublié les plus pauvres…
Pour le logement social, on a surtout pensé à transférer un milliard d’euros de l’ancien 1% Logement vers le budget de l’Etat. Avec pour l’instant, aucune affectation particulière…Idem pour les très petites entreprises et autres profession libérales. C’est un plan pavé de bonnes intentions mais sans aucun chiffrage précis !
Un faible montant (1 milliard) sera consacré aux relocalisations. Une volonté affichée : produire ce qui est indispensable à notre économie. Une précision importante apportée par Bruno LE MAIRE : « Relocaliser, ce n'est pas faire revenir des productions à faible valeur ajoutée en France », alors que les industries ont souvent délocalisé pour faire des économies.
Sept milliards consacrés au plan hydrogène...
Voilà un investissement qui n’a jamais démontré sa rentabilité. Et surtout une production liée à l’électricité. Rappelons que l’énergie vient du nucléaire, que l’Allemagne a stoppé son programme de démantèlement des centrales nucléaires et qu’elle nous achète de l’énergie électrique lorsqu’elle est en rupture.
L’Etat prévoit que pour produire l’hydrogène, nous utiliserons de l’énergie verte dont le coût de production est nettement supérieur au nucléaire. Sur quel programme ? Alors que nos voisins Outre-Rhin se focalisent sur l’éolien, les Verts nous proposent la fin des centrales nucléaires et un éolien à petite dose. Les associations locales sont promptes à lever les boucliers de l’esthétisme dès que l’on veut construire des parcs d’éoliennes ! Cerise sur le gâteau : l’Europe a laissé filer en Chine la fabrication des panneaux solaires ! De plus, la production d’hydrogène n’est pas générateur d’emplois à court terme !
Et l’agriculture dans tout ça ?
Le volet agricole du plan de relance absorbe seulement 1,2 milliard du budget de ces cents milliards ! Le budget agricole consacrera 545 millions pour l’accélération de la transition agro-écologique. Une goutte d’eau face aux besoins et aux enjeux.
Confinement oblige, délaissant les courses à l’hypermarché situé à l’autre bout de la ville, les consommateurs ont redécouvert les commerces de proximité et les produits locaux. Un gros bémol cependant : la fermeture des marchés extérieurs (moins exposés que les grandes surfaces) et leurs nombreux étals bio. Le bio et les productions alimentaires locales ont pourtant la côte. Ils ont passé haut la main l’épreuve du confinement.
A titre d’exemple, dès la première semaine de confinement, le taux de rupture des pâtes alimentaires était de 19 % alors que les pâtes bios progressaient de 131 % ! Il est évident que les ruptures de stock dans les grandes enseignes ont profité aux boutiques bios. Ceci a permis aux clients que les écarts de prix bio/traditionnel, n’étaient pas nécessairement en faveur des enseignes classiques. Parfois, le bio peut se révéler moins cher !
Qu’en est-il de la région Bourgogne-Franche-Comté ?
Les 550 000 agriculteurs de la région participent, pour une part de plus en plus importante, à la confection des 15 millions de repas servis dans les écoles chaque année.
La région, souhaite développer la filière bio. Les cantines scolaires s’approvisionnent à hauteur de 50 % des achats, des productions locales, dont 20 % de bio ! La région se targue d’être la première région verte de France. Le bio concerne les secteurs de prédilection : céréales, légumineuses, vigne, fruits, légumes, plantes aromatiques et médicinales, arbres fruitiers. On élève en bio des bovins, des vaches laitières, des porcs, des ovins, des caprins, des volailles, des escargots et mêmes des abeilles comme au GAEC « La Roseraie » dont les miels bios sont présents chaque samedi sur le marché de Clamecy.
Les productions locales dont le bio ont le vent en poupe !
Tous les indicateurs donnent de l’optimisme aux producteurs bios. Le chiffre d’affaire progresse et les habitudes alimentaires subissent de profondes mutations. Ne plus stocker le périssable, manger bio, manger les fruits et les légumes de saisons, identifier les réseaux locaux de distribution, cibler le bio dans les grandes enseignes de la distribution, cultiver un petit jardin même sur son balcon, …
Toutes ces précisions pour insister sur le fait que le budget alloué à l’agriculture et surtout au bio semble dérisoire.
Les comportements à l’échelon des professionnels évoluent lentement. La production peu onéreuse d’azote réactif, utilisable par les plantes, a complètement bouleversé l’agriculture.
Dans les années 60, elle formait l’un des quatre piliers de la « révolution verte » (?) qui a permis de nourrir une planète en très forte croissance démographique : sélection de variétés à haut rendement, pesticides, irrigation et engrais chimiques.
Très récemment, le ministère de l’agriculture a autorisé l’utilisation de produits de traitement des betteraves, jusqu’alors interdits ! Les producteurs de maïs poussent des cris d’orfraie pour une autorisation identique ! Allons, un peu de sérieux, si on mange moins de foie gras pour les fêtes, on s’en remettra !
Toutes les dérives de production alimentaire, d’industrialisation sans règles bien édictées et respectées ont sans doute contribuées à la pandémie du COVID19 et les crises sanitaires à venir, si on en croit quelques spécialistes.
On constate que la réduction des activités humaines a fait chuter, momentanément, la pollution. Cela a permis à la flore et à la faune d’occuper un peu plus l’espace. Les canards ont défilé dans Paris et les sangliers à Barcelone, on a vu des rorquals barboter au large des calanques de Marseille… Profitons-en pour apprendre à partager notre espace vital avec les autres espèces !
Malgré les directives de distanciation sociale, globalement respectées, le besoin de « vivre ensemble » émerge avec force. Les élans de solidarité envers les populations en difficulté se multiplient : effet positif des réseaux sociaux ! Respirer de l’air pur à plein poumon et entendre le chant des oiseaux : voici les grandes découvertes de la crise sanitaire !
Jean-Paul ALLOU
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Le partenariat avec l’AJA se renforce jusqu’en 2025 : un soutien aux éclats de diamant pour GROUPAMA !
septembre 11, 2020Déjà une décennie de présence aux côtés du club de football iconique de Bourgogne. Un bail, assurément, mais qui est loin d’être stérile comme le démontre la prorogation de ce partenariat, si solide et pérenne. L’opportunité, aussi, d’élargir le champ des possibles pour les dirigeants de l’assureur mutualiste qui en voulaient davantage au niveau de leurs engagements. En étoffant leur soutien, et de belle manière, au cours de ces cinq prochaines années !
AUXERRE : Entre le spécialiste de l’assurance et de la prévoyance et le club de football de l’Yonne, c’est une longue histoire d’amour. Dix ans, déjà, qui correspondent aux fameuses noces d’étain.
Il est de tradition d’offrir à sa partenaire un diamant en cette circonstance. GROUPAMA Paris Val-de-Loire a fait beaucoup plus ! En déposant dans la corbeille de son hymen indéfectible des moyens supplémentaires en matière de sponsoring et de soutiens financiers. Ce qui lui vaut un élargissement de sa visibilité au stade de l’Abbé Deschamps (match parrainé, LED, naming tribune…) !
En premier lieu, l’entreprise assurantielle verra son nom trôner en bonne et due place sur la toute nouvelle infrastructure sportive destinée à l’accueil des compétitions de l’équipe réserve de National 2 et à ceux de l’équipe féminine.
Juste retour des choses et pure logique, en vérité, puisque la caisse régionale de Paris Val-de-Loire financera une partie des travaux de réhabilitation de ce complexe afin de le moderniser.
Cette rénovation englobera par ailleurs l’aménagement des tribunes et des vestiaires, la création d’un parking, la mise en œuvre d’un espace de restauration et le remplacement de la pelouse actuelle en surface hybride.
Le choix de soutenir l’équipe féminine n’est pas anodin. D’une part, les demoiselles de l’heureuse combinaison entre l’AJ Auxerre et le Stade Auxerrois fonctionne à merveille depuis le début de l’expérience survenue il y a deux saisons.
L’équipe première, celle qui reçoit les faveurs du groupe mutualiste, évolue en R1, fin prête à vivre de nouvelles sensations footballistiques en division supérieure, soit la Ligue 2 féminine ! L’un des objectifs au terme de cette nouvelle saison.
Un soutien qui se décline sous différents aspects…
Fort de ces potentialités prometteuses, GROUPAMA Paris Val-de-Loire s’est engouffré dans la brèche béante qui se présentait à lui. Le groupe a fait le choix de sponsoriser le maillot de l’ensemble des équipes de filles. Tout en restant le sponsor privilégié au dos de la vêture des professionnels qui évoluent en Ligue 2.
Mais, le rôle prégnant d’acteur de l’économie territoriale de l’entité professionnelle explique aussi la volonté de cet engagement. Deux des joueuses de l’équipe première effectuent à l’heure actuelle une immersion en alternance au siège social auxerrois. Un projet pédagogique qui corrobore le positionnement au quotidien de GROUPAMA, membre à part entière grâce à l’implication de son directeur départemental Jacques BLANCHOT, du fameux concept national, le « Plan 10 000 entreprises pour l’inclusion et l’insertion professionnelle » dont il est l’un des porte-étendards dans l’Yonne. Il est aussi le représentant départemental de l’égalité hommes/femmes.
Agence marketing exclusive de l’AJ Auxerre, la structure internationale SPORTFIVE a contribué, quant à elle, au rapprochement des deux parties depuis la saison 2010/2011.
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