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Une gouvernance stratégique d’entreprise pour transformer l’Auxerrois : Crescent MARAULT enclenche la vitesse supérieure de l’acte II en 2023
décembre 15, 2022L’exercice n’est pas ordinaire. D’ailleurs, l’orateur le reconnaît volontiers : « je ne suis pas un hyper communiquant ! ». Un, voire deux rendez-vous au maximum à l’année, histoire de faire le point sur les dossiers en cours. Evitant les effets d’annonce parce qu’il privilégie les prises de parole quand il y a des choses concrètes à dire, le président-maire de l’Auxerrois Crescent MARAULT s’est donc fendu d’une très longue présentation orale du projet « Transformons l’Auxerrois ». Un acte 2, où l’élu, prolixe dans ses propos, a rappelé avec moult détails les priorités en matière d’investissements pour 2023…
AUXERRE : « Je ne suis pas souvent en relation avec vous – ndlr : les représentants de la presse – mais lorsque je réponds à vos sollicitations dans une conférence spécifique comme celle d’aujourd’hui, c’est pour vous donner de l’information et non faire de la communication… ».
D’entrée de jeu, il remet les pendules à l’heure, Crescent MARAULT ! En guise de préambule, face aux représentants des médias départementaux – on notera même la présence de la correspondante de l’AFP en Bourgogne septentrionale, c’est dire l’importance médiatique de l’évènement du jour ! -, le patron de la majorité de l’agglomération de l’Auxerrois assène l’auditoire de quelques vérités inhabituelles tenues dans la bouche d’un élu.
« Je ne me considère ni comme un politique, encore moins comme un communiquant… ».
Et de rajouter tout de go : « j’essaie simplement de porter des projets dans l’intérêt de la collectivité… En politique, faire de la mousse en communiquant pour faire du bruit donne l’impression de travailler beaucoup, et tout le temps que l’on passe à communiquer, on ne prend pas le temps pour travailler. Moi, c’est tout l’inverse ! Je préfère me réserver quelques petites séquences de ce style comme celles-ci pour expliquer le travail que l’on fait avec les équipes… ».
Un programme de plus de 31 millions d’euros d’investissements…
Un long préambule qui aura permis d’expliciter en le clarifiant le pourquoi de cette conférence de presse très matinale, accueillie dans les salons de l’hôtel Ribière.
Il est vrai qu’en investissant plus de 31 millions d’euros sur la seule année 2023, les deux collectivités que sont l’Agglomération de l’Auxerrois et la Ville d’Auxerre ont décidé de montrer leurs ambitions pour améliorer la qualité de vie des habitants.
Des montants budgétaires qualifiés « d’historiques » par Crescent MARAULT, puisque la ville prendra à son compte la coquette somme de 22,1 millions d’euros. Le reliquat, soit 9,4 millions, incombant à l’Auxerrois.
Ce programme d’investissements entériné lors du vote du budget de l’Agglomération et de la Ville, ce jeudi 15 décembre – un vote proposé à une date plutôt inhabituelle en cette période de fin d’année mais exigé par le président-maire sur un plan stratégique quitte à déroger quelque peu avec les vieilles habitudes administratives -, va donc accentuer le véritable début de la transformation du territoire menée par le nouvel exécutif des deux organes institutionnels concernés.
Bien maîtrisées, les dépenses de fonctionnement, via l’application du Plan de sobriété énergétique, s’inscrivent parmi les priorités de la gouvernance actuelle de l’Auxerrois. Objectif avoué par Crescent MARAULT : « il faut dégager un maximum d’autofinancement afin de financer l’investissement… devait-il marteler durant son monologue.
Si l’an passé, ce poste se résumait à un peu plus d’un million d’euros, il n’en est pas de même cette année avec plus de 31 millions d’euros injectés auprès des collectivités de l’Auxerrois concernées par ce copieux programme d’investissements.
Du jamais vu jusqu’alors sur ce bassin de l’Yonne ! Une ambition qui avait été évoquée lors de la présentation initiale du Projet de Territoires en 2021. Un projet qui court sur la décennie jusqu’en 2031 et qui priorise le volet ô combien stratégique du développement économique.
Un acte II de la transformation de l’Auxerrois, synonyme de vitesse supérieure…
« L’enjeu économique, c’est ce qui fait qu’un territoire est dynamique ou pas, souligne pédagogue un Crescent MARAULT, favorable à l’installation de nouvelles entreprises, synonymes de fiscalité renforcée pour l’Auxerrois, et surtout d’emplois supplémentaires avec de nouveaux habitants qui nourrissent l’artisanat et le commerce de proximité.
Un volet sur lequel l’élu insistera lourdement, se référant aux filières actuelles, façon tendance, que sont la transition écologique avec en pointe l’hydrogène dans le domaine de l’énergie ou la mobilité douce.
Parlant du réchauffement climatique et de ses conséquences analysées sous le prisme de la géopolitique, Crescent MARAULT estime que les scenarii actuels sont pour le moins improbables. Citant à titre d’exemple les répercussions sanitaires, l’inflation, la crise des matières premières et énergétiques ou le conflit en Ukraine, autant d’items aux caractéristiques anxiogènes et incertaines.
« Avoir une vision globale, un peu plus élargie, permet de mieux comprendre la gouvernance stratégique d’entreprise actuelle que nous appliquons à notre collectivité, argumente le président-maire de l’Auxerrois, quand on se situe dans une gouvernance très politique, on ne se concentre que sur le territoire, à contrario, quand on est sur une gouvernance plutôt stratégique, on regarde naturellement le territoire en y ajoutant les éléments extérieurs, l’environnement législatif, des univers toujours difficiles à maîtriser mais tellement importants quand on prend le temps de les étudier… ».
Avoir une vision sur le long terme vis-à-vis de son programme d’investissements constitue l’ADN même de la politique déclinée par l’élu de l’Yonne.
« C’est grosso modo trois ans de boulot en amont pour arriver à construire un projet fiable et efficient, confie-t-il, entre le moment où on va prendre la décision politique, ensuite, l’administration va commencer à construire le projet, puis viendra le temps du plan de financement, avant in fine de budgéter le projet pour mieux le lancer. On est quasiment à mi-mandat et on commence seulement à réaliser les projets pour le territoire en les hiérarchisant selon leurs degrés de priorités… ».
Des explications didactiques et détaillées fournies aux journalistes sur les méandres de cette stratégie de gouvernance qui pouvaient correspondre à la réponse du berger à la bergère dans la bouche de Crescent MARAULT. Afin de renvoyer d’une pichenette les critiques acerbes à ce propos…
« Beaucoup nous m’ont reproché de faire de la communication, voire de ne rien faire du tout, s’amuse goguenard l’élu, soit de ne pas avoir de projets, soit d’en avoir de trop ou trop d’ambitions mais tout ce qui a été fait était mûrement réfléchi et stratégique. Et surtout, c’était cohérent. Avec ce programme « Transformons l’Auxerrois, acte II », validé collectivement par les vingt-neuf maires de l’Agglomération et la majorité municipale, nous passons désormais à la vitesse supérieure… ».
Un arbitrage judicieux entre le politique et l’administratif en amont…
Sachant que tous les services des deux collectivités ont pesé le pour et le contre, inscrivant l’investissement de projets devant se concrétiser à leurs programmes. Un gros travail a été réalisé en amont pour que ces lignes d’investissements ne soient ni factices ni esthétiques mais qu’elles correspondent réellement à des projets planifiés avec leur réalité opérationnelle. Et, en privilégiant les projets suffisamment aboutis pour qu’ils apparaissent dans le programme de 2023. Un judicieux arbitrage entre le politique et l’administratif pour que les priorités soient clairement identifiées et figurent dans ce vaste chantier.
Comme devait le préciser le président-maire lors de sa conclusion sur ce chapitre relatif à la pertinence de sa stratégie globale, ce programme d’investissements se déclinera en 2023 autour des quatre axes majeurs composant le Projet de Territoires. A savoir l’attractivité, la mobilité, l’innovation et l’expérimentation, et surtout la fierté d’être Auxerrois. Un acte II qui, comme dans toutes les bonnes pièces théâtrales qui se respectent en appellera nécessairement d’autres…
En savoir plus :
La capacité d’investissement sur l’Auxerrois est de 31,5 millions d’euros en 2023 dont 22,1 millions d’euros investis par la Ville d’Auxerre, 9,4 millions investis par la communauté de l’Auxerrois.
L’évolution de l’investissement de la Ville d’Auxerre passe de 15,7 millions d’euros en 2022 à 22,1 millions d’euros en 2023.
Les 29 communes sont engagées pour le territoire avec 870 000 euros correspondant à une autorisation de programme pour un soutien de 30 000 euros par commune de la communauté.
L’enveloppe annuelle inscrite pour soutenir les communes qui s’engagent dans un projet communautaire est de plus de 100 000 euros.
La présentation des 16 projets phare du programme 2023 sera proposée lors d’un prochain article à paraître dans nos colonnes…
Thierry BRET
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L’EPL des Terres de l’Yonne obtient la mention très bien pour ses simulateurs testés par des élus du territoire
décembre 14, 2022Pas si simple de manipuler les simulateurs qui sont accueillis depuis le mois d’octobre par l’EPL des Terres de l’Yonne ! A l’occasion de la réception officielle de ces précieux appareils, conçus par la pépite hexagonale ACREOS, plusieurs personnalités s’y sont essayées avec plus ou moins de bonheur sous le regard attentif du fabricant et des responsables de l’établissement pédagogique à vocation agricole. Et à ce jeu-là, Nicolas SORET et Gilles DEMERSSEMAN, élus de la Région, se sont très bien débrouillés !
VENOY: La fiche se révèle aux yeux de tous sur le double grand écran. La vitesse d’exécution de l’exercice accompli par le tracteur-enjambeur dans sa version virtuelle est correcte. Pas de dégâts observés au niveau des plants de vigne fictifs qui ne sont pas arrachés pour autant par une malencontreuse et inexpérimentée manœuvre du pilote.
La conduite de l’engin de simulation s’affiche au vert. La note, enfin, traduit la parfaite dextérité de l’apprenant, soit un 16 sur 20 du plus bel effet. D’ailleurs, c’est simple ! Satisfait de son résultat, le vice-président de la Région en charge des Finances, de l’Economie et de l’Emploi, Nicolas SORET, sortira de sa poche son portable afin d’immortaliser le bon résultat obtenu en le photographiant !
Commentaire à chaud de l’intéressé : « j’ai déjà conduit des tracteurs ! ». Bref, on aura constaté que le président de la Communauté de communes du Jovinien n’a pas perdu la main, visiblement, au volant de cet ersatz de « jeu vidéo » qui n’en est pas un.
L’ultra modernisme au service de la pédagogie…
Huit de ces simulateurs de dernier cri occupent la toute petite salle dédiée à les recevoir dans le complexe des Terres de l’Yonne. Un investissement de plus de 673 000 euros obtenus avec la Région et la manne utile des Fonds européens de développement régional (FEDER) – une première en France – qui rappelle que cette présence n’est pas ludique mais bel et bien pédagogique. Contrairement à ce que l’on aurait pensé en voyant les élus tester ces machines.
Autre élu régional à se retrouver au volant du même tracteur-enjambeur numérique : Gilles DEMERSSEMAN. Son approche rapide de l’engin démontre indéniablement des capacités à le dompter en réalisant des manœuvres lui permettant de progresser dans un rang de vigne sans l’abîmer.
Un peu plus loin, Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil départemental, se passionne par ce qu’il voit. Des jeunes gens qui proposent une démonstration aboutie de cette technologie utile à l’apprentissage des métiers de la filière agricole et viticole. La secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne, Pauline GIRARDOT, observe attentive et avec intérêt les gestes pleins de maîtrise de ces apprenants, relève de la corporation, en compagnie du DASEN (directeur des services départementaux de l’Education Nationale), Vincent AUBER.
Bluffant et incroyable ! Economique et vertueux, aussi, car ces systèmes d’apprentissage au maniement des engins agricoles en toute sécurité ne nécessitent nullement le besoin de rejeter du Co2 et de polluer l’environnement !
Une initiative stratégique étonnante qui mérite d’attribuer la note de vingt sur vingt à l’EPL des Terres de l’Yonne et à ses acteurs qui ont opté pour la voie de l’ultra modernisme au service de la pédagogie ! Mention très bien !
Thierry BRET
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L’effet « waouh » de l’IBIS Auxerre Centre agrandi et relooké : Alain GEHIN capitalise sur 15 nouvelles chambres
décembre 13, 2022Un investisseur, Alain GEHIN ? La question ne se pose même pas. Aux commandes de l’IBIS Auxerre Centre et de l’IBIS Budget, apparu dans l’offre touristique il y a quatre ans à peine et situé à quelques encablures de l’établissement historique que compte le groupe ACCOR en centre-ville de la capitale de l’Yonne, l’entrepreneur a remis à neuf ou presque le vaisseau amiral de sa flotte hôtelière. Un projet où il aura injecté près de deux millions d’euros de ses propres deniers, avec l’aide de la banque, satisfaite du bilan de la société…
AUXERRE : Il les voulait pour le mois d’avril, anticipant ainsi sur les futurs résultats de la Ligue 2 et de ses barrages prometteurs pour l’AJ Auxerre ; il ne les recevra véritablement terminées qu’au mois…d’octobre ! Une fois que le club de l’Yonne eut validé de la meilleure des manières son ticket pour l’élite !
Inconditionnel supporter de l’emblématique club de football local, Alain GEHIN a pu enfin proposer la quinzaine de chambres supplémentaires que compte désormais son établissement implanté au cœur de ville à sa clientèle attitrée, celle entre autres qui fédèrent les aficionados de la discipline et de son palpitant championnat footballistique.
Car la Ligue 1 ne possède pas le même morphotype de supporters que la division inférieure dans laquelle évoluait, il y a peu, le club auxerrois depuis une dizaine d’années. Ceux-ci passent volontiers deux nuitées en hôtellerie lors de leurs déplacements en suivant leurs équipes fétiches, aiment se faire une bonne table gourmande et se rendre vers Chablis et ses villages viticoles alentours pour s’y procurer de menus plaisirs en version liquide et de garde, si possible !
Une ouverture des chambres vers un agréable jardin…
L’impact de cette remontée sportive parmi l’élite se fait sentir positivement pour le chiffre d’affaires des week-ends, voire de la semaine, pour l’entrepreneur. Une aubaine pour Alain GEHIN, qui a procédé à un sérieux lifting de son vaisseau amiral, l’IBIS Auxerre Centre où il avait déjà procédé il y a une décennie de cela à un agrandissement notoire d’une dizaine de chambres supplémentaires.
Aujourd’hui, l’hôtel le mieux situé du centre-ville, près du port de plaisance, avec une vue remarquable sur l’Yonne, ses édifices patrimoniaux et religieux, presque en vis-à-vis de la préfecture mais la distance est là, s’ouvre côté jardin sur la rive droite.
Conçue selon les codes chromatiques et harmonieux, y compris le décorum plutôt surprenant avec les plafonds des chambres aux motifs lunaires voulus par le groupe ACCOR, la nouvelle aile de l’établissement hôtelier se veut ergonomique, esthétique, accessible, fonctionnelle.
In fine, l’hôtel propose 65 chambres, permettant à l’offre de couchage du centre-ville de gagner en puissance. Et surtout en praticité. Signalons que ces chambres s’ouvrent vers un patio intérieur qui se muera en un agréable jardin dès le printemps prochain, les paysagistes interviendront pour y façonner des espaces de verdure où la clientèle pourra y prendre à loisir son petit déjeuner.
Lorsqu’il évoque la configuration de l’ensemble, Alain GEHIN n’a qu’un mot : waouh ! « C’est ce que devront se dire les clients lorsqu’ils feront une halte chez nous ! ».
Deux millions d’euros pour agrandir et rénover l’Ibis Auxerre Centre…
Les habitués de cet établissement trois étoiles proviennent également des milieux professionnels, des VRP et technico-commerciaux en mission ou des cadres qui aiment s’y reposer après une harassante journée de travail.
Alain GEHIN revendique de son côté l’exigence et le travail implicatif de ses équipes pour parvenir à ces résultats.
« Notre credo, précise-t-il, c’est la qualité. IBIS Auxerre Centre a toujours été classé parmi les meilleurs établissements de la chaîne sur l’Hexagone depuis son lancement. Quant à l’IBIS Budget, il est régulièrement référent dans le quart Grand-Est de la France pour la qualité de son accueil… ».
Au total, ce sont près de deux millions d’euros qui ont été injectés pour redonner sa cure de jouvence amplement méritée à cet établissement qui possède un taux d’occupation très élevé à l’année, même si le mois de décembre est plus synonyme de relâche avec les fêtes familiales où les gens se déplacent peu dans l’Yonne pour y faire du tourisme.
Lorsqu’il se projette en 2023, Alain GEHIN espère de tout son cœur le maintien en division supérieure de son club de prédilection, l’AJA. « L’impact sur la vie hôtelière auxerroise n’est plus à démontrer, souligne-t-il.
Quant à l’opportunité de reprendre une nouvelle affaire – mais pas nécessairement un IBIS de plus d’autant qu’un nouveau Budget est annoncé sur Auxerre à l’orée de 2025 par le prisme d’un autre investisseur -, on sent que cela le titille aux entournures, notre charismatique personnage.
« Nous, les GEHIN, sommes issus d’une famille d'investisseurs, conclut-il, donc s'il y avait quelque part une opportunité à saisir, ma foi, pourquoi pas ? Mais, c'est beaucoup trop tôt pour en parler… ».
On n’en sera guère plus sur les réelles intentions de croissance extérieure de notre entrepreneur. Qui aurait pu clore cette rencontre par un traditionnel, « Allez l’AJA », comme d’autres disent « bonne année » !
Thierry BRET
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Réunis lors de la même cérémonie : les BTS notariat et commerce international plébiscités à Saint-Joseph
décembre 12, 2022Le temps des félicitations. De la remise des récompenses, aussi, symbolisées par le fameux diplôme, traduisant l’obtention du précieux sésame estudiantin, c’est-à-dire le BTS. Qu’il soit le fruit d’un cursus propre à la filière notariale ou celui résultant d’une initiation pédagogique aboutie ayant le commerce international pour attrait. Le pôle d’enseignement supérieur du complexe scolaire lassalien aura vécu un moment fort avec la distribution de ces accessits, où les deux sections étaient réunies pour la première fois…
AUXERRE: Existe-t-il un dénominateur commun entre les étudiants ayant opté pour le cursus menant aux métiers du notariat et ceux qui suivent les cours théoriques les initiant aux rudiments du commerce international ?
Même si les deux filières semblent éloignées l’une de l’autre sur le papier – et encore que puisque la connaissance du droit et de ses usages correspond sans doute à un socle de savoirs qu’il est bon de maîtriser par tout bon commercial se respectant -, on ne peut répondre à cette interrogation que par l’affirmative.
Depuis que la cérémonie protocolaire de la remise des diplômes de ces deux sections BTS accueillies au sein du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, s’est tenue dans les règles de l’art, la convivialité en sus.
Le principe du « en même temps » en mode pédagogique !
Pour la première fois, en effet, la direction de l’établissement avait décidé de remettre les distinctions honorifiques aux lauréats de ces deux filières de manière successive lors de la même animation. Une façon concrète de pratiquer le principe du « en même temps », version pédagogique !
On n’en était d’ailleurs plus à une innovation près puisque la cérémonie se déroulait dans le bâtiment flambant neuf qui reçoit désormais en ses murs le foyer réservé aux élèves de l’enseignement supérieur.
Responsable de l’établissement, François-Xavier WILLIG eut des mots agréables à l’endroit de ces jeunes diplômés dont 80 % d’entre eux poursuivent leurs études dans des cycles supérieurs de type école de commerce, IFAG, Masters, etc.
« Votre réussite, devait-il souligner, est aussi celle de vos enseignants. Vous avez connu des joies, des épreuves, des doutes, et parfois quelques recadrages nécessaires. Mais, toujours, vous avez eu nos encouragements et notre confiance… ».
De l’audace, de l’estime de soi et de la confiance : les recettes de l’avenir …
Des propos que devaient confirmer quelques instants plus tard Céline MARTI, directrice du pôle estudiantin. « Je suis tellement heureuse aussi de voir vos visages sans les masques ! ».
Il est vrai que durant deux ans, les étudiants des deux sections BTS durent composer avec la pandémie et ses contraintes. Pas toujours du meilleur effet pour vivre en parfaite quiétude son cheminement scolaire.
François-Xavier WILLIG brossa un contexte conjoncturel complexe où se projeter vers l’avenir est « peu alléchant ». Mais, sans sombrer dans le pathos, le « patron » du groupe scolaire privé réserva sa conclusion vers l’enthousiasme et la prise de responsabilités de cette jeunesse pleine d’audace.
« Vous devez prendre confiance en vous, avancer, grandir, dans l’estime de soi et le respect des autres, en autonomie. C’est à vous de prendre en charge le monde à venir et de poursuivre votre chemin dans les études ou en intégrant la vie active… ».
De la vie professionnelle – ce qui est dans la lumière blanche à l’autre bout du tunnel !- il en sera aussi question avec les témoignages apportés par les anciens diplômés, revenus sur le site prêcher la bonne parole, moult exemples à l’appui. Certains ont intégré de belles aventures en entreprise, façon start-up, d’autres vivent même leurs rêves les plus fous à l’autre bout du monde, exerçant un métier dans l’aéronautique !
Le tout servi sur un plateau d’argent devant les familles des lauréats mais aussi de celles et ceux qui débutaient leur cycle en BTS et qui n’en demandaient pas tant !
La meilleure des façons pour souhaiter un avenir radieux pour tous ces jeunes gens, en faisant fi de la morosité ambiante…
Thierry BRET
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Le CIFA de l’Yonne remet le couvert avec l'accueil des lauréats nationaux du MOF des maîtres d’hôtel et du service
décembre 09, 2022La date de la remise des prix du fameux concours « Un des meilleurs ouvriers de France » de la catégorie des maîtres d’hôtel a été confirmée ce jour. Après la tenue de l’épreuve qui réunissait la fine fleur hexagonale de la discipline le 23 novembre dernier au CIFA de l’Yonne, c’est finalement le jeudi 15 décembre que se remettront les récompenses aux cinq lauréats de ce challenge national à Auxerre…
AUXERRE : Le CIFA de l’Yonne, comme il en a fréquemment l’habitude désormais, sera le théâtre d’une nouvelle animation d’envergure nationale d’ici quelques jours. Après avoir accueilli le concours « Un des Meilleurs Ouvriers de France » de la catégorie des « maîtres d’hôtel, du service et des arts de la table », le 23 novembre dernier – douze candidats en provenance des quatre coins de l’Hexagone devaient prendre part à cette épreuve de belle facture -, le centre de formation icaunais remettra le couvert lors de la cérémonie de remise des prix aux vainqueurs. L’information a été confirmée ce jour par le service communication de l’établissement dirigé par Marcel FONTBONNE.
Ainsi, jeudi 15 décembre peu avant midi, les cinq lauréats de ce prestigieux challenge, à savoir Joseph DESSERPRIX (La Scène à Paris), Yoann GREGORY (Yam Tcha à Paris), Elsa JEANVOINE (L’Azimut à Courchevel), Morin LOUIS (Maison WENGER au Noirmont en Suisse) et Pierre-Marie RAGON (Hôtel MARTINEZ à Cannes) recevront des mains du président du jury, Gérald-Louis CANFAILLA leurs trophées distinctifs.
Au terme des différentes épreuves s’étalant sur cette journée de novembre, les trente membres d’un jury professionnel de belle volée n’auront pu départager les cinq lauréats. Rappelons que douze candidats tentaient l’aventure dont deux jeunes femmes.
Tous avaient à cœur de réaliser dans des délais impartis relativement courts une structure de présentation et de service de fromages ainsi que la création d’une préparation fromagère assortie d’une boisson originale. S’en suivait également une soutenance orale du dossier.
En savoir plus :
La liste des candidats présents à cet évènement
Stéphane AIGNEL, Hôtel Le Bristol à Paris (75)
Christophe BARON, lycée hôtelier Olivier Guichard de Guérande (44)
François CALVEZ, Hôtel Les Bories à Gordes (84)
Joseph DESSERPRIX, La Scène à Paris (75)
Pauline FROIDUROT-GACHET, La Chèvre d’Or à Eze-Villages (06)
Yoann GREGORY, yam’Tcha à Paris (75)
Nathanaël HAURY, Paris Society
Romain HENRY, Libertat à Nébian (34)
Elsa JEANVOINE, L’Azimut à Courchevel (73)
Morin LOUIS, Maison Wenger à Le Noirmont (Suisse)
Pierre-Marie RAGON, Hôtel Martinez à Cannes (06)
Bernard RICOLLEAU, Institut Paul Bocuse à Écully (69
Thierry BRET
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