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Le monde découvre les effets pervers des M.F.T. : les maladies financièrement transmissibles !
mars 09, 2020Les investisseurs boursiers doivent anticiper l’évolution des cours des sociétés cotées ou des indices. Leurs prévisions sont alimentées par les rapports et les pronostics des économistes ! La grande nouveauté, c’est que pour la première fois, dans une histoire financière vieille de 5 500 ans, les rapports de santé impactent directement la finance et les bourses du monde ! Nous découvrons les liens économiques entre la Chine, les Etats-Unis et la France…
TRIBUNE : L’ensemble de ces relations commerciales nous fragilise encore plus dans ce contexte : la globalité devient une faille ! La chute des cours du pétrole est combinée à une baisse significative de la croissance mondiale (prévision très réaliste).
De nombreuses entreprises sont déjà en décroissance. Certains spécialistes vont même jusqu’à imaginer une récession planétaire ! Un troisième élément doit être pris en compte : l’insécurité des investisseurs vis-à-vis de l’avenir. Les risques inflationnistes, la chute du dollar, et surtout le spectre de la pandémie : c’est un cocktail de choc qui fait paniquer les investisseurs. Pétrole-bourses-méfiance : une trilogie qui nous entraine irréversiblement vers le Krach !
La méfiance des investisseurs vis-à-vis du futur met en lumière la dimension psychologique du boursicoteur, même professionnel, et le contraint à faire des actions contagieuses et irrationnelles ! La Chine devient ainsi le point nodal de notre réflexion.
Qu’avons-nous appris (ou réappris) du coronavirus ? Les économies françaises, européennes, américaines sont dépendantes de la Chine. La production automobile, notamment française, est affectée par l’arrêt de sites industriels chinois. Certaines matières premières venant de Chine sont bloquées à cause du confinement…
Notre dépendance vis-à-vis de certains produits est quasi-totale : 95 % des batteries électroniques proviennent de Chine et plus de 80 % des composants de médicaments…
Alors ? Les plus naïfs proposent de changer de fournisseurs ! Ah oui !? Pour obtenir un agrément pour fabriquer des médicaments, il faut compter au moins quatre ans…
Nous consommons moins d’énergie et surtout moins de pétrole : chute vertigineuse des cours du brut (plus de 30%). Cette chute aggrave la situation boursière : les sociétés qui gravitent autour de ce secteur (pétrochimie…) sont impactées. De véritables réactions en chaîne surviennent ce qui dramatise encore plus l’avenir de nos économies et de la finance.
Il est grand temps d'acheter les valeurs perdantes...
Les états s’appauvrissent : il y a moins de ressources fiscales, plus de chômages, plus de d’aides de l’état et moins de cotisations sociales…Bref : l’endettement progresse fortement… Cerise sur le gâteau : il y a également moins de ressource TVA et moins de richesse dégagée (PNB).
L’anticipation des boursiers face à une situation mondiale qui contient les germes de la récession conduit les traders à conseiller la vente de titres. Or, les investisseurs sont en manque de liquidité : ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux ! Ils doivent vendre à n’importe quel prix pour rembourser leurs dettes…
Par contre, avec un peu de cynisme, on peut conseiller à celles et ceux qui ont du liquide disponible, d’acheter les actions qui ont le plus chuter. Par exemple, Sélectour et Havas Voyages ont perdu plus de 45 % !
On ne peut encore chiffrer l’impact économique, social et financier de la chute de l’activité des grandes entreprises cotées, sur les PME sous-traitantes ainsi que sur les sous-traitants des sous-traitants…
Cette crise mondiale n’est pas sans rappeler celle de 1929 ! Ne nous y trompons pas.
Aujourd’hui, la globalisation mondiale de l’économie et de la finance, les masses financières en cause et la vitesse de circulation des ordres de bourse, réalisées à la nanoseconde font de 1929 une légère brise vis-à-vis du cyclone qui nous attend.
Seule une régression rapide du coronavirus pourra atténuer les effets secondaires de la crise. Un bon moral et un regard positif vers l’avenir constitueront les meilleurs préservatifs pour cette nouvelle « M.F.T. » : la maladie financièrement transmissible qui a plongé le monde dans la « coronacrise » !
Pour sourire un peu : imaginons un dialogue entre deux traders allongés sur la plage: « Pierre ? » - « Oui Louis » - « La mer monte » - « Achète ! »…
Jean-Paul ALLOU
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Le Vatican comme on ne le voit jamais : Saint-Pierre de Rome déserté par les touristes…
mars 06, 2020D’ordinaire, de deux à trois heures d’attente sont nécessaires pour espérer pénétrer à l’intérieur de la célèbre basilique vaticane. Un premier cas de coronavirus, détecté sur un patient accueilli dans le centre médical situé à l’intérieur du plus petit état de la planète, modifie la donne de manière drastique. Personne n’ose plus s’aventurer sur le parvis du fameux édifice érigé à la gloire de la chrétienté…
ROME (Italie) : Epargné jusque-là malgré la prolifération de l’épidémie dans la péninsule italienne, le Vatican, micro-état de la taille d’un confetti encastré dans la capitale de l’Italie, vient de s’ajouter à son tour à la longue liste des nations contaminées par le coronavirus.
Jeudi, un premier patient atteint par la maladie y a été détecté. Semant l’effroi parmi la population qui recense moins d’un millier d’habitants.
Il n’en fallait pas davantage pour réduire la présence du nombre de touristes qui se comptent déjà sur les doigts d’une seule main. L’affluence aux abords de la grande place, au pied de Saint-Pierre de Rome, s’est singulièrement minimisée.
Alors que l’Italie, deuxième pays au monde en nombre de décès et troisième en termes de contaminations s’interroge sur les suites à venir, les rares visiteurs de la célèbre cité papale apprécient au moins le bon côté des choses. Profitant à bon escient, et surtout très seuls, de somptueux musées qui renferment des œuvres inestimables : la ville toute entière leur appartient !
D’autant que les professionnels du tourisme sont en effervescence depuis plusieurs jours : la moitié des établissements hôteliers de Rome a dû procéder à des annulations intempestives sur la période du mois de mars. Sombres perspectives à quelques jours des fêtes pascales…
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Le coronavirus terrasse le dernier James BOND, « No time to die » (mourir peut attendre), prémonitoire, non ?!
mars 06, 2020Le dernier James Bond a été reporté pour coronavirus : « mourir peut attendre », très prémonitoire ! De nombreuses manifestations, culturelles, économiques, religieuses sont ajournées, voire totalement supprimées. Les critères sont cependant incohérents. On décale le salon de l’Industrie mais on maintient en revanche celui du vélo… Matchs de football et autres manifestations sportives sont à la même enseigne : décalées ou maintenues. Toute la planète est concernée ! Au-delà des conséquences sociales et médicales, des morts et des malades, les répercussions économiques se font déjà ressentir au niveau des entreprises et des investissements en bourse…
TRIBUNE: Coronavirus et économie ne font pas bon ménage ! Nous sommes tous dépendants les uns des autres. Et particulièrement de la Chine : on achète, on vend, on fabrique.
Certains pensent déjà à la relocalisation de sites de production. Le risque systémique se traduit par une propagation planétaire de la chute de nos économies.
Les frontières sont parfois bloquées. Les salariés ne peuvent plus circuler et provoquent une chute de 40 % des voyages d’affaires et de 60 % des vols touristiques – donc du manque à gagner pour les compagnies aériennes (estimé à 130 milliards de dollars).
Les dépôts de bilan ne sont pas loin : Flybe en outre-Manche. Ne parlons pas la chute du chiffre des agences de tourisme et de toutes les activités touristiques : hôtels, restaurants, sites, etc.
Aujourd’hui, 164 entreprises françaises ont déjà engagé la mise en place de chômage technique ! Donc, in fine, un risque de chômage sur la durée ! Les spécialistes de l’énergie nucléaire appellent cela « une réaction en chaîne » ! Tous les secteurs sont touchés : en février, les ventes de voitures ont baissé de 89 % !
La crise financière découle des prévisions économiques : les bourses mondiales enregistrent une chute de 12 %. Ce n’est pas le plus grave, puisque les cours étaient surévalués. Compte tenu de cours élevés, de nombreux investisseurs se sont endettés pour acquérir des titres ! Et alors ? Il faut rembourser mais il n’y a plus de monnaie puisque les cours de la bourse chutent. Le mécanisme se met en place : je vends des titres pour rembourser et accélérer, de facto, l’effondrement des bourses ! De plus, comme en 2008, les entreprises sont surendettées : le crack est en perspective…
Après l’homme économique, voici l’homme irrationnel…
Moody’s (agence de notation des entreprises), a dans son rapport de février, indiqué que la pandémie mondiale et la récession qui pourrait en résulter, ont 40 % de probabilité d’occurrence !
De plus, cette crise se produit au moment où la croissance mondiale était déjà affaiblie par les tensions commerciales récentes. Les solutions apportées par les Etats marquées par un certain empirisme montrent la nouveauté des caractéristiques de la crise : une origine virale qui provoque une pandémie… Les solutions sont peu originales du côté financier : intervention des banques centrales (abaisser les taux directeurs, injecter des capitaux…).
Les banques soutiennent des entreprises (facilités de trésorerie), les Etats reportent les échéances fiscales, soutiennent certains secteurs, et… transmettent le virus à coup de rencontres, de conférences (au sommet !) et de joyeuses agapes…
On creuse les déficits ! Soulignons pour le positif, que les encours du Livret A s’envolent depuis le début de l’année ! Rien d’innovant : après « l’homme économique », « l’homme irrationnel » !
Le pendule des économistes oscille entre forte correction des marchés à court terme puis reprise, et effondrement total des économies et reprise très lente sur le long terme.
Avec ou sans coronavirus, pour les idéologues du «catastrophisme » (ou collapsologues), les risques d’emballement climatique, la fragilité de nos systèmes économiques et financiers constituent les éléments déclencheurs d’une inéluctable fin de notre civilisation « thermo-industrielle ».
Mais, tout espoir n’est pas perdu en France puisqu’en face de la chute vertigineuse des cours de nombreuses entreprises cotées, on note la relative bonne santé de sociétés caractéristiques. A titre d’exemples : « Pernod –Ricard » et « Rémy-Cointreau ». Existe-t-il une relation de cause à effet ?
Jean-Paul ALLOU
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Rencontre ivoirienne au sommet à Auxerre : le consul Philippe TINTIGNAC reçoit la délégation du CIRADE…
mars 05, 2020Présente la semaine dernière dans la capitale de l’Yonne pour échanger avec le président mondial de l’organisme « Habitat et Francophonie » Jacques HOJLO, les membres du Cercle Ivoirien de réflexion et d’action pour le développement conduits par le député de Côte d’Ivoire Honorable Mamadou DIOMANDE ont eu le loisir ensuite de s’entretenir avec le consul honoraire de leur pays, le seul implanté en Bourgogne Franche-Comté, l’entrepreneur auxerrois Philippe TINTIGNAC. Quand l’Afrique de la diplomatie, des affaires et des relations publiques prend ses quartiers dans l’Yonne…
AUXERRE: A la tête de l’entreprise « Afrique Télécom » qui a élu domicile depuis maintenant une quinzaine d’années dans l’une des zones industrielles au nord de l’agglomération auxerroise, Philippe TINTIGNAC a le particularisme singulier d’avoir été nommé consul honoraire de la république de Côte d’Ivoire en France.
Il est le seul et unique pour ce pays de l’Afrique subsaharienne à disposer d’une mission de représentativité officielle en Bourgogne Franche-Comté, dans l’Yonne, où il accueille avec la régularité d’un métronome les représentants de la diaspora.
Il est vrai qu’entre le Continent noir et son auguste personne, c’est une véritable histoire d’amour qui existe depuis très longtemps puisque le chef d’entreprise possède de profondes racines bien ancrées dans le sol du pays producteur de cacao.
Acteur économique et sociétal reconnu du fait de sa qualité d’opérateur technologique des télécommunications par satellite en Afrique, il apparaissait légitime que tôt ou tard Philippe TINTIGNAC contribue à aider de manière officielle son pays d’affection en occupant un rôle de consul honoraire.
C’est à ce titre-là qu’il a rencontré la petite délégation ivoirienne qui séjournait la semaine dernière à Auxerre dans l’un des salons d’honneur de l’hôtel Le Normandie.
Là, Philippe TINTIGNAC a pu échanger un long moment avec les représentants du Cercle Ivoirien de réflexion et d’action pour le développement (CIRADE), représenté par son président, le député de Côte d’Ivoire, Honorable Mamadou DIOMANDE.
Ce dernier était accompagné de Mme Ahoua CISSE, présidente de la FADIV (Fédération des associations de la Diaspora ivoirienne), Nazaire SERIBI, président de l’association « Chaîne espoir pour tous » et d’Elvis DJIDJE, secrétaire général du CIRADE.
Réfléchir à l’adoption de projets communs…
Au plan de la logistique, c’est le conseiller municipal de la Ville d’Auxerre délégué à la francophonie, Jean-Claude MAHPOUYAS, qui avait coordonné cette rencontre se déroulant dans une franche convivialité.
Ce qui présageait de belles perspectives pour l’issue de ces contacts qualifiés de prolifiques entre les participants.
Rappelons que le CIRADE a pour vocation première de créer une synergie d’actions autour des principaux acteurs de développement dans la mise en œuvre de projets adaptés aux besoins des populations.
Apolitique et fédérant toute la diversité ivoirienne, la structure souhaite développer des projets multisectoriels (éducation, commerce, agriculture, équipement, santé, économie, entrepreneuriat…) dans l’ensemble des trente-et-une régions du pays.
Autant d’éléments informatifs qui ont nourri les discussions entre ces interlocuteurs qui ont promis de garder le contact et de réfléchir à des projets communs…
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Le principe du tirage au sort pourrait-il sauver la démocratie lors des rendez-vous électoraux ?
mars 03, 2020Notre démocratie est en danger. Tout le monde en parle depuis longtemps et ce phénomène ne concerne pas uniquement la France. La défiance des électeurs vis-à-vis de la classe politique accélère l’abstention, c’est bien connu. Mais la méfiance des élus vis-à-vis de leur propre fonction se fait aussi ressentir. Nombreux sont les maires qui ne veulent plus se représenter. 10 % de la population ne sont pas inscrits sur les listes électorales ! Si on ajoute le poids des abstentionnistes dans ce paysage, même le président de la République ne serait plus représentatif de la majorité des français. Si tel était le cas, notre pays deviendrait alors de plus en plus ingouvernable…
TRIBUNE : L’abstention est la phase la plus aboutie de la contestation du pouvoir. Récemment, la Suisse, la Colombie-Britannique, l’Irlande ou l’Islande ont dû faire face à ce phénomène contagieux à travers la planète en pratiquant le tirage au sort. Un mode opératoire servant à désigner certains de leurs responsables.
Le tirage au sort, c’est la forme originelle de la démocratie. A partir du VIème siècle avant J.C., la Grèce opte pour ce principe afin de nommer ses hommes politiques et ceux qui rendent la justice (la première forme des jurys d’assises).
Périclès accentue cette réforme participative des citoyens en attribuant des indemnités aux participants (temps passé, coûts des distances à parcourir, salaires perdus…).
Montesquieu dans « L’Esprit des Lois » ouvre une réflexion sur le tirage au sort : « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie, le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie… ».
Dès 1789, nos braves révolutionnaires crient « à bas la calotte », rejettent la fraternité, trop empreinte des valeurs chrétiennes, et excluent le peuple des fonctions électives. Il faut des compétences reconnues pour être élu !
Il nous reste donc la liberté. Oui, mais pour qui ? Il faut reconnaître que nous sommes passés à une monarchie constitutionnelle dès 1789. Nos révolutionnaires mettent alors en place les jurys populaires aux tribunaux d’Assises.
Hélas, notre République a gardé le régime de Vichy : c’est-à-dire qu’elle a imposé au peuple la présence de magistrats. L’Etat musèle donc le peuple ! Le référendum est certainement une belle expression de la volonté populaire. A contrario, du RIC (Référendum d’initiatives populaire depuis 2008) où les élus sont beaucoup trop présents pour le choix des thèmes soumis aux citoyens.
Le cas très particulier de la Belgique, fonctionnelle sans gouvernement !
Mais, il y a encore plus fort que le tirage au sort : c’est l’absence de gouvernement ! En 2011, la Belgique s’offre le luxe d’un pays sans équipe gouvernementale : cette situation va durer 541 jours !
Malgré quelques manifestions contestataires, dites des « moules-frites », nos amis belges sont devenus philosophes : « Avec ou sans gouvernement, quelle différence ? ».
Depuis 2018, c’est un bis repetita perpétuel : les Belges n’ont toujours pas de gouvernement ! Est-ce pour autant que cela va plutôt mal pour eux ? Non bien sûr, les plus provocateurs vont jusqu’à dire : « la situation se présente sous de meilleurs auspices qu’auparavant ! ».
Notons que le vote par tirage au sort mobilise peu à peu les énergies intellectuelles. Aujourd’hui, des politiques, des philosophes, des sociologues s’intéressent à ce sujet autour de son schéma applicatif, de ses avantages et contraintes…
Imaginez les économies : plus de frais de campagne électorale, de sondages et le calme revenu, enfin, sur les plateaux de télévision ! Ce serait le terme des « fake news » politiques. Et de la prégnance du chronomètre sur ce type de rendez-vous télévisé !
C’est-à-dire que les journalistes qui interviennent lors des débats organisés pour les présidentielles, serviraient à autre chose qu’à simplement mesurer le temps de parole de chaque participant !
Même si les journalistes vont avoir peur de la fin des élections, ils auraient toujours la possibilité de se rabattre sur les vrais problèmes sociétaux des Français : le travail, la précarité, la pauvreté, la misère, l’écologie…
Mais si tout citoyen peut être élu demain, ne serait-ce pas ouvrir la boîte à Pandore et conforter aux postes clés de purs amateurs ?
Ne soyons pas méprisants vis-à-vis de ces derniers qui seraient issus de la société civile ! Rappelons qu’en football, par exemple la Coupe de France, les amateurs font parfois beaucoup mieux que les professionnels.
Suivons pour une fois les consignes récentes exprimées par le président Emmanuel MACRON, haranguant à ses troupes : « N’ayez pas peur d’être des amateurs ! ».
Alors, debout les amateurs, et soyez prêts à vous en remettre au hasard du tirage au sort électoral pour le bien de la Nation !
Jean-Paul ALLOU
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