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Rejeter des thérapies au pouvoir salvateur est-il encore raisonnable ? Le milieu sanitaire face à ses moutons noirs…
mars 31, 2020La puissance du poids familial a des stigmates que l'on porte depuis des générations dans chacune de nos cellules. Elles s'entreposent et s'empilent sur un côté « pile ». On nous incite à faire comme si...De quelle manière doit-on aimer, créer, et subvenir à tous nos besoins. Où se positionnent toutes nos fantaisies ? Patience, cette combinaison est dans l'air du temps...
TRIBUNE : Cette opportunité prend forme le jour où la vie incite à observer le côté « face » plus lumineux et aventureux. Alors, ce mouton au milieu de cette meute va apparaître comme un parasite nuisible. Ce cheminement à se considérer, va au fur et à mesure devenir déraisonnable d'un point de vue parental et sociétal.
En effet, sa ligne de conduite est transversale à cette route toute tracée. Son audience intérieure et son pragmatisme vont se faufiler et progresser à la seule vérité : être tenté de s'auditer. Céder aux murmures de cette folie à se choisir pour mettre sur le devant de la scène tous ses désirs. C'est une trésorerie allégorique au bonheur à mettre en œuvre.
Bas les masques au sens propre comme au figuré...
Justement, il est nécessaire de l'aborder dans ce contexte actuel et de le fusionner dans cette dynamique. Présentement, ce chaos non hasardeux ne serait-il pas initié par un miracle à la vie. Comme une renaissance. Cet isolement case tout le monde sur le même plan : en confinement « inté-rieur ».
Les classes sociales sont illusoires, confinées à elle « m'aime » pour un diadème à être. Les poumons, bouclier protecteur de l'organisme, sont sensibles à tous les agents pathogènes externes. A force d'inspirer les aspirations des autres, le manque de souffle peut s'offusquer. Dixit notre président de la République : « Un retour à soi » imposé, certes, mais salutaire...
La cerise sur le gâteau à un goût amer...
De plus, nous expérimentons depuis le début de cette pandémie une guerre antiseptique mais également financière. Sous gouverne d'un remède miracle, quel laboratoire va décrocher le pompon dans cette gloire sanitaire et pécuniaire à la course au vaccin ?
Les hautes autorités sanitaires discréditent ce substantif : la chloroquine, un dérivatif à l’édit virus coronavirus. Préconisé par le professeur Didier RAOULT, éminente référence de l'infectiologie. Or, observons que des avancées bénéfiques et avérées ont été margées sur des résultats d'analyses. Ah oui, toutes mes excuses : cette substance aurait des effets nocifs et indésirables.
En 2013 un rapport rédigé par le pharmacologue Bernard BEGAUX et par l'épidémiologiste Dominique COSTAGLIOLA révèle que dix mille à trente mille décès sont attribuables chaque année en France à un accident médicamenteux sur la conséquence néfastes liées aux soins* (voir source).
Chut : c'est inconvenant de lire aussi toute la liste des risques de symptômes sur chaque antidote. A les survoler, là, la migraine n'a pas de remède. Et, tambour battant... cet aliphatique est si peu onéreux que son impact en est discrédité !
Des soins très accessibles qui ont du mal à se frayer un chemin...
Tout traitement se mesure-t-il à son coût ? Est-il raisonnable de penser que la prise en charge de sa santé doit être soumise à des dépenses plus élevées. Des médecines douces ancestrales aux traitements thérapeutiques, beaucoup sont dans le discrédit comme l’homéopathie, relayée à un substrat inefficace.
Pour ne citer que la Suisse et l'Allemagne, ces pays limitrophes, qui ont réussi à équilibrer dans leur champ de conscience la médecine générale et holistique. Ouf !
Le mouton noir représente le symbole d'un héros nonchalant qui refuse de se plier à des normes. Il se joue des carcans illusoires imposés par la société. Spirituellement, il est le guerrier de son intériorité dans un périmètre au respect de soi : son amour propre. A l'extérieur, il est assujetti à des relais de transmission plus terre à terre : la justesse d'action.
Nous sommes dans un confinement à 360 degrés pour observer ces murs intérieurs et extérieurs. Sont-ils oppressants ou au contraire apaisants ? C'est à vous de respirer la vie et d'élaborer un souffle de nouveauté si nécessaire...
La différence entre l'école et la vie est la suivante : à l’école, on nous apprend une leçon puis ensuite, il y a un test. Dans la vie, on nous donne le test qui nous enseigne la leçon…
Lyvia ROBERT
Source :
* « Le Monde.fr » en date du 03 mai 2016 : « Les erreurs médicales à l’hôpital, cause majeure de mortalité… ».
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Le 718 RS 60 SPYDER a soixante ans : PORSCHE salue les prouesses d’un mythe du sport automobile…
mars 30, 2020Soixante bougies sur le gâteau : cela méritait bien une petite fête virtuelle dans le contexte du moment ! Le modèle qui a permis au constructeur d’outre-Rhin de briller durant quelques saisons sur les compétitions automobiles date de 1960. Ce sont les courses d’endurance et de côtes qui auront donné la possibilité à ce véhicule au profil et caractéristiques hors normes de se distinguer…Rappel.
STUTTGART (Allemagne) : C’est une véritable page de l’histoire de la compétition automobile internationale que l’on vient de commémorer ces jours-ci outre-Rhin. Le soixantième anniversaire du fameux 718 RS 60 SPYDER, modèle unique en son genre, conçu par PORSCHE.
Seulement seize exemplaires de ce petit bolide fougueux ont été produits à ce jour ! Ce qui fait de cette sportive nerveuse une vraie légende pour les aficionados de la course automobile.
D’ailleurs, son successeur, le 718 RS 61 SPYDER, utilisé uniquement par des écuries privées, n’aura pas connu un sort plus prolifique avec treize spécimens sortis des usines de la firme allemande.
Dès sa première saison, la voiture remporte de nombreuses victoires, autant en endurance que dans des courses de côte.
Par rapport à son prédécesseur, le 718 RSK, le nouveau modèle a bénéficié de plusieurs changements, suite à de nouvelles réglementations imposées par la Fédération internationale de l’automobile (FIA). Notamment l’opportunité de passer d’une cylindrée maximale de 1 500 à 1 600 cm3 pour la saison de course de 1960. Soit une puissance de 160 ch.
Des aménagements imposés par la FIA qui furent positifs !
En outre, et toujours en conformité avec les nouvelles directives de la FIA, le SPYDER 60 pouvait être doté d’un pare-brise plus élevé et d’un cockpit spacieux. Equipé également d’un châssis tubulaire optimisé et de suspensions arrière entièrement nouvelles à double triangulation, le véhicule disposait de davantage de maniabilité que les modèles précédents du constructeur.
Ces prouesses technologiques furent de bon aloi pour la performance de l’automobile. Non seulement, le modèle de Stuttgart fit des merveilles dès ses premières apparitions officielles (gain de la victoire pour ses équipages lors des Douze heures de Sebring le 26 mars 1960 avec les deux SPYDER 60 engagés qui terminèrent aux deux premières places), mais également pour les épreuves suivantes.
Au terme de la saison, PORSCHE et FERRARI possédaient le même nombre de points. Mais, le constructeur allemand termina vice-champion dans le championnat mondial des voitures de sport ; FERRARI réussissant à rester en tête du classement à la faveur d’une troisième place supplémentaire durant la saison.
Le 718 RS 60 SPYDER brilla également dans les championnats européens de course de côte en 1960 et 1961 en reportant les titres continentaux lors de ces deux éditions.
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La déception est immense : Cyrille CARRE devra s’armer de patience avant de tutoyer le rêve olympique
mars 26, 2020« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ». La citation de Jean de LA FONTAINE sied très bien à l’état d’esprit actuel du double champion du monde de canoë-kayak auxerrois. Déçu de ne pouvoir vivre ses quatrièmes Jeux Olympiques à Tokyo en juillet prochain afin d’y briguer un podium, le sociétaire de l’OCKA s’en remet à la sagesse pour compenser le manque. Lucide et solidaire, ses pensées vont bien au-delà de la chose sportive en cette période de confinement où dit-il, « il faut savoir faire preuve d’altruisme pour endiguer le fléau… »
AUXERRE: « Même si la situation est grave, je crois qu’il faut savoir prendre du recul, l’accepter et adopter les bonnes mesures en sachant s’adapter aux changements… Mais, au bout du compte, nous surmonterons cela !».
Craignant depuis plusieurs jours que ne tombe la décision inéluctable du Comité international olympique (CIO), Cyrille CARRE accuse tout de même le coup. Normal ! Vivre une nouvelle aventure sportive sur le toit de l’Olympe au Japon cet été, il en rêvait depuis des mois.
Auréolé de son titre de champion du monde de short race, le kayakiste Icaunais recherchait une énorme performance aux Jeux Olympiques cet été. Un rendez-vous qu’il n’aurait manqué pour rien au monde. D’autant que le bateau avait obtenu les quotas obligatoires, synonymes de qualification.
Récemment, Cyrille qui suivait l’évolution du dossier avec la régularité d’un métronome, avait déclaré « qu’il n’était pas nécessaire de prendre des décisions trop radicales et hâtives qui auraient pu s’avérer contre-productive pour les athlètes… ».
Mais, les choses ont évolué depuis. Jusqu’à la prise de décision définitive cette semaine, la mort dans l’âme, du Comité international olympique de décaler à l’année prochaine l’évènement planétaire.
« C’est vrai au vu du contexte, cela sentait vraiment le roussi, précise le sapeur-pompier professionnel, plusieurs délégations avaient fait part de leur intention de ne pas envoyer de compétiteurs aux Jeux, menaçant d’un boycott pur et simple les épreuves. Même si c’est un crève-cœur pour le monde du sport : le choix du CIO est raisonnable et surtout équitable vis-à-vis des sportifs qui ne pouvaient pas tous décemment préparer ce rendez-vous dans des conditions optimales… ».
L’avalanche d’annulation observée autour des compétions nationales et européennes ne fait que confirmer les dires du champion. Le programme de stages et de courses officielles s’évaporait de jour en jour du calendrier : séjour au Portugal du 22 au 31 mars disparu, open d’avril supprimé, championnat de France de fond reporté, manches de la Coupe du monde du mois de mai enlevées… Bref : Cyrille CARRE n’avait plus rien à se mettre sous la dent pour parfaire sa condition physique et accroître son mental avant de disputer les épreuves nippones.
Le plus dur est de se projeter dans les douze à quinze mois à venir…
Le problème pour le garçon qui continue de s’entraîner d’arrache-pied afin de se maintenir en forme (la commune d’IRANCY lui a mis une salle confinée à disposition) est le manque absolu de visibilité sur la suite de la saison. Une saison dépouillée du moindre rendez-vous officiel même si l’accumulation du report des épreuves sur le second semestre n’est pas une garantie.
Le plus dur est de se projeter de nouveau vers un objectif à atteindre dans douze à quinze mois. Car pour l’heure, le Comité international olympique n’a arrêté aucune date au calendrier. Mettant un point d’orgue à finaliser les Jeux avant l’été 2021.
« Je vais profiter de ce temps de repos contraint pour souffler quelque peu, confie le surdoué du kayak, d’autant que la nouvelle saison à l’automne dernier avait démarré sur les chapeaux de roue… ».
Désigné sportif Icaunais de l’année 2019, Cyrille CARRE avait avalé avec un appétit d’orque les compétitions hivernales comme celles organisées à Vaires-sur-Marne où le garçon avait multiplié les performances : 2ème en K4 500 m et K2 1000 m, 4ème en K1 1000 m, 7ème en K1 4000 m, et 17ème en K1 200 m.
Une mise en condition optimale qui préfigurait une saison exceptionnelle…
Faisant montre de relativisme par rapport à la situation, le sportif bourguignon pense surtout au contexte actuel que traverse le monde. En mettant les incertitudes sportives de côté, pour ne se consacrer qu’à l’instant présent…
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Préserver ses défenses naturelles à petit prix : le chlorure de magnésium n’est pas de la poudre de perlimpinpin !
mars 25, 2020« Lorsqu'on se trouve face à un tigre, inutile de raisonner trop longtemps : il faut vite choisir entre le combat et la fuite… » (Lao SHE). Actuellement, le trouble environnant à notre bonne santé ponctue notre quotidien de flashs et informations tous azimuts qui, tel un coup de massue, viennent s'infiltrer à d'autres maux. Le stress, les insomnies, les fardeaux journaliers, etc… Il faut vraiment être Superman dès le lever du soleil pour aborder de manière optimale sa journée !
TRIBUNE: Et si une anodine poudre blanche, alternative spectaculaire à ces désagréments, pouvait réellement minimiser ces différentes altérations ? Et nous permettre d’obtenir un moral d'acier, une meilleure santé et renforcer nos défenses immunitaires…
Le chlorure de magnésium, à l'efficacité éprouvée par des travaux publiés depuis des décennies, se joue des pathologies graves ou d'autres maux. Tout est synchronique dans la vie.
Or, n'est-il pas le bon moment de le déployer dans la conscience collective et de le démocratiser, enfin ? Sa place est obsolète dans un petit encart d'un magazine féminin ou sur un autre papier au rang d'une dernière page. Stop !
Effectuons un retour dans le temps où cette découverte exceptionnelle sur la thérapie magnésienne fut l’œuvre du professeur Pierre DELBET. Ses recherches demandent à être portées sur le devant de la scène.
Agrégé en 1892 de la Faculté de Médecine et lauréat de plusieurs travaux, ce personnage singulier se dessine à un destin professionnel hors du commun. Professeur de clinique chirurgicale en 1908, il y investit l’hôpital Necker à Paris. Insistons sur ces formalités pour témoigner du sérieux et contrecarrer l'ambivalence naturelle qui pourrait advenir chez certains pensifs.
A usage externe et interne, les deux font la paire !
Pour être succincte mais consistante, quelques éclaircissements à l'origine de cette découverte sont nécessaires. Durant la guerre de 1914/1918, le cheval de bataille du docteur DELBET est de faire barrage aux multiples infections des lésions cutanées des soldats sans léser les tissus. Les antiseptiques toxiques à l'époque sabordaient une guérison certaine.
Comment alors renforcer la protection des tissus cellulaires ? Après l'expérimentation de différentes substances, l’une d’entre elles, la solution de chlorure de magnésium, pur et desséché, donne des résultats qualifiés d’extraordinaires. Appliquée en pansements ou lorsqu'elle est injectée dans le système circulatoire.
La manifestation d'un événement « hasardeux » développe l'approche thérapeutique du docteur DELBET sous un autre angle. Un malade dans le refus à ladite injection ne se formalisa pas : il utilisa la solution par voie buccale.
Très rapidement, le personnel constate les effets boomerang d'un bien-être évident sur leurs patients qui ont bénéficié de cet acte. Par vase communicant, le personnel l'a testé et ensuite validé.
Un remède de « grand-mère » ayant prouvé son efficience…
De plus, en 1928, une étude a cette constatation édifiante : les sols pauvres en magnésium présentent plus de risque de cancers à contrario des pays comme l'Egypte et la Tunisie qui possèdent avec abondance cet élément essentiel qui minimise très fortement ce facteur.
D'autres chercheurs, comme le docteur NEVEU, expérimentent en 1937 cet élixir sur les maladies infectieuses, humaines et animales aux résultats avérés et reconnus. Ce remède, dit de « grand-mère » préventif ou curatif, est, on ne peut plus bluffant d'efficacité.
Le relayer aussi succinctement au rang d'un vulgaire placebo alors que ses vertus thérapeutiques sont justes étonnantes représente d’un mépris sans nom. Il est possible que son coût tarifaire, trop abordable pour le commun des mortels, n’intéresse pas les laboratoires pharmaceutiques.
Pour en savoir davantage sur le sujet : demandez conseil à votre médecin traitant ou appuyer sur la touche idoine dans votre moteur de recherche !
La médecine dite généraliste a, plus que jamais, une place de choix, c'est certain, dans notre société en pleine convulsion pathologique. Mais à notre époque, est-il normal de se fourvoyer de l'efficacité d'un aparté si peu consensuel ?
Lyvia ROBERT
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Les stratégies prises par les staffs décisionnels des constructeurs automobiles sont uniformes et se dévoilent les unes après les autres. Après RENAULT et PSA, c’est au tour du japonais TOYOTA de fermer boutique et de suspendre la production de ses véhicules dans ses usines européennes en raison de la pandémie galopante de coronavirus.
PARIS : L’impact économique et social sera indéniable pour le fabricant automobile nippon. Mais, au vu des perspectives de ventes à court terme et des difficultés logistiques à maintenir en état les chaînes d’approvisionnement, il n’existait pas d’autre alternative pour le constructeur que d’arrêter temporairement ses activités. D’autant que la sécurité et la santé des employés guident avant toute chose les choix de l’entreprise.
Voulant faire preuve de réactivité face à la propagation du coronavirus sur le Vieux Continent, TOYOTA a donc organisé jusqu’à nouvel ordre la suspension progressive de ses activités, notamment sur ses sites de production en Europe.
L’arrêt des usines du groupe asiatique est entré en vigueur le 18 mars pour une durée indéterminée. Cela concerne l’unité de production implantée dans la région de Valenciennes (Onnaing). Mais aussi les ateliers de fabrication de Grande-Bretagne, de Pologne, de République Tchèque et de Turquie.
Cependant, les activités indispensables telles que la distribution de pièces pour l’entretien et la réparation des véhicules (ceux de la sécurité publique) sont maintenues.
En parallèle, la direction du groupe assure toujours des activités sur les projets portant sur le lancement de nouveaux modèles. En marge du redémarrage.
Depuis l’archipel, d’autres informations ont par ailleurs précisé que « le maintien des opérations dans le réseau de réparateurs et de distributeurs (ventes véhicules neufs et activité après-vente) sera évalué en fonction de la situation de chaque pays, voire de chaque région ».
Précisons que dans les pays où des mesures de confinement ont été adoptées par le gouvernement (ce qui est notre cas dans l’Hexagone), les show-rooms des concessionnaires ont été totalement ou partiellement fermés.
Toutefois, la continuité de service des concessionnaires demeure possible par voie électronique ou téléphonique selon les cas.
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